LA LANGUE DE KEN DANS MON VAGIN MOUILLÉ
Ken, assis à même mon lit, avait sa main tendue sur ma poitrine, mon sein gauche suspendu dans sa main droite.
Éberluée, je l'observais car, ça m'était trop étrange.
– Que faîtes-vous, tonton ?
– Ne dis rien s'il te plaît ; c'est parce que j'aime la rondeur de ton sein.
– Pas question ! Vous êtes le mari de ma sœur.
– Ce n'est pas un problème, Fidélia ; tout est possible en amour.
– Et comment ? Je ne suis pas amoureuse de vous !
– Les sentiments ne peuvent jamais être les mêmes sinon moi, je t'aime.
– C'est une abomination dans notre famille ! m'exclamai-je en changeant de position sur le lit.
J'attrapai le gros linge qui se situait sur le lit et me drapai avec. Mon compagnon changea aussi de position et me rattrapa sur le lit.
– Tonton, quel est votre problème au juste ? m'enquis-je.
– Arrête d'être dure avec moi, s'il te plaît. Pour t'être franc, tu me plais beaucoup. Depuis hier que tu es arrivée dans cette maison, je te jure que mon cœur n'a point arrêté de battre pour toi…
– C'est de la foutaise, tonton ! Après tout, vous êtes l'époux de ma sœur et en plus, je suis une petite fille.
– Arrête de dire de n'importe quoi, Fidélia. Une femme qui a déjà les seins n'est plus une petite fille. Et laisse-moi te dire une chose : je veux qu'on s'aime en silence sans que personne n'en soit informé. Et laisse-moi te dire encore une chose : si tu acceptes ce deal, je ferai pour toi. Je te créerai un compte en banque et tu auras beaucoup d'argent là-dedans. La vie de ta sœur ne te plaît-elle pas ?
– Si !
– Alors, sache que c'est moi qui ai changé toute sa vie. Cette voiture que tu vois qu'elle roule, c'est moi qui lui ai achetée ça. Ou crois-tu que quelqu'un pourrait le faire si ce n'est pas moi ?
– Non, elle m'a déjà raconté beaucoup de choses sur toi.
– Voilà ! Comme tu la vois, ce sont des produits textiles qu'elle vend. J'ai fait de ta sœur une grande commerçante internationale. Elle est reconnue en Italie et j'ai déjà lancé un nouveau processus pour qu'elle soit encore reconnue en Inde et en Californie. Crois-tu qu'il est encore des hommes de mon genre dans le monde actuel ?
– Non !
– Voilà ! Alors, si tu acceptes le deal, je ferai exactement tout pour toi comme je suis en train de le faire à ta sœur. J'ai de l'argent et tu sais que quelqu'un qui a de l'argent a pratiquement tout ! Accepte seulement et tu verras. Non seulement je t'apprendrai à rouler une voiture mais aussi je t'en achèterai.
Les paroles de Ken me touchaient le cœur. Oui, elles me vibraient le cœur et je me demandais s'il fallait laisser tomber cette belle opportunité.
Tête basse, je réfléchissais. Il est toujours d'actualité que les sœurs se battent pour un seul homme. S'il en est ainsi, ce n'est pas par moi que ce phénomène commence.
Emportée dans mes imaginations, je pensais au présent et au futur quand j'ai soudainement senti la main de quelqu'un me toucher la joue droite. Je sursautai avant de me surprendre face-à-face de Ken.
– Que dis-tu ? Tu es d'accord ?
D'un souffle coupé, j'acceptai.
– Merci d'être à moi, dit-il, très heureux.
– Mais j'ai peur !
– De quoi ?
– De ma sœur.
– Ta sœur ne soupçonnera rien. Et tu sais, elle n'est jamais à la maison. Parfois, l'envie de lui faire l'amour me tente et voilà qu'elle n'est jamais là pour moi. Depuis que ses activités ont commencé par marcher, c'est uniquement les nuits que je satisfais mes désirs sexuels et parfois, elle me dit encore qu'elle est fatiguée. Cela fait longtemps que je me masturbe dans cette maison pour satisfaire mes désirs sexuels…
– Quoi ? Tu te masturbes ?
– Si ! Parce que celle que j'ai comme femme n'a pas du tout mon temps et que voudrais-tu que je fasse ? Voilà pourquoi quand elle m'a parlé de la mort de votre père, je lui ai demandé de te faire venir rester chez nous. Donc, relaxe-toi, notre amour sera silencieux.
J'écoutais silencieusement Ken. Après tout, il avait raison de courir après moi. Ma sœur n'a pas le droit de lui priver le sexe car, c'est pour ça qu'il l'a prise en mariage. Pourquoi lui refuser alors le sexe ? Il n'y a jamais de fumée sans flamme dit-on.
– Ok, je suis d'accord de tes avances. Il est vrai que je ne t'aime pas encore mais laisse-moi te dire que je t'apprécie déjà. Et puisque je t'apprécie, sache que c'est déjà un grand pas car, on ne peut acheter quelque chose sans l'apprécier d'avance. Je te promets qu'avec le temps, je t'aimerai. À toi de m'aider à t'aimer plus vite.
– Ne t'inquiète pas, ma chérie ! Je sais comment t'aider pour que tu m'aimes aussi vite que je l'aurais souhaité. Tu es belle et très ravissante.
– Merci !
– Tu as un corps souple et gracile.
– Merci beaucoup.
– Et lorsque je te regarde, mon cœur bat.
– Merci.
– Tu as une beauté très extraordinaire.
– Merci !
– Tu as également un très joli sourire.
– Merci beaucoup.
– Quand je te regarde, je me vois sur tes yeux.
– Merci !
– J'aime tout de toi, si tu savais.
– Merci tonton Ken.
– J'aime quand tu appelles mon prénom.
– Merci de tout ! Depuis que mon père est mort, toute la joie qui a toujours égayé mon cœur et mon âme m'a fui. Tous les jours, j'ai pleuré la cause de la mort de mon père. Si tel que tu es jovial, tu le seras avec moi pour toujours, qui suis-je pour ne pas t'offrir mon corps, mon cœur et mon âme ? Je t'offrirai tout de moi car, mon corps ne m'appartient pas ; il appartient plutôt à l'homme de ma vie. Fais tout possible pour être cet homme destiné pour ma vie.
– Je le serai et je le suis déjà.
Volontairement, je m'agenouillai sur mes deux genoux et me traînai vers lui. Je me jetai dans ses bras et m'y abandonnai toute nue. De ses mains fraîches, Ken attrapa mes deux seins. Ma tête calée sur ses jambes, il baissa doucement sa tête et localisa mes lèvres avant de me poser un baiser sur elles. Sa main droite me parcourait les deux seins pendant que sa bouche me suçait les lèvres. Des yeux fermés, je m'étais abandonnée à ses actions. Ken me palpait les seins et ma langue était suspendue dans sa bouche. Pour la première fois de ma vie, je sentais la salive d'autrui couler dans ma bouche. La salive était succulente ; oui, elle était douce comme de la patate douce. Je me sentais au paradis parce que les touchers m'avaient fait voyager dans les cieux. Ken, très attaché à ma bouche, il me suçait les deux lèvres simultanément et finissait sur ma langue. Moi de même, je suçais ses lèvres et recevais dans ma bouche sa salive.
Bien que j'étais loin et très loin de la planète terre, j'ai au moins remarqué que quelque chose se passait entre mes jambes. C'est alors que j'ai envoyé ma main droite dans ma partie intime et j'ai constaté qu'un liquide me coulait.
– Mon Dieu, m'écriai-je en sursaut, j'ai uriné sur mon lit.
Ken sourit et me murmura :
– Ce n'est pas de l'urine, ma chérie ; c'est un jus que beaucoup d'hommes aiment sucer de la partie intime de la femme.
– Quoi ? Mais c'est gluant !
– Oui, c'est parce que c'est gluant que les hommes aiment le sucer.
– Donc toi, tu peux le sucer ?
– Avec plaisir ! J'aime trop sucer ça.
– Je ne peux pas te croire sauf si je te voir à l'action.
Tout sourire, Ken me fit coucher sur le dos et m'écarta les jambes. Et comme il venait de le dire, tout doucement, il a placé sa tête entre mes jambes et a commencé à me sucer le liquide.
– On appelle ça la lèche, me dit-il avant de continuer.
Et voilà, Ken me fait la lèche. Façon que c'est doux ! Non, la lèche, elle est trop douce.