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Oh, Ken m'a déchirée

Couchée sur le dos, je sentais la bouche humide de Ken errer autour des lèvres de mon vagin. J'avais nouvellement taillé mes poils. Vous vous demanderiez quel âge ai-je pour avoir poussé déjà les poils jusqu'à les tailler. À cette question qui vous passerait à l'esprit, je vous répondrai douze ans. Oui, douze ans. Laissez-moi vous dire que douze ans n'est pas très peu au contraire, c'est assez. Tout dépend après tout du régime. Ma corpulence, elle ressemble à celle du grande fille de seize ans. Très tôt, j'ai poussé. J'avais neuf ans quand j'ai commencé par pousser les seins. Imaginez ce que serait devenue ma poitrine en un an ; deux et puis trois. Les fesses, n'en parlons pas. Dieu m'en avait donnée en abondance. La corpulence, elle était au top. Et d'ailleurs, si je sors avec ma grande sœur, si on ne nous observe pas bien, on croirait que je suis la plus grande. Par conséquent, c'est bien possible que Ken tombe amoureux de moi.

En effet, Ken tournait sa langue et ses lèvres barbues autour de ma chatte. Ce liquide gluant qui me coulait, j'ai fini par constater son absence car, Ken le suçait au fur et à mesure que ça me coulait. Des yeux fermés, je sentais son doigt me pénétrer l'anus. Je ne saurais expliquer ce que cherchait le doigt d'un blanc dans l'anus d'un noir. En tout, il avait son doigt dans mon anus. Pendant qu'il me doigtait l'anus, sa bouche était calée sur ma matrice. Il suçait les lèvres de mon vagin et respirait comme un athlète revenu d'une course d'endurance. Pendant ce temps, j'attrapais le drap et m'étirais de toutes mes forces.

Oui, dans mon corps, passait une sensation très douce. Je hurlais comme un chat affamé. Je m'étirais sur le lit. Poussant ma main droite sur la poitrine, je surpris mes deux tétons debout comme un pistolet suspendu en position de tir. Oui, mes tétons étaient debout et donnaient l'envie d'être sucés.

Ken abandonna mon anus pour se préoccuper davantage de mon vagin. Cette fois, il localisa mon clitoris et le repéra. Oh non, c'était l'organe le plus sensible de la femme.

Ken l'attrapa dans sa bouche et le suçait comme un bébé suce le mamelon de sa mère. De sa bouche, Ken m'envoyait me balader au septième ciel. Oui, j'étais couchée sur le lit mais je me voyais hors du monde. Je m'en foutais de ce qui pourrait arriver car, j'étais très loin de savoir si la porte de ma chambre avait été fermée à clef ou non. Je ne pouvais pas réclamer cela sinon, le goût me quitterait l'âme alors que je voulais qu'il grandisse que de diminuer jusqu'à quitter mes veines.

Pendant treize minutes voire quinze, Ken m'avait fait la lèche. Je ne savais pas ce qu'on appelait la lèche. Papa et maman ne m'ont jamais parlé de cela auparavant. À la télé, lorsque nous suivons un feuilleton et qu'il arrive le moment aux blancs de s'embrasser, soit papa ou maman attrape la télécommande et saute la chaîne parce qu'ils ne veulent pas que je découvre les secrets de l'amour.

En effet, Ken m'a bien nettoyé le vagin de sa bouche. Il n'a même pas cherché à savoir si je fais les toilettes ou non avant de plonger sa bouche là-dedans. Ce qui était encore pire en tout, il me fallait aller faire les ablutions matinales pour dégager la mauvaise odeur que dégagent les vagins tous les matins. Mais mon gars, assoiffé et affamé de ma chatte, m'avait rendu son service de nettoyeur. Il m'avait tellement dévoré le cul que je me demandais intérieurement si c'était ce que faisaient tous les hommes avant de passer à l'acte sexuel proprement dit.

– Qu'on passe à l'action ? me chuchota-t-il.

Automatiquement, je lui fis non de la main.

– Et pourquoi ?

– Parce que je ne suis pas encore prête.

– D'accord !

Ken, sans plus ajouter un mot, se leva et se dirigea vers la porte. Toujours couchée dans le lit, je revivais aux diverses scènes qui venaient de se produire. Je passai plus d'une dizaine de minutes à repenser à l'amusement de Ken et moi. Je finis par me lever pour me diriger sous la salle de bain.

***

Dix heures étaient l'heure qui m'avait accueillie dans le salon. Ryan, assis à même la moquette, jouait à un jeu sur sa tablette. En sa compagnie, était assise la domestique. Celle-ci lui montrait les principes du jeu. Le petit garçon, concentré sur son jeu, ne calculait personne. Et moi, je m'étais dirigée à la table de manger. Sur cette table, était suspendue une grosse glacière. Cette glacière contenait le thé chaud. Je m'assis et me servis. J'attrapai un morceau de pain et commençai à prendre mon petit déjeuner. Ken n'était pas dans le salon ; soit il était sorti de la maison ou soit il était dans leur chambre conjugale.

– S'il vous plaît tata, lançai-je à l'adresse de la domestique, pouvez-vous fausser compagnie à Ryan et venir s'il vous plaît ?

La jeune employée se leva tout sourire et murmura au petit : « je te reviens dans quelques minutes, ok ? ».

Le petit ne pipa mot car, son jeu lui était plus cher que ce que lui disait la domestique.

– Me voici, tata ! me dit-elle lorsqu'elle arriva tout près de moi.

Je lui souris avant de lui demander de s'asseoir. Elle obtempéra.

– On m'appelle Fidélia ; j'ai douze ans et bientôt, treize. Je suis la sœur de votre patronne. Puis-je vous connaître d'identité s'il vous plaît ?

– Avec plaisir, mademoiselle Fidélia. On m'appelle Aubierge ; j'ai vingt-deux ans. J'ai été employée ici il y a quelques mois seulement.

Mon interlocutrice, ayant fini de se présenter, se tut et m'observait.

– Enchantée de faire ta connaissance, tata Aubierge. Alors dis-moi, est-ce que monsieur Ken est gentil avec toi ?

– Bien sûr ! Il ne me traite pas comme un patron traite son employé. La preuve : ne me vois-tu pas assise sur les chaises ? S'il ne l'était pas, serais-je ici tu crois ?

– C'est vrai, c'est une preuve tangible. Parlons maintenant de ma sœur ; est-elle gentille avec toi ?

– Pour t'être franche, personne ne me traite comme une employée dans cette maison. Je suis heureuse en fait et je ne regrette rien.

– D'accord ! Je voudrais que toi et moi devenions des amies inséparables.

– Pas de panique, ma chère. Tonton, tantine, le petit Ryan et moi avions formé une petite famille. Et puisque tu es venue, je me dirai simplement que le cercle de notre famille a grandi davantage.

– Merci ! Alors dis-moi, lorsque ma sœur quitte la maison, à quelle heure revient-elle ?

– Depuis que je suis venue dans cette maison, je ne l'ai jamais vue revenir avant dix-neuf heures. Vingt heures a toujours été son heure de retour à la maison.

– Et connais-tu pourquoi elle passe tout ce temps en ville avant de rentrer ?

– Je ne pourrais le dire mais tout ce que je sais, elle n'a jamais le temps.

– D'accord, merci de ces détails. Tu peux rejoindre le petit garçon, merci !

Aubierge se leva et rejoignit le petit. Et moi, au lieu de finir mon thé, j'abandonnai la table et me dirigeai vers Aubierge.

– S'il te plaît tata Aubierge, peux-tu m'orienter vers la chambre de ma sœur ?

– Bien sûr mais ta sœur est déjà sortie de la maison très tôt le matin.

– Je le sais !

– Voudrais-tu parler à Monsieur Ken ?

– Si !

– Ok ! Monte les escaliers et lorsque tu seras arrivée en haut, regarde à ta droite et tu verras la porte de leur chambre.

– Ok, merci beaucoup !

Je montai les marches d'escaliers à la hâte et lorsque j'arrivai à destination, je fixai mon côté droit et aperçus une porte. Je toquai et au bout de quelques secondes, Ken vint m'ouvrir la porte.

Après mon bain le matin, j'avais enfilé une petite jupe. J'avais mis de côté l'idée du port de slip. J'avais ensuite porté un petit maillot. Le maillot était transparent si bien que les bouts de mes seins étaient visibles.

– Que tu es belle ! s'écria Ken, un large sourire calé autour des lèvres.

– Merci !

– Entre s'il te plaît !

– Non, je ne pourrai pas car, le lit conjugal est un matériel sacré. Si tu veux vraiment de moi, rejoins-moi dans ma chambre mais bien avant, demande un service à Aubierge ; il ne faudrait pas qu'elle te voie venir dans ma chambre.

– Ne t'inquiète pas, ma petite chérie ; je vais lui demander d'aller m'acheter d'unités et pendant ce temps, on sera en train de manger notre amour.

– C'est une très belle idée ! On se coince dans ma chambre.

Et sans plus tarder, je quittai Ken et me retournai au salon.

– Tu l'as vu ? me questionna Aubierge.

– Si, je l'ai vu ! J'étais allée lui dire bonjour.

– Ah, je vois !

– Je suis très fatiguée ! Je vais dans ma chambre me reposer.

– D'accord !

Et j'abandonnai Aubierge et Ryan pour me diriger dans ma chambre. J'étalai rapidement un drap sur le lit et commençai à compter les secondes. Oui, j'étais pressée que Ken vienne continuer ce qu'il avait commencé le matin. Fatiguée de m'asseoir, je m'allongeai sur le lit. Je repensais aux caresses du matin lorsque soudain, j'entendis les pas de quelqu'un dans ma chambre.

– Tu es enfin arrivé ?

– Si, je suis là !

– Et Aubierge ?

– Elle est déjà sortie avec Ryan pour aller m'acheter les unités d'appel.

– D'accord ! Laisse-moi aller verrouiller la porte.

Je me levai et allai verrouiller la porte. Je revins et me jeter dans les bras de Ken. Comme un bébé sur ses jambes, il baissa la tête et me fit un baiser sur les lèvres. Doucement et calmement, il commença à me caresser les joues. Des joues, il monta les mains vers mes cheveux et me les caressait. Des cheveux, il fléchit sa main droite sur ma poitrine. On se suçait les lèvres, lui et moi. Il me faisait avaler la salive de sa bouche et moi aussi, je lui faisais avaler celle de ma bouche.

Les caresses devenaient intenses et doucement, il traîna sa main sous ma jupe et commença à me doigter. Ses manières de me tuer d'envie me poussèrent à me déshabiller volontairement. De nouveau, il me caressa correctement et me blanchit comme une neige. Il me fit coucher sur le lit et m'écarta les jambes. Une fois encore, il me lécha correctement le vagin avant de me demander si je serais d'accord qu'il me pénètre. Cette fois, j'acceptai. Tout heureux, il enleva sa ceinture, massa correctement sa bite qui était déjà en érection depuis son pantalon et tout doucement, il commença à l'introduire dans ma partie intime. Je fermai les yeux pour ne pas crier. Plus la bite pénétrait doucement dans mon vagin, plus je serrais les dents parce que je n'avais jamais tenté cette aventure. Je poussais le « sssssss » parce que j'avais mal. Je serrais les dents et me mordais les lèvres parce que je sentais une atroce douleur. Mais ça ne m'étonnait pas en fait. Je me rappelle qu'un jour, l'une de mes camarades d'école m'avait dit que la première et la deuxième fois, ça fait mal mais qu'à partir de la troisième et de toutes les autres fois, c'est le paradis sur terre. Qui étais-je pour ne pas me fier à cette douleur pour entrer dans le monde des grandes personnes ?

En effet, j'avais les yeux fermés et sentais le va-et-vient de Ken en moi. Pour me diminuer les douleurs, Ken avait attrapé mes deux seins dans ses mains et les palpait. J'avais mal en bas et vivais la joie autour des seins.

Pendant dix minutes, LE MARI DE MA SŒUR et moi fîmes l'amour.

– J'ai juste ouvert un tout petit peu le trou, demain, nous allons continuer et petit à petit, tu verras combien le sexe est doux, me chuchota-t-il dans les oreilles.

J'avais mal dans ma partie intime. Elle me brûlait si bien que je me suis donné la peine à aller voir ce qui se passait. Ma main que j'envoyai pour calmer mon vagin me revint avec du sang.

Oh mon Dieu, Ken m'a déchiré le vagin.

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