Chapitre : 05

Il sourit doucement, déposant le sac contenant les boissons sur la table, avant de s'accroupir devant sa femme, qui était à quatre pattes, imitant une chienne.

- Que veut ma reine ? demanda-t-il, sa voix empreinte d'une tendresse taquine.

Étonnée et ravie par cette attention, Sophie laissa échapper un large sourire, ses yeux pétillants de désir.

- J'aimerais que mon homme saisisse la chaîne, me traîne partout et me prenne par l'anus tout en me donnant des fessées, cette fois-ci, répondit-elle, une lueur de défi dans le regard.

- À vos ordres, capitaine, répondit-il avec un clin d'œil complice.

Il attrapa la chaîne attachée au collier de Sophie et commença à la promener lentement dans le salon. Les bruits métalliques de la chaîne résonnaient dans la pièce, ajoutant une dimension excitante à l'ambiance. Après plusieurs tours dans le salon, il l'emmena vers la chambre. Là, il fixa la chaîne au pied du lit, créant un sentiment d'anticipation intense.

Avec une lenteur calculée, il enleva son pantalon, puis sa chemise, dévoilant son torse musclé et bronzé. Il s'approcha de Sophie, dont le petit costume moulait parfaitement les courbes sensuelles. D'une main experte, il défit la fermeture éclair, révélant progressivement la peau douce et pâle de sa femme.

Il sortit son sexe, durci par le désir, et commença à caresser les fesses de Sophie avec des gestes doux mais fermes. Soudain, il la pénétra avec une force brutale, répondant au désir exprimé par Sophie.

- Vas-y sans pitié, déchire-moi l'anus, murmura-t-elle d'une voix haletante.

Obéissant aux désirs de Sophie, il pénétra son anus avec vigueur, c'était pour la première fois que Sophie recevait un pénis par l'anus, autrement dit le sodomie. Chaque mouvement était précis et intense, répondant à l'appel de sa femme.

- Oh, quel plaisir ! gémit-elle, sa voix se mêlant aux sons de leurs corps qui se heurtaient avec frénésie.

Jean continua ses va-et-vient, plus violents que jamais, chaque coup de rein augmentant le plaisir de Sophie. Elle aboyait de plus en plus fort, imitant une chienne, ce qui excitait encore plus Jean.

Les fessées qu'il lui donnait résonnaient dans la pièce, chaque coup ajoutant à l'intensité de leur jeu. Les sons des claques et les gémissements de Sophie créaient une symphonie érotique.

Après avoir satisfait leurs désirs initiaux, Jean détacha la chaîne et, sans un mot, tira Sophie hors de la chambre. Ils montèrent les escaliers, chaque marche augmentant l'anticipation de ce qui allait suivre.

Ils arrivèrent dans une salle de bains lumineuse, où Jean fixa de nouveau la chaîne à une poignée de porte. Il souleva Sophie, la plaçant face à un grand miroir. Il se déshabilla complètement cette fois, sa nudité ajoutant à la tension sexuelle.

- Prête pour un autre tour ? demanda-t-il, sa voix grave résonnant dans la pièce.

Sophie hocha la tête, son regard reflétant un mélange d'excitation et de soumission. Jean se plaça derrière elle, caressant son corps de ses mains avant de la pénétrer à nouveau, cette fois avec plus de force. Leurs reflets dans le miroir ajoutaient une dimension voyeuriste à l'acte, intensifiant leur plaisir mutuel.

Jean laissa libre cours à son désir, poussant Sophie à ses limites, chaque coup de rein étant accompagné de fessées sonores et de gémissements de plaisir. Ils continuèrent ainsi, explorant chaque recoin de la maison, chaque pièce devenant le théâtre de leurs jeux intenses. Dans chaque pièce, Jean trouvait de nouvelles façons de dominer et de satisfaire Sophie, la poussant toujours plus loin dans ses désirs.

Ils terminèrent finalement dans le grenier, où, épuisés mais comblés, ils s'effondrèrent sur un vieux matelas, leurs corps enlacés, respirant lourdement mais satisfaits.

Les deux amoureux restèrent ainsi enlacés pendant plusieurs minutes, savourant la chaleur de leurs corps avant de décider de descendre ensemble pour prendre un bain. Jean avait déjà commencé à se doucher lorsque Sophie entra dans la salle de bains, une boîte de chocolat à la main.

- C'est quoi ça ? demanda-t-il, intrigué.

- Tais-toi et laisse-toi aller, répondit-elle avec un sourire mystérieux.

Elle ferma l'eau, s'accroupit, et commença à étaler le chocolat fondu sur le pénis de Jean. Surpris par cette nouvelle sensation, il sentit une vague de plaisir l'envahir, et son corps réagit instinctivement, son sexe se dressant de plaisir. Sophie sourit en voyant l'effet qu'elle avait sur lui et, sans perdre une seconde, l'enfonça doucement dans sa bouche. La chaleur et l'humidité de sa bouche procurèrent à Jean une sensation intense, presque électrique, qui se propagea dans tout son corps.

Il ne pouvait s'empêcher de caresser tendrement la tête de Sophie, ses doigts s'enroulant dans ses cheveux. Chaque mouvement de sa langue, chaque succion habile, le faisait frémir de plaisir. Les minutes semblaient s'étirer à l'infini alors que Sophie continuait son œuvre avec une expertise et une passion sans égales.

Après avoir finalement réussi à faire rougir son homme de plaisir, Sophie se redressa, les yeux pétillants de malice. Elle prit la boîte de chocolat et commença à en étaler partout sur son propre corps, traçant des lignes sensuelles sur sa poitrine, son ventre, et jusqu'à l'intérieur de ses cuisses.

- Maintenant, c'est à ton tour, murmura-t-elle d'une voix douce et envoûtante. Suce-moi partout, même là...

Elle guida doucement la tête de Jean vers son ventre, l'incitant à suivre les traces de chocolat avec sa langue. Jean, encore sous l'emprise du plaisir qu'il venait de recevoir, se plia volontiers à sa demande. Il commença à lécher le chocolat sur sa peau, savourant le mélange de saveurs et l'excitation de cette nouvelle expérience.

Jean prit son temps, explorant chaque recoin du corps de Sophie avec une lenteur délibérée, savourant chaque instant. Ses lèvres et sa langue traçaient des sentiers de plaisir sur la peau de Sophie, qui frissonnait sous chaque contact. Lorsqu'il atteignit enfin son intimité, il ralentit encore, appréciant chaque soupir qu'il arrachait à Sophie.

Sophie se cambra instinctivement lorsqu'il posa ses lèvres sur son vagin, un gémissement de plaisir s'échappant de ses lèvres. Jean, encouragé par sa réaction, intensifia ses mouvements. Sa langue glissa doucement sur ses plis, explorant chaque courbe, chaque recoin, s'attardant sur les endroits qui la faisaient le plus réagir.

Les mains de Sophie s'agrippèrent aux épaules de Jean, ses ongles s'enfonçant légèrement dans sa peau alors qu'elle hurlait de plaisir. Les vagues de sensations se succédaient en elle, chaque coup de langue, chaque succion la rapprochait un peu plus de l'extase. Elle ne pouvait retenir ses cris, son corps se tendant et se relâchant au rythme des caresses expertes de Jean.

- Oui, comme ça... ne t'arrête pas...murmurait-elle, ses mots entrecoupés de gémissements.

Jean, dévoué à lui procurer le plus de plaisir possible, redoubla d'efforts. Il alternait entre des mouvements lents et sensuels et des coups de langue plus rapides, jouant avec son clitoris, s'attardant sur ses zones les plus sensibles. Le goût du chocolat mélangé à celui de Sophie l'enivrait, rendant l'expérience encore plus intense pour eux deux.

Les minutes passèrent, chaque instant chargé de passion et de désir. Sophie sentait son orgasme approcher, une chaleur brûlante montant en elle, prête à exploser.

- Oui, c'est ça... ne t'arrête pas...suce moi bien le vagin...oh...je suis... je suis si proche... murmurait-elle entre deux cris, sa voix tremblante d'excitation.

Et puis, enfin, Sophie atteignit le point de non-retour. Son corps se tendit une dernière fois, un cri perçant s'échappant de ses lèvres alors qu'elle était submergée par une vague d'orgasme intense. Chaque fibre de son être semblait vibrer de plaisir, son esprit flottant dans un océan de sensations exquises. Jean ne ralentit pas, prolongeant son plaisir aussi longtemps que possible, savourant chaque seconde de ce moment partagé.

Quand finalement les vagues de plaisir commencèrent à s'apaiser, Sophie se laissa retomber sur les carreaux de la douche, haletante, son corps encore tremblant. Jean la rejoignit, la prenant doucement dans ses bras, ses lèvres effleurant son front dans un baiser tendre.

- Ils devraient vendre des boîtes de chocolat comme ça partout, murmura-t-il avec un sourire malicieux.

Sophie rit faiblement, ses yeux brillant de satisfaction et d'amour.

- Peut-être qu'ils devraient... mais je préfère les moments comme celui-ci, juste nous deux.

Les deux amoureux commencèrent à s'embrasser sous l'eau chaude de la douche, savourant encore les sensations intenses qu'ils venaient de partager. Après avoir pris leur temps, ils sortirent enfin de la douche, se séchèrent et descendirent pour aller manger.

Jean sortit une bouteille de vin et en servit un verre à Sophie ainsi qu'à lui-même. Ils s'installèrent à table, savourant le repas et la compagnie de l'autre.

- Chéri, appela Sophie en prenant une gorgée de vin, tu es devenu bizarre depuis que tu es rentré.

- Comment ça ? demanda Jean, surpris.

- Tu réponds à mes fantasmes sans te poser la moindre question ou sans me poser la moindre question.

- Je n'ai plus besoin de te demander quoi que ce soit, répondit-il en souriant. Je ferai tout ce dont tu as besoin si cela peut te faire plaisir.

- Je suis comblée depuis que tu es rentré, et tu n'as pas idée de combien je suis heureuse de mettre en valeur mes fantasmes. Je te sens toujours en moi, et cette sensation brûlante me rend heureuse, dit-elle, un sourire malicieux aux lèvres.

- Je te ferai tout ce que tu voudras si cela ne va pas trop loin, répondit Jean en la regardant avec tendresse.

- Ça n'ira pas loin, chéri, assura-t-elle en lui prenant la main.

Ils continuèrent à dîner, savourant le vin et la conversation. La fatigue et les émotions intenses qu'ils avaient partagées commençaient à se faire sentir. Après avoir terminé leur repas, ils montèrent ensemble pour se coucher. Ce soir-là, ils ne firent plus l'amour, se contentant de se blottir l'un contre l'autre sous les draps, épuisés mais profondément heureux.