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Chapitre : 03

Il était exactement six heures lorsque Sophie émergea de son sommeil profond. À ses côtés, Jean ronflait paisiblement, plongé dans un sommeil lourd. Sans faire de bruit, elle se leva et se dirigea vers la salle de bains pour se rafraîchir.

De retour dans la cuisine, elle actionna le cuisinier à gaz. Un léger crépitement annonça l’apparition de la flamme. Sophie déposa une grande marmite sur le feu, y versa de l'eau et la laissa chauffer. Ouvrant le réfrigérateur, elle en sortit un paquet d'œufs frais, puis se munissant d'un couteau, elle commença à préparer les légumes : tomates, oignons et poivrons. Avec soin, elle les découpa en petits morceaux.

Lorsque l'eau de la marmite commença à bouillir, Sophie la retira du feu et plaça une autre marmite sur les plaques. Elle versa les œufs battus dans cette nouvelle marmite et prépara les omelettes avec habileté. La cuisine se remplit bientôt d'un délicieux parfum d'œufs et de légumes.

Une fois les omelettes prêtes, elle dressa la table avec élégance : elle choisit une nappe en coton blanc, disposa les assiettes et les couverts de manière symétrique, et ajouta des serviettes pliées avec soin. Les omelettes furent servies sur un plat de service, et elle ajouta quelques tranches de pain frais et du beurre.

Avec tout en place, elle se rendit dans la chambre pour réveiller Jean.

Arrivée dans la chambre, Sophie s'approcha doucement de Jean. Elle posa une main légère sur son épaule et murmura à son oreille. Jean se réveilla lentement, étirant ses bras au-dessus de sa tête et baillant avec un sourire engourdi. Ses yeux mi-clos cherchaient la source de l'interruption tandis qu'il se redressait doucement, prêt à commencer la journée.

- Bonjour, chéri, salua Sophie en douceur, il est temps de te lever.

- Bonjour, mon amour, répondit Jean avec un sourire.

Les deux échangèrent un baiser tendre.

- Tu as bien dormi ? demanda Jean en la regardant avec attention.

- Comme un bébé. Tu m'as rendue heureuse hier soir.

- Vraiment ?

- Oui. J'aimerais que nous passions un moment ensemble avant que tu ne partes au bureau.

- Tu es vraiment exceptionnelle, Sophie.

- Que veux-tu que je fasse ? Tu as épousé une femme avec un fantasme particulier.

- Et je ne vais pas t'en tenir rigueur. Pourrais-je au moins prendre quelque chose avant ?

- La table est déjà prête, mon roi. Je n'attendais que toi.

- Déjà ?

- Oui, déjà.

Il sourit, se leva du lit et se brossa soigneusement avant de se rendre à la table où ils prirent leur petit déjeuner. Après avoir terminé, Sophie débarrassa la table puis s'assit sur les genoux de Jean, qui s'apprêtait à se lever.

- Fais-moi l'amour, Jean. J'en meurs d'envie, supplia Sophie, les yeux brûlants de désir.

- Allons dans la chambre, proposa Jean.

- Non, ici. Et j'aimerais que tu déchires mon habit et que tu me pénètres comme si tu me violais, ordonna-t-elle sans détour.

- Sophie, mais...

- Non, fais-le maintenant.

Jean acquiesça d'un mouvement brusque et impitoyable. Il poussa Sophie, la faisant tomber au sol avec un sourire provocateur qui trahissait son excitation. En un instant, il déchira violemment sa robe de nuit, les morceaux de tissu volant dans tous les sens. Il saisit ses seins avec une brutalité sauvage, les pinçant et les maltraitant comme s'il voulait en extraire quelque chose d'indéfini. Il se déchaîna avec une agressivité déconcertante. Il saisit les lèvres de Sophie avec une ferveur presque brutale, les mordillant avec une intensité sauvage.

- Ah, que je me sens bien.

Jean se laissa entièrement envahir par ses instincts les plus primitifs. Chaque geste exprimait une intensité brute et débridée. Ses dents mordillaient les lèvres de Sophie avec une sauvagerie presque bestiale, ses mâchoires se refermant sur elle avec une force qui faisait grimacer Sophie de douleur et de plaisir mêlés. Ses yeux étaient brillants d'une lueur ardente, presque bestiale, tandis qu’il écartait ses jambes avec une détermination impitoyable.

Il se redressa d’un coup sec, écartant l’entrejambe de Sophie avec une brutalité indifférente aux conséquences. La pénétration fut une explosion de férocité ; il s’enfonça en elle avec une force telle qu’elle sembla se briser sous l’impact. Ses mouvements étaient une série de va-et-vient sauvages, chaque poussée résonnant comme un coup puissant, sa rage palpable dans chaque geste. Jean se déchaînait, chaque mouvement de va-et-vient amplifiant l’impression d’un viol sauvage, une démonstration de force pure et sans compromis.

Sophie, ravie par cette brutalité, émit des gémissements qui mêlaient douleur et jouissance. Elle encouragea Jean avec des cris de plaisir, ses mots se transformant en supplications fiévreuses.

- Oui, plus fort ! Vas-y, gifle-moi, donne-moi des coups de poing. Massacre-moi, Jean, je suis ton esclave, implora-t-elle, sa voix tremblante d’anticipation.

Jean, absorbé par sa frénésie animale, saisit le cou de Sophie avec une emprise impitoyable, ses doigts comme des griffes autour de sa peau. Il continua à la prendre avec une force déchaînée, ses coups de poing atteignant ses joues avec une brutalité qui résonnait dans toute la pièce. Chaque gifle était accompagnée d’un cri de douleur et de plaisir de Sophie, son visage marqué par les impacts mais éclairé par un sourire extatique.

Elle mordillait ses lèvres pour contenir ses cris de plaisir, ses mains errant le long du dos de Jean, caressant et griffant à chaque mouvement. Ses jambes se crispaient autour de lui, chaque poussée de Jean provoquant des contractions intenses qui la serraient encore plus fort. Le désir de Sophie était une flamme incontrôlable, et elle cherchait à pousser son mari à se dépasser, à se plonger encore plus profondément dans ses fantasmes débridés.

Jean, dans un état de transe sauvage, ne cessait de combiner gifles, coups de poing et mouvements brutaux. Son sexe, pénétrant profondément en elle, provoquait des frissons à chaque va-et-vient. Chaque poussée semblait déchirer l’espace entre eux, et Sophie, s'accrochant à cette violence, continuait de réclamer davantage.

- Donne-moi tout, Jean ! Oui, vas-y. Prends-moi en levrette s'il le faut, ordonna-t-elle, son corps vibrant de plaisir.

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