Chapitre 3: Nouveau départ ? avec qui?
Quand je me suis réveillée, j'étais dans un lit inconnu. directement le souvenir de ce qui se passé la nuit dernière m'a fait sursauter
mon père
je devrais aller voir mon père
je me suis lève mais je me sentais attaché,
quoi?
pourquoi je suis attaché ? non non il n'avait pas le droit de me faire ça. mon père avait besoin de moi
je devais l'aidé
- VENEZ ME LIBÉRÉ, JE NE VEUX PLUS RESTÉ DANS CETTE ENDROIT. QUI EST LÀ ? DÉTACHÉ MOI IMMÉDIATEMENT SINON VOUS AURAIT À FAIRE A MOI,JE VOUS PRÉVIENS JE VEUX PARTIR DE CETTE ENDROIT BANDE D'IMBÉCILES. JE VOUS PROMETS QUE JE VOUS TUERAIT TOUS SI VOUS CONTINUEZ DE ME GARDÉ ICI
personne ne venue me voir, personne ne venue me libéré. non rester ici était trop dangereux pour moi. mon père avait besoin de moi
j'étais là seul famille qui lui restait, j'avais promis de toujours m'occuper de ma famille quoi qu'il arrive
c'est pas maintenant que je devais abandonné
non
- il faut que je sorte d'ici me suis je dit a moi-même
je me suis débattu avec toute mes forces, je devais me libéré
personne n'allait m'aider
personne n'a jamais aidé ma famille
on à toujours été seule
et aujourd'hui ? je devais faire ce que j'ai appris
toujours gardé confiance en soi quoi qu'il arrive
j'avais confiance en moi
j'ai soufflé quand j'ai vu la porte s'ouvrir, je fermé les yeux pour faire semblant de dormir,il me faudrait un plan et très vite.
- j'avais l'impression qu'elle criait il y a un moment
- regarde toi même, elle dort maintenant
- soupir, j'aimerais tellement l'aidé. la soulager un peu de ses douleurs même pour quelques secondes
- tu ne peux pas, le moins qu'on puisse faire c'est prié pour elle. demander à Dieu de l'aidé
j'avais automatiquement ouvert les yeux,
ils ont eu peur de moi,vu leur réaction
- j'ai faim
j'avais dit
la femme à ouvert la bouche mais rien n'est sorti.
- qu'est ce que tu fais encore la ? vas lui chercher quelques choses a mangé non
c'était la femme de l'église
mais l'homme avait l'air d'être quelqu'un de mauvais. son air mystérieux m'à fait réfléchir un moment
mon plan devais réussir
elle est sortie presque en courant, maintenant je devais sortir d'ici coûte que coûte
mais comment ?
j'ai eu ma réponse quand elle m'a apporté de quoi manger
- je ne mange pas avec les mains je dit en la regardant droit dans les yeux
- oh désolé je veux aller te chercher les couverts
son mari n'était plus dans la pièce,
j'avais remarqué leurs alliance, ils étaient marié
- bon appétit, appel moi si tu as besoin de quelque chose d'autre
vas en enfer
- les mains ? j'ai montré
- ah désolé j'ai oublié de te détaché ma fille
j'avais qu'une seule mère
et c'était Murielle kayiba
ma mère
j'avais en possession
un couteau de table
la seul chose qui m'intéressait, je l'avais maintenant
je n'ai rien goûté, après qu'elle ait sortie moi aussi je suis sortie de la chambre. c'est pas l'église. il avait un grand couloir de l'endroit où j'étais à la porte d'entrée
- bonjour
je sursauté
c'était un garçon, il devrait avoir mon âge il avait les cheveux noir et le visage très bien désigné. il était de grand taille mais trop maigre a mon gout.
je ne savais plus quoi dire et comment faire
je devais sortir d'ici vivante ou morte mais ...
- je suis Espoir, je suis content de te voir enfin réveiller
Espoir ?
pourquoi donné un nom pareil à son fils ?
a un fils aussi beau ? mais bon c'est pas mon problème
- il sourit, je comprends personne n'aime mon prénom il disent que je suis trop beau pour se faire appeler comme ça
qui l'avait demander de s'expliquer ? peu importe
je m'en fous
- et toi ? j'avoue que même maintenant mes parents ne connais pas encore comment tu t'appelles ah oui Faveur c'est ça
- je veux aller au toilette dis-je en baissant la tête
l'entendre m'a fatiguée, j'aime pas trop les garçons qui parle trop. il est beau mais c'est un gamin.
- ah pardon viens je veux t'aider
il marchait devant, son démarche était calculé, il avait un charisme fou mais bof. et il sentait très bon
- c'est ici, appel moi si tu as besoin de quelque chose je suis là pour toi hein dit-il avec un ton d'humour
et il est parti,
il y a toujours une petite fenêtre dans une salle de bain
et j'avais raison
je suis monté et j'ai ouvert la petite fenêtre, je n'étais pas grosse encore moins quelqu'un de grande taille.
j'étais dehors
je me suis mis à courir sans jamais regardé derrière moi. j'étais libre. je ne connaissais pas l'endroit où j'étais, tout me semblait différents en plus j'avais trop froid, sûrement la saison sèche qui commence
Bien sur je n'ai jamais sorti de chez moi depuis que ma sœur était morte
mon père ne voulais pas
j'étais trop jeune pour sortir
- non je ne veux pas qu'elle aussi rencontre de garçon
disait il a chaque fois
et je suis habitué à rester chez moi
enfin
- Faveur ? qu'est ce que tu fais ici?
je ne la connaissait pas et je me demande pourquoi elle me posais cette question.
j'étais à Kinshasa non?
j'avais baissé la tête, j'aime pas que quelqu'un me connaissent encore moins parlé
la sociabilité n'était pas mon truc, j'aimais resté dans mon petit coin
maintenant je me sentais obligé de lui répondre
- elle me prend dans ses bras, je suis désolé pour ta famille chérie
je suis habitué à entendre ça mais une chose me tenait à cœur, pourquoi elle était surprise de me voir ici?
- nous sommes où ? j'avais réussi à dire
- quoi ? tu ne sais pas où nous sommes ?
- oui et j'aimerais savoir
- nous sommes a Kinshasa ma chérie, mais un peu loin de ton quartier habituelle
ah d'accord et qu'est-ce que je fais ici? loin de mon quartier et mon père ?
- tu es qui?
- quoi? tu me connais pas ? je suis la petite sœur de Paul
- qui est Paul ?
- ouvrant grandement ses yeux, non mais tu plaisantes ? tu plaisantes j'espère ?
- croisant mes bras autour de ma poitrine,
- mon Dieu, a ce que je me souviens tu n'as jamais perdu la mémoire ?
jusque là, je ne comprenais rien.
- comment je suis arrivé ici? et où est mon père ? et c'est qui cette Paul ? d'où je te connais ?
- elle s'assoit par terre, mais tu avais donné ton accord ? tu avais accepté de nous suivre ?
- moi? jamais, je veux tout savoir. comment je suis arrivé ici? et pourquoi tu me parle d'accord ?
- ca fait une semaine que nous sommes ici et hier tu as encore fait une crises ( elle se lève) non je ne peu pas supporté ça moi-même
Une semaine ? donc une semaine que je suis ici et mon père, comment il va ? hors de question que je reste encore dans cette endroit.
- il est où mon père, répond moi. il est où mon père dis-je en pointant le petit couteau sur ta tête
- paniqué, qu'est ce que tu fais. besse ton couteau Faveur
- dit moi il est où mon père ? vous l'avez caché où
elle voulait pas me répondre alors je l'ai blessés. au même moment la femme est arrivé avec son mari.
- oh mon Dieu, qu'est-ce que tu as fait a ma sœur m'a gronder l'homme
- sniff sniff cette fille a perdu la tête mon frère, je voulais juste l'aidé mais régarde ce qu'elle m'a fait.
je ne disait rien et je ne voulais rien dire. je ne regrettait même pas de l'avoir blessés. ce qui m'importait était de savoir où s'est trouvait mon père et rien de plus.
- pourquoi tu as fait ça, nous t'avons offert un toit et c'est comme ça que tu nous remercie? en blessant ma sœur
- chéri calme toi s'il te plait s'est n'ai qu'une enfants dit sa femme
- je ne pas besoin de vous je peu me débrouiller tout seul dis-je en le regardant, dite moi juste où se trouve mon père et vous me verrez plus jamais
- en plus elle est mal éduqué cette sorcière
je l'ai poignardé et je me suis enfuie, qu'est-ce qu'il avait à me traité d'impolie je savais déjà que j'étais une sorcière sinon Dieu m'aurait tué aussi comme il l'a fait avec ma famille. alors que je ne lui ai rien fait. j'avais pas besoin de son aide tous ce que je voulais été mon père et rien d'autre.
- attand s'il te plait j'ai entendu la femme m'appeler en courant
elle voulait pas me laisser tranquille celle là,
- arrivé à mon niveau, je suis désolé pour le comportement de mon mari. viens rentrons à la maison il fait très froid et tu vas tombé malade
- je veux rentrer chez moi, et voir mon père
- pas de problème ma fille je t'accompagnerai voir ton père mais tu nous as été confié par le prêtre, nous sommes ta seul famille ici
- vous n'êtes pas ma famille et vous le serai jamais. j'ai une mère et un père alors laissez moi tranquille dis-je en partant
non mais pourquoi, pour qui elle s'est prenait, j'avais pas besoin d'elle.