Chapitre 5
Heureusement que personne ne m’a vue avec JJ, Mama mes fesses allaient parler d’eux même.
Le lendemain, le train tain quotidien, se lever tôt, faire la vaisselle, balayer la cour, réchauffer la nourriture faire la nourriture pour le chef. Et aller faire les tours d’eau au puits.
Ce matin l je guettais chez les petit blancs pour voir mon JJ, mais apparemment ils étaient encore coucher. A 6heures ?y’avait même personne devant leur cour. Nous sommes allé puiser l’eau en rentrant pour le deuxième tour, la on s’est croisé sur le chemin du puits.
- Bonjour Ange, ca va ? bien dormi ?
- Bonjour JJ tu as failli me faire fouetter, hum !!!
- Je suis désolé je voulais juste te dire bonne nuit hier et t’embrasser.
- Hum !!! pardon ne fait plus jamais ca. On me surveille ici jusqu'à et je ne veux pas de problèmes.
- J’ai compris. On se voit tout à l’heure ? Ta mère ne part pas aux champs ?
- Si elle ira, elle s’apprête et les autres aussi.
Généralement, les vieux allaient tôt aux champs hotte sur l’épaule ils revenaient juste le soir. Ce qui rendait le village assez calme car les jeunes de 5ans n’allaient pas tous les jours. On pouvait donc souffler, et se balader.
- Ma tante va partir, ou est même entrain de partir, elle part assez tôt, et son mari va à la pèche. Donc on va rester avec les grandes sœurs. On va prendre le petit déjeuner la et après on se voit je te garde les beignets ? Madeleine fait un haricot qui n’a pas de nom. C’est tellement bon, je vais te garder
- Hum !!!tes sœurs vont accepter ca ?
- Ce sont mes petites sœurs et elles n’ont rien à dire. Bon tu viendras ?
- Je verrai, bye.
Sans être contente de le voir ?rires.
Vers 10h, tous les vieux étaient tous partis aux champs, on était donc enfin calme, le chef allait toujours avec ses grands fils et les mamans allaient avec les filles mais c’était par tour. Le mien n’était pas aujourd’hui plutôt demain. J’allais donc profiter de ma journée de libre pour m’amuser avec JJ.
Une petite fille, m’appelait au pas de la porte.
- Ange, ange JJ m’a envoyé de te donner ça. C’était un bol de beignet avec un peu de haricots et la bouillie dans un gobelet.
- Merci
- Il a dit que tu dois venir jouer avec nous.
- OK. J’arrive
- Mais j’attends les assiettes, madeleine a dit de les ramener. J’ai vite lavé l’assiette et le gobelet.
- Tiens, et merci.
Quelle attention !!! Si maman était la elle allait me tuer seulement.
On n’a mangé rapidement fermer la porte de notre chambre et de la cuisine, nous sommes allés chez les petits blancs Edwige et moi c’est comme ma siamoise rires. On galère toujours ensemble. Arrivé chez eux, nous avons trouvé les gars entrain de vouloir construire une maison avec les feuilles de palmiers, les enfants du village faisaient ça en général pour avoir leur petits coins des jeux, les filles cuisinaient donc dedans dans les boites, et ça faisait vraiment genre on n’a notre maison.
- Bonjour à tous. Bien évidemment les filles n’ont pas répondues mais on s’en foutait. Vous faites quoi ? même les vacanciers de Douala était venu s’amuser avec eux, normal ils étaient voisins. Éric aussi était la (mon autre amoureux mdr).
- Hé ange ca va ? me dit Éric ravie de te voir, lui était plus grand que tout le monde, il avait une bel tête très brun comme ses sœurs aussi et ses autres frères. Mais apparemment était l’ainée chez lui. Je l’aimais bien sans plus, mais celui qui me plaisait le plus c’est JJ.
- Ça va Éric, et toi ? Le sourire qui accompagnait ma question la hein hum !!! JJ pouvait mourir.
- Ca va, on essaye de faire notre maison à nous. Les femmes la veulent jouer mais elles disent qu’elles veulent avoir leur propre maison.
- C’est bien.
- Ange viens par ici, JJ m’appela avec une telle force, j’ai éclaté de rires.
- Tu peux rire madame, je n’aime pas te voir parler avec lui
- Mais, c’est ton frère non ? Il y’a quoi ? J’étais vraiment amusée de le savoir jaloux.
- Allons, allons, y’a rien qui fâche ici la. Rires Que puis-je faire au juste ?
- Allez porter les palmes avec les autres filles, nous avons déjà coupé ce qu’il faut.
- Ok chef (amusée)
Apparemment les filles en question n’étaient pas très contentes de nous voir parmi elles mais bon, elles allaient seulement s’y faire.
On n’a porté toutes les palmes et commencer à monter la maison, d’abord avec le bois dur qu’on piquait sur le sol. Il fallait construire une maison avec la cuisine, donc ce n’était pas facile. Mais y’avait eu la main d’œuvre quelques petits volontaires du village qui sont venus prêtés main forte et dire ce qu’il y’avait de mieux pour que la maison de tombe pas en deux jours surtout s’il pleuvait.
Ce fut une belle réussite, il était déjà 14heures quand on n’a fini notre maison. Madeleine et Chantal avaient fini de cuisiner. Nous avons mangé tous ensemble et JJ et moi sommes allés rester un peu dans le champ de cacao de papa MATITE le voisin qui avait perdu sa femme. Nous étions assis sur un grand arbre.
- Alors ma futur femme, tu te sens comment ? on n’a échappé belle la dernière fois, j’avoue que j’ai eu peur ce soir la. Et pour toi et pour moi. Dieu merci il n’ya rien eu.
- Je t’assure
- Viens t’asseoir sur mes pieds.
- Moi intimidée) oooor, je ne sais pas hein moi je ne sais pas
- Mais juste t’asseoir je ne vais pas te manger tu sais
- Noooo, je ne veux pas ses choses la. J’ai peur
- De quoi ?nous sommes seuls.
- Justement, je ne veux pas laisse moi
- Mais je ne te touche même pas. Bon je viens près de toi alors. Il s’est approché de moi et m’a pris la bouche, il a collé la sienne sur mes lèvres j’ai même fermé les yeux, après j’ai bondi sur moi avant même que sa main que je sentais déjà me toucher les seins ne s’aventure plus loin. La on n’a entendu des rires de moquerie.
- C’est qui demanda JJ menaçant.
- Ce sont tes sœurs qui d’autres.tchuiiiiiip
- Ne t’en fait pas elles sont bêtes. Laisse moi t’embrasser je vais t’apprendre comment on fait visiblement t’a jamais embrassé un homme.
- Jamais
- Bon, laisse-moi faire. Tu me tiens ici =, il montra ses hanches tu passes tes deux mains comme ca autour, puis tu lèves la tête et ferme les yeux, ensuite tu me laisse posé mes lèvres et te sucé les lèvres comme ca, puis tu ouvre légèrement la bouche pour que nos langues se touchent, tu vois ???ce n’est pas si difficile non, maintenant réessayons. Mon Dieu, c’est quoi comme ca que le gars la mettait sa langue dans ma bouche, j’ai croqué sa langue la ce qui a fait crié JJ.
- Mais tu es comment ? on ne mord pas on suce.
- Non je ne veux plus essayer c’est d’abord bizarre et j’ai trop honte
- Honte de ton futur mari ? Mais tu es comment ? les filles aiment ca je te dis
- Pas moi.
- Ok. On va donc causer simplement mais tu te couches sur moi viens alors, on va s’asseoir par terre et tu te mets la entre mes jambes.
- Ok. On est resté à bavardé pendant une heure, de son école, il me parlait de la ville Ber toua que je n’avais pas encore visité, de leur maison. De son lycée et des filles qui l’aimait la bas mais lui ne les aimait pas parce qu’il pensait à moi et m’attendait. J’étais contente je lui ai dit que j’étais impatiente d’aller à la ville, mes parents veulent que j’aille à l’internat Des sœurs Teerenstra. J’ai hâte on pourra se voir un jour non ?
- Oui bien sur je viendrai souvent te rendre visite et t’apporter des friandises.
- Merci. Un bruit nous interpelle soudain, on sursaute violemment
C’est Serge qui venait en courant d’un air grave...
- Gars, on cherche Ange, sa mère est back plutôt que prévu et elle a déjà fouetté Edwige et elle s’amène-la cachez vous vite
- Wouiaiiiih, mon Dieu je suis finie ...