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chapitre 2

- Haiii … Haiiii j’ai maaal arrêtez… mais qu’est-ce que vous me faites ? Lâchez- mooooiiii

Mes cris ne servaient à rien… parmi les trois femmes, l’une d’elles qui était la plus jeune , je dirai qu’elle nageait entre 20 à 22 ans elle s’appelait Loraine ; en voyant la façon dont je grinçais mes dents, elle avait des yeux pleins de larmes…elle m’avait lâché en disant aux autres !

- Faites ça doucement svp, toi Claudia tu as une fille de son âge nooon… notre mari exagère… il veut se mettre à la place de Dieu ? vous pensez vraiment que la poitrine-là qui ressemble à un tableau affichera quelque chose en moins d’une année à cause de vos saletés des produits là ?

- Toi Loraine ; voilà pourquoi depuis que tu es ici tu n’as jamais pu donner un seul enfant à papa Leo ; tu sais à quel âge moi Chaudia suis arrivée ici ? tu penses que c’était facile pour moi ? ma propre fille que tu vois jouer dans la cour là ; a déjà un prétendant ; à 15 ans elle partira de cette maison… qui est épargné ? ne dis pas des choses que tu ne connais pas… stiupps… l’ainée de Rosine risque même déjà

- Claudia pardon ! moi Loraine… hum ! jamais je ne donnerai un seul enfant à ce vieux sorcier fatigué … si ce n’était pas la maladie de mon père, je ne serai pas ici ; je suis une villageoise civilisée moi… j’ai mes astuces ; vous ne connaissez pas ce qu’on appelle contraceptif ? vous allez agrandir la ferme de ce salaud de Leo… comment arrivez-vous à faire des enfants avec quelqu’un qui ronfle même en couchant avec une femme ? il commence mais il finit en s’endormant… maman polline a raison haha haha onong

Rosine la deuxième femme ne parlait pas beaucoup, à l’époque je ne pouvais pas comprendre mais au fil des années j’ai pu comprendre que c’était une femme traumatisée, elle ne racontait pas sa situation ; enfin… pas encore…

Pendant ce court moment de leur discussion j’avais pu me reposer car elles m’avaient lâché… je les écoutais parler de leurs expériences avec papa Leo mais moi je n’avais qu’une seule pensée dans ma tête ; « comment sortir de cette maison, comment n’enfuir » »

J’avais même quoi en ce temps-là ? Déjà que je ne savais même pas m’acheter un pain par ma propre poche, j’étais dépendante, en tout et pour tout, et comment allais-je fuir ? je ne connaissais même pas ce village…

J’avais la haine, la rage, mais comment papa et maman pouvaient me faire ça ? Après leur discussion Rosine m’avait dit de prendre un gobelet de the chaud qu’elle m’avait présenté et de me coucher… chose que je n’avais même pas pu faire tellement que j’avais trop mal à la poitrine…je pleurais, je pleurais ; jusqu’à ce que papa Leo revienne encore avec sa voix imposante en criant

- Donc c’est tout ce que vous avez pu faire aujourd’hui ? à cette allure je vais devoir attendre combien d’année ! einh ??? connaissez-vous son père ? savez-vous à quel point ce type est malhonnête ? ne savez-vous pas qu’il serait capable de venir voler sa fille ici ? qui sera perdant ? einh qui ? qui ? c’est vous qui allez rembourser tout l’argent que j’ai dû dépenser pour que ce type construise sa maison ? travailler moi cet enfant et je la veux prête en moins de deux ans sinon… sinon… sinon…

- Sinon quoi Leo… sinon quoi ? tu vas me dire ? tu prends les gens pour des potiers ou quoi ? c’est elles qui marchent dans te bêtises moi Polline tu ne m’auras pas… ( maman Polline qui ne laissait jamais respirer papa Leo… )

- Polline est-ce que c’est toi qui fais le travail ? t’ai-je adressé la parole ? je t’avais dit de retourner chez tes parents si la vie ici ne te plaisait plus ! est-ce si difficile à comprendre ? pourquoi cherches-tu à me déstabiliser polline einh ?

- Imbécile Leo… stupide que tu es Leo !! tu parles de quels parents même à mon âge ? tu aimes gros mot français einh ? hum ; tu veux seulement traumatiser cette petite ou bien ? tu n’entends pas comment elle crie ? tu penses que les seins-là vont pousser seulement en un seul jour ? ou alors c’est ton cowboy fatigué-là qui est pressé ? tu as 4femmes dans cette cour Leo… quatre femmes dont une te fait à manger tous les jours et les trois autres qui écartent les jambes … que veux-tu au juste ?

- Polline… je ne veux pas avoir cette discussion avec toi ! si ça ne te plait pas alors pends-toi…

J’étais sauvée, maman polline depuis mon arrivée n’était pas d’accord avec papa Leo, elle arrivait toujours à me sortir de l’enfer… Après ces mots papa Leo avait regagné sa chambre, il faisait soir et je ne savais jusque-là, comment ça se passait, ni où j’allais dormir…

Après ce massage, normalement je devais manger une soupe ; Rosine l’avait faite et me l’avait servie, je n’arrivais même à me redresser pour l’avaler ; alors Rosine m’avait aidé, mais malgré cela, je n’avais pas pu avaler ne serait-ce qu’une cuillère…

En ville on avait l(habitude de dormir un peu tard , vous savez … il y avait la télé ; et j’avais mes livres à lire et mes cahiers de leçon à réviser ; donc j’avais tellement des choses bien à faire avant de me coucher… mais chez papa Leo déjà ils avaient un problème d’électricité ; à 17 heures les enfants n’avaient plus de droit de jouer, les plus âgés (des filles) devaient se mettre à côté du feu pour aider maman Polline ; les garçons devaient puiser de l’eau à la source. tout était organisé, et moi j’étais là dans mon coin avec ma poitrine qui me brulait de dedans, je ne savais rien faire ;

Tous les enfants me regardaient avec des grands yeux …

Plusieurs heures étaient passées et il y avait de l’obscurité partout ; papa Leo s’était ramené avec un autre monsieur, certainement son ami et une fois dans la cour il m’avait appelé ; je m’avançais vers lui pleine de colère et pourtant je lisais sur son visage la joie de me voir, il avait un sourire prétentieux, arrogant ; arrivé devant lui, avec tout le respect …

- Oui papa Leo…

En disant cela, son ami avait commenté avec sourire comme si il était lui aussi un pédophile comme papa Leo…

- Mon cher Leo !!! mais tu as frappé fort einh haha haha haha yeeeesssh !! ça ! c’est ce qu’on appelle du bon travail ! waaaaarrrr … c’était quoi la réaction de Felix ? il a pu te libérer le colis aussi facilement ? car connaissant ce type là ; je pense que …

Il n’avait même pas encore fini que papa Leo s’était venté en disant :

- Mon cher… ou tu ne connais pas ou tu fais semblant, ou alors tu ne m’a jamais connu ou tout simplement tu fais exprès… moi Leo, personne ne peut m’arnaquer… son père pensait être plus intelligent que moi mais Dieu est bon … je l’ai devancé…

- Ah c’est ce que je vois… mais elle n’était pas sensée être un peu plus âgée que ça ? je trouve que…

- Mon amiiiiiii… ses maman s’en occupent … j’ai tout mon temps… elle va grandir ici et avec l’aide des autres elle murira très vite ; elle a d’ailleurs eu droit à son premier massage aujourd’hui … donc tout ira bien si elle est forte… bon pour dire vrai, elle a toujours été une femme forte ; à chaque fois j’allais là-bas ; je la trouvais toujours en train de travailler…

- Oooh d’accord… alors ma fille … tu te plais ici ? le village te va ? tes mamans prennent bien soin de toi ? tu as l’air bonne mine einh ?

- Non Monsieur… je ne me plais pas ici … je veux rentrer chez moi… je dois aller…

- Tais-toi !! je t’avais déjà dit que je ne voulais plus entendre cette phrase !!! c’est chez toi ici désormais… et ne me chauffe plus jamais mes oreilles avec (je vais aller à l’école ou je veux rentrer chez moi) je ne veux plus en entendre parler … on est bien d’accord ?

- Papa Leo…

- On est bien d’accord ?

Sans rien dire, j’avais couru me jeter aux pieds de maman Polline en pleurant… celle-ci m’avait laissé longtemps pleurer et juste après, j’avais senti sa main me papoter le dos en disant…

- Calme–toi mon enfant… ma petite fille… cesse de pleurer car, tes larmes ne te serviront à rien … va te coucher avec les autres et demain te sourira… d’accord ?

- Maman Polline… je vais rentrer chez moi… mes petites sœurs me manquent… ma maman me manque beaucoup…je ne sais vraiment pas pourquoi je suis ici… je dois aller à l’école maman polline… chez moi je suis la seule grande fille de la maison ; ma mère doit certainement avoir besoin de moi en ce moment… je pleurais … je pleurais… et pleurais…

Maman Polline m’avait conduite dans la pièce où je devais passer la nuit… et à l’aide de la lampe à pétrole que maman polline avait en main, j’avais pu voir ma chambre, c’était juste une petite natte sur laquelle les femmes de papa Leo avaient superposé des peaux des animaux, une couverture, et quelques vêtements enfilés dans un T-shirt qui devait me servir d’oreiller, c’était sur ça que je devais dormir…

Elle était restée un petit moment avec moi avant de sortir… juste après, j’entendais une voix à coté de moi…

- Apparemment elle t’aime bien einh maman Polline… elle n’est jamais gentille avec personne tu sais ? mais seulement elle ne pourra pas te faire sortir de cet enfer… malheureusement…

- Tantiiiine… j’avais peur de dormir seule ; heureusement que tu es là…

- Ne ferme pas tes deux yeux einh ? ce vieux sorcier pourra débarquer ici à n’importe quel moment … il est imprévisible ce monsieur que tu vois là…

- Et il va faire quoi tantiiiine ?

- Tu es une femme mariée nooon Sarah haha haha haha tu dois dormir avec ton mari … haha haha le gros balou…

- Non tantiiine… je ne suis pas mariée…

- il veut te bouffer ma petite… tu fais toujours un effort de ne pas connaitre la raison de ta présence ici ou bien ? tu es ma rivale sache-le petite… officiellement on partage le même mari et bientôt on partagera le même corps haha haha

- Non tantiiiine…

- Non tantine quoi ? tes parents ne t’ont pas dit que tu allais en mariage ? Leo est ton mari comme il l’est pour nous autres… ce gros ventre montera sur ton petit corps très bientôt haha haha pauvre petite …

- Tantiiiine moi je ne fais pas les choses des impolis, les choses que les grands font…

- Ah bon einh ? les choses impolies einh ? donc nous nous sommes des impolies einh ? haha haha c’est clair que tu es une enfant haha haha keooo les choses des impolis… tu vas vite grandir toi aussi… tu grandiras même plus vite que ton âge haha haha dors ma rivale…

En me disant ça ; j’avais eu tellement peur… j’étais sortie de cette pièce ; je courais en criant ;

- maman Polline maman Polline… où es-tu ? maman Polline stp sauve-moi…

J’entendais quelques bruits de porte et les lampes qui s’allumaient dans chaque fenêtre… maman Polline avait ouvert sa porte et était sortie avec son pagne attaché à la poitrine… ensuite c’était Claudia et quelques enfants aussi ceux-là qui ne dormaient certainement pas encore et qui m’avaient entendu crier dans la cour…

- Mon enfant il y a quoi ? pourquoi n’es-tu pas là où je t’ai laissé ? ici c’est le village… tu ne peux pas crier m’importe comment à cause des esprits de la nuit…

- C’est… c’est… c’est tantine… elle dit que papa Leo va me faire les choses des grands ; les choses des impolies…

- Quoi ? et tu es avec quelle tantine dans ta chambre ?

- Avec… avec…

- Elle est avec Loraine … qui d’autre peut dire des choses comme ça si ce n’est elle ? Tu la connais nooon? c’est la nuit de Rosine aujourd’hui avec Leo ; donc…

Maman Polline m’avait pris la main et me reconduisait dans la chambre tout en criant sur les enfants qui guettaient

- Loraine c’est quoi ton problème ? Pourquoi tu es comme ça ? comment peux-tu dire des grossièretés à cette petite sachant qu’elle n’est même pas encore habituée?

- Maman … pourquoi vous vous voiler la face ? tu sais bien que ce que j’ai dit à cette petite n’est qu’une stricte vérité ? jusqu’à quand comptez-vous lui cacher la vérité ?

- Je ne te le permets pas !! et de quelle manière tu le lui as parlé ??? Loraine si tu ne veux pas avoir des problèmes dans cette maison, apprends à la fermer…

- Ok maman Polline… si c’est comme ça que vous voulez faire les choses alors…

Maman Polline m’avait réinstallé sur ma natte dure, et je m’étais allongé en me pliant…

La nuit était longue et je n’arrivais même pas à fermer l’œil ; le son de l’extérieur des animaux nocturnes m’empêchait carrément de dormir, ma peur était tellement grande que j’entendais même des pas « « mamaaaaan… mamaaaan… » » Disais-je en coulant mes larmes, j’avais juste tiré l’étoffe qui devait me servir de drap et m’étais couverte jusqu’à la tête pour enfin voyager dans mes pensées, à peine fermé les yeux, le cop avait déjà chanté c’était le jour…

Déjà à 5heures du matin ; Loraine me secouait ; apparemment tout le monde était debout même les enfants ;

- Eeeh Sarah… tu dois te réveiller… nous sommes déjà au troisième tour de la rivière … c’est comme ça que tu faisais chez toi ? prends ce seau et viens avec moi

Ma tête pesait une tonne car je n’avais pas pu fermer l’œil de toute la nuit ; je m’étais quand même levé et m’étais jeté directement sur mon petit sac pour prendre ma brosse à dent.

- Ekieeeuu… donc tu as brosse à dent et dentifrice einh ? donnes- en moi un peu ça fait longtemps… ce vieux salop n’en achète jamais pour tout le monde si ce n’est pour celle qui va passer la nuit avec lui… un vieux qui t’embrasse en te léchant la bouche comme s’il léchait une assiette

- Tantine… stp… ne recommences pas…

- Ok ok… désolé… j’avais complètement oublié que je n’avais pas le droit de te parler des choses des impolis comme toi-même tu dis… allons … couvre toi bien il fait froid dehors…

Plusieurs jours étaient passés et la vie était la même, massage, travaux durs… l’heure du réveille n’était pas vraiment un problème pour moi ; j’en avais l’habitude ; chez moi je me lançais très tôt pour aider ma mère avant d’aller à l’école…

------Dans la peau de mes parents -----

- Je n’arrive toujours pas à réaliser que ma fille soit partie avec ce vieux Leo ; un Monsieur qui a ton âge Félix ou même plus… je sais que ma fille doit me détester

- aaah Erica!!!

Le dernier regard de ma fille me hantait encore… je la voyais encore pleurer en partant et mon cœur était déchiqueté… et dès l’instant où ma fille avait quitté cette maison, la vie n’était plus comme avant ; j’étais sur le point de divorcer d’avec mon mari, mais ma seule peur était mes autres petites filles… avec qui allais-je les laisser ? avec leur père fou d’argent ? non !!! ça… je ne pouvais jamais oser.

Ce matin-là alors que je pleurais dans mon coin comme d’habitude, Felix mon mari avait s'était levé du lit …

- Erica … jusqu’à quand vas-tu continuer à faire cette tête ? ce n’est pas quand même la fin du monde Erica… tu fais comme si c’était notre première fille qu’on avait marié … tu devais déjà t’y habituer nooon ?

- --- ---

- Je te parle Erica c’est quoi ces manières ? tu veux aller la rejoindre ? tu veux te suicider ? c’est ce que tu veux ? alors vas-y… vas-y…

- Tu parles même de quoi ? tu as tué ma fille sans le savoir… ma petite fille innocente… je ne sais même pas si elle va bien là-bas ; ton salopard de Leo ne prend plus son téléphone depuis qu’il m’a enlevé ma petite fille… et toi tu veux que je saute de joie ?

- Elle va bien ! Leo ne fera jamais rien qui puisse …

- Qui puisse quoi ? fou ! comment peux-tu être aussi calme Felix ! je te préviens que si quelque chose arrive à ma fille… Félix huuuum … Felix hummmm ! seul Dieu sait ce que je te ferai…

J’étais sortie pour aller voir ma’a Faby… et comme si elle m’attendais …

- Ma cooo… quelles sont les nouvelles ? Leo a fait signe ?

- Laisse ma sœur … rien rien et rien… il a déjà eu sa chair fraiche comment va-t-il encore s’intéresser à nous ? Faby, je dois aller voir ma fille … même si ça va me couter une séparation avec Felix ; je ne peux pas laisser ma fille entre les mains de ce salop…

- Ecoute moi Erica… ça ne va servir à rien… comment comptes-tu rembourser tout ce que Leo vous a payé pour la dote ? il y a peut-être une autre solution…

- M’a Faby dis-moi stp… je sais que toi tu as toujours des bon conseils…

- Ok… mais … je ne sais pas comment tu vas prendre tout ça einh ?

- Dis-moi Faby et ça sera à moi d’en décider…

- Alors écoute-moi… Leo est accro au sexe ; il adore les femmes… pourquoi ne lui donnerais-tu pas une bonne séance de sexe ; en échange avec…

- Faaaaaaaby !! tu dis quoi ? que je couche avec ce Leo ? et tu penses que…

- Erica Tu cris pourquoi ? n’est-ce pas que tu veux récupérer ta fille ? n’est-ce pas que tu viens de me dire que tu feras tout pour libérer ta fille même si ça doit te couter une séparation avec Felix ?

- Mais quand même Faby… pas jusqu’à… d’ailleurs j’ai quelle force moi de…

- Ekie… toi et moi avons quelle différence d’âge ? et pourtant moi je vis… ma vie sexuelle est encore très active… je t’avais même dit que j’avais un amant nooon ? écoute… je vais te donner des astuces qui te rendront comme une petite fille de 12ans juste pour plaire à Leo ; tu lui donnes les fesses de temps en temps et lui il te remet ta fille… j’espère même qu’il n’est pas déjà monté sur elle avec son gros ventre einh… haha haha

- Heeeeeh !! que Dieu m’en garde… jamais ! de quoi tu parles Faby ? es-tu devenue folle ? monter sur qui ? ma petite fille ?

- Heeehaaa mais c’est sa femme nooon tu as déjà oublié ?

Pendant que je parlais avec Faby, j’entendais Felix m’appeler devant le portail et j’étais obligée de partir tout en promettant à Faby d’y réfléchir…

------ de l’autre côté chez moi ------

Toutes les journées n’étaient pas facile pour moi dans ma nouvelle famille, j’avais encore une bonne séance de massage ; c’était une vraie torture ; pendant ma séance de massage, papa Léo était venu voir et disait à ses femmes

- Vous faite du bon travail et je suis fière de vous ; à cette allure, Dans une semaine elle passera déjà nuit avec moi ; elle doit déjà s’habituer à mon odeur corporelle ; elle va juste dormir à côté de moi mais je ne la toucherai pas… » »

Aussitôt dit aussitôt fait, deux semaines plus tard une nuit pendant que j’essayais de dormir, papa Leo avait ouvert la porte de notre chambre je le voyais s’avancer vers ma natte… « « Mais que-ce qu’il fait ici ? » » me disais-je en me couvrant jusqu’à la tête… j’avais senti sa main me tapoter les pieds ; j’avais soulevé ma tête et comme un voleur papa Leo m’avait dit en chuchotant…

- Lève-toi et viens… cette nuit tu vas dormir avec moi… debout debout…

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