Un Mariage sans Amour.

Soudain, la porte de ma chambre s'ouvre, révélant Alya.

- Alya : Allez, le cheikh et sa famille sont là ! Ma sœur, âgée d'à peine 17 ans, me le dit.

Depuis son viol, à chaque fois que je pose les yeux sur elle, je me dis que la vie est trop injuste pour oser faire souffrir une âme aussi pure et innocente qu'elle, mais quand je me souviens, qu'à cet âge elle sortait déjà avec un homme et qu'elle n'en a parlé à personne, pas même à moi, dont on se raconte tout. Je me dis qu'elle n'est peut-être pas si innocente finalement.

- Alya : Tu viens ? Allez dépêche toi !

Je la suis et nous descendons. Je vais à la cuisine chercher le plateau de thé que ma mère a déjà préparé puis je rentre dans la salle accompagné de ma sœur.

Dès que j'entre, je baisse la tête, ne regarde personne et suis plutôt les instructions de ma mère. Je pose le thé, puis relève la tête et dis Salam à la dame voilée qui ne peut être que sa mère. Je transmets aussi le Salam à son père, que je connais déjà, oui, je l'ai vu plusieurs fois dans les journaux, il s'agit de Cheikh Muhammed Badaoui. Il est riche propriétaire de plusieurs hôtels et ainsi de suite...

J'ai continué à saluer les deux autres filles, l'une voilée et l'autre découverte, je pense que ce sont ses sœurs et enfin un homme qui je pense est son frère.

Je respire discrètement et je pensais que c'est fini, mais non, il y en a un autre. ENFIN LE GARS LE PLUS CAPUCHE DE LA PLANÈTE, JE PENSE. Je lui dis Salam aussi et je m'assois.

- Muhammed (Le Cheikh) : Tu vas bien, Abnati ?(?? ??????).

-Moi : Oui, Alhamdoulillah(???? ?????) et vous ?

- Muhammed (Le cheikh) : Pareille aussi abnati, Dit moi t'as quel âge ?

- Moi : 19ans cette année.

- Muhammed (Le cheikh) : Elle est si jeune et belle, Mash'Allah(???? ?'? ??????) et dis-moi, que fais-tu dans la vie ? Est-ce que tu travailles ?

- Moi : Oui, j'adore le maquillage et j'ai décidé il y a quelque temps d'ouvrir mon propre salon de beauté où je travaille.

- Muhammed (Le cheikh) : Mash'Allah !(???? ?'? ??????) Elle est également travailleuse. N'est-ce pas tout ce que nous recherchons pour notre fils Malika ? Il sourit et se tourna vers sa femme.

- Malika : Oui, c'est vraiment tout ce que nous recherchons.

Je vois mes parents se regarder et sourire, mais ma mère voyait qu'elle faisait de gros efforts. Elle n'a jamais non plus aimé les mariages arrangés, mais avec la colère de papa qu'elle a ressentie lorsqu'elle accompagnait autrefois ma grande sœur dans ses choix, elle n'ose plus contredire ces décisions et lui obéit donc du doigt et de l'œil. Je regarde ma petite sœur et elle me fait un signe de la main. "Bon travail. " Elle semblait trop heureuse pour moi.

- Malika : Je voudrais maintenant te présenter moi-même notre famille. Je m'appelle Malika et voici mes enfants. Elle c'est la plus jeune, elle s'appelle Leila et elle a 15 ans.

En désignant celle qui n'était pas voilée.

- Malika : Et elle c'est Selma, 22 ans.

Celle qui était voilée.

Je la regarde et elle me sourit chaleureusement, contrairement à Leila qui ne me regardait même pas et qui était concentrée sur son portable.

- Malika : Et voici mon fils aîné Ali. Il est déjà marié et père d'une fille de 2 ans, mais sa femme n'a pas pu venir car elle est allée rendre visite à ses parents depuis quelques jours.

Je regarde aussi Ali et il me sourit, je ne sais pas mais il a l'air très bien avec un visage d'ange tout comme Selma.

- Malika : Et enfin, je te présente Rayan, mon deuxième fils et ton futur mari.

Ma tête se tourne droit vers lui, je regarde Rayan et c'était définitivement le ?? (Beau garçon) de la famille.

Il était incroyablement beau ! Il me regarde aussi mais de travers et à ce moment-là je me suis demandé : quel est son problème ?

- Muhammed (Le cheikh) : Maintenant que les représentations sont terminées, dites-nous, Monsieur Nabil : Acceptez-vous de nous donner la main de votre fille en mariage ? Il demande à mon père.

- Rayan : Une minute !!! Dit-il en se levant.

Ah, enfin il a une bouche !

- Rayan : Avant de prendre une décision, j'aimerais d'abord avoir une conversation personnelle avec elle.

- Muhammed (Le cheikh) : Eh bien, Monsieur Nabil, vous savez comment sont les jeunes d'aujourd'hui. Si cela ne vous dérange pas, pouvons-nous leur accorder quelques minutes de leur temps libre ?

- Nabil : Mais bien sûr ! S'exclame mon père en souriant jusqu'aux oreilles. Ce n'est pas un problème, vous savez ? Il ajoute. Alya, dépêche-toi et va au balcon avec eux puis laisse-les parler en paix un instant.

- Alya : Oui papa.

Et donc nous quittons la pièce et allons sur le balcon. Dès mon arrivée, ma sœur s'est éloignée et nous a laissés seuls et vous ne pouvez pas imaginer le silence qui s'est abattu sur nous. Apparemment, tout le monde s'attendait à ce que l'autre entame la conversation en premier, ce que personne ne semblait disposé à faire. Bref, c'est lui l'homme et c'est lui qui a demandé à me parler seul.

- Rayan : J'irai droit au but ! Il parla soudain.

A cette phrase, je sors soudain de mes pensées. Eh bien, cette conversation semble bien lancée.

- Rayan : Es-tu vierge ?

Soudain, je le regarde, abasourdi.

Je n'arrivais pas à imaginer le "J'irai droit au but !" serait bien pire que ça.

- Moi : Quoi ?!! Dis-je choquée.

- Rayan : Je demande si tu es vierge ? Ton père nous l'a déjà assuré, mais je voulais t'entendre le confirmer.

D'ailleurs, il a le courage de le répéter ?

Mais ensuite, je n'arrivais pas à y croire, j'étais vraiment choqué à mort.

Comment a-t-il pu me demander ça ? Nous sommes au 21ème siècle. Il vit en 602 avant JC. BC ou quoi ??? Et quelle est cette question, d’ailleurs ? De toute façon, il n'en a pas le droit, c'est un manque de respect, même l'islam ne dit pas de demander ça à sa future épouse, et d'ailleurs, pourquoi veut-il savoir ? Ma virginité est-elle la seule chose qui l'intéresse vraiment ? Comme s'il ne voulait de moi que pour ma virginité, non ?

- Rayan : Tu es toujours là ? Me sort-il de mes pensées. Je veux une réponse ! Exige-t-il de manière décisive.

Je gardais simplement le regard fixé sur lui, ne sachant que dire ou faire dans cette situation qui pesait lourde sur moi.

Ce qui restait claire : je ne pouvais pas dire non de peur de démentir mon père, et d'un autre côté j'avais tellement honte de répondre à cette question mais visiblement je n'avais pas le choix.

- Moi :..Oui. Dis-je avec la tête baissée et à l'écart.

Je ne m'étais jamais senti aussi mal à l'aise.

Et il a soupiré à ma réponse et j'ai alors compris à quel point il voulait cette réponse.

- Rayan : Eh bien, je suppose que tu ne portes pas de voile et que tu l'as fait juste pour les invités aujourd'hui ?

J'ai hoché la tête positivement en réponse, sans le regarder et sans me sortir de la tête sa première question. Cela seul m'a dégoûté de ce mariage.

- Rayan : Je vois. Il respira et regarda autour de lui. Alors imagine si je t'oblige à porter un voile après le mariage ? Y trouveras-tu des inconvénients ? Me demande-t-il en reportant son attention sur moi.

Quelles sont les questions de ce type ?! En plus, il dit s'il m'y oblige. Par exemple, lorsque nous remplissons une obligation, avons-nous vraiment besoin de demander ?

Bon sang, Qu'est-ce qui m'attend ?!

- Rayan : Tu es toujours là ?

- Moi : Ouh ! Dis-je en laissant mes pensées. Pourquoi pas, si c'est ce que tu veux ?

- Rayan : Ce n'est pas ma question ! Je t'ai demandé si tu le ferais ?

Et qu'est-ce que j'ai répondu ? Il se moque de moi ?!!! Je vais vraiment exploser, je le jure. Hé mec, je ne suis pas aussi sage, doux et fragile que je te le montre, j'ai déjà assez fait semblant, w'Allah, mais avec le père que j'ai, que puis-je faire ? Je suis sûr que si ce mariage échouait à cause de moi, il me tuerait !! Et croyez-le.

- Moi : Je le ferai.

- Rayan : Parfait ! Dit-il avant de me laisser là.

Non mais je rêve ?!! Quel est ce attitudes ? Hey Allah, si ce mariage doit avoir lieu alors il faut qu'il se produise, mais pour moi tu verras si tu oses te comporter comme ça envers moi !!

*?????????? : Ma très chère Inaya, calme-toi, ce n'est pas une bonne façon de s'adresser à son futur époux.

Je sais ! Et merci !.

J'étais trop en colère, mais je savais que ma conscience avait raison et ma sœur n'a pas tardé à réapparaître et nous avons quitté le balcon ensemble pour rejoindre les autres.

- Muhammed (Le Cheikh) : Alors les enfants ? Demanda son père.

- Rayan : J'accepte !

Bon sang, j'aurais souhaité le contraire et bien sûr j'aurais fini dans la tombe ! Bref, il est beau et le mari idéal, mais à l'intérieur c'est un cochon et je comprends enfin pourquoi on dit que tout ce qui brille n'est pas de l'or.

Je vois ma famille sourire de toutes ses dents en entendant cette réponse.

- Malika : Et toi, Inaya ? Aimes-tu notre fils ?

Mon œil oui, Pufff !!!

- Moi :...Oui. J'ai répondu la tête baissée.

Comme j’aimerais lâcher ce « non » qui est caché au plus profond de moi, mais je n’ose pas de peur de mourir à 19 ans. Oh Allah, aie pitié de moi, je t'ai toujours obéi, n'est-ce pas ? La seule chose que je n'ai pas fait quand tu me l'as dit, c'est de me voilée les restes, j'ai tout fait, alors ai pitié de moi je t'en prie.

- Malika : C'est génial ! Marions-les. Dit la dame en souriant.

- Muhammed (Le cheikh) : Je suis entièrement d'accord et le plutôt d'ailleurs. Nous ferons le hlel dans deux jours. Quand penses-tu? Et dans trois jours, ils se marieront. Qu'en penses-tu Rayan ? C'est bien, n'est-ce pas ?

- Rayan : Naeam ya 'abi. (??? ????).

Et moi dans tout ça ? Ils ne m'ont même pas demandé mon avis. Encore une fois, cela prouve que les femmes n’ont pas vraiment leur mot à dire. Même prendre une petite peine de demander mon avis sur tous ça non ! Ils décideront tout, je devrais juste accepter moi. Et depuis quand choisit-on une date de mariage comme celle-là ? C'est si proche ! Même le mot « proche » semble insultant. Apparemment, il n'y a pas que mon père qui est malade, c'est toute une bande de malades !!! Et avec ces fous dans les parages, tu t'attends vraiment à ce que j'aie mon mot à dire ? Non, je suis désolé, j'aime trop ma vie. Pire, on se dit qu'après être musulman, alors qu'il n'y a pas de contrainte en Islam, tout y est facile et quand on commence à nous critiquer, ça parle. Frère, ce n'est pas l'Islam que vous suivez, vous y avez vous-même créé votre propre religion.

Bref ! après le départ de nos chers invités, je suis allé dans ma chambre avec ma sœur, qui n'arrêtait pas de me féliciter d'avoir eu un si bel homme, mais elle savait que je ne voulais pas me marier et a continué ses taquineries.

???? ?? ????.

Je vais à la cuisine pour boire de l'eau car l'eau dans la chambre était finit et je vois mes parents discuter dans le salon.

- Nabil : Tu vois ça, Nora ? Aujourd'hui, c'est le Cheikh lui-même qui m'a appelé "Monsieur" et bientôt je n'aurai plus à travailler pour lui comme chauffeur et tout le monde me respectera car j'ai trouvé un bon partenaire pour notre fille.

Ma mère sourit juste.

- Nora : Au fond) 'Atamanaa 'an takuni saeidat ya abnti. (?'????̀?? ?? ????? ???????? ?? ?????).

#?????́????.

Après les préparatifs qui ont lieu dans mon salon et par mes meilleures collègues avec qui je travaille ici dans mon salon, je vous transmets le mariage, qui a été honnêtement incroyable et très divertissant et avec beaucoup plus d'invités que je ne l'aurais imaginé. La plupart des invités étaient de la famille de Rayan et ils m'ont présentés tellement de gens que lorsque quelqu'un venait pour me présenter à quelqu'un, je finissais par me cacher. Quoi qu'il en soit, certains de mes amies sont également venus et j'étais triste que ma grande sœur Nour ne puisse pas venir parce qu'elle avait peur de papa. Il risque de faire une scène s'il la voit chez lui. Mais on a parlé sur FACE TIME et elle m'a souhaité toute la chance du monde. J'aurais aimé qu'elle soit là, mais bon, pas de vivant papa entouca.

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Le mariage se termine et je dis au revoir à ma famille avant de monter dans la voiture avec Rayan. Nous étions seuls et je m'attendais à ce que sa famille vienne avec nous, mais non. Puis j'ai réalisé que nous n'allions pas vivre avec eux.

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Ce fut le plus long voyage de ma vie. D'un côté j'étais triste de quitter ma famille, de l'autre je ne savais pas à quoi ressemblerait ma nouvelle vie, surtout avec ce mari avec qui j'ai des problèmes de connexion. Ce type est bizarre, je le jure.

- Rayan : Tu descends ou tu souhaites y rester ?

Oui, c'est ça, vous voyez comment il me parle ? D'accord, cher mai.

Je descends et là j'ai été choquée par la beauté de la maison. C'était une magnifique villa de luxe avec des lumières partout... Cette maison était fabuleuse, impossible à décrire !

Le chauffeur sort mes valises du coffre et nous entrons à l'intérieur.

Une fois à l'intérieur. Rayan m'a fait attendre dans le salon avec mes valises et le chauffeur qui partait et il est resté là-haut quelques minutes avant de redescendre et je jure en sous-vêtements. Putain! Je suis pieuse, mais ce n'est pas juste d'apparaître ainsi devant moi. Puis ma conscience m’a frappé durement. Je sais que je délire, je dis ça à mon mari, qu'Allah me pardonne. Bon je sais que c'est mon mari mais je détourne toujours le regard mais bon sang il a un corps tellement beau que ça donne envie de mater, Il a des abdos et tout quoi. Wesh ! ressaisis-toi Inaya, en plus il a des tatouages ​​et c'est haram. Est-ce que j'ai épousé un mécréant ???

*?????????? : Ne plaisante pas avec Inaya, il est musulman.

Hry chère conscience, je sais qu'il est musulman, mais pour information : les tatouages ​​sont interdits en Islam !

*?????????? : Pauvre Inaya. Souffla ma conscience.

Quoi mais...

- Rayan : Allez, je vais te montrer ta chambre.

Je suis soudainement sorti de mes pensées. Ma chambre ? Aussi, pourquoi parle-t-il toujours sèchement ? Pufff !

Je le suis sans le regarder et il me conduit dans une pièce.

Une belle pièce.

- Rayan : À partir de maintenant, c'est ta chambre seule, Solo. Il me l'a dit avant de partir.

Est-il sérieux ? Chambre solo ? Je n'y crois pas, vais-je vraiment vivre seul ? Je pense que j'adorerai ma nouvelle vie, je le jure. Quoi de mieux de rêver ? Je ne partagerai pas ma chambre avec lui, PARFAIT ! J'espère qu'Allah me pardonnera d'être si heureuse de ne pas partager la même chambre avec mon mari, mais comprends-moi, mon Dieu, je n'ai jamais voulu ce mariage et c'est mon père qui m'y a obligé, mais si je t'ai offensé, s'il te plaît, ne me punis pas, je sais que tu es le plus miséricordieux.

Après avoir parlé à mon Créateur, je me jette au lit puis le sommeil m'emporte... GÉNÉRALEMENT JE SUIS ÉPUISÉ.

?? ?????????.

Je me réveille, me douche, me lave et fait la prière du matin. Ensuite, j'enlève mon hijab et ma robe de prière et je commence à ranger mes affaires. J'entends de l'eau couler d'une autre pièce et conclus que c'est lui qui prend sa douche.

Je termine rapidement avec mes affaires et descends préparer le dîner. Malgré la taille de la cuisine, ce n'était pas si difficile, tout était marqué et j'ai rapidement trouvé tout ce dont j'avais besoin pour cuisiner...Je mets la table et il descend en même temps en short et juste un débardeur. Je le vois me regarder de la tête aux pieds avant de s'asseoir. Eh bien, je m'embrasse comme une bonne épouse et nous mangeons en silence sans rien se dire. Il termine, se lève puis part sans rien dire. Je le jure, même pas un merci.

Bref, je termine et me dirige vers le salon.

J'ai passé un appel de groupe avec mes amis et j'ai appelé mes parents et mes sœurs pour leur demander comment ils allaient. Après un long moment au téléphone, j'allume la télé...

???????? ??????? ????????.

Je sens des pas dans les escaliers, mais je suis trop concentré sur mon dessin animé pour regarder quoi que ce soit.

- Rayan : Ya hadha ! (??? ??? !).

Mon attention se porta sur les escaliers précisément sur lui.

Hé, comme si c'était mon prénom ? Ou qu'il parlait à un chien ?

- Rayan : Monte changer de pantalon, j'ai un ami qui sera là dans quelques minutes.

Je n'ai pas besoin de vous dire qu'il parle toujours sèchement et d'ailleurs, je pense que je suis trop confus là pour vous clarifier cela.

- Moi : Changer mon pantalon ? Dis-je confus. Mais... mais qu'est-ce qui ne va pas avec mon pantalon ? J'ajoute sans comprendre.

- Rayan : C'est tellement serré qu'on peux voir ton cu*l à des kilomètres, alors dépêche-toi ! Ordonna-t-il avant de remonter.

Je regarde mon pantalon avec agacement et je réfléchis à la façon dont il l'a dit. Genre aucun respect quoi ? Et ce n'est même pas vrai, ce pantalon ne m'est pas serré, c'est presque comme un pantalon de survêtement.

- Rayan : Tu es toujours là ? Réapparaît-il. Je déteste me répéter, alors soit gentille et obéit. Dit-il avant de repartir cette fois pour de vrai.

J'ai fait la moue et je suis allé dans ma chambre, mais au lieu de me changer comme il l'avait dit, j'ai décidé de rester là jusqu'à ce qu'au moins son ami vient et parte.