Chapitre 4: Retrouver mon père.

j'ai couru dans cette rue inconnu, qui demandé de l'aide ? tout le monde me regardait bizarrement et cela me mettait mal à l'aise. j'ai jamais quitté notre maison encore moins connaître le quartier où j'habitais. j'étais presque fatiguée quand j'ai vu la femme de l'hôpital, j'ai soufflé un coup avant d'aller vers elle.

- Faveur, tu vas bien. oh mon Dieu ça fait du bien de te revoir enfin.

- oui je vais bien, tu peu me conduire à l'hôpital s'il te plait.

- oh désolé, j'ai été viré par le docteur

- mais pourquoi

- c'est parceque je t'avais dit la vérité sur tes parents. c'est jamais bien de dire quelque chose d'aussi horrible.

- c'était mon droit, j'avais besoin d'attendre ce qui était entrain de se passer

- je sais ce pourquoi j'avais décidé de te dire.

- je suis désolé que tu as perdu ton travail par ma faute, si tu veux je peux te trouver un autre travail

- haha hahaha toi me trouver un autre travail ? comment.

- accompagne moi juste à l'hôpital et tu veras.

- je doit vraiment être désespèrer pour avoir accepté ce que tu viens de me proposer dit-elle en montant dans le taxi avec moi.

nous sommes allés voir mon père a l'hôpital, le docteur n'était pas la alors j'ai dû attendre. d'après ce qu'elle m'a dit c'est Amélie son prénom. quand le docteur Silvain est arrivé il n'a croyais pas ses yeux

- Faveur, toi ici? et ta nouvelle famille ? comment ils ont pu te laisser toute seule comme ça.

- j'ai qu'une seule famille, et aussi cette hôpital appartient à mon père. vous êtes le docteur en chef mais c'est moi qui est son enfant. je vous demande de reprendre cette femme

- mais tu n'as que quinze ans faveur, comment tu peu dire une chose pareille. c'est cette femme qui t'a obligé à dire ça ?

- personne ne m'oblige à rien, je veux qu'elle commence à travailler dès maintenant. et aussi je veux voir mon tout de suite

il n'a rien dit, il m'a fait signe de le suivre. il était couché dans un lit énorme avec des machines partout sur le corps. c'est pas possible, vraiment pas possible.

- nous avons fait le mieux qu'on peut mais monsieur semble ne pas vouloir venir à lui.

- laissez moi seul avec lui s'il vous plait

il est sortie me laissant avec mon père, j'ai parlé avec lui. je lui ai raconté ce qui m'était arrivé, j'ai eu un petit sourire en pensant à cette journée. le temps était venu pour moi de rentrer à la maison et le laisser se reposer. la maison était comme nous l'avons laisser, j'ai débarrasser la table et j'ai fait le ménage dans toute la maison. cette maison, j'ai perdu beaucoup trop de choses dans cette maison, a son retour je lui dirais de le vendre. c'est dans ma baignoire que j'ai passé le reste de la soirée, cette femme m'a rappelé ma petite maman, douce et gentille. comment elle pouvait accepté vivre avec un homme comme son mari ? et aussi une belle sœur aussi menteuse enfin un fils qui peut même pas la défendre. en tout cas c'est pas mon problème. j'ai quitté la baignoire que le matin, j'ai fait un bon petit déjeuner que j'ai mangé par terre en pleurant. c'était beaucoup trop pour moi mais mon père a plus besoin de moi. j'ai pris quelques livres et mon sac directement à l'hôpital.

- bonjour papa, j'espère que tu vas bien moi ça va. j'ai pleuré ce matin mais ça va je tien le coup, régarde dis-je en sortant mon livre de mon sac

je lu une petite histoire, c'était mon histoire préféré. j'aimais trop cette histoire parceque ma sœur me l'avais offerte pour me dix ans. aujourd'hui c'est peut-être le moment de tourner la page et aller de l'avant, mais comment faire ?.