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Chapitre : 04

Il obéit à la demande de Sophie avec une détermination ardente. Il la fit pivoter avec une force brutale, la plaçant en position de levrette. Sophie, maintenant à quatre pattes, sentait le sol sous ses mains et ses genoux, tandis que Jean se positionnait derrière elle. La vue était saisissante : son corps était tendu, ses fesses hautes, son dos arquée, chaque mouvement amplifiant le désir palpable entre eux.

Jean se lança dans une série de mouvements puissants, chaque poussée faisant trembler le corps de Sophie. Ses gémissements se transformaient en cris déchirants, résonnant dans la pièce. Elle mordillait ses lèvres pour essayer de contenir ses cris, mais les vagues de plaisir étaient trop intenses. Ses cris montaient en crescendo, exprimant l'extase et la passion brûlante qu'elle ressentait. Les bruits de leurs corps se heurtant et de leurs respirations accélérées créaient une symphonie sauvage, chaque instant amplifiant le plaisir partagé.

Dans un élan de passion brute, il frappait les fesses de Sophie avec une intensité sauvage. Chaque coup résonnait avec un claquement sec, laissant des traces rouges qui se dessinaient sur sa peau. Les impacts étaient puissants, et la chaleur des coups se mêlait à la sensation brûlante du désir.

Les fesses de Sophie, déjà en feu de par les mouvements intenses de Jean, se marquaient des empreintes de ses paumes et des lignes plus profondes laissées par les coups. La peau rougie, maintenant parsemée de marques, vibrante de douleur et de plaisir, était la preuve visuelle de leur étreinte ardente. Chaque coup intensifiait la chaleur sous sa peau, amplifiant les cris de Sophie qui s’échappaient de plus en plus forts, entrecoupés de halètements. Les marques rouges formaient un contraste saisissant avec la pâleur de son corps, témoignage de la passion déchaînée qui les animait.

Après ces quelques minutes de plaisir intense, le match se termina enfin. Jean, épuisé, se laissa tomber sur le sol, un soupir de satisfaction échappant de ses lèvres. Sophie, bien que partiellement satisfaite, posa sa tête sur son oreiller avec un sourire radieux, savourant le moment.

- Merci mon amour, tu as encore été super.

- Si tu le dis, il faut que j'aille.

Il se leva, se dirigea vers la chambre, prit un bain relaxant, enfila sa veste et sortit, montant dans sa voiture pour se rendre au travail. Sophie, de son côté, profita également d'un bain apaisant avant d'enfiler une élégante robe et de sortir.

En passant devant une boutique de lingerie, Sophie fut attirée par une tenue audacieuse, semblable à celles portées par les femmes dans les films érotiques qu’elle avait vus. Elle gara sa voiture et entra dans le magasin. Après avoir exploré les rayons, elle choisit non seulement cette tenue provocante, mais aussi divers accessoires destinés à enrichir ses expériences et explorer de nouvelles facettes de ses fantasmes.

***

La voiture de Jean s’immobilisa avec une précision presque militaire devant l'imposant bâtiment de son entreprise, un colosse de verre et d’acier qui dégageait une aura de réussite et de prospérité. Le logo de la société, éclatant en lettres dorées, semblait presque briller au soleil. Jean, à peine sorti de son véhicule luxueux, fut immédiatement enveloppé par une vague d'enthousiasme de la part de ses employés. Ils se précipitèrent vers lui, des sourires sincères et des regards admiratifs illuminant leurs visages. Certains avaient l'air surpris de le voir, car sa lune de miel était censée se poursuivre encore quelques jours.

Jean, revêtant un costume impeccablement taillé, se fraya un chemin à travers la foule, saluant chaque membre de l'équipe d'un signe de tête reconnaissant. Il franchit la porte de son bureau, un sanctuaire de confort et de luxe, où les murs étaient décorés de photographies en noir et blanc et les meubles étaient en bois d'acajou poli. Il se dirigea vers son bar personnel, un meuble élégant qui abritait une collection de spiritueux raffinés. Il sortit un verre de cristal, le remplit d'un whisky écossais de première qualité, et but une gorgée, savourant la chaleur de l'alcool qui se répandait dans sa poitrine.

Jean attrapa ensuite son téléphone portable et composa quelques numéros avec une expertise tranquille. Il parla dans un ton mesuré, énonçant des phrases courtes mais pleines de gravité :

- Oui... Non, frère... Je suis au bureau... Elle va bien... D'accord... Oui, tu peux passer, mon frère.

Après avoir raccroché, un sourire satisfait illumina son visage. Il vida son verre d'un trait, puis s'affaissa sur son divan en cuir, un mélange de confort et de sophistication. Le cuir frais caressa son dos alors qu'il s'enfonçait dans le moelleux du canapé.

Peu après, la secrétaire, une femme d'une élégance discrète et professionnelle, entra dans le bureau avec une démarche fluide. Elle annonça l’arrivée de Brian, son ami de longue date, confident et partenaire d'affaires dans la production de jus de fruits. Brian, dont l’entreprise rivalisait en succès avec celle de Jean, était un personnage tout aussi imposant.

Dès que Brian entra, Jean se redressa avec empressement, un sourire chaleureux étirant ses lèvres. Il serra son ami dans ses bras, un geste empreint de camaraderie sincère. Jean remercia la secrétaire d'un sourire, qui, satisfaite, fit un signe de tête avant de quitter la pièce.

Sans perdre de temps, Jean se dirigea vers son bar et remplit un nouveau verre avec une précision méticuleuse. Il tendit le verre à Brian avec un geste amical, leur conversation promettant d’être aussi animée et fructueuse que leur partenariat.

- J'ai été surpris quand tu m'as annoncé au téléphone que tu étais de retour. Je pensais que tu resterais un mois.

- Oui, c'est vrai. Tu sais qu'un entrepreneur n'a pas vraiment le luxe de prendre des congés.

- C'est vrai, un imprévu peut survenir à tout moment.

- Exactement.

- Et Sophie, comment va-t-elle ? J'espère qu'elle prend soin de toi, ou est-ce toi qui prends soin d'elle ? Avec son père.

- Tout va bien, mon frère.

- Pourtant, à te voir, on dirait le contraire. As-tu des problèmes avec tes affaires ou autre chose ?

Jean vida son verre et le posa sur la table.

- Un gros problème, mon frère. Je n'arrive pas à gérer les fantasmes de mon épouse et je ne me reconnais plus. Parfois, je me demande si c'était vraiment moi. Elle a changé depuis hier, et j'ai été violent aussi.

Brian sourit pendant quelques instants avant de se tourner vers Jean.

- Tu veux dire que tu te sens coupable d'avoir cédé à son fantasme et que tu as été violent ?

- Je suis sérieux, Brian, et oui, c'est exactement ça.

- Je ne vois pas pourquoi tu devrais te faire du souci. Si ta femme veut que tu sois plus agressif au lit, fais-le, mon frère. Si elle veut quelque chose d'encore plus audacieux, fais-le. Chaque femme a ses propres fantasmes, et tu devrais être content qu'elle t'en parle plutôt que de le chercher ailleurs. Sinon, elle pourrait aller voir quelqu'un d'autre. Connaissais-tu le fantasme de ma femme ? Elle veut que je la morde et que je lui tire les cheveux pendant l'acte.

- Et comment fais-tu ?

- Ce n'est pas une question de savoir comment, je mets de côté mon statut d'entrepreneur et je fais ce qu'elle veut, chaque fois qu'elle le demande. Normalement, c'est toi qui devrais avoir des fantasmes aussi puissants, mais je comprends. Tu ne devrais pas avoir peur si c'est elle qui te le demande. Vas-y, mon gars, je te connais.

- Quand je commence, je montre un peu d'enthousiasme, mais je finis par me refermer sur moi-même.

- Elle finira par te tromper, crois-moi. Adapte-toi à ses fantasmes. Tu es riche, tu as du pouvoir, qu'est-ce que tu cherches d'autre ?

- De l'argent.

Les deux amis éclatèrent de rire.

- Si tu ne te sens pas à la hauteur, bois un coup ou fais ce qu'il faut, mais pas de drogue, mon frère.

- Tu me connais pour ça.

- Le whisky nous fait faire des choses, alors, quand tu rentres le soir, essaie d'être gentil et laisse ta femme vivre ses fantasmes.

- Elle a un fantasme démesuré, mon frère.

- On s'en fiche, c'est le cas de beaucoup de femmes. Je viens de te parler du fantasme de la mienne. Il y en a d'autres qui veulent qu'on les brûle avec une cigarette. Change de mentalité et rends ta femme heureuse. Vous n'avez même pas encore un mois de mariage, et vous êtes jeunes. Vous êtes tous les deux riches, alors la vie continue.

- Je pense que tu as raison.

- Mais, une chose : reste vigilant. Ne te laisse pas emporter par tous ses désirs. Fais juste ce qu'il faut. Tu es un homme, tu fais ce qu'il faut pour les autres, alors pourquoi pas pour ta femme ?

- Tu as mentionné les prostituées.

- Peu importe.

Les deux amis passèrent des heures à discuter d'affaires. Lorsque leur conversation prit fin, Brian mit à nouveau Jean en garde avant de rentrer chez lui. Jean, quant à lui, resta encore un moment sur place avant de finalement prendre le chemin de sa maison. En route, il s'arrêta devant un supermarché où il acheta du vin et du whisky.

Lorsqu'il rentra chez lui, Jean fut stupéfait en découvrant sa femme dans le salon. Elle était déguisée en chien, portant un costume complet qui accentuait son apparence. Elle avait enfilé une combinaison en peluche, marron avec des taches blanches, qui imitaient la fourrure d'un chien. Sur sa tête se trouvait une capuche dotée de grandes oreilles pointues, tandis qu’une queue, fixée à l'arrière du costume, pendait derrière elle. Elle avait également des chaînes autour du cou, qui cliquetaient doucement à chaque mouvement. À quatre pattes sur le tapis, elle souriait avec une expression à la fois espiègle et attendrissante.

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