Résumé
Prologue Quand la douleur, la culpabilité, l'angoisse et la manque de confiance nous consume. c'est le cas de faveur qui perd sa sœur aînée dans des conditions pas vraiment extraordinaire, les choses c'est complique lorsqu'elle perd encore sa mère. comment s'en sortir quand la douleur est notre seul ami
chapitre 1 : le jour de son anniversaire.
cela faisait maintenant cinq ans que ma grande sœur a été retrouvé morte dans sa chambre, pourquoi ? pour un homme. pour un homme qui l'aimait pas, pour un homme que tout le monde l'avais interdit d'épouser. pour un homme que moi j'ai refusé, donné des conseils, suplier d'épouser mais elle m'a pas écouté. aujourd'hui c'est le jour de son anniversaire, et chaque année et chaque date de cette année ? cette maison perdre sa lumière, cette maison perd le goût de vivre et sa chaleur. ma sœur était une lumière qui éclairait cette maison et nous tous d'ailleurs. ma mère n'est plus la même personne qu'elle était il y a cinq ans, et mon père ? lui, il ne parle presque a personne. mon frère lui? bah il est devenu l'ombre de lui-même. il se sent tellement coupable qu'il ne vie plus, sa vie tout entière se résume au boulot et au bar. moi? j'ai plus rien, j'ai plus personne avec qui discuté, personne avec qui rire ou m'amuser. elle était là pour chacun de nous dans cette maison
- je finis à faire a mangé et tout est sur la table dis-je en regardant ma mère qui avait les yeux fixés sur la photo de ma sœur
- soupir, tu devrais mangé quelque chose maman
- et toi ? tu as mangé mon bébé ?
comment répondre ? comment lui dire que je ne peux manger sans ma sœur, je peux pas mangé pendant que ma grande sœur est sous pieds sous terre ?
- non maman, je ne pas faim
- moi non plus je ne pas faim ma fille essaies de convaincre ton père il n'a pas mangé il y a deux jours
je suis sortie de cette chambre sans plus rien ajouter. papa ? il m'écoute jamais encore moins aujourd'hui. ma sœur à été une sorte de bénédictions pour mes parents, marié pendant 10 ans ? ils n'ont jamais eu d'enfant, alors que le monde se moquait d'eux ? ma sœur à décidé de pointé son nez. une délivrance qui a entraîné un petit garçon cinq ans plus tard et une fille que je suis cinq ans plus tard aussi. la perdre à été un grand choc pour mes parents et pour nous aussi. son bureau est devenu son endroit favoris, il passe plus de temps ici que dans sa chambre où dans sa propre maison.
- bonjour papa, ( silence) le repas est servie
c'est toujours comme ça, pas un mot de sa part. mon frère lui? cela fait plus d'une semaine qu'il ne pas rentrer à la maison encore moins signaler l'endroit où il se trouve. je me laisse tomber sur mon lit en pleurant
- tu n'avais pas le droit de nous faire ça grande sœur sniff sniff, tu n'avais pas le droit
flash back
- arrreeeete dis-je en riant aux éclats,
- ah maintenant tu fais la maline ? c'est pas toi qui faisait la grande bouche il y une minute ?
- maiiiii je suis desooooole, maman papa
je suis mort de rire, miracle savais me rendre folle
Miracle était ma sœur
Elle s'appelait Miracle
- aujourd'hui je ne veux pas me mêler de vos histoires dit ma mère en partant
- et pareille pour moi aussi a dit mon père avant de disparaitre
- vous êtes pas coooool revenez ahhhhh ahah ahah
- qui est la meilleure maintenant
- moi ah ahah ahah je...je c'est toiiii
elle m'avait laissé, oups j'ai soufflé tellement j'avais ru. je ne pouvais pas la laisser gagner alors je me suis mis à courir derrière elle
- viens si tu es forte, je veux te frappé aujourd'hui.
- cache moi, cache moi disait-elle a Michel
- qu'est-ce qui se passe ? sortez de ma chambre
- hein nous avons dit tout le deux
miracle m'à regardé et c'était parti pour lui,
- maiiiiis bande de traître, laissssss moi tranquille ahhhhh ahah ahah
c'était la grande joie, on est restée dans sa chambre jusqu'à ce que les parents viennent nous appeler pour le dîner.
fin du flash-back
- comme tu me manque ma sœur, comme j'aimerais te prendre dans mes bras ? comme j'aimerais entendre ta douce voix. les enquêtes ont été effectués mais la réponse à toujours été la même
suicidé
elle s'est suicidé
elle s'est suicidé
mon père avait engagé des meilleurs avocats mais personne n'a jamais prouvé le contraire. je ne sais pas pourquoi ils disaient ça ? mais nous? on savait très bien qu'elle a été tués et moi? je le prouverait. je prouverait que ma grande meritait mieux que ce que cet homme lui avait donné, ma sœur à été tué par cet homme. un jour ? je le prouverait. comme chaque année j'achète un gâteau d'anniversaire pour elle, allume les bougies et souffle en son honneur
- joyeux anniversaire ma petite princesse j'attends mon père dire devant la porte de ma chambre
je reste les yeux fermés, cette douleurs est horrible pour moi. je ne supporte plus cette angoisse et son manque. je me laisse tomber par terre en suppliant de revenir mais elle m'a jamais répondu. ma grande sœur ne me parle plus, elle viens plus quand je l'appelle alors qu'elle m'avait promis de ne pas me quitter.
- viens mon amour, tu doit avoir faim ? n'est ce pas ?
- et toi papa ?
- viens on va manger chérie me dit-il en souriant
vous ne savez pas comment je me sent maintenant, mon père venait de me parler ? mon père venait de me sourire après cinq ans de silence, je me lève et avance en frottant mes yeux. Miracle à toujours été une fille miraculeuse voilà aujourd'hui le jour de son anniversaire papa décide enfin de nous parlé
- ouvre la bouche mon amour, tu doit manger pour grandir
je ne sais pas comment me tenir. je devrais être heureuse qu'il parle enfin mais j'avais encore cette boule en moi.
- je te demande pardon ma chérie, je pense que nous avons été injuste avec toi pendant toute ses années
- tu n'as pas besoin de me dire ça papa, je me plait pas au contraire je suis contente que tu me parle aujourd'hui
- il me caresse les joue, je crois que Miracle à encore fait quelque chose pour nous aider. ( il soupir) tu n'as que 15 ans mais tu ne méritait pas ça
je me suis rappelé de ce que ma mère m'avait dit ( ton père aussi n'a rien mangé depuis deux jours)
- si tu veux que je te pardonne ? tu devrais aussi manger quelque chose papa
- bien-sûr que je veux manger mon petit cœur, attend je reviens il faut que j'appelle ta mère
- d'accord papa
je suis restée là le sourire aux lèvres, ma grande sœur m'a répondu. je savais très bien que le comportement de papa était son œuvre. comme j'étais fière d'elle ? même au ciel elle me protégerai toujours
- Merci beaucoup mimi, je t'aime très fort
mes parents sont descendus main dans la main, j'avais le sourire aux lèvres de le voir comme ça
- hum j'espère que cette nourriture est bon comme tu me l'a dit chéri, dit ma mère a mon père
- c'est ma petite princesse qui l'as fait obligé qu'elle soit appétissant
- merci papa
- hum comme vous faites la grande bouche la ? je veux d'abord goûté ( elle met un peu dans sa bouche) hum pas mal
- quoi seulement ça ? tu es méchante là intervient mon père
- je plaisante, c'est trop bon mon bébé et merci beaucoup
- je t'en prie maman
- maintenant mangeons avant que je meurs de faim a dit mon père
mais avant qu'on commence le téléphone fixe a sonné,
- qui ça peut-être ?
- décroche a dit mon père
ma mère s'est levé et à pris le téléphone dans sa main, elle avait le sourire aux lèvres
- allô a t'elle répondu
je ne pas compris ce qui se passé mais ma mère était allongé par terre, je ne comprenais pas. mon père s'est levé comme si sa vie en dépendait il s'est accroupi vers ma mère qui ne bougeait pas
- qu'est-ce qui se passe papa j'ai demandé la peur au ventre
mon père essayait de faire un massage cardiaque, il avait les larme aux yeux et moi aussi. tout à coup j'ai entendu la voix du téléphone, il avait toujours quelque qui disait allô, alors j'ai pris le téléphone pour répondre
si seulement j'avais su
si seulement j'avais su que mon calvaire allait commencer ?
- allô j'ai répondu
- nous sommes désolés pour vous madame kayiba, vous devriez venir pour signer les papiers pour escorté votre fils dans la morgue