7
.
- Rayan : Ne durée pas. Nous dit-il avant qu'on s'en aille.
Selma m'amène ensuite dans sa chambre et me fit m'assoir sur le lit.
- Selma : Attends moi j'arrive. Dit-elle se dirigeant vers son dressing.
????? ???????.
Je regarde Selma partir avec Inaya et après c'était autour de ma mère.
- Malika : J'ai aussi des cadeaux pour Inaya, Leila tu viens m'aider ?
- Leila : Bon d'accord. Elle parti avec elle en boudant.
Restait plus au salon que moi, Mon frère et mon père.
- Muhammed (Le cheikh) : Tu viens avec moi mon fils ? Me demanda mon père en posant son bras sur mon épaule.
- Moi : Oui papa. Dis-je le suivant.
- Ali : Je me joins à vous ou..? Demanda t'il assis sur le canapé en croquant une pomme ?
- Muhammed (Le cheikh) : LES LÂCHES N'ONT PAS DE PLACE AVEC NOUS !
- Ali : Super !
- Muhammed (Le cheikh) : Et s'il te plaît soit un homme pour une fois et ramène ta femme !
- Ali : Je me fous que tu penses je ne suis pas un homme OK ?! Au moins moi je suis humain. Réplique t-il. Ma femme est aller voir ses parents malades je lui dirais de rentré que quand ils iront bien c'est clair Mr Muhammed Badaoui ?!
- Muhammed (Le cheikh) : Tu...?
- Moi : Non papa ne t'énerve pas. S'il te plaît vient avec moi. Dis-je l'amenant avec moi.
Ali et papa ne ce sont jamais comprises depuis l'enfance. Ils passent tous leurs temps à se disputer tous les deux et si j'interviens pas sa court direct au scandale. Je vous dis pas combien de fois Ali a été renier et saché de la maison par papa et chaque fois je suis obligé d'intervenir pour qu'il le réacepte de nouveau dans la famille mais entre eux le courant n'a jamais passer car ils voient pas les choses de la même manière tous les deux. Tandis qu'Ali est un rêveur et amoureux de la vie papa est tout le contraire, Il est réaliste lui et Ali n'aime pas et déteste sa façon de faire les choses pour lui rien ne compte à ses yeux autre que sa personne lui-même et les autres c'est que des pions qu'il aime guider et manipuler comme il désire. Sauf qu'il se trompe, Papa est tout sauf ça et j'ai essayé de lui faire comprendre plusieurs fois que c'est juste sa façon d'aimer et de protéger sa famille mais lui ne comprends pas.
????? ??????.
Selma revient du dressing avec une boîte de bijoux dans les mains.
Elle se pose sur le lit à côté de moi et tends la boîte vers moi puis l'ouvre à la découverte d'un magnifique bracelet en or.
- Selma : Voici mon cadeau pour toi belle-sœur. Dit-elle en me regardant.
- Moi : Ça ? Dis-je pointant du doigt au bracelet. Tu veux dire que ça c'est pour moi ? Demande-je intriguée.
- Selma : Oui c'est pour toi. Répondu t-elle en sortant le bracelet de la boîte.
Elle prend ensuite ma main et porte le bracelet à mon poignet.
- Selma : Elle est magnifique sur toi et finalement je me suis enfin débarrasser de ce bracelet, Jusque là je me demandais à quand je pourrais l'enfiler à ma 2e belle-sœur sa jumelle est parti depuis longtemps.
- Moi : Sa jumelle ? Dis-je d'une mine ne comprenant pas.
- Selma : Oui sa jumelle, Enfaite elles étaient deux la première se trouve avec Zineb.
- Moi : C'est qui Zineb ?
- Selma : La femme d'Ali, Ma première belle-sœur. Enfaite j'ai acheté ses bracelets à l'approche de son mariage, Je me souviens avoir beaucoup galerer à comment lui trouver un cadeau et alors que je me rendais au centre commercial avec maman qui elle aussi avait des cadeaux à acheter pour la famille de Zineb j'ai vue ses bracelets et j'ai les ai immédiatement voulu pour Zineb mais y'avait un problème ça coûtait trop cher et j'ai du demandé de l'aide à maman, Elle m'a donc aidé à payer les bracelets à condition que je donne une à Zineb et que je garde l'autre pour la future femme de Rayan et elle l'a dit parceque je l'avais vider et elle avait précisé qu'elle ne m'aidera pas avec le cadeaux de la femme de Rayan donc à moi de voir et pauvre que je suis je n'ai pas eu le choix, Ce qui restait clair il était impossible que ma belle-sœur rentre dans ma famille sans avoir un cadeaux de bienvenue de ma part.
- Moi : Je vois. Dis-je nerveusement. C'est si gentille. Souris-je.
J'avais passé tous le temps de son discours à la fixée avec un sourire léger.
- Selma : Je t'en prie et bienvenue dans la famille Inaya suis trop contente d'avoir une 2e belle-sœur j'espère qu'on pourra s'entendre aussi bien que moi et Zineb.
- Moi : Merci Selma, Je l'espère aussi.
Et on se fût un câlin.
C'est tellement dur de croire qu'ils portent le même sang. Y'en a d'entre eux ils sont gentils et tout alors que lui...UN CONNARD DU 1e DEGRÉ.
Un connard suivant les traces de son connard de père !
*?????????? : Inaya ?
J'ai t'ai pas sonnée toi !
????? ???????.
Je m'étais poser avec mon père dans son bureau et nous parlions.
- Muhammed (Le cheikh) : Est-elle ce que tu espère d'elle ? Je sais que c'est trop tôt pour en dire quoi que ce soit sur elle mais tu dois quand-même avoir appris un peu à lire en elle durant ses 4jours je me trompe ?
- Moi : Pour le moment ça va en plus je m'occupe. Répondis-je.
- Muhammed (Le cheikh) : D'accord filston. Dit-il tapotant mon épaule. Et j'imagine que tu sais déjà les responsabilités qui t'attends ? Je parle de la ligné familiale. Comme tu as pu le voir Ali n'a pas eu de fils et à la place sa femme lui a donné une fille elle est enceinte aussi pour la 2e fois mais honnêtement je ne compte pas sur lui pour donner un fils à cette famille. Il se met en face de moi et posant sa main sur mon épaule. C'est sur toi je compte pour continuer la ligné de cette famille Rayan. Déclare t-il me fixant dans les yeux.
Et moi je soutiens jute son regard sans dire un mot.
- Muhammed (Le cheikh) : Cette famille c'est de toi qu'il en a besoin filston et un jour quand je ne serai plus là tout ça te reviendra de droit car oui tu seras mon héritier et d'ici avant là je dois m'assurer que tu sois prêt physiquement, Mentalement, Émotionnellement..ET QUE TA VIE DE FAMILLE SOIT ASSURÉ CAR C'EST AUSSI ÇA UN VRAI HOMME. Tu vas donc me faire plaisir de fonder cette famille et me prouver que j'ai bien raison de miser toute ma confiance et mes efforts sur toi tu m'entends filston ? En tapotant ma joue.
- Moi : Oui papa.
- Muhammed (Le cheikh) : C'est bien. Soupire t-il. C'est très bien fils.
On restèrent là un peu à discuter seules avant de rejoindre les autres. Inaya, Mes sœurs et ma mère y étaient déjà et après avoir fais monter tous les cadeaux dans la voiture je vais vers ma mère qui était sortis jusqu'à dehors pour nous accompagner.
- Moi : Aurevoir maman. Dis-je embrassant sa main et son front.
- Malika : Aurevoir mon fils. Caressant ma main avec une mine triste.
J'embrasse une fois de plus son front et tourne les talons mais elle me retient.
- Malika : E..est-ce-que je peux te demander quelque chose mon fils ?
- Moi : Bien évidemment, Allez-y mère.
Elle regarde de gauche à droite puis se rapproche de plus près de moi.
- Malika : Je sais qu'il te monte la tête mais s'il te plaît c'est qu'une enfant et de plus une simple innocente, Traite là bien Rayan je t'en prie c'est un pêché de traiter mal sa femme.
- Moi : Et tenir tête à son mari n'est-il pas un pêché ? Haussé la voix sur son mari n'est-il donc pas aussi un pêché maman ?
Elle me fusille du regard sans rien dire.
- Moi : Vas-y maman réponds moi toi qui a bien lis tout le coran tu devrais savoir cela non ?
- Malika : Rayan non c'est pas...
- Moi : Bye maman ! Je l'interrompu puis l'embrasse sur le front une 3e fois avant de m'éloigner.
Je retrouve Inaya dans la voiture puis fais un sourire à ma mère et je démarre.
- Inaya : (Au fond) Ça alors ! Il sait être doux et il sait sourire.
...
Il est 23h et nous venons d'arriver. Rayan me laisse seule avec les bagages et entra dans la maison. J'ai dû faire 3fois le tour entre la maison et la voiture pour arriver à transporter tous mes cadeaux offertes par ma belle-famille.
Bref je déballe tout et que des fringues de haut qualités comme des hijab, Des foulards, Des voiles, Des Abayas, Des talons etc...
Je range tout dans mon armoire et je pars prendre une douche avant de venir m'assoir devant ma coiffeuse. Je me regardais dans la glace tout en essuyant mes cheveux mouillés avec une petite serviette et repensant à ma conversation plutôt avec ma belle-mère et de toutes les remarques que j'ai eu à faire aujourd'hui dans cette famille. Qui aurait crû ? Ma belle-mère a subit et continue de subir à cet âge la même chose que je subis en ce moment. Est-ce aussi ce qui m'attends si je reste dans ce mariage ? Subirais-je le même sort jusqu'à la fin de ma vie ? Non impossible ! Je ne peux pas et je ne vais pas finir ma vie ainsi, Je refuse de vivre comme ça pour les restants de mes jours et peut-être même mourir avant l'heure comme l'a dit ma belle-mère sur sa belle-mère à elle morte par les coups de son mari.
Non Rayan avec moi tu ne pourras pas.
Apprête toi donc à voir du changement en Inaya mais c'est pas grave c'est un changement qui va beaucoup te plaire reste à savoir ce qui se cache dans cette douceur que je t'apporterai mon cher mari.
????? ???????.
Je quitte mon lit impossible de fermer l'œil puis m'arrête contre la fenêtre baie vitrée de ma chambre. Je regardais un endroit invisible avec l'esprit ailleurs.
#?????????.
Je me souviens quand j'avais encore 8ans, Ali 12ans et Selma tout juste 3ans.
Je passais mon temps dans la chambre de mon père à réviser sur mes leçons comme il me disait de faire. À ce moment nous vivions dans une villa de 4chambres et chacun avec sa chambre même mes parents ils avaient des chambres séparés et c'est seulement à la naissance de Leila que cela a changé puis papa à libérer sa chambre pour donner celle-ci à Leila et lui part vivre dans celle de maman et depuis il a vécu dans la même chambre qu'elle jusqu'à et après même notre déménagement dans le manoir.
Et comme chaque fois je me faisais toujours déconcentré par les cries de maman, Ses hurlements cherchant du secours comme à chaque fois puis mon frère fut son entré tenant Selma encore bébé dans ses bras et elle pleurait si fort que seule maman pouvait la calmer.
- Moi : Depêche toi de t'en aller Ali sinon papa va te punir tu sais bien qu'il ne veut voir personne d'autre dans sa chambre autre que moi.
- Ali : Oublie papa Rayan jee suis venue te chercher il faut que tu m'aide à dégager papa il est entrain de frapper maman.
- Moi : Je sais Ali mais il a dit de ne pas quitter sa chambre et il a aussi dit de m'occuper de mes leçons ou sinon je ne serais plus son préféré et je ne veux pas qu'il me crit tu sais, Je ne veux vraiment pas. Dis-je secouant innocemment la tête. Il crit beaucoup beaucoup beaucoup.
- Ali : Tu as raison, J'avais oublié que t'es encore un enfant et que c'est moi le grand ici et donc c'est à moi de m'occuper de maman vas-y attrappe Selma j'y vais aider maman. Dit-il posant Selma à mes côtés et il s'empresse de partir.
- Moi : Ali revient ne pars pas ! Cris-je alors qu'il était déjà parti.
Je place une main sur le dos de Selma pour essayer de la calmer puisqu'elle était trop lourd pour la prendre dans mes bras en ce temps y'avait qu'Ali qui pouvait faire ça.
Plutards.
Je finis avec mes leçons et je soupire sachant que j'ai enfin le droit de sortir de la chambre. J'attrape la main de Selma et nous quittons tous les deux la chambre de papa pour vers celle de maman.
Nous arrivons vite et la trouva au bord du lit en larmes et Ali avec un œil gonflé aussi à ses côtés. À chaque fois qu'Ali intervenait entre eux papa n'hésitait pas à lui donner une bonne correction.
- Moi : Maman ? Dis-je d'une mine triste puis m'arrêtant à la porte et tenant Selma par la main.
Aussitôt qu'elle entendue ma voix elle essuie ses larmes avec son voile et regarde dans notre direction en souriant.
- Malika : Vous êtes là ? Allez approcher, Dis moi Rayan as-tu finis avec tes leçons ?
J'hôche plusieurs fois la tête innocemment.
- Moi : Qu'est-ce qu'il y'a maman ? Pourquoi papa vous a encore frapper toi et Ali ? Est-ce qu'il va aussi me frapper plutard moi et Selma quand nous serons grand comme Ali et toi ?
- Malika : Mais qu'est-ce que tu raconte allez venez ici tous les deux venez que je vous prenne dans mes bras.
Ainsi était-il à chaque fois, Ma mère avait toujours sa manière à elle de changer les sujets et parfois elle disait "C'est ma faute j'ai énervé papa" Et bien sur je l'ai toujours crû avec son sourire radieux coller au lèvre comme à chaque fois.
#?????́????.
POURQUOI J'Y PENSE ENCORE BON SANG ! Dis-je au fond de moi passant mes mains sur ma tête et marre de toutes ces scénarios qui torture mon cerveau. Parfois je sens tellement ma tête saturé que j'ai l'impression elle va limite exploser.
#?????????.
- Muhammed (Le cheikh) : Cette famille c'est de toi qu'il a besoin filston et un jour quand je ne serai plus là tout ça te reviendra de droit car oui tu seras mon héritier et d'ici avant là je dois m'assurer que tu sois prêt physiquement, Mentalement, Émotionnellement..ET QUE TA VIE DE FAMILLE SOIT ASSURÉ CAR C'EST AUSSI ÇA UN VRAI HOMME. Tu vas donc me faire plaisir de fonder cette famille et me prouver que j'ai bien raison de miser toute ma confiance et mes efforts sur toi tu m'entends filston ? En tapotant ma joue.
- Moi : Oui papa.
#?????́????.
Un fils ! et maintenant il me demande un fils.
????? ??????.
Malgré la difficulté j'essaie d'enlever toute pensée négative de ma tête de toute façon c'est plus le temps de penser mais d'agir.
Bref pour y arriver je pris mon portable et je commença à défiler sur les réseaux quand je sens ma gorge sèche puis le pose dans le lit pour descendre me chercher d'eau.
???? ?? ???????.
Je prends un grand gobelets que je vais désormais garder dans ma chambre pour le remplir d'eau. J'ai souvent soif la nuit et parfois flemme de me lever.
Je finis de le remplir et le referma avec sa couverture. Je me tourne pour partir quand soudain ma tête cogne contre quelque chose de dur et je faillis moins faire tomber le gobelets. Je lève la tête et c'est Rayan torse nu devant moi et ma tête venait de cogner son torse. Je l'ai même pas senti venir weshh et d'ailleurs pourquoi était-il si prêt ? Bref bref oublier tout ça et dites moi c'est quoi cette mine désagréable qu'il a toujours sur son visage ? Il va quand-même pas me tenir faute parceque j'ai l'ai bousculée ? Je l'ai même pas vue venir et encore moins sentie.
- Moi : Je m'ex...Essayé-je de m'excuser avant que sa ne vire au vinaigre et je sois de nouveau DÉFONCÉE.
Je vous ais dis que je serai une très bonne épouse à partir de maintenant.
- Rayan : Je veux te voir dans ma chambre tout de suite ! Me coupe t-il froidement avant de partir.
Qu'est-ce qu'il veut encore ? Mais bon vu que je suis une très bonne épouse allons répondre à mon mari comme il l'a si bien ordonné.
Je remonte avec le gobelet puis le pose dans ma chambre en passant avant d'aller répondre à l'appel de Rayan dans sa chambre.
Des femmes comme moi sont vraiment rares vous savez ? Mon mari m'appelle seulement et j'y vais sans discuter ?
- Moi : Oui je suis là, Tu veux quelque chose ? Demande-je sereine et un sourire au lèvre une fois pénétré dans la pièce.
Il se retourne alors qu'il était arrêté devant sa grande fenêtre baie vitrée et me regarde suspicieux avant de venir dans ma direction.
Une fois proche de moi, Il me dévisage avec un sourcil lèver. Je vous cache pas j'ai peur mais avec cette mine serré qu'il a toujours sur le visage c'est évident qu'il peut faire peur. Je n'efface quand-même pas mon sourire même si ce sourire démontre de plus en plus qu'il est fausse.
- Moi : Tu sais Rayan si tu as faim même s'il fait tard tu peux me le dire et je vais le fai...Dis-je nerveusement sans pour autant perdre mon sourire.
Et là d'une facilité déconcertante, Rayan attrappe ma hanche et me tire agressivement contre lui. Je perds en même temps les mots puis ma poitrine rencontre brutalement son torse et mes mains viennent automatiquement se placer sur ses épaules pour diminuer la brutalité de son geste. Je lève la tête stupéfait et croisent ses iris. Il tarde pas et me récule pour me plaquer contre la porte toujours sa main emprisonnant ma hanche. Je sens une douleur au niveau de mon crâne dû à la brutalitée de ses gestes et ma tête qui a cogné violemment la porte. J'ouvre les yeux que j'avais fermer fort face à la douleur à ma tête.
Y'A PAS À ÊTRE SI BRUTAL BON SANG !
- Rayan : Ah oui ?! Et depuis quand j'ai n'ai plus besoin de crier pour qu'on me fasse à manger ?
- Moi : Rayan je...
- Rayan : Je te conseille de la fermer, Je t'ai pas fais venir ici pour du discours !
Ça c'est clair !
À cet instant précis il décolle un peu son corps du mien et voulut soulever mon haut mais je le retiens automatiquement la main dans son geste.
- Rayan : Quoi tu vas encore te débattre comme la première fois ? Me demande t'il. Je te conseille pas entoucas, Je risque de ne pas être indulgent cette fois !
Indulgent ? Il veut me dire qu'il était indulgent ce jour là ? Le pire cauchemar de ma vie et il me dit qu'il était indulgent ? J'imagine pas quand il l'est pas alors.
W'Allah j'ai sauf que l'envie de lui envoyer mon pieds dans les couilles mais je soutiens juste son regard sans sortir un mot, C'était la meilleure solution de pas répondre croyez moi.
Il enlève ensuite ma main qui lui barrait la roûte puis voulu continuer là où il s'était arrêté.
- Moi : JE SUIS DANS MA PÉRIODE ! Déclare-je à temps. Je vois mes règles je peux pas. Rajoute-je calmement et les yeux fermées et je vous cache pas c'est par peur.
Vous imaginez pas toute l'effort que j'y ais mis dedans pour essayé de rester calme.
Bref aussitôt je le sens mettre un stop à ses gestes et son emprise se déchaîné peu à peu après il me relâche.
J'ouvre les yeux après quelques hésitations et le vu se diriger vers son lit.
- Rayan : SORT !
Évidemment que je vais sortir espèce d'être humain à part.
- Moi : D'accord, Merci de comprendre quand j'aurais finis mes jours je te le dirais.
Il se retourne et me regarde arquant un sourcil, Je parie qu'il se demande en ce moment si je ne suis pas possédée et c'est bien ça à partir de maintenant y'aura deux satans dans cette maison Rayan.
- Rayan : J'AI DIS DEHORS ! Hurle-t-il.
- Moi : Oui j'y vais. Dis-je doucement et m'en allant.
Une fois dans ma chambre, Je m'enferme et me laisse tomber contre la porte, Quand j'y pense j'étais à deux doigts de revivre ce cauchemar..
JE LE HAÏ, TOUT DE MOI LE HAÏ JE VOUS JURE !!
???? ???????.
???? ??? ???????.
???? ?? ??????? ???????? ?? ??????.
On montre Malika aidant son mari à retirer ses vêtements.
- Malika : J'ai finis. Dit-elle doucement et la tête baissé.
- Muhammed (Le cheikh) : Comment ça t'as finis ? Tu veux que je dors comme ça torse nu et qu'ensuite j'attrape froid ? Tu vois pas que l'hiver est là ? Allez depêche toi d'aller me chercher des vêtements confortables pour dormir.
- Malika : Oui. Dit-elle se dirigeant vers le dressing.
- Muhammed (Le cheikh) : Qu'est-ce qu'elle a même ? J'arrive pas à croire qu'après toutes ces années je dois encore l'expliquer tout ce qu'elle doit faire. Grogne-t-il frustré.
Malika revient plutard avec les vêtements pour son mari puis l'aide à s'habiller et ce dernier se dirige vers le lit, Prends ses lunettes sur la table de chevet plus le journal et entre dans le lit où il s'assoit posant son dos contre la tête du lit.
- Muhammed (Le cheikh) : Couvre mes pieds. Dit-il à sa femme la tête dans son journal.
Celle-ci hôche positivement la tête puis pars mettre la couette sur lui.
- Muhammed (Le cheikh) : C'est bon ! Dit-il une fois la couette jusqu'à sa taille. Ou tu veux me couvrir avec le journal ? Rauque-t-il jettant un œil noir à sa femme. Tu vois pas que je lis ?
- Malika :.. Si, Désolée. Répondit-elle sereine.
Il détourne son regard et retourne dans son journal. La femme à son tour s'éloigne puis part se coucher à son tour.
- Muhammed (Le cheikh) : Certes j'ai dis je ne veux pas voir ta tête sans le voile mais est-ce aussi obligé de le porter la nuit et quand on est que tous les deux ? Demande-t-il jettant un œil à sa femme.
Elle secoue la tête signe "non" puis se redresse retirer son voile à la découverte de sa belle chevelure noir malgré son âge avancé avant de se coucher. Muhammed jetta un regard à sa femme qu'il trouvait incroyablement magnifique mais qu'il ne lui avait jamais dit de sa vie et même au fond de lui il sachait toute type de ce genre de chose dans la tête.
- Muhammed (Le cheikh) : Depuis le mariage de Rayan tous les journaux ne font que parler de lui et de faire tant d'éloges sur lui. Suis si content qu'il suit mes traces contrairement à l'autre fils que tu m'as donné, Lui son temps il le passe à sortir des futilités et à obéir au moindre désir de sa femme.
- Malika : (Au fond) J'aurais tellement aimé qu'avant que tu meurs tu puisses comprendre qu'aimer sa femme, La respecter et la chérir n'a rien avoir avec de l'obéissance au contraire c'est de la grandeur.
- Muhammed (Le cheikh) : TU M'ÉCOUTE AU MOINS ?! Crit-il fixant sa femme.