Ma première baise avec Michel
Il fallait que je lui répondis immédiatement à mon tour.
« C'est un plaisir partagé »
Et sans plus tarder, mon interlocuteur et moi entamâmes un entretien. Il m'écrivait et moi aussi, je lui répondais. Il me posait des questions et je les lui répondais. Lorsqu'il m'arrivait aussi d'avoir des informations sur lui, je lui adressais mes questions lesquelles je le sentais me raconter des économies de vérité.
Michel et moi avions passé toute la soirée à parler de tout et de rien avant de se souhaiter bonne nuit. À la fin de nos entretiens, je me dirigeai en cuisine pour aller voir ce que mes sœurs avaient cuisiné. Ah oui, il y avait de la pâte de maïs. C'était dorénavant ça ! La pâte de maïs matin, midi et soir. La sauce qui l'accompagnait était tellement pauvre que même un brin de poisson n'y était pas. Voyez-vous ce que devient la vie ? La vie, elle change de couleur en seconde. Nous qui cuisinions avec plein de viande, nous voici sans poisson dans la sauce.
Très irritée, j'avais quitté la cuisine pour venir me recoucher dans mon lit. Cette nuit, j'avais eu l'envie de pleurer. Oui, c'était comme ci je vivais le plus grand malheur de ma vie. Sinon, le matin, j'avais pris la bouillie de maïs ; à midi, j'ai mangé la pâte et cette nuit encore, je devrais manger la pâte. C'était devenu insupportable. Les larmes cherchaient à s'échapper de mes yeux mais je faisais de mon mieux pour les retenir. Efforts sur efforts, elles avaient réussi à s'éclater. Seule dans mon lit, je pleurai pendant plusieurs minutes. Je regrettai pour la première fois ce démon qui aurait hanté ma mère à tenir ces propos contre mon père. Je maudis ma mère pour la première fois de ma vie car, sans elle, on ne serait pas arrivé à ce sordide chapitre de notre vie heureuse. Je pleurai et pleurai encore. Je devinai combien mes fesses se réduiront à défaut de la malnutrition. Oui, je prenais des repas gras et c'est cela qui m'a permis d'être en forme avec mes grosses fesses et mes gros seins. Qu'en serait-il lorsque je ne continuerai pas à prendre de bonnes alimentations ?
***
Quelques jours plus tard.
La relation naissante entre Michel et moi avait commencé à grandir petit à petit. Pour me rendre au cours, il vient me chercher avec sa grosse moto Pc-X. Et d'ailleurs, c'est un grand buzz pour lui de me prendre sur sa moto. Oui, quel homme ne serait pas heureux d'escorter sur sa moto la femme du président d'une nation ?
Je sais qui j'étais ! Personnellement, je connaissais ma propre valeur. Sur le campus, j'étais connue de tout le monde. Oui, j'influençais homme et femme. Quand je passe, tout le monde me regarde. Je ne connaissais mais tout le monde me connaissait. Tout ça, à cause de ma corpulence. Beaucoup de personnes désirent être mes amis mais je ne les calcule pas. Puisque c'est en les calculant qu'ils me conduiront à une mauvaise porte qui ouvrira les malheurs de ce monde dans ma vie.
Quand Michel me prend sur sa moto, il se fait beaucoup de buzz en prenant son temps à me parler. Au lieu de rouler à vive vitesse, il roule lentement. Sur l'asphalte, tout le monde nous regarde. Mon teint clair ajouté à ma beauté et à ma corpulence attirent tout le monde. Lorsque Michel m'emmène sur le portail du campus, il y reste pendant un moment pour se faire remarquer en me parlant des choses qui ne valent vraiment pas la peine. Sur le portail, nous parlons et rions aux éclats. C'est après des minutes qu'il redémarre sa moto pour me laisser aller suivre mes cours.
Avant l'heure de la fin des cours, Michel vient se positionner sur le portail, m'attendant. Lorsque je sors, je monte directement sur sa moto et on rentre. À chaque fois quand il veut me prendre sur sa moto, il ne prend jamais la petite, c'est toujours la grosse. Oui, il en a deux.
Aujourd'hui encore, le voilà qui est venu me chercher. Roulant tout doucement comme d'habitude, on rentra à notre rythme. Depuis que j'ai offert mon amitié à Michel, il était tout le temps disponible pour moi. Il vient à chaque fois quand je lui téléphone.
Cet après-midi lorsqu'il m'emmena sur mon portail, il coupa le moteur de sa moto et de sa voix calme, il me demanda quand est-ce que je lui rendrai visite. À sa question, je souris quelques instants.
– Veux-tu que je te rende visite ? lui demandai-je.
– Si, je veux bien te voir chez moi.
– Que te servira ma présence ?
– Je ne sais pas encore mais je voudrais que tu me rendes visite. J'ai envie d'être tout le temps en ta compagnie.
– Tu es sérieux ?
– Si je ne l'étais pas, je n'allais pas te le dire !
– D'accord, rentre chez toi ; je viendrai là tout à l'heure.
– Tu es sérieuse ?
– Tu ne me crois pas ?
– Je peux te croire parce que c'est la première fois que tu me fais cette promesse.
– Voilà ! Rentre chez toi, tu me verras dans quelques minutes.
– Ok, à tout à l'heure.
– Mais de grâce, je ne mangerai pas à la maison avant de venir ; c'est donc chez toi que je viendrai manger.
– Il n'y a pas de souci ! Heureusement que j'ai déjà cuisiné. Et dis-moi, manges-tu la viande du porc ?
– Oh mon Dieu ! C'est ça que tu as préparé ?
– Si ! Ou bien tu ne manges pas ça ?
– C'est ma viande la plus préférée. J'aime trop cette viande.
– Alors ça tombe bien ! Sinon c'est ça que j'ai cuisiné.
– Toi, tu es trop bon ! Je serai là dans quelques secondes.
– Ou que j'attende pour te…
– Non non non ! Ne te gêne pas ; je connais bien ta maison. Vas-y seulement et sois en train d'apprêter la table.
Michel me sourit et démarra sa moto. Je poussai le portail et me surpris face à face de ma mère.
– Avec qui bavardais-tu depuis ? me demanda-t-elle.
– C'est Michel, un ami du quartier.
– Et que veux-tu aller foutre chez lui ?
– C'est mon affaire et non la tienne ?
– Valentina, c'est à moi que tu réponds sous ce ton ?
– Maman, s'il te plaît, il ne faut pas saler mon humeur je t'en prie. Je suis une grande fille et je suis libre de faire ce que je veux.
– Ah bon ?
– Si ! Je ne suis plus une petite fille qui doit tout le temps vivre sous l'ordre de ses parents. Quitte mon chemin je vais passer s'il te plaît.
Ma mère, très étonnée, s'écarta du seuil du portail et me laissa pénétrer dans la cour.
Sinon, comment peut-elle m'interdire la fréquentation des jeunes gars du quartier ? Elle se prend pour qui ? Pour une mère ? Mon œil.
Je l'abandonnai sur le perron pour me diriger vers la chambre. Je sentais son regard dans mon dos mais je m'en fichais. Arrivée dans ma chambre, j'enlevai mon pantalon qui traçait toutes les rondelles de mon corps. J'enfilai avec rapidité une de mes robes qui me ceinturait aussi un peu et je dévalai les escaliers. Arrivée au salon, j'aperçus ma mère, assise dans les divans. Je ne lui bronchai mot avant de me diriger vers la cour. Je déverrouillai le portail et m'en fus.
Quelques minutes de marche, j'arrivai à la devanture de la grande maison des parents de Michel.
Oui, Michel était aussi né d'une famille modeste. Au commencement, je ne le savais pas. Je le prenais pour un misérable gars jusqu'au jour où il m'indiquât la maison de son père. C'était une grande maison comme la nôtre.
Arrivée sur le portail, je klaxonnai et il sauta de sa chambre pour venir m'ouvrir. Michel était torse nu. Sur sa poitrine, il y avait de petits poils. Or, j'adorais beaucoup les poils ; j'en suis trop fan, sincèrement. J'aime beaucoup les poils. Heureusement que j'en ai, moi aussi. Il m'arrive même parfois de jouer avec ceux installés en surface de ma matrice
J'aime sincèrement les poils.
On dirait que Michel l'avait pressenti en moi, raison pour laquelle il était sorti sans habit pour me tuer d'envie.
Le contact de mes yeux avec sa poitrine me donna une envie folle du sexe. Oui, l'idée d'aller au sexe m'a sur le coup tenté.
– C'est toi ça ? Que tu es beau avec ta belle poitrine ! m'écriai-je.
– Merci ma chère ! Il faut entrer, me proposa-t-il.
Je pénétrai dans la cour et Michel rabattit le portail et me traîna à sa porte. Il avait spécialement sa chambre ; une très belle chambre avec une grande véranda. Sous la véranda, étaient garées ses deux motos. Il me fit entrer dans son salon tout beau.
Je savais déjà qu'il aurait un très bon chez car, la plupart des hommes qui invitent les femmes chez eux ont toujours une belle chambre ; celle à donner l'envie du mariage.
La chambre de Michel, elle était plus que belle que celle de mon père. Les gravures étaient çà et là. Le toit était fait de staff. Tous les murs étaient peints d'un très joli vernis. Une grande télévision écran plasma dormait le long du mur. Il y avait une douce musique qui faisait vibrer la chambre. Les meubles, ils étaient trop jolis et respiraient de l'argent.
C'est comme on dit souvent : devant un village, il y a toujours un autre village.
Mon père, je le prenais pour un homme riche alors que j'oubliais que devant un riche, il y avait encore quelqu'un d'autre plus riche. Les parents de Michel étaient plus riches que mon père. Mon père n'a qu'une seule voiture alors que le père de Michel en a cinq garées dans la cour. C'est comme pour dire que les vrais riches ne se font pas observer. Par contre, ce sont ceux qui n'ont qu'une poignée qui se font remarquer.
– Assieds-toi, ma chère, me murmura Michel.
J'étais hébétée. Moins-un j'allais baver. Pour la première fois de ma vie, j'ai regretté d'avoir tout le temps joué à la dure avec Michel. C'est alors que j'ai compris que c'était une leçon que Dieu voulait me servir en prenant par l'orgueil de ma mère. Si ! Si ma mère n'avait pas été salope avec mon père, je ne serais pas en train de découvrir les méandres de la vie. Après tout, il faut retenir que les vraies leçons de la vie, c'est la vie elle-même qui nous les enseigne.
Je m'assis dans un climat froid ; non, un climat frais.
– Comme je te l'avais promis, on peut passer à table, me dit Michel.
Il commença à servir la table. Lorsqu'il eut fini, il me pria à prendre ma fourchette. En plus des morceaux de viande frits et déposés dans un gros bol, il y avait de l'akassa et de la friture.
– Passons au baptême, me murmura-t-il.
J'étais hypnotisée de ce que me montraient mes yeux. Je m'attendais à tout mais pas à toutes ces surprises. Michel m'avait surpris de la richesse de ses parents. Ils ont même un chien de berger alors que nous, nous n'en avons même pas. Ce seul animal montrait jusqu'à quel point les parents de Michel étaient mille fois plus riches que mon père. J'avais envie de lui demander la profession que menaient ses parents mais ce n'était pas la peine. Je n'aime pas me mêler de l'affaire des gens.
Bouche bée, je saisis ma fourchette pour attraper un morceau de viande dans mon assiette. J'étais lente parce que j'avais perdu toute mon humeur.
– Qu'est-ce qui ne va pas ? demanda mon compagnon.
– Non, ça va ! Toi-même tu sais bien que c'est ma première visite chez toi ! Je ne peux qu'être de mauvais poil.
– Ça, c'est vrai ; renchérit-il.
Nous passâmes plus de trente minutes autour de la table à manger et à boire. Sur l'écran, on suivait une série de film. On mangeait encore lorsque les gouttes de pluie commencèrent à se faire entendre sur la tôle. On dirait que c'était une pluie programmée.
– Je reviens dans un instant, me dit mon compagnon en se levant pour se diriger vers la terrasse. Il y passe quelques minutes avant de revenir le corps un peu mouillé. Seul il savait ce qu'il était allé foutre sous la pluie pour revenir tout mouillé.
– Tu es là ? me lança-t-il.
– Si !
– Je reviens, il faut que j'aille me changer.
Il s'éclipsa pour revenir quelques instants plus tard avec une serviette nouée autour de la hanche. Tout à coup, il eut du délestage et toute la pièce s'assombrit. Il alla ouvrir deux fenêtres qui éclairèrent un tout petit la pièce. Il se dirigea ensuite vers la porte et la rabattit. Avant de la quitter, il l'a verrouilla à la serrure.
– J'ai envie d'aller me reposer dans ma chambre, tu me suis ? me questionna-t-il.
Je savais qu'il avait un projet derrière la tête. Alors, pour ne pas être hypocrite parce que je savais combien la baise pendant la pluie est plus délicieuse que celles des autres temps, j'acceptai de le suivre.
Lorsque nous arrivâmes dans sa chambre à coucher, il me demanda si j'aime regarder du porno ?
Quelle grande fille peut refuser qu'elle n'aime pas regarder les films pornos ? Même l'enfant du pasteur en regarde.
J'acceptai et il lança la vidéo. Il lança la vidéo d'une jeune fille qui avait extrêmement la même dimension de fesse que moi.
– Vois-tu que tu n'es pas la seule à avoir de grosses fesses ?
Je poussai un rire avant d'accepter.
– J'aime les femmes qui ont de grosses fesses car, la baise avec ces genres de femmes donne de l'énergie.
– Tu es sérieux ?
– Je suis sérieux ! Les femmes qui ont de grosses fesses, elles donnent de très bons cris de gémissements.
– Tu en as rencontrée une dans ta vie ?
– Pas encore !
– Et d'où puisses-tu ce gros mensonge ?
– Ce n'est pas du mensonge. Cette vidéo que je t'ai lancée, elle en est la preuve.
Et effectivement, la jeune femme en vidéo, seulement la fellation qu'elle faisait mais on ne pouvait pas entendre. Elle donnait des cris on dirait une femme africaine qui est en train de se faire baiser par un français.
Je me concentrai sur la vidéo. Mon compagnon, excité de la rondelle de mes fesses, n'arrivait plus à se maîtriser. Il longea sa main droite et la posa sur mes fesses.
– Lorsque j'ai touché à tes fesses, j'ai senti une vibration dans le cœur.
– Arrête de dire de n'importe quoi.
– Je ne dis pas de n'importe quoi. J'aime tes fesses.
– Merci ! Tu aimes aussi mes seins n'est-ce pas ?
– Qui va manquer d'aimer les seins d'une femme ? C'est la première des choses qu'un homme chez la femme, voyons !
– Ah ouais ?!
– Je suis sérieux !
Des minutes passaient et l'esprit de faire l'amour avait commencé par me posséder. Je me levai brusquement du lit et m'assis. D'un coup, j'enlevai ma robe et me retrouvai en slip et en soutif.
Pourquoi être hypocrite devant le sexe de l'homme. Quand on grandit, on grandit avec tout. L'hypocrisie, c'est pour les enfants. La maturité, c'est pour les adultes. Et d'ailleurs, le sexe est fait pour les adultes. Je le suis et Michel l'est ; alors pourquoi tourner autour du pot ?
D'un coup, je débarrassai Michel de sa serviette. C'était ce qu'il attendait. Son pénis était déjà en érection. Je le caressai pendant un moment avant de l'enfourcher dans ma bouche. Le pénis de Michel, c'était une grosse une banane.
Je commençai à le sucer et à le rendre plus dur qu'avant. Je le suçai correctement.
– J'aime qu'on me lèche ! Si tu ne me lèches pas, je ne t'offrirai pas mon vagin.
Ah oui ! Je sais très bien que beaucoup d'hommes n'aiment pas lécher la femme mais eux, ils aiment qu'on les suce. L'autre idiot que je payais, malgré mes conditions, il ne m'a jamais léchée et pourtant à la fin de chaque baise, il me prenait dix mille francs.
– J'aime aussi la lèche, me répondit Michel.
À sa phrase, je me couchai calmement sur le dos et lui exposai mon jardin rempli de petits poils caché sous mon slip.
Très déterminé, Michel m'enleva le slip et le soutif. Il approcha sa tête vers la mienne. Il se mit à me caresser tout doucement les cheveux. Doucement, il rapprocha ses lèvres vers les miennes et les caresses buccales s'enchaînèrent. Il me suçait la langue et les lèvres et moi aussi j'en faisais pareil. On avait tous les deux les yeux fermés. On entendait que le battement de nos cœurs et de nos respirations. Sa main droite parcourait mes deux gros seins. Il me palpait les mamelons. Nos langues célébraient des retrouvailles. Ses deux mains me parcouraient pendant ce temps tout le corps. J'avais des perles qui entouraient ma hanche. Lorsque Michel parcourait ses mains dans mes perles, la vibration devenait plus terrifiante. Lorsqu'il me tua complètement d'envie, il dirigea ses lèvres sur mes seins. De sa bouche mouillée, il me tétait comme un bébé tète sa mère quand il a beaucoup faim.
Quelle femme peut dire qu'elle n'aime qu'on la tète ? Peut-être celle hypocrite.
En tout cas, j'étais très contente de ce que Michel faisait de mes seins. Michel me téta correctement avant de se diriger enfin vers le vrai temple du plaisir.
De ses lèvres tièdes, il commença à me lécher. La lèche, façon elle est douce ! Si vous avez un mec qui ne vous lèche pas avant le sexe, sachez qu'il ne vous aime pas.