Chapitre 6 : Elle attire la chance en amour
Vivian et Dominique parlent du travail pendant trois jours, et sa manifestation excellente impressionne celui-ci.
— Mlle Loisy, vous êtes digne d’être la désigner principale de M. Garnier, très jeune et prometteuse.
Dominique a une apparence remarquable, aussi bien que sa capacité de travail.
— On se verra à la Cité Y alors, continue-t-il.
— M. Henry, vous êtes prié d’honorer de votre présence.
Vivian lui serre courtoisement la main.
— Mlle Loisy, vous n’êtes pas bien détendue ces trois derniers jours à la Cité K, n’est-ce pas ? Et ce soir, je vais assister à un cocktail et j’ai besoin d’une compagnie féminine. Est-ce que vous pouvez m’accompagner et me donner une chance de remplir mes devoirs d’hôte ?
Dominique rit sincèrement.
Vivian hésite seulement pendant une seconde, et elle hoche la tête en signe d’accord.
— Avec plaisir, M. Henry.
Elle n’aime pas trop la foule, mais si elle refuse son invitation juste après qu’ils sont arrivés à un accord de coopération, elle risquera d’être soupçonnée d’être ingrate, donc elle ne peut que dire oui.
— Vous êtes très gentille, c’est mon honneur.
Dominique a une belle allure, il jette un œil à sa montre de luxe au poignet.
— Il nous reste trois heures avant le cocktail, ça vous dirait que nous allons sélectionner une robe de cérémonie, puis faire du maquillage ?
— Eh bien, merci beaucoup.
Elle sourit doucement, ses beaux sourcils semblent très agréables.
Plus tard, comme prévu, ils arrivent au lieu du cocktail avant sept heures, l’Hôtel Intercontinental du Jardin de la Cité K.
Le Groupe Dinosun qui jouit d’une grande réputation. En tant que vice-président, Dominique est entouré par tout le monde pour la salutation dès son arrivée, et aussi sa compagne, Vivian, rend les célébrités de la Cité K un peu curieux.
Vivian n’aime pas du tout ce genre de cocktail pour s’attacher au pouvoir, elle reste silencieuse avec un doux sourire près de Dominique, comme une potiche.
Après que Dominique a salué tout le monde, il emmène Vivian au buffet, et prend un plat rond et blanc en porcelaine à bordure dorée.
— Vous sentez-vous dépaysée ?
Après que Vivian s’est éloignée des étrangers, elle est un peu détendue.
— Ça va.
— Avez-vous faim ? Vous pouvez manger quelques choses.
Dominique prend un petit morceau de gâteau à la mousse avec une cerise au sommet, il dit avec délicatesse :
— Vous l’aimez ?
— M. Henry, je le ferai moi-même, merci.
Vivian est un peu « flattée », puis elle compte prendre le plat.
— Mlle Loisy, puis-je vous appeler Vivian et vous pouvez m’appeler Dominique.
Il rit avec les yeux brillants.
Vivian répond d’un signe de tête, elle ne peut pas le refuser.
— Alors tu me donnes une chance de servir une belle femme.
Dominique prend aussi les autres fruits, puis il donne le plat à Vivian.
— Merci.
Vivian prend le plat et voit que Dominique prend un verre de vin et qu’il lui donne un verre de champagne en passant.
Ils bavardent pendant un moment, et à ce moment-là, il y a une effervescence à la porte, c’est parce que Théophile arrive.
Il porte encore une chemise blanche et classique, un costume noir, ainsi qu’une cravate rouge vineux qui se correspond à la couleur de la pochette en soie, tout ça fait ressortir son beau visage.
Théophile lève légèrement les yeux profonds, pointus et calmes.
Vivian est à quelques mètres de Théophile, mais elle épreuve un sentiment d’oppression. Elle fronce un peu les sourcils et veut juste s’éloigner de lui.
Mais elle entend la voix nonchalante de Dominique :
— Il est président du Groupe Dinosun, M. Laval, je te le présenterai officiellement.
— Eh... non merci.
Vivian essaie de baisser les cils épais naturellement pour cacher la panique au cœur.
— Tu as peur de lui ?
Dominique fronce les sourcils.
Vivian rit en secouant la tête, et prend une bouchée de gâteau, puis elle dit lentement :
— Je l’ai rencontré ce matin.
— D’accord... en effet, il est un tigre de papier, il garde un visage impassible toute la journée pour d’être cool. Il est narcissique, mais il ne sait pas que mes admirateurs sont beaucoup plus que les siens.
Dominique se vante de lui-même.
Au cours de ses conversations, Théophile vient lentement vers eux en tenant un verre à pied, avec une allure élégante.
Vivian le regarde s’approcher et les pupilles se dilatent légèrement, elle y résiste intérieurement.
— Mlle Loisy, on se revoit.
Le ton de Théophile est si agréable comme harmonie du violoncelle à l’oreille, magnétique et stable.
— Comment allez-vous ? M. Laval, dit Vivian.
Vous ? Quel âge pense-t-elle qu’il a ?
Même si elle baisse un peu les yeux, mais elle sent encore le regard investigateur de Théophile, et ça la met mal à l’aise.
— Excusez-moi, messieurs, je vous laisse bavarder, j’ai besoin de prendre l’air, dit Vivian.
A cause de l’arrivée de Théophile, l’atmosphère est un peu déprimante. Au moment où Vivian termine sa phrase, son téléphone portable sonne, c’est absolument l’appel de sa fille Dianthe Loisy à cette heure-là.
C’est un bon moment où le téléphone sonne, Vivian est soulagée et elle dit :
— Pardon, je répondrai au téléphone.
— Attends, Vivian.
Dominique l’arrête.
— Il y a un peu de mousse sur le coin de ta bouche.
Dominique prend une serviette pour l’essuyer instinctivement, mais Vivian prend la serviette et dit :
— Merci, Dominique, je le ferai moi-même.
Dominique lâche sa main. Vivian essuie la mousse rapidement et fait un signe de tête en riant, puis elle part.
Ce soir, Vivian porte une robe de couleur chair, parsemée de fils d’or et en mousseline. Sous l’effet de la lumière douce, il semble qu’elle soit une fée.
Et Dominique porte un costume blanc qui montre son élégance et sa confiance, ce qui est en harmonie avec la tenue de Vivian.
— Tu viens participer à cette soirée avec elle... c’est pour la courtiser ?
Théophile détourne lentement son regard de la jolie silhouette de Vivian, et regarde Dominique.
— Les belles femmes auront toujours des prétendants. Tu sais que mon père m’exhorte de me marier, ce n’est pas une mauvaise idée de l’essayer.
Dominique boit du vin à petite gorgée et révèle d’un sentiment d’impuissance.
— Tu n’as pas peur qu’elle ait déjà un petit ami ou qu’elle soit mariée ?
Théophile met une main élégamment dans la poche et secoue le verre avec une autre, et demande à Dominique distraitement.
— Elle est très jeune et ambitieuse du travail, je crois que non.
Dominique est convaincu que son intuition est correcte,
— La femme avec un petit ami ou époux, elle ne va pas travailler si dur. Et Vivian n’a pas les rendez-vous pendant ces dernières années. C’est tellement évident qu’elle est célibataire, non ?
— Ben, bonne chance !
Théophile tapote l’épaule de Dominique, il rit avec une lueur de soupçon dans ses yeux.
— A la santé !
Ils trinquent.
Théophile vide son verre et le dépose sur la table, puis il part.
En marchant, il croit qu’il a sous-estimé le charme de sa femme nominale ayant attiré l’attention de Dominique.
Elle est célibataire ?
Elle ne le sera qu’après leur divorce dans trois mois.
— Avant cela, elle est mon épouse légale, pense Théophile.
Mais elle fait comprendre à Dominique qu’elle est célibataire, est-ce qu’elle tient déjà compte de chercher un bon homme après le divorce ?
Cette femme se montre pure et inoffensive, mais en fait, elle se fait désirer ?
En tant que son époux, doit-il peut-être lui rappeler qu’elle est mariée...