Résumé
cette oeuvre vous présente Ange Alama
Chapitre 1
Hum!!!c'était une fois de plus les vacances une période qui faisait vibrer notre village par les cris, les jeux, les délires des adolescents en effervescences et qui ne se souciait pas trop de demain, ce qui nous préoccupait était les jeux et les rencontres entre jeunes.
Je suis Ange ALAMA, je suis jeune et je suis née à l'Est belle région du Cameroun quoi que peu connu des jeunes et même du monde car on nous a délaissé à nous même et pour tout dire nous sommes très pauvres mais nous avons une grande richesse , nous sommes fiers d’être nous même.Alors je suis fière de vous savoir nombreux à partager mon Histoire MA VIE, MA JOIE.
J'ai grandie avec ma mère, elle est marié au chef du village et elle est la 3ème femme.Javais de nombreux frères et sœurs mais à ma mère j'étais la seule donc fille unique.Elle m'aimait énormément et moi pareille.
Notre village a une école maternelle, primaire, et un lycée qui s’arrête en 3ème puis on pouvait aller continuer dans la ville de DIPAM ou MESSANGMENA. Ou si les parents voulaient on t'envoyait continuer à BER TOUA qui était notre grande ville. J'ai eu mon entrée en 3ème et j'étais si fière de moi, car de toute les filles j'étais celle qui se démarquait par la volonté de vouloir faire des études très poussé.
Très jolie, noire de teint et de taille moyenne j'étais pas très mince les formes comme il faut je me vante pas hein je vois vos têtes rires. Mon père est très respecté dans le village car étant chef personne ne voulait se voir viré du village.Le village est petit tout le monde se connait, y'avait deux Églises catholique et protestante, une boutique chez Haminou chez qui on se ravitaillait. des puits ou l'on allait puiser de l'eau pour boire et des rivières ou nous allions souvent nous baigner.
Ces vacances comme chaque année s’annonçaient mouvementé, le village vibrait y'avait tout genre de têtes et les familles qui envoyaient leur enfants passé les vacances pour apprendre le patois, et faire les champs.Nous qui vivions la étions déjà habitué à 6H maman nous réveillait et on portait les hottes, réchauffait la nourriture de la veille généralement c'était le Kamakouma( qui veut dire les feuilles de manioc ) fait avec l'arachide la viande de brousse et un bon coucous de manioc, comme on n'aimait chez nous.
Parmi les vacanciers les plus populaires étaient ceux qui venait en face de nous maman Justine comme on l'appelait était leur tante.On les déposait en juin et venait les récupérer en début septembre. Chaque fois ils arrivaient en camion en général c'était des cousins et frères tellement ils étaient nombreux, qu'on les déposait dans le camion, le jour de leur arrivé qui respirait? la vantardise voulait leur mort.
Nous les villageois les regardions comme les dieux de la ville qu'on connaissait pas.Parmi eux y'avait deux jeunes garçons qui me promettait tous deux le mariage, cela m'amusait à chaque fois. Mais des deux je préférais le plus court qu'on appelait Jean-Jacques il est le plus beau des deux et le plus musclé.On passait notre temps à flirter, chaque année et voila la 4ème année qui s"annonçait ou nous étions ensembles.Enfin notre relation se limitait aux embrassade sur la bouche et il aime bien me tripoter la poitrine qui se dessinait déjà généreusement sur mon corps.J'étais contente à chaque fois qu'il arrivait et triste à chaque fois qu'ils partaient.
Y'avait aussi d'autres vacanciers qui arrivaient de Douala, selon leur divers, et ils se parlaient juste entre eux.Nous n'étions que des villageoises que personne ne voulait aborder.Mais ma sœur et moi étions toujours aux anges vu que Serge et J-Jacques nous aimaient.Les filles ne voulaient rien à voir à faire avec nous.
Ils sont arrivés ce jour la, dans la journée et on n'a pu les voir en plein jour car généralement ils arrivent la nuit et le matin on les voit déjà dans la cour.
On les regardait , assisses en face d'eux, guettant avec toute la discrétion possible pour que personnes ne devine notre joie de voir nos amoureux de la ville.Sinon c'était le fouet qui allait parler sur nos corps.
Quand, ils ont finis de s'installer comme à l'accoutumé tous ceux qui arrivaient venait d'abord salué le chef, et c'est la qu'on profitait pour bien se sourire.
Bien évidemment, mise sur nos 31 pour cet accueil, j'avais mes sans confiances (babouches) aux pieds, avec une jupe qui avait fait du chemin et un haut . Toute la famille s'est dirigé vers notre camp, et les mamans sont sorties accompagné de leur maris pour accueillir les parents des vacanciers.Les filles chuchotaient entre elles et éclatèrent de rire.Ce qui l’énervait au plus haut point car je savais parfaitement de qui elles se moquaient , on n'a souvent eu à bagarrer avec elles.
Après nous on recevait une dure fessé par nos mamans pourtant c'est elles qui avaient tort.Donc on se toisait proprement, papa est sorti pour accueillir les parents.
Les femmes lançaient des youyou et 'embrassait avec le sourire pieds nus, nous les enfants étions en retrait la tradition voulait que les parents appelaient les enfants de venir dire bonjour et la on pouvait s'aventurer.
- OOOOhhhh, placide dit le chef, ca va?le voyage s'est bien passé?
- Oui, ca été les enfants aussi je crois ce sont bien amusés pendant le voyage.venez dire bonjour
La, j'ai pu voir j-jacques qui apparemment me cherchait aussi des yeux.On s'est sourit et serge aussi a souri à ma sœur (consanguine) les filles nous regardaient méchamment comme d'habitude mais on s'en fichait.Par contre cette année y'avait deux grandes filles apparemment leur grandes sœurs.Les effusions allaient bon train, les maman ont servi le repas, un bon coucous avec la sauce ndog( noix de mango) on adorait ca chez nous.avec la viande de brousse fraiche (la biche, le pangolin, et le singe) PLUS LE POISSON D4EAU DOUCE QUE LES mamans faisaient avec des herbes et juste un peu de sauce mais le couscous ne manquait pas avec du manioc, et du plantain.Bien évidemment la nourriture de chez nous ne manquait pas lorsqu'on recevait des étrangers ce serait une insulte sinon. LE MBOL (sauce gluante avec de la viande de brousse fumé, des tas de condiments du village) les gens de la ville adorait et se régalait généralement uniquement de cette sauce avec du bon couscous de manioc chaud. cette sauce est hyper pimenté faut donc avoir le cœur de supporter le piment.
L es commentaires allaient bon train, le patois des grands sonnaient dans la tete des petits blancs la jusqu’à ils se regardaient seulement que les gens ci disent même quoi? parfois le chef appelait pour nous demander de l'eau non glacé bien sur y'avait pas le courant en journée juste la nuit ou on allumait mais tout le village utilisait les lampes.
Pendant que les enfants finissaient le repas d'autre qui boudait, genre nous on mange pas la qualité ci pardon.Les garçons sont sortis, en faisant les clins d’œil et discrètement on n'est sorties aussi les retrouver.
- Alors, ange ça va? me demanda j-jacques avec un large sourire
- Moi(intimidé) oui ça va
- Mais je veux même te faire la bise non? tu veux pas?
- Moi(paniqué) hé noooo, tu veux qu'on me fouette pardon, je ne veux pas les problèmes.
J 'ai d abord bien look, autour de moi si quelqu'un ne venait pas un grand frère ou mime une grande sœur car je savait les parents occupé dans la grande maison.
J'ai deux grands frère mamaaaa, qui ne blaguait pas les gars nous fouettaient comme jamais donc fallait même pas qu'on m'attrape.
- en tout cas je suis content de te revoir, et toi?me demande J-jacques
- Moi aussi non. Bon je pars moi, faut pas qu'on m'attrape ici à tout à l'heure
- Tu vas aller à la rivière?
- Oui, je dois aller puiser l'eau et me laver pour le soir lui dis-je
- Tout à l'heure alors.
- Tu seras avec tes sœurs? Elles se vantent même pourquoi?
Ils ont éclatés de rire et ma sœur et moi avons fuit ooooh...