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Je ne voulais pas lui parler de Léa, dans trois séances tout sera terminer, et je veux oublier ce qu'il c'est passer dans les douches, encore une fois j'ai fait du mal à une personne innocente et je ne veux plus que ça arrive.

- Non, c'est terminé ?

- Elle : Avant que partiez j'aimerais que vous racontez tout depuis le début. Vous êtes tourmenter par quelque chose Zaïr, et vous laissez partir sans essayez de vous aidez ferais de moi une très mauvaise psychothérapeute.

Je la regarde droit dans les yeux puis quitte son bureau sans rien ajouter, je suis tourmenter par quelques choses, c'est pas aussi facile que ça d'en parler, depuis mon retour je me terre dans mon appartement et je n'en sors que très rarement j'ai du mal à refaire confiance avant de partir ma vie social n'était pas aussi ennuyante mais depuis que je suis revenue je n'arrives plus à affronter le monde extérieur.

[…]

Je relâche la barre de traction, je m'essuie le visage avec ma serviette puis attrape la bouteille d'eau, alors que je m'apprêtais à recommencer la porte de mon appartement sonne, j'enfile un tee-shirt rapidement puis pars ouvrir.

- Lahna : Salut.

Je me pousses pour qu'elle puisse rentrer, elle regarde autour d'elle pendant quelques secondes avant de me refaire face.

- Elle : Tu vas bien ?

- Ouais, qu'est-ce que tu fais ici ?

- Elle : J'ai croiser ta grand-mère qui m'a dit que tu étais revenue.

- Tu veux boire quelques chose ?

- Elle : Je veux bien un jus d'orange.

Elle part dans le salon pendant que je lui sers un verre de jus de fruit.

- Elle : Tu es revenues depuis longtemps ?

- Trois mois.

- Elle : Comment c'était là-bas ?

- C'est la guerre Lahna tu t'attends à ce que je te décrient tous ?

- Elle : Pardon c'est juste que je ne sais pas quoi te dire.

- […]

- Elle : Tu m'as beaucoup manquer tu sais.

- C'est toi qui à tout arrêter.

- Elle : Tu t'attendais à ce que je t'attendes ? Puis un jour on m'appelle pour me dire que tu es mort ? Je ne suis pas assez fortes Zaïr.

- Ou alors peut-être que tu m'aimais pas autant que tu le disais. Je t'en veux pas, je suis juste fatiguer.

- Elle : Pardon alors, je te déranges pas plus longtemps.

Elle repose le verre puis quitte rapidement la pièce, la revoir m'a rappelé à quel point le temps passe vite, il y à trois ans on organisaient notre mariage puis j'ai pris la décision de tout quitter elle disait m'aimer je pensais qu'elle m'attendrais mais un an après mon départ elle m'a envoyer une lettre pour me dire qu'elle avait rencontrée quelqu'un.

Après cela je n'ai plus jamais chercher après elle, pourquoi le faire ? Après tout elle avait trouver quelqu'un d'autre tant mieux pour elle, je ne suis pas un de ses hommes qui cour derrière une femme, sauf si elle en vaut réellement la peine, avec le temps je me suis rendue compte que ne pas avoir épouser Lahna était la meilleur décision que j'ai prise, on aurait finit par divorcer au bout de d'un ans voir moins.

Contrairement aux autres soirs, ce n'est pas de sang et de chair que j'ai rêver, mais de se fameux regard qui m'a tant troubler l'autre nuit, cette image était à présent graver dans mon crane je suis sûr d'avoir vu cette fille un jour mais sans savoir pourquoi je ne me rappelais plus ou exactement, elle m'avait comme envouter pour la première fois en trois mois ce n'est pas la guerre qui m'a empêcher de dormir, ce ne sont pas les cris et les bruits sourds des roquettes qui on tournée dans ma tête durant toute une nuit, non, ce soir là, c'est une femme qui à pris possession de mon esprit, une femme que je n'ai croiser qu'une seule fois dans ma vie et pourtant je n'arrives pas à l'oublier, j'avais l'impression d'être ensorceler.

Même Lahna avec qui je suis rester deux ans n'a pas réussit à me rendre ainsi, je n'ai jamais passer une nuit à penser à elle, pourtant je la connaissais très bien avant d'être ensemble nous étions amis. Pourquoi une simple inconnue arrive à me mettre dans un état pareille ?

Il faut absolument que je la revoies j'ai besoins d'être sûr, j'ai besoins de savoir si nous nous sommes déjà croiser, peut-être que si je lui en parles elle pourra m'aider à comprendre.

Il est minuit, je doutes qu'elle soit encore dehors à une pareille mais je suis quand même sortis, arriver devant le grec de Majid je regarde autour de moi mais ne trouve rien, il n'y avait personne dehors, j'étais déçu mais à quoi je m'attendais qu'elle soit forcément là parce que je le voulais, j'ai attendue une vingtaine de minutes mais rien, toujours personnes, j'ai finit par quitter les lieux.

Les jours qui on suivis j'ai continuer à venir parfois dans la journée d'autre fois durant la soirée mais je ne la voyait jamais, pourtant un jour alors que j'étais venue récupérer ma commande, bien avant qu'elle ne m'aborde je l'avais vu mais de dos toujours avec cette capuche et cette énorme sweat. J'ai continuer à venir puis j'ai finalement laisser tomber, elle occupais toujours mes pensé surtout durant la nuit, j'avais comme des flash je revoyais son regard perçant sur moi pourtant il n'avait rien de bien particulier mais cette lueur qu'il y avait des ses yeux pouvaient mettre le plus grand des voyou à terre.

J'avais l'impression de devenir fou, le docteur à peut-être raison, il serais tant que je parles enfin de tout ça mais c'est bien trop frais, j'ai trop de sang sur les mains, beaucoup trop et avec le temps j'ai l'impression qu'il c'est accumuler. Pourtant, j'ai l'impression d'avoir besoin d'elle ou peut-être que c'est elle qui à besoins de moi, peut-importe ce qui est sûr c'est qu'il faut absolument que je la retrouves.

- Yemma : Je vais passer à la banque sortir de l'argent.

- Tu vas aller prendre de l'argent ?

- Elle : Oui.

- J'ai pris du liquide, on y va.

- Elle : Non, je préfères payer.

- C'est bon on y va c'est rien.