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chapitre 6

Heureusement pour nous ce jour-là, c’était maman Polline ; celle-ci c’était jetée sur son fils avec toute la force de son corps et s’était mise à lui donner une bonne correction ; les enfants qui jouaient dans la cour étaient tous devant ma porte et regardaient la scène sans rien comprendre… la honte, la honte… la peur… la peur … que faire ?

- Weeeeeh Dieu ! mon enfant ! mon fils ! me voilà en train de perdre un deuxième enfant oooh ! qu’est-ce que j’ai fait pour mériter Ça ? Joel joel joel ! je t’avais parlé avant de sortir donc tu ne m’avais pas comprise ? et toi Sarah !!! Sarah tu as tué mon fils ! tu viens de tuer mon fils oooh !!! heeehaaaa !!!

- Maman je suis désolée… nous n’avons rien fait maman polline ; je te….

- Tais-toi !!! tais-toi Sarah stp ! et pourquoi tu es comme Eve dans le jardin d’Eden ? c’était pour jouer à cache-cache avec Adam ? je pressentais … je pressentais voilà pourquoi je suis revenue ! et toi Adam pendant que je parle, prends tes affaires et disparais de votre Jardin d’Eden ! surtout fais très attention en sortant de ne pas marcher sur la poudre que ton père a versée partout partout ici !!

- Maman je n’irai nulle part sans Sarah ; elle est la seule femme qui me fera oublié ce que papa m’a fait ; je n’ai pas peur de lui maman je l’attends et je vais l’affronter !

- Imbécile ! regarde-moi sa bouche ! va-t’en d’ici et vite ! je ne veux pas que ton père vienne te trouver ici, je sens le danger ! d’ailleurs qu’est-ce que ton père t’a fait au juste ? tu savais bien que depuis toute petite ton père voulait de cette pauvre fille mais toi comme aujourd’hui tu ne veux que manger dans la même assiette que ton père ! si cette petite est morte c’est à cause de toi Joël !

- A cause de moi comment ? c’est moi qui l’avais mis enceinte ? maman il ne faut pas dire des choses alors que tu connais la vraie version… brunette était à moi ; mais bien que papa la voyais venir ici me voir, il est quand même allé la pré –doter voilà que la pauvre est morte en accouchant ! je suis d’accord de partir mais à condition que tu me laisse partir avec Sarah… je ne veux pas que…

- Tais-toi ! tais-toi Joel ! mais qu’est-ce qui t’arrive ? et toi Sarah tu ne dis rien ? tu sais ce qui t’attend ? Tu feras mieux de prendre la calebasse qui est derrière toi et te verser un peu d’eau sur la tête et laisser sécher einh ?

- Ma Polline je ne sais pas quoi dire ; regarde comment je tremble même…nous n’avons rien fait maman… laisse-moi partir avec Joël stp il ne nous arrivera rien je te promets ; ton fils veut m’aider alors laisse-nous partir

- Sarah déjà tu dois savoir que ta vie est en danger en faisant ce que tu viens de faire avec mon fils , désenvoute-toi avec ce qui est derrière toi comme je te dis… ; je pleure déjà à l’intérieur de moi ; Joel sors d’ici !

Pendant que joel s’entêtait, on avait entendu les bruits de MATINDA, maman Polline avait tiré le rideau et on voyait une grande fumée monter dans la rue , la fumée des tuyaux d’échappement ; papa Leo était là ! que faire ? Maman Polline manquait de maitrise, elle était toute pale ; elle tremblait de tout son corps ;

- Ma Polline à ce point ? il va se douter de quelque chose juste en te voyant ; Joël toi aussi sors d’abord d’ici pardon il faut écouter !

Juste au moment où Joël sortait de ma case, papa Leo faisait son entrée, et comme s’il n’avait rien vu, il avait pris la direction de sa maison … quelques minutes après, on l’avait vu sortir avec une bouteille à la main et asperger la cour en répétant quelques phrases que lui seul savait…

Je n’avais pas compris lorsque j’avais vu ma Polline sortir de sa maison , courir vers papa Leo et attrapé sa main en le suppliant…

« que se passe-t-il ? » j’étais sortie et j’entendais maman Polline supplier son mari en disant :

- Leo pardon ! ne fais pas ça stp ! c’est ton enfant ! laisse-le partir ; donne-lui une chance ce n’est qu’un enfant Leo et c’est ton fils ! ce n’est pas ce que tu crois ; il ne s’est rien passé crois-moi…

- Polline reste en dehors de tout ça et éloigne-toi !

- Leo tu réagis sans vérifier ? je préfère mourir à sa place ! laisse mon fils partir oooh Leo ! tu n’as pas de cœur ? tu n’as vraiment pas de cœur ? tu veux encore une fois faire du mal à ton fils ? veux-tu vraiment que je perde encore un garçon ? tues-moi ! tues-moi Leo mais laisse mon fils tranquille !

Malgré les supplications de ma Polline, papa Leo avait fini tout le flacon qu’il avait en main et était sorti !

Ma Polline avait fait les valises de Joël et lui avait remis quelques billets en le poussant vers le portail…

- Mon fils pardon que la nuit ne te trouve pas ici ! va-t’en !

Elle avait pris une poudre et avait jeté devant son fils et sur ses pieds ; et en voyant comment sa maman pleurait, Joel avait fini par obéir et partir.

Peut-être que maman Polline n’avait rien vu mais moi j’avais bien vu Joel serrer ses dents comme s’il avait mal quelque part… il avait un moment touché son pied droit mais il était quand même parti en me disant :

- Je ne te laisserai pas ici Sarah ! je ne te laisserai pas poireauter dans cette maison je te le promets ; je ferai tout pour te sortir d’ici et tu viendras vivre avec moi ; les études n’ont jamais eu de retard tu pourras continuer tes études ne t’inquiète même pas pour ça… je t’aime Sarah ! je t’aime !!

- Weeeeh Joel il faut partir pardon ! et ne reviens pas ; trouve un moyen de me faire partir d’ici mais toi ne reviens plus Joel stp… moi non plus je ne veux pas te perdre, j’ai trop besoin de toi…

Je l’avais accompagné jusqu’au coin de la rue ; il partait comme un voleur; en me retournant, j’avais bien vu la MATINDA de papa Leo camoufler derrière une maison mais moi aussi j’avais fait semblant…

De retour à ma maison, maman Polline était toujours en train de pleurer en marchant dans la cour, elle aussi à son tour avait pris le même flacon qu’avait utilisé papa Leo et aspergeait ; apparemment elle essayait d’annuler ou de contredire ce que venait de dire ou de faire papa Leo… j’avais tellement peur que j’étais rentré dans ma chambre, j’avais pris mon téléphone que m’avait acheté Joel, le téléphone que je cachais toujours dans un trou que j’avais creusé dans le mur et discrètement, j’avais composé le numéro de ma mère bien que je la détestais ; comprenez que j’avais peur … ça sonnait et puis…

- Allo ! allo …

- Allo maman c’est moi… c’est Sarah !

- Ma fille oooh ! ma fille merci oooh ! mais ta voix là c’est quoi ?

- Maman merci là c’est pourquoi même ? je t’appelle pour te dire que je vais bientôt mourir comme ça vous allez me perdre pour de bon…

- Sarah !! tu veux que je fasse un infarctus ? tu veux anticiper ma mort ? il se passe là-bas ?

- Maman ! j’ai fait ce que j’aurai dû faire depuis longtemps maman càd vivre avec l’homme de mon âge ! et je t’informe que j’ai couché avec le fils de votre collaborateur Leo ce qui m’attends, je ne sais pas ; si je vais mourir oooh si je vais devenir folle oooh je ne sais pas encore mais ce que je sais ce qu’il m’arrivera certainement quelque chose ;

- Sarah tu as fait quoi ?

- Tu as entendu maman ! et transmets le message à ton complice de mari moi je n’ai rien à perdre.

- Sarah ma fille depuis quand tu te comportes comme une légère fille comme ça ? Sarah est-ce qu’on fait ça dans le mariage ?

- Ekieee maman que je ne suis pas une fille légère que je suis qui même ? ai-je même une petite dignité moi ?

Je parlais encore avec ma mère que la porte s’était ouverte et papa Leo avait fait son entrée ; précipitamment, il avait arraché mon téléphone , m’avais attrapé le cou et m’avais jeté sur le lit en me rouant des coups ; ma mère continuerait de parler certainement elle entendait des cris de papa Leo et la façon dont je lui répondais, elle avait raccroché et avait appelé sur le portable de papa Leo ; pendant que le téléphone de celui-ci sonnait lui il criait sur moi en me brutalisant, il avait bien vu le numéro de ma mère mais il continuait quand même

- Tu as tué mon fils ! à cause de toi je vais devoir perdre un deuxième enfant ; je vais te traiter comme il faut petite prostituée ! tu es exactement comme ta mère !

- Lâche-moi papa Leo ! ma mère n’est pas une prostituée et moi non plus d’ailleurs ! tu n’as que ce que tu mérites ! je ne t’aime pas et je ne t’ai jamais aimé sorcier sorcier lâche moi !

Je l’avais poussé et il avait titubé pour ensuite se cogner la tête au mur et était tombé ; et comme à cause de son ventre il se battait pour se relever, je m’étais jetée sur lui et l’avais mordu l’oreille

- Haiiii haiii voilà la sorcellerie ! cette fille veut finir avec moi mon Dieu ! Polliiiine polliiiine !

Je l’avais attrapé la bouche pour que maman Polline ne l’entende pas et je l’avais encore griffé

- Je ne suis pas ton sac de boxe ! espèce de pervers ! je vais te tuer… je vais te tuer sorcier ! tu oses traiter ma mère de prostituée ? ta polline ne viendra pas te sauver tu vas mourir entre mes mains !!

Il était furieux ; il m’avait poussé et avait fait un effort de se relever et sortir ; il marchait à grand pas jusque dans sa maison et en le voyant sortir avec son fusil de chasse, j’étais sorti en courant pour aller me cacher chez maman Polline…Maman Polline savait pas ce qui se passait jusqu’à ce que je crie ;

- Maman Polliiiine maman Poliiiine au secouuuuurs

Celle-ci était sortie de sa chambre en courant

- Il y a quoi Leo ! tu comptes faire quoi avec ce fusil ? tu veux tuer cette petite ? tu veux finir les quelques années qui te restent en prison ?

- Polline écarte-toi de là ! je vais lui apprendre moi ! cette prostituée saura de quel bois je me chauffe ! tu as vu ce qu’elle m’a fait ? regarde mon oreille ; regarde mon cou… cette fille est une vraie sorcière, depuis tout ce temps elle cachait sa vraie personne c’est un animal !!!

- Tu es fou ? tu penses être au-dessus de la loi ? d’ailleurs qu’a-t-elle fait ? toi Sarah qu’as-tu fait à Leo de bon matin comme ça ?

- Je l’ai mordu maman Polline … je devais me défendre il est entré dans ma chambre et m’a attrapé le cou ; je ne sais pas ce que je lui ai fait en plus il traite ma mère de prostituée !

Il ne voulait rien entendre, il avait chargé son fusil et était prêt à tirer ; alors maman Polline s’était mise à crier

- Boya heeeee boya eeeeh Leo alingi aboma mutu eeeeeh boya boya boya ( comme pour dire : venez venez Leo veut tuer quelqu’un venez venez)

maman Polline criait, les enfants de papa Leo revenaient de l’école ; enfin… uniquement les garçons ; car d’après lui, les filles n’avaient pas besoin de tout ça et que leur place était auprès d’un homme ; presque toutes les filles de papa Leo avait un prétendant ; et elles étaient toutes au champ avec les autres femmes de papa Leo, les enfants ( garçons) de papa Leo pleuraient ils avaient vu leur papa couvert de sang car la morsure était profonde :

« papaaa stp calme-toi » « papa ne fais pas ça » disaient-ils

Je ne comprendrai jamais la solidarité du village ; tous les voisins étaient là et Leo furieux qu’il était, avait encore braqué l’arme sur les voisins qui étaient venu pour l’intervention et chacun avait pris la porte … c’est en ce moment là que j’avais profité pour m’enfermer dans la maison de maman Polline

- Où est-elle ? où est cette prostituée ? d’ailleurs depuis que tu es dans cette maison en dehors de manger que fais-tu d’autre ? tu es même incapable de garder un enfant à quoi tu me sers ? quand je pense à ma fille que j’ai perdue à cause de ton idiotie j’ai seulement envie de te tuer pendant ton sommeil

- Chasse-moi alors de ta maison qu’est-ce que tu attends ? tu n’auras plus d’enfants avec moi sorcier ! laisse-moi partiiiiireeee pourquoi me gardes-tu prisonnière ici alors ? tu m’as signalé au parking comme une criminelle ; je n’ai pas le droit de prendre le bus sorcier !

Cachée dans la maison de maman Polline, Je répondais en battant mes mains

- Weeee Sarah tu vas te taire ? ce quel démon qui est descendu dans la cour aujourd’hui ? Leo calme-toi pardon ! cette fille a fait quoi au juste ? te voir dans cet état n’est pas bon pour ton âge, ressaisie-toi et pense à ton cœur…

- Qu’il meurt maman Polline qu’il meurt mêmeeeeeuuu !

Maman Polline avançait doucement jusqu’à attraper le fusil ; papa Leo avait finalement lâché larme et avait pris la direction de la porte en décrochant l’appelle de ma mère qui n’arrêtait d’insister et je l’entendais dire à haute voix

- Quoi ! quoi Erica !! vous avez réussi à envoyer une lionne dans ma maison pour me dévorer tu veux quoi encore ?

Ce que ma mère lui disait je n’écoutais pas mais lui continuait de dire :

- Ta proposition n’engage que toi Erica ! moi c’est la chair fraiche que je veux, je n’ai rien à faire avec toi … tu en es sure ? ok ok c’est d’accord alors je verrai ça… oui oui je compte venir en ville dans deux jours et on pourra se voir… d’accord je suis calme… huuuum Ericaaaaa ! toi tu me tues seulement !

Mais de quoi parlait-il avec ma mère ? je me disais que certainement ma mère n’avait pas décroché tout de suite et avait tout entendu voilà pourquoi elle appelait, peut-être qu’elle l’appelait pour lui proposer de l’argent pour que je sois enfin libérée, peut-être qu’elle voulait que rentre un petit moment en ville… mais pourquoi parlait-il de la chair fraiche ? C’était quoi la proposition de ma mère au juste ?

Depuis ce jour là nous n’avions eu aucune nouvelle de Joël et le courant ne passait plus avec papa Leo il était même en ville depuis deux jours ; maman Polline soupçonnait déjà quelques chose de louche entre ma mère et papa Leo alors que ma vie était toujours un enfer au village

Son absence était bénéfique pour moi mais malheureusement à chaque fois qu’il était en déplacement, il nous laissait ses hommes de confiance ; surtout moi, je n’avais pas le droit de sortir de la parcelle seule ; j’étais toujours accompagnée de ses sals types.

je croyais être enfin libre alors que j’étais déjà enceinte de trois mois ; je l’avais su un mois après et comme je ne voulais que qui que soit ne le sache , j’attachais mon ventre avec mon foulard de tête…malheureusement pour moi avec maman Polline c’était impossible …

j’étais tombée malade et malgré les infusions que me donnait maman polline, rien n’allait ; c’est alors que maman polline m’avait bien scruté et avait constaté des signes de grossesse…

- Ma fille… la dernière fois que tu as eu tes règles c’était quand ?

- Maman polline pourquoi me poses-tu cette question ?

- Ekieee ! tu t’es regardé ? mais tu es enceinte mon enfant !!

- Jamais ! jamais ! je ne peux pas être enceinte maman Polline ! impossible ! depuis il ne me touche pas et je n’entre pas non plus dans sa chambre…

- Hahaha haha mais il se pourrait que sa semence était déjà en toi avant votre bagarre nooon … (me taquinait Loraine) ce vieux est capable de t’engrosser même en esprit onong ! comment vous faites même ?

- Ma chérie si maman Polline dit que tu es enceinte ce que tu l’es vraiment ; celle-ci ne se trompe jamais (avait dit Claudia)

Tout le monde parlait sauf Rosine… elle nous écoutait sans rien dire alors j’avais un peu oublié ma peine et lui avais posé la question :

- Tata Rosine pourquoi ne parles-tu jamais quand nous discutons ?

- --- ---

- Tata Rosine… tu es dans cette maison depuis combien de temps ?

- --- ---

Elle s’était mise à pleurer… Claudia m’avait fait signe de ne plus lui poser ces genres des questions mais Loraine avec sa bouche lorsque maman Polline s’était déplacé, avait pris la parole…

- N’est-ce pas que Leo la prenait par l’anus en arrivant ici ? ses parents sont morts dans un incendie lorsqu’elle avait 9 ans et Leo l’avait recueilli, en arrivant ici Leo la doigtait l’anus et finalement il l’avait enfoncé là-bas en lui disant de ne dire à personne ; et lorsque…

- Huuuuuum !!! Loraiiiine !!! vas-tu changer un jour ? tu racontes l’histoire des autres et la tienne ?avait dit Claudia pour l’arrêter.

- C’est scandaleux ça ! mais moi sachez bien que je ne suis pas enceinte en tout cas plutôt mourir ! si c’est vrai qu’il y a sa semence dans mon ventre alors j’avorterai !

Je parlais ainsi lorsque maman Polline était sortie de sa case et avait entendu mon dernier mot qui était (avorter) … elle m’avait tiré jusque dans ma chambre et avait refermé la porte derrière elle

- Toi Sarah ! tu veux faire quoi ? avorter ? d’où te sort cette idée ? tu as déjà entendu parler de ça ici ?

- Oui chez Loraine… mais je ne suis pas enceinte maman Polline ekieee

- je t’interdis même de penser à ça. Avorter avorter !!!

Elle criait sur moi et son téléphone avait sonné ; c’était la ville, son ainé l’avait appelé et avait l’air embarrassé…maman Polline mettait toujours main libre car elle avait un problème d’audition ; je pouvais tout entendre…

- Allo mon fils… Joel il y a quoi ?

- Maman ce n’est pas Joel… c’est moi Orvel …

- Ah mon fils c’est parce-que j’ai vu le nom de Joël que j’ai cru que c’était lui … comment allez-vous là-bas ? avez-vous vu la courge que je vous ai envoyée par maman Belinda ? je sais que Joël adore ça ; alors comme la récolte était bonne j’avais pensé à vous… et ta femme ? j’attends toujours einh ?

- Maman je suis désolé… c’est moi qui utilise son téléphone… Joel ne peut pas parler au téléphone maman… je ne voulais pas t’inquiéter mais là je vois que sa situation ne fait que s’aggraver…

- Il a quoi mon Joel ? il est avec toi ou il est au campus ?

- Maman Joel n’a jamais pu aller au campus depuis son retour du village… il est revenu très malade et au moment où je te parle, les médecins n’ont plus rien à faire car sa jambes droite est complètement pourrie… et au niveau de son sexe il y a des trucs comme des champignons…je ne sais pas mais il ne dit que (c’est papa, c’est papa…) je ne comprends pas

Maman Polline avait jeté son téléphone et avait poussé un grand cri « « Joel mon fiiiiiils !! » je la voyais se pencher et convulser comme si elle faisait un AVC…

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