Les fantasmes Démesurés de l'épouse d'un milliardaire.

La lumière tamisée de la chambre créait une ambiance à la fois intime et électrique. Les rideaux épais, tirés pour masquer le monde extérieur, enfermaient la pièce dans une douce pénombre. Les murs étaient peints d’un bleu profond, contrastant élégamment avec les meubles en bois sombre qui ornaient la pièce. Sur la table de chevet, une bougie parfumée diffusait une odeur enivrante de vanille et de santal, ajoutant une touche sensuelle à l'atmosphère.

Le lit, au centre de la pièce, était couvert de draps de satin blanc, leur texture lisse et fraîche contre la peau. Les oreillers moelleux invitaient à la détente, tandis qu’une couverture en cachemire jetée nonchalamment au pied du lit ajoutait une note de confort luxueux. Des photos encadrées des premiers jours de leur mariage étaient disposées sur les étagères, témoignant de leur bonheur récent et de leurs aventures partagées.

Sophie et Jean s’étaient mariés il y a une semaine seulement. Leur lune de miel, pleine de passion et de découverte, avait laissé place à une routine quotidienne qu'ils chérissaient, mais Sophie sentait le besoin d’explorer de nouvelles dimensions dans leur intimité.

Allongée sur le lit, Sophie observait Jean avec un mélange d’appréhension et d’excitation. Jean, son regard intensément fixé sur elle, s'approcha lentement, ses mouvements empreints d'une assurance nouvelle. Il se pencha pour l'embrasser, ses lèvres cherchant les siennes avec une passion brute et presque sauvage. Sophie répondit à ce baiser avec une ardeur égale, ses mains glissant le long de son dos, ses ongles traçant des lignes invisibles sur sa peau.

Les mains de Jean parcouraient le corps de Sophie, explorant chaque courbe, chaque recoin, éveillant en elle des sensations qu'elle n'avait jamais ressenties avec une telle intensité. Leurs corps se mouvaient en harmonie, une danse passionnée où chaque geste semblait calculé pour amplifier leur désir mutuel.

Le souffle court, les yeux mi-clos, Sophie se laissa emporter par le tourbillon de plaisir que Jean lui offrait. Elle sentit chaque fibre de son être vibrer sous ses caresses, chaque soupir qu'il émettait résonnant en elle comme une mélodie enivrante. Leurs mouvements devinrent plus frénétiques, une urgence s'installant alors qu'ils approchaient tous deux du point culminant.

Enfin, dans une explosion de plaisir partagé, ils s’effondrèrent l’un contre l’autre, épuisés mais comblés. Jean se retira doucement, déposant un baiser tendre sur le front de Sophie. Elle se blottit contre lui, savourant encore la chaleur de leur étreinte.

Mais Sophie n’avait pas encore fini. Alors que Jean la regardait avec une satisfaction évidente, elle se redressa lentement, un sourire mystérieux aux lèvres.

- Attends ici, murmura-t-elle avant de se lever et de se diriger vers l'armoire.

Jean l’observa, intrigué, alors qu’elle fouillait dans l’armoire. Lorsqu’elle revint, elle tenait dans ses mains une paire de menottes en acier poli, des lanières de cuir noir et quelques matériels ( des bandages,des ceintures en cuir). Ses yeux brillaient d’une détermination nouvelle.

- Jean, dit-elle doucement mais fermement, la prochaine fois, je veux que tu me fasses l'amour ainsi. Elle lui tendit les menottes et les matériels son regard ne quittant pas le sien. Attache-moi, domine-moi... Je veux sentir cette intensité, cette puissance. Fais-moi tienne d'une manière différente.

Ne comprenant rien de ce qui se passait, Jean se redressa et regarda son épouse qui l'observait en souriant.

- Sophie, fit-il, tu te rends compte de ce que tu racontes ?

- Oui chéri, tu m'as demandé la dernière fois ce que tu aimerais que tu me fasses, voilà, j'ai enfin trouvé ma voie. C'est mon fantasme.

- Tu as un mauvais fantasme Sophie, criat-il, Oui un très mauvais fantasme.

- J'aimerais que tu me fouettes, me bandes les yeux et que tu me fouettes.

Jean se sentit déstabilisé par les paroles de Sophie. Il se redressa, son expression trahissant son incompréhension et son inquiétude.

- Tu connais ma stature d'homme, Sophie, je suis un milliardaire et je ne peux pas me permettre d'être ainsi avec toi. Que diront les gens quand ils vont apprendre que le PDG de telle société fouette sa femme. Ton père ? Ta famille ?

Sophie le regarda avec une intensité nouvelle, une détermination qu'il ne lui connaissait pas.

- Si tu m'aimes réellement, alors faisons-le. Je m'en fou des autres, c'est moi qui te le demande.

Jean secoua la tête, encore incrédule.

- S'il te plaît, range ces trucs dans les armoires et demain, je les jetterai.

Mais Sophie ne céda pas. Sa voix se fit plus ferme, presque menaçante.

- Si tu ne veux pas me donner du plaisir comme je le souhaite, rassure-toi que je demanderai le divorce.

Jean la fixa, choqué.

- Des menaces ? On s'est marié juste quelques jours et tu veux me demander le divorce ? Juste parce que je refuse de céder à ton fantasme ?

- Je ne suis pas en train de te menacer, Jean. Je ne vois pas ce qui te dérange de me faire l'amour comme un dingue ou que tu me massacres au lit. C'est tout ce que je te demande. Si tu ne peux pas le faire en étant sobre, buvons alors et tu verras que tu en auras du courage. Comme ça, je gémirai comme une dingue.

Jean tenta de calmer la situation.

- Sophie, écoute, je...

Mais Sophie l'interrompit, sa voix tranchante.

- S'il te plaît, chéri, sais-tu que mon père ne serait pas d'accord pour notre divorce ?

Sophie, était une femme d'un jeune homme monsieur ayant des dizaines d'entreprises. Jean l'avait rencontré au cours d'une soirée de gala. Depuis lors, ils étaient tombés amoureux l'un de l'autre, leur relation évoluant rapidement vers le mariage. Jean regarda à nouveau sa femme et sourit, réalisant qu'elle venait d'ouvrir une porte aussi dangereuse qu'elle ne le pensait. Ne dit-on pas que tout homme a un côté animal ? C'est ce que Jean s'apprêtait à montrer à Sophie.

- Je te rappelle que c'est toi qui veux demander le divorce.

- Et alors ?

Jean prit une profonde inspiration, sachant qu'il s'apprêtait à franchir une limite qu'il n'aurait jamais imaginée. Mais pour l'amour de Sophie, il était prêt à explorer cette nouvelle dimension de leur intimité.

Il se leva du lit, prit les menottes et les lanières des mains de Sophie, puis se tourna vers elle, son regard rempli d'une détermination nouvelle. Sophie, allongée sur le lit, le regardait avec une lueur de défi dans les yeux, comme si elle testait ses limites, curieuse de voir jusqu'où il irait pour elle.

- Très bien, murmura-t-il en se rapprochant d'elle. Je vais faire ce que tu demandes.

Jean attacha les menottes aux poignets de Sophie, leur cliquetis résonnant dans la pièce silencieuse. Il serra doucement, mais fermement, s'assurant qu'elles n'étaient ni trop lâches ni trop serrées. Sophie frissonna sous le contact froid du métal, ses sens déjà en éveil.

- Est-ce que ça va ? demanda-t-il, cherchant une dernière confirmation dans ses yeux.

- Oui, souffla-t-elle, sa voix tremblante d'excitation. Vas-y mon amour.