6
.
- Rayan : W'ALLAH SI JE TE SUIS TOI JE TE NIQUE MATIN MIDI ET SOIR ! Grogne t-il avant de se lever.
Il portait juste un caleçon et il se dirige vers la salle de bain.
- Rayan : Va te préparer nous allons partir et je te conseille de t'habiller correctement donc une robe qui couvre tout ton corps et un voile sur la tête. Rauque t-il avant de rentré dans la salle de bain.
Espèce de connard !!!
Je quitte sa chambre dégoûtée. Qu'est-ce que je le haï. À croire qu'il est le plus religieux du monde en disant de couvrir mon corps alors qu'il ne prie même pas lui pufff !!
10 ??????? ????????.
Je rejoins Rayan dehors déjà dans la voiture et côté conducteur. J'ouvre la portière de derrière mais il me hurle "Tu crois que je suis ton chauffeur ? Devant !" Je referme donc cette dernière et j'éxecute sans bronché. À croire qu'il est obligé de tout le temps hurler. Je ne comprends même pas quelle est le plaisir d'être comme ça. Quelle est le plaisir de dominer ? Pourquoi vouloir dominer quelqu'un ? Et de surcroît ta propre femme, Celle avec qui tu vas passer toute ta vie. ÇA N'A AUCUN SENS !!! Alors qu'au contraire vous pouvez vivre tranquillement dans l'harmonie, Se respecter, S'aimer, Se soucier de l'autre sans avoir à se battre et prouver qui est le plus fort.
??? ?? ??????...
- Rayan : Écoute moi très bien, Là-bas t'ose même pas me regarder dans les yeux et tu fais tout ce que je te dis c'est clair ? Surtout devant mon père.
J'hôche la tête et regarde vers l'horizon.
Je suis épuisée pour les disputes on va donc faire comme le dit le chef. Je ne lui donnerais pas l'occasion de me hurler de nouveaux en cette journée.
É?????? ?? 20 ??????? ????????...
Nous arrivons chez ces parents et ils vivaient dans un très grand manoir à la forme d'un château. Avec la richesse que possède Muhammed Badaoui j'imagine que c'est rien à ses yeux tout ça.
Bref une fois à la porte c'est sa mère et ses sœurs qui viennent nous accueillir chaleureusement pour Leila laisser là de côté elle est toujours sur son portable elle, Même le jour de mon mariage pendant que tous le monde dansaient et s'amusaient elle elle était dans son côté avec son portable.
- Malika : Oh mon Dieu mais ta main ! Qu'est-ce qui t'es arrivé ? Me questionne ma belle-mère en remarquant le bandage sur ma main droite.
Je me regarde avec Rayan et lui il détourne le sien.
- Rayan : Elle s'est coupé la main en faisant de la cuisine. Il répondu à ma place.
Je le regarde choquée mais quand je remarque sa mère qui me fixait je baisse la tête.
- Malika : Ma pauvre, La prochaine fois fais doucement d'accord ?
- Moi : ..Oui maman.
Ma mère m'avait dit de l'appeller ainsi et que la mère de mon mari c'est ma mère.
- Malika : Allez venez entrer.
On part avec elle et on se posent tous au salon.
- Malika : Selma peux-tu aller appeler ton père ? Il se trouve dans son bureau.
- Selma : Oui maman. Elle s'en alla toute souriante.
- Malika : Ali aussi ne va pas tarder à venir et après on prendra tous le dîner en famille.
Je secoue un peu la tête avec un sourire léger car elle avait ses yeux poser sur moi.
- Malika : Dit moi ma fille ? Est-ce que tu veux boire quelque chose en attendant ?
Je secoue la tête négativement et quand j'allais dire non elle :
- Malika : D'accord je vais aller te chercher à boire. Dit-elle partant.
Quoi mais j'ai dis non.
Bref elle revient plutard avec un verre de jus et se rapproche de moi.
- Malika : Voilà prends le. Dit-elle souriante. Allez depêche toi.
Je secoue la tête et dirige mes mains pour prendre le verre de ses mains mais j'arrive pas qu'elle le laisse tomber et tout le jus se déverse sur ma robe.
- Malika : Oh mon Dieu mais qu'est ce que j'ai fais ! Désolée ma fille je suis tellement maladroite.
- Moi : Non ne vous inquiétez pas. Dis-je en essayant d'essuyer ma robe pourtant j'aurais parié qu'elle l'a fais exprès.
- Malika : Mon Dieu qu'est-ce que je suis maladroite. Se culpabilise t-elle. Leila vient ici !
- Leila : Quoi ?! Dit-elle frustrée qu'on l'ai déranger sur son portable.
- Malika : Arrête de me répondre ainsi et viens ici. Vient et va accompagner Inaya dans la chambre de Selma pour qu'elle puisse se changer sa robe est tâché et elle pourra trouver quoi mettre dans les habits de ta sœur. Elles font la même taille.
- Leila : Bon d'accord.
- Moi : Quoi non c'est n'est pas nécessai...
- Malika : Si c'est nécessaire allez lève toi et vas-y avec elle ! Me coupe t-elle.
Je regarde Rayan et il me regarde même pas.
- Malika : Allez depêche toi.
Je secoue la tête et va avec Leila.
???? ?? ??????? ?? ?????.
J'entre avec Leila et entre nous y'avait eu aucune conversation, Elle était juste branchée sur son portable. J'ai jetée un œil à son portable sur le chemin pour voir qu'est-ce qui l'occupe autant à l'intérieur et c'est un jeux. Un jeux de course qu'elle semble beaucoup tenir.
Leila va vers le dressing et reviens avec une robe qu'elle jette dans ma direction. Je me depêche de l'attraper avant quelle tombe et elle sort de la chambre toujours la tête branchée dans son portable.
Je regarde la robe dans mes mains puis part fermer la porte qu'elle a peut-être oublié de fermer et je retire mon voile puis ouvre la fermeture éclair de ma robe. Je descends un peu ma robe et à cet instant précis la porte s'ouvre et c'est ma belle-mère. Je faillis crier mais me calma quand je vu que c'était elle. Je me depêche de ramener ma robe pour cacher le haut de mon corps malgré qu'elle m'ait déjà vue mais c'est pas grave c'est une femme comme moi même si même entre femme je suis gêner.
- Malika : JE LE SAVAIS ! Dit-elle se précipitant vers moi.
Quand elle arrive à moi elle me tourne et scrute mon dos du regard.
- Malika : Mon Dieu qu'est-ce qu'il a fait à ton beau corps ?
Je compris alors qu'elle parlait de mes bleues.
Je me retourne aussitôt.
- Moi : Qu'est-ce que vous dîtes. Dis-je faisant mine de ne pas comprendre.
- Malika : Et voilà lui aussi il a réussit à te faire taire. Dit-elle des larmes coulant sur son visage.
- Moi : Mais vous pleurez ?
- Malika : Bien sur que je pleure, Comment peut-il faire ça à l'enfant des gens ? Dit-elle fondant en larmes.
Je la prends aussitôt dans mes bras. Je sentie qu'elle en avait besoin et c'est vrai car elle me serre fort aussi.
- Malika : C'est sont des monstres ! C'est sont tous des montres. Finit-elle en sanglots dans mes bras.
Quelques secondes après.
Elle finit par se calmer et moi je ne comprenais rien mais je faisais quand-même tout pour qu'elle se calme.
- Malika : Vient ici je voulais te parler seule à seule c'est pourquoi j'ai versée ce verre de jus sur toi afin que je t'envoie et te rejoins après. Dit-elle me faisant m'assoir au bord du lit.
Elle se place aussi à côté de moi et me prends les mains dans les siens.
- Malika : Il t'a frappé n'est-ce pas ? Me demande t'elle doucement.
- Moi : Quoi non je...
- Malika : Ne me ment pas ! Et c'est d'ailleurs pour voir de mes propres yeux que j'ai versé ce jus sur toi. Et là j'ai vue tes bleues de mes propres yeux. Je connaîs Rayan, C'est mon fils suis celle qui l'a mise au monde et je sais qu'il en est capable.
À ses dires ma vu commence à devenir flou et mes yeux deviennent humides. Je voulais pleurer mais je me retenais.
- Moi : Non vous vous tromper. Dis-je me retournant et essuyant une larme qui allait couler.
- Malika : Alors pourquoi tu pleure si je me trompe ? Pourquoi je vois cette tristesse dans ton regard profond ? Et pourquoi cette joue rouge que t'essaies de cacher avec du fond de teint ? Dit-elle me retournant vers elle.
Je fonds en larmes aussitôt qu'elle ait dit ça. On aurait dit je n'attendais qu'elle dise ça. Je place ma main sur ma bouche pour étouffer mes larmes.
- Malika : Non ne pleure pas. Caressa t-elle doucement mon dos. Ne soit pas comme moi ma fille.
Je relève la tête et la regarde.
- Moi : Pourquoi ? Pourquoi est-il comme ça ? Sniffff.
- Malika : C'est dans son sang. Son père était aussi comme ça enfin était c'est s'il avait changé. Tu imagine même à cet âge je dois encore subir les coups de mon mari et l'injustice de ce dernier ? Tu veux que je te dises ? Ma plus grande erreur fût d'avoir épousé Muhammed cheikh Badaoui et toute ma vie je dis bien toute ma vie j'ai tout fais pour qu'aucun de mes fils ne puisse le ressembler mais je sais que j'ai échouée avec l'un d'eux et c'est ton mari Rayan. Toute ma vie je me suis juré de faire tout mon possible pour qu'aucune ne vienne et ne vive tout ce que j'ai dû vivre avec mon époux mais avec Rayan j'ai pas pu. Il était trop proche de son père et il l'a apprit à exactement être comme lui et tous les hommes de sa famille car oui ils sont tous comme ça, Dis-toi que la grand-mère paternel de mes enfants est morte après avoir reçu beaucoup trop de coup de la part du père de mon mari et j'ai faillis y passer mais laisse-moi te promettre une chose mon enfant JE NE TE LAISSERAIS PAS TRAVERSÉ TOUT CE QU'ON A DU TRAVERSÉ NOUS. Toi tu auras un ange gardien contrairement à nous, En plus d'avoir Allah avec toi y'aura moi aussi. Et souviens toi peu importe ce qui se passe ou ce qu'il te fait subir ne te laisse pas abattre, Tu as DIEU avec toi Allah l'unique et le seule et il te suffit et grâce à lui il me donnera le pouvoir de te protéger et de t'aider avec ce monstre et ce même si tu ne peux pas le changer je te promets alors de t'aider à te libérer de cette relation même si je devrais alors affronter mon mari et mon fils.
- Moi : Non ne dites pas ça. Je ne veux pas qu'accause de moi vous vous créez des problèmes s'il vous plaît ?
- Malika : Ne t'inquiète pas. En essuyant mes larmes et un sourire au lèvre. Ça aura servi à quelque chose et j'ai plus rien à perdre, J'ai mes enfants et je suis vieille. S'ils veulent me tuer parceque j'ai voulue protéger une pauvre innocente alors qu'ils le fassent mais je te protégerai quand-même. Maintenant cesse moi ces larmes et une chose ne le défie pas et fais tout ce qu'il te dit de faire si tu le peux afin de protéger ton corps sinon il risque de te défiguré tu comprends ?
Je hôcha plusieurs fois la tête.
- Malika : Qu'elle bonne fille. En caressant mes cheveux. Ne pleure plus ma princesse tu vas sortir de là tu verras ai juste foie en Allah il est le meilleur garanti. Hier J'ai entendu mon mari parler au téléphone, Je crois qu'il irait bientôt en voyage d'affaire et il y restera quelques jours ce qui est jenial car on pourrait se voir, Passer du temps ensemble et voir comment on va faire. Pour l'instant obéit le s'il top plait pour ne plus avoir à souffrir tu comprends ? Si ton choix sera de te séparer de lui je sais que ça sera très difficile car j'ai l'ai essayé toute ma vie moi mais Muhammed Badaoui à toujours su comment me faire rester et honnêtement avec lui comme beau-père je sais que ça sera très difficile pour toi aussi mais pas impossible car c'est n'est pas lui ton époux et au fond de moi je sais que Rayan n'est pas ce qu'il prétend être, Il est partagé entre bien faire les choses et rendre son père fière. Je vois en lui parfois une chance qu'il puisse changer contrairement à mon mari il ne va jamais changer Inaya.
- Moi : Votre fils non plus ! C'est un monstre il ne va jamais changer je vous le jure. Vous imaginez pas tout ce que j'ai endurée avec lui à peine quelques jours de mariages.
- Malika : Si au contraire je le sais crois moi. J'ai vécue ce que tu vis Inaya et l'importance n'est plus que ses monstres change ça c'est juste la 2e option, La première ce que tu ne souffre pas et si pour y arriver c'est le divorce alors moi je serais là pour t'aider.
- Moi : DIVORCE ?! J'imagine que chaque fille passe ses derniers instants le jour de son mariage avec ses parents à se dire des mots doux et tendre avant qu'elle suive son mari nest-ce pas ? Mais savez-vous qu'elle est la dernière phrase que mon père m'ait dites à moi avant que je lui tourne le dos ?
Elle me regarde tristement.
- Moi : À moi on m'a dit "N'oublie pas Inaya avant toi y'a jamais eu de femme divorcé dans notre famille et j'espère que cela ne commencera pas par toi" Et vous voulez que je me pointe chez lui et que je lui dises tu sais quoi papa ? Bah moi je vais commencé car oui je compte bien divorcé. Vous savez qu'est-ce qu'il va faire quand je lui dirais ça ? Je serais renié tout comme ma grande-soeur et il m'interdira même de voir la femme qui compte le plus dans ma vie et c'est ma mère tout comme il l'a fait avec ma sœur Nour je serai interdit de voir ma famille.
Qu'est-ce que vous croyez ? Que je serais toujours encore dans ce mariage si cette phrase ne se répétait pas dans ma tête à chaque fois que l'idée de divorcé me traverse ? Évidemment que je ne veux pas souffrir moi aussi, On dit qu'on a toujours le choix mais moi j'ai pas le choix et pire j'apprends encore que mon beau-père l'homme venu chez mes parents y'a quelque jours avec un sourire accroché au lèvre est enfaite un démon. Tout se comprends enfin il a prit tout de lui et je dois aussi souffrir comme sa mère.
- Malika : Dans ce cas Inaya on a plus d'autre choix que de changer mon fils.
À cet instant précis la porte s'ouvre laissant place à Leila.
- Leila : Papa et tous le monde sont là. Dit-elle toujours la tête sur son portable avant de partir.
Finalement j'avais vite essuyer mon visage pour rien car elle nous a même pas regardé.
- Malika : Dit moi une chose ?
Je retourne mon attention vers elle.
- Malika : Est-ce qu'il t'a touché ? Me questionna t-elle avec douceur.
Je hôche plusieurs fois la tête avec l'envie de pleurer à chaque fois que je repense à cette actroce nuit.
- Malika : C'est bien son fils. Murmura t-elle. Tu sais quoi tu vas te lever puis te changer et sortir te joindre à nous d'accord ?
- Moi : ..Oui..d'accord.
Elle sourit et quitta la chambre en refermant la porte derrière elle.
J'inspire, Essuie très bien mon visage et me change. Je me dirige vers la sortie et je croise Selma sur le point d'entrée.
- Selma : Te voilà je suis venue te chercher, La table vient d'être dresser il ne reste plus que nous.
J'hôche la tête et elle me regarde de la tête au pieds.
- Selma : Ça alors elle te vas plus qu'à moi.
Je souris nerveusement et pars avec elle.
À ?????.
J'arrive dans le salon à manger avec Selma et y'avait tous le monde sauf mon beau-père.
Ali se lève en me voyant et vient me passer le salam en premier le sourire au lèvre avant de repartir s'assoir.
- Malika : Maintenant vient t'asseoir Inaya, TON beau-père sera bientôt là il est parti répondre à un appel et après nous pourrons commencer à dîner.
J'hôche la tête et pars me poser sur la chaise qu'elle m'a proposé, C'était celle à côté de Rayan et à part ce monstre y'avait que des bonnes personnes à côté de moi. Avec juste Ali à ma droite et Selma en face de moi et à côté de Selma y'avait sa sœur Leila epuis après vient ma belle-mère et les deux chaises principales qui sont vides pour le moment et une autre chaise dans mon rang. Comme toujours Leila dans son téléphone mais quand mon beau-père fût son entrée je la vu le cacher et se poser correctement, Elle croise mon regard et vu que je l'avais vue et là c'était un regard comme "Bah quoi?" Je détourne le mien et me lève saluer mon beau-père correctement avant de me rasseoir.
Rayan aussi se lève et pars se faire un câlin avec lui.
- Muhammed (Le cheikh) Mon fils préféré ! S'exclame t-il le serrant dans ses bras.
Je vois Ali rouler les yeux.
Rayan revient ensuite à sa place.
- Muhammed (Le cheikh) : Euh bien qu'est-ce que nous attendons ? Pourquoi je ne vois toujours pas de nourriture sur cette table ? Demande t'il poussant une chaise pour s'assoir.
- Malika : Nous t'attendions.
Puis elle tapote deux fois ses mains et pleins de domestiques font leur entrées avec des bols de repas qu'elles nous servent à chacun avant de repartir.
- Muhammed (Le cheikh) : Bismillah. Dit-il avant de goûter.
- Rayan : Bismillah. L'entendis-je aussi dire avant de commencer à manger.
Et là j'étais plus-que choquée c'était la première fois que je l'entendais dire ça avant de commencer à manger. Je ne savais pas que même l'ami de satan pouvait dire Bismillah avant de manger.
Et après c'est les chuchotements de Bismillah de tous le monde qui me m'enlève de mes pensées et après je me concentre aussi dans mon assiette.
- Muhammed (Le cheikh) : Manger avec la main gauche ?! Nous interrompre mon beau-père tout en me fixant.
- Malika : Je...enfaite Inaya est blessé à la main droite et elle ne peut rien faire avec elle.
- Muhammed (Le cheikh) : Qu'elle s'efforce alors mais on ne mange pas avec la main gauche c'est interdit dans le coran ! Dit-il calmement mais froidement.
- Ali : Enfin papa comment elle peut manger avec cette main alors quelle...
Il lui stop avec sa main.
- Muhammed (Le cheikh) : TU DEVRAIS PRENDRE L'EXEMPLE SUR TON JEUNE FRÈRE LUI IL RESPECTE LA NOURRITURE ET NE FAIS PAS DE BLABLABLA QUAND IL MANGE ! Dit-il d'un ton froid.
Ce dernier secoue la tête et décide de l'ignorer.
- Malika : Inaya ?
Je me tourne automatiquement vers elle.
- Malika : Allez vas-y ma fille mange.
J'hôche la tête doucement puis attrappe ma cuillère avec ma main droite malgré qu'elle me fait mal.
- Selma : Qu'est-ce que tu fais Inaya ? N'écoute pas papa il blague allez ne t'efforce pas de manger avec cette main prends la fourchette avec l'autre.
Et là son père lui lança un regard tellement noir qu'elle baisse immédiatement la tête.
- Moi : Ne t'inquiète pas Selma je peux me débrouiller et elle me fait pas si mal. Mentis-je au milieu de toute cette tension.
- Leila : Ou si tu veux mon frère peux te nourrir c'est trop romantique. Dit celle-ci aussi la tête dans son assiette.
Je regarde automatiquement Rayan et rencontre aussi son regard mais qu'il détourne vite.
- Muhammed (Le cheikh) : QUELLES BÊTISES NOUS SORS-TU TOI AUSSI ? Mon fils nourrir une femme ? Mais c'est quoi ce délire que vous avez tous aujourd'hui ?! Tu entends ça Rayan ? Ils veulent que tu nourris une femme.
- Rayan : T'as raison papa, Ils sont tous fous !
Ah ouais le fils à papa à parler.
Et aufaite il est ou le problème à nourrir sa femme ? C'est pas que j'ai envie de recevoir un quelconque traitement de la part de ce monstre qui me sert de mari mais j'avoue j'ai du mal à comprendre mon beau-père. Dans quelle monde suis-je exactement ? Mon beau-père se marre parcequ'on a dit à son fils de nourrir sa femme blessé à la main ???
- Muhammed (Le cheikh) : Faîtes moi plaisir et mangeons dans le calme j'en ai déjà assez de ce qui sortes de vos bouches !
Et depuis c'est le silence total avec chacun la tête dans son assiette. J'avais l'impression qu'ils avaient tous peur de lui et c'était pas faux.
Après le dîner nous nous joignons tous au salon et nous restons un peu et maintenant c'était le moment de partir.
- Selma : Vient avec moi belle-sœur j'ai un cadeau pour toi avant que tu parte. Me dit-elle toute souriante et en posant ses mains sur mes épaules.
J'hôche la tête puis commence à la suivre.
- Rayan : Ne durée pas. Nous dit-il avant qu'on s'en aille.