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chapitre 3

- Où m’amenez-vous papa Leo… moi j’ai sommeil papa Leo… lache-moi… lâche-moi… maman polliiiine vieeeeent… lache-moi sorcier … sorcier…

Il me tirait malgré mes cris ; tout le monde était sorti de sa pièce et regardait la scène ; apparemment mes cris mettaient papa Leo en colère

- Voilà le viol en live ! l’agression sexuelle en publique ! Leo c’est quoi ce film ? tu comptes faire quoi à ce bébé ? es-tu vraiment obligé de la trainer comme ça ? disait maman polline en battant les mains.

- Polline !!! je ne veux pas te voir chez moi dès le matin… tu dois vite retourner chez tes parents ; j’en ai plus qu’assez de toi… comme tu ne fermes pas ta bouche là ; demain tu quittes ma maison…

- Leo… Leo ooooh tu as menti sorcier ! tu connais mes parents ? alors tu iras toi-même me déposer à leurs tombes heha… 45ans de mariage ? tu parles encore de mes parents ? tu iras me déposer monsieur le pédophile… lâche cette petite … que comptes-tu faire avec une peau sur les os comme elle ? tu veux la tuer ?

Tout le monde nous regardait et je pouvais lire la colère sur leur visage… surtout sur celui de Rosine(celle qui ne parlait presque pas) ; c’est comme si tout le monde détestait papa Leo et il suffisait juste que l’unes de nous aborde l’option de l’assassiner pour que tout le monde s’exécute… mais qui allait donner l’initiative ? personne n’avait ce courage… et moi, ce n’était pas le courage qui me manquait mais plutôt, mon jeune âge , j’avais un petit corps ; tout ce que j’avais de grand c’était ma chevelure .J’avais la rage , le haine… mais tout cela ne m’aidait en rien…

- Arrête de résister et viens avec moi Leslie ; je t’ai dit que je te ferai rien… je veux juste que tu dormes à mes côtés cette nuit et c’est tout… tu dois commencer à me faire confiance… ferme-là !! tes cris ne font qu’augmenter ma colère et surtout que tu as réveillé tout le monde… petite insolente !!!

Papa Leo était finalement très en colère ; mais pourquoi même ? Étais-je vraiment obligée de dormir avec lui ? je n’avais jamais dormi avec mon père et pourquoi je devais le faire avec papa Leo ? déjà que je le trouvais dégoutant… le papa Leo que je voyais-là n’avait rien à voir avec celui qui venait chez moi… celui qui me portait sur ses genoux comme sa propre petite fille…

Il m’avait trainé jusque dans sa chambre et m’avait laché en fermant la porte derrière lui ;

Le seul beau lit de toute cette concession était celui de papa Leo, d certainement parce que c’était son lieu de bataille… il avait une grande télé et une radio à pile ; un ventilateur des années 70 qui n’arrêtait de tourner faisant beaucoup de bruits…

Je le voyais enlever son singlet , en suite sa grosse culotte exhibant son gros caleçon blanc, exactement comme celui de mon père, (je voyais quand ma mère étalait sur l’étendoir) un gros ventre plein des poils blancs et des tétons plus gros même que les miens, il ressemblait à une grosse vielle femme enceinte… je l’avais longtemps regardé jusqu’à entendre :

- Combien de temps comptes-tu rester debout ? tu veux fatiguer tes pieds ? viens t’allonger… je dois sérieusement te parler…

- Non einh…je n’ai pas mal aux jambes … je ne veux pas m’allonger

- Alors ? écoute Sarah… je suis et je reste le papa Leo que tu as connu d’accord ? une seule chose qui va certainement changer bien évidement ça sera, lorsque tu ajouteras deux ans sur ton âge actuel…je veux dire… lorsque tu auras 14ans, on fera mieux connaissance… je ne veux pas précipiter les choses juste parce que tu n’as pas encore ce que j’aime mais je fais confiance en tes autres mamans ; elles sont formidables en massage ; en si peu de temps, je vois déjà le changement sur toi… alors… tu viens te coucher ou pas ?

- --- ---

- TU VIENS TE COUCHER OU MERDE !!! JE M’IMPATIENTE DEJA !!!

- Je … je veux… je veux sortir d’ici…

- Mais pourquoi tu me chantes toujours la même chanson archaïque ? je t’ai bien dit que je ne ferai rien qui puisse de déplaire, je vais devoir attendre deux ans de plus… alors de quoi as-tu peur ?

- Tu… tu… tu es en caleçon…

- Et lors ? je ne suis pas nu… enfin pas pour l’instant…

- Mon papa ne restait pas comme ça devant moi… c’est les choses des impolis…

- Mais je ne suis pas ton père Leslie… tu fais semblant ou carrément tu ne veux pas accepter le fait que je sois ton mari… j’ai payé ta dote , et mon argent a contribué à la construction de la maison qui abrite toute ta famille… ça ; je pense que tu le sais nooon ?

- Je veux aller dormir avec tantine Loraine…

- Bon… moi j’ai fermé ma porte à clé… si tu veux rester planter là ; courage à toi mon athlète…

Comme un vrai porc, il s’était allongé sur le lit et moi j’étais resté debout essayant de combattre le sommeil… au bout de quelques minutes, mes yeux se refermaient et mes jambes me lâchaient déjà ; on avait entendu quelqu’un cogner à la porte ; et papa Leo n’avait pas tardé de répondre furieusement…

- J’espère que c’est pour une bonne raison que la personne qui est devant ma porte dérange mon doux sommeil einh ?

- C’est moi Polline… je veux prendre la place de cette petite… je pense qu’elle ne devait pas être ici…

- Et c’est toi qui devais être ici ? vielle carcasse !!! tu penses que j’ai encore envie d’un corps froid comme le tien ? Polline stp si tu penses etre un ange gardien pour cette petite, alors rembourse moi tout ce que j’ai donné à ses parents… et en même temps, dès demain je ne veux plus te voir ici… ta sorcellerie me dépasse … à ton âge tu veux encore sexe ?

- Mon âge tu dis ? tu as quel âge toi ! mais te voilà entrain de t’acheter des enfants pour les maudire avec ton corps qui ressemble à un hippopotame, ta kikinette des années 30 là se reposent ? ouvre cette porte !

Après un moment de silence, j’avais entendu les pas s’éloigner de la porte, certainement maman Polline qui partait, j’image qu’elle était très déçue… et même à moi ; les paroles de papa Leo n’avait vraiment intrigué ; je m’était rappelé qu’un jour mon père avait osé dire un truc du genre à ma mère et c’était la catastrophe ce jour-là…

J’étais prisonnière de Papa Leo ; et mon combat avec le sommeil était un échec total , j’avais fini par m’endormir pour me réveiller le matin dans les bras de papa Leo…

- Mais qu’est-ce que je fais ici sur le lit ? avec toi ? ouvre la porte je vais sortir… je dois aller à la rivière avec les autres…

- On ne dis pas bonjour ? as-tu déjà perdu les bonnes habitudes Sarah ? tu dois savoir que c’est moi qui décide si tu dois travailler ou pas… je suis le chef de cette maison…

- Mais moi je veux aller travailler…

- Bon d’accord…

Il s’était levé et avait ouvert la porte ; J’étais sortie en courant comme si quelqu’un me poursuivait jusqu’à me jeter dans les bras de maman Polline qui m’avait directement caressé la tête

- Ma petite chérie… je suis désolée pour ce qui t’arrive et surtout ce qui va t’arriver si tes parents ne viennent pas te chercher… Leo est un monstre… mais un jour il paiera pour tout ce qu’il fait… allons …

- On va à la rivière maman Polline ?

- Non je veux que tu viennes avec moi au marché… j’ai ma petite table là-bas… c’est le seul endroit qui m’apaise…

Au marché c’est tout le monde qui me regardait ; vous savez comment ça se passe aux villages, tout est à nu ; on ne peut pas se cacher, et on ne peut rien cacher non plus…

Et pendant que maman Polline étalait ses tomates, les murmures battaient le record ; je pouvais bien entendre les gens parler de moi ; et même leurs regards les accusaient…

« « weee Leo va finir par épouser un animal weeeeh donc il monte sur ces os que je vois là ?» » « « tu ignores quoi ? pauvre Polline encore un bébé à allaiter, dire que son salop de mari ne perd pas le temps einh ? » » « « vous savez quoi ? il parait même qu’il a déjà un prétendant pour sa petite fille Angela ; celle qui a 13ans mais quelle sorcellerie ? » » « « tu es sérieuse là ? la petite Angela qui vient souvent avec sa maman Claudia ici ? la pauvre… Leo ne changera jamais… » » « « Moi-même je n’aime pas qu’il regarde deux fois ma fille… ses ambitions sont tellement contagieuses qu’il pourra contaminer mon mari » »

Tous ces regards me gênaient terriblement ; maman Polline l’avait remarqué et m’avait donné une tache qui devait m’occuper… je m’étais mise à laver les tomates ; l’eau était devenue sale et il fallait que je change ; alors maman Polline m’avait indiqué où se trouvait le robinet…

« « je veux m’enfuir… je veux m’enfuir… je rentre chez moi… je vais chercher la police du coin et je vais tout leur raconter… je suis sauvée, enfin je vais pouvoir rentrer en ville… je vais juste prendre un bus et une fois chez Luna, elle va payer ma course… oui… c’est tout ce que je dois faire » »

En allant puiser de l’eau, J’étais déterminée à rentrer chez moi ce matin là ; je ne pensais pas aller chez mes parents car je savais que papa Leo allait me retrouver et ça allait être encore pire pour moi ; jusque-là, papa Leo était juste un peu vulgaire avec moi mais pas brutal ; c’est juste son âge, son apparence, et le faite de savoir qu’il était mon mari qui me brutalisait ;

- C’est où le bureau de la police svp monsieur ? j’avais demandé à un vieux couturier

- Ma petite fille … tu es perdue ? on t’a volé quelque chose ? pourquoi cherches-tu la police ?

- Non papa… je suis ne pas perdue et on ne m’a pas volé non plus… je veux déposer une plainte papa…

- Einh ? toi ? déposer plainte ? écoute petite fille circule ! enfant mal éduquée… donc comme ça il fallait que tu t’arrêtes là pour blaguer avec moi ?

- Non papa… je suis victime d’un kidnapping, je veux rentrer chez moi, aidez-moi svp papa…

- Ah bon einh ? et où est ton kidnappeur ? il t’a libéré pour marcher et prendre de l’air au marché avec un seau à la main ?

Il continuait de parler et comme quelques têtes curieuses s’approchaient déjà ; j’étais obligée de quitter le lieu de peur que les bla bla bla arrivent jusqu’à maman Polline ; j’avançais et là devant il y avait une petite cabane faite en contreplaqué avec mention Police… soulagée, j’avais accéléré mes pas, et juste au moment où j’avais ouvert la bouche pour m’adresser au policier en disant :

- Monsieur l’agent svp ; aidez-moi ; je suis en danger ; on m’a kidnappé…

Derrière moi j’entendais la voix de maman Polline m’appeler…

- Sarah… Sarah… mais que fais-tu ici ? je t’avais pourtant dit que le robinet était de l’autre coté… donc c’est monsieur l’agent qui devait te montrer le chemin ? disait maman Polline en m’attrapant par la main

- Madame c’est votre enfant ? demandait l’agent de la police

- oui monsieur… elle vient de la ville et c’est sa première fois de venir au village haha haha elle ne supporte pas la vie ici…

- c’est vrai ce que la dame dit ? tu la connais ? es-tu sa fille ? il n’ ya pas de problème ? l’agent de la police qui s’adressait à moi en me fixant

- ce que… monsieur l’agent… elle, elle est gentille avec moi mais c’est plutôt papa Leo qui…

- monsieur l’agent… puisque je vous dis que c’est ma fille et qu’elle ne supporte pas la vie du village… on doit partir maintenant Sarah… tu veux me créer des problèmes avec Leo ? n’oublies pas que c’est moi qui suis sortie avec toi… tu veux qu’il finisse avec moi ?

- mais madame cette petite sait ce qu’elle dit alors venez avec nous … disait le policier en nous obligeant d’entrer par un geste de la main

je voyais déjà les yeux de maman Polline rougir, je lisais la peur sur son visage, elle transpirait en plain matin en claquant ses doigts… elle était quand même très gentille avec moi ; mais en même temps, le Policier était mon unique chance pour pouvoir rentrer chez moi… je savais que papa Leo allait mener une vie dure à la pauvre femme ;

« « si seulement c’était avec Loraine… celle-là ne fait qu’augmenter ma tension avec les grossièretés qu’elle me disait souvent, ça allait être une bonne occasion de lui mettre ma charge sur la tête » »

je me disais cela en regardant maman polline couler des larmes… je ne m’étais même pas rendu compte qu’il y avait déjà une foule de gens dehors curieuse de voir une femme qui aurait volé une petite fille… et dans la foule, il y avait quelques amie de maman Polline.

En voyant cela, j’avais directement réalisé l’impact qu’avait cette affaire ; alors quand ce policier m’avait encore une fois interrogé, j’avais changé ma version en disant :

- monsieur l’agent… c’est vrai ce que maman Polline dit … je n’aime pas le village mais mon papa m’a quand même envoyé ici… il faut juste dire à maman Polline de dire à papa Leo de me ramener chez moi…

- tu en es sure ma fille ? tu sais, on enregistre beaucoup de cas de vol d’enfants dans ce village alors…

- non non… je voulais juste que vous m’aidiez à m’enfuir… enfin… me faire monter dans un bus…

- vous voyez Monsieur l’agent… je vous ai dit qu’elle était juste dégoutée du village… maman Polline un peu soulagée

- ah je vois… puisqu’elle parlait d’un kidnapping alors il fallait y voir clair ; mais il faut bien la surveiller einh ? comme elle n’aime pas le village et qu’elle tient à rentrer en ville ; elle pourra faire à sa manière et tu connais bien le danger de ce délit…

- ok monsieur l’agent on sera plus prudent… mais je pense que la meilleure solution serait de la remmener en ville… j’en parlerai à mon mari…

- ok madame… c’est une bonne décision… vous pouvez partir…

on était sorti de cet endroit avec un sourire hypocrite sur les lèvres de maman Polline ; j’imagine à quel point elle devait réunir toutes ses forces pour lancer ce sourire au policier.

Elle m’avait attrapé la main et m’avait tiré jusqu’à son étalage sans mot dire… tous les regards étaient fixés sur nous ; LA HONTE !!!

Elle avait tout remballé et on avait pris le chemin de la maison…

Une fois à la maison, tout le monde était étonné de nous voir rentrer à cette heure là, même papa Leo lui-même…

Sans aucune explication ; maman Polline avait jeté sa gibecière et avait regagné sa maison…

- alors ??? comme ça même vendre au marché tu n’y arrive pas ? c’est vraiment le KO avec toi einh ? disait Loraine en pilant son foutou

je savais que ce que j’avais fait était mal ; pas pour moi mais plutôt pour maman Polline ; elle était sous le choc , elle n’avait vraiment pas mérité ça ; je l’avais rejoint dans sa maison pour m’excuser et je l’avais trouvé entrain de pleurer…

- je suis désolée maman Polline… je n’aurais pas dû… enfin pas à toi… tu es trop gentille avec moi…

elle ne pouvait pas me répondre en ce moment-là ; certainement elle imaginait encore le pire si seulement j’avais gardé ma version de Kidnapping.

plusieurs mois étaient passés ; les mois auxquels je planifiais chaque jour mon évasion ; j’avais déjà 13 ans … il m’arrivais de jouer avec les autres enfants de papa Leo qui avaient mon âge ; à cet age on avait des jeux de notre age auxquels on jouait mais c’était seulement à l’absence de papa Leo car il ne me le permettait jamais… j’étais habituée à ma torture du massage de chaque jour ; enfin pas vraiment habituée mais je n’avais pas le choix ; je devais supporter la douleur et mes petits seins guettaient déjà ; j’avais mes menstruation donc j’étais déjà devenue une femme, et de temps en temps papa Leo me prenait par force pour dormir dans sa chambre… avec sa phrase fétiche « « je veux que tu t’habitue à mon odeur corporelle » »… maman polline quant à elle , m’avait pardonné et avait complètement mise aux oubliettes tout ce qui s’était passé au marché mais seulement elle ne sortait plus avec moi .

il fallait que je supporte tout ce monde… il ne fallait pas qu’il se doute de quelque chose… mais moi je traçais un chemin de retour dans ma tête ; j’avais appris du village, le chemin de la rivière, du marché ; disons que je connaissais déjà bien le village et mes petites économies étaient bien en sécurité …

je me rappelle encore du jour où tout avait basculé… c’était un mardi et je devais me rendre au plus grand marché du village avec tantine Loraine pour quelques couses, alors ça tombait bien car c’était le jour favori pour mettre en place mon projet tellement que je détestais tantine Loraine , je me fichais pas mal de ce qui pouvait lui arriver avec papa Leo en m’évadant…

je n’avais rien pris pour ne pas éveiller les soupçons ; juste mon argent que j’avais longtemps économisé espérant que ça suffise pour le trajet…

papa Leo était sorti bien avant nous ; ce jour-là il était vraiment matinal…

on était sur une moto avec tantine Loraine et comme d’habitude, elle n’arrêtait pas de me taquiner ; au fond de moi je me disais « « supporte la encore un peu car dans quelques heures tu seras libre » »

arrivé au grand marché, je n’avais pas perdu du temps, pendant que tantine Loraine discutait les prix chez le premier marchand chez qui on s’était arrêté, moi je m’étais éclipsé dans la foule et m’étais mise à courir prenant la direction des grands bus de voyage ; et comme j’étais très jeune ; le contrôleur ne voulait pas me laisser entrer, il me fallait un parent ou m’importe qui d’adulte mais seulement je ne pouvais pas voyager seule…

je suppliais le chauffeur d’un bus qui était prêt à partir le seul bus d’ailleurs car c’était le dernier … je suppliais ; j’avais beau menti mais c’était impossible il ne voulait pas me laisser monter dans son bus…

Tous ces brouhahas avaient attiré l’attention des passagers qui devenaient déjà impatients…

« « on va partir ou pas ? » » « « qu’est ce qui nous retient encore ici ? » » « « si la personne n’a pas le billet elle n’a qu’à attendre le prochain bus nous on doit partir » » « « stiuuuups » » « « stiuuuuupssss » »

Et comme j’étais à la base de toutes ces murmures j’avais décidé de crier peut être que quelqu’un allait m’aider ; mais en criant

- aidez-moi, je dois rentrer chez moi, je connais le chemin, un vieux papa veut me tuer ici au village il s’appelle papa Leo et il veut que je devienne sa femme aidez-moi svp je dois rentrer chez mes parents ; ce vieux m’a pris de force aidez-moi oooh

Je vous jure que j’ai vu la sorcellerie africaine en live… dans ce bus papa Leo y était, il devait se rendre en ville… pourquoi faire ? ça je ne pouvais pas savoir… il avait reconnu ma voix , avait quitté son siège et était là devant moi avec des yeux grandement ouverts et pleins de rage…

il était descendu du bus, m’avait attrapé par la main et m’avait jeté dans un taxi et avait demandé au chauffeur de rouler au grand étonnement des passagers et la foule (caravane)

- donc comme ça tu voulais t’enfuir avec ton petit vagin là einh ? tu voulais vraiment jouer à ça avec moi ? j’ai été trop patient et gentil avec toi !! tu vas voir aujourd’hui … je vais te tuer aujourd’hui petite malintentionnée… tu vas connaitre qui est vraiment Leo aujourd’hui…

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