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- Moi : ÉCOUTE MOI TRÈS BIEN, APPELLE QUI TE VOUDRAS ET REGARDE MOI AVEC CETTE INNOCENCE AUTANT QUE TU VOUDRAS MAIS JE PRENDRAI MES DROITS SUR TOI CETTE NUIT et rien ni personne ne pourra m'arrêter.
- Inaya : Non s'il te plaît Ra..
????? ??????.
Je ne finis pas ma phrase que je le vois enlever la ceinture de son pantalon en plus de son haut qu'il a déjà jetter par terre. Au début je crû c'était pour me frapper et ma bouche se ferma automatiquement par peur mais quand je le vu le jetter par terre et se lever pour retirer son pantalon je compris c'était pour autre chose. Je le regarde faire un instant mais d'un coup je reviens à la réalité et profite de l'occasion qu'il n'est plus sur moi pour me lever mais il retire vite son pantalon et reviens au dessus de moi juste en caleçon.
- Moi : Non Rayan je t'en prie fais pas ça, Je suis pas encore prête.
Il me calcule pas et sans fiche d'ailleurs puis soudain il déchire mon haut sous mon regard terrifier et se lève pour retirer mon jean. Je ne me débattait même plus depuis je le vu déchiré mon tee-shirt et je resta complètement à sa merci juste tétanisée par la scène. C'était la première fois qu'un homme voyait mon corps et rien que le fait de me savoir juste en sous-vêtements devant lui me rendait bizarre.
C'est comme ci j'étais entrain de commettre un pêché.
Je ferme fort les yeux quand il revient sur moi et colla son corps nu au mien. Je pleure de toutes mes forces mais je ne me débat plus et il ne tarde pas à me débarrasser de mes sous-vêtements me retrouvant nu. Il se place bien entre mes jambes et sans attendre il s'enfonce brutalement en moi me faisant crier de douleur, j'ai mal, Putain j'ai très mal AU SECOURS !! JE VEUX DE L'AIDE BON SANG ! J'ai mal, J'ai atrocement mal, Mal dans toutes les senses du termes et je n'avais jamais ressenti une douleur aussi atroce de ma vie. Je sens un liquide couler tout au long de mes cuisses il s'en fou et continue ses vas et viens de façon très rapide et brutal.
- Moi : je t'en supplie ça suffit j'ai mal ? Continue-je à le supplier en sanglots.
Il m'écoute pas et continue ses mouvements, j'ai atrocement mal, je voyais cette haine dans ses yeux, j'avais des larmes qui ne séchait de couler, ma première fois a été un désastre à cet instant j'étais comme une prostituée je me sentais sale et déshonorée et je regrette amèrement d'être née.
- Moi : Non arrête j'ai mal j'ai vraiment mal je t'en prie arrête s'il te plaît, Sa fait mal !! ??
Je continue à pleurer, j'essaie pour la énième fois de le dégager mais à chaque fois il redouble son emprise sur moi et l'intensité de ses vas et viens. Impuissante je le laisse donc finir.
Après près de 3h de douleur je le sens enfin sortir en moi. J'étais si faible que j'arrivais à peine à ouvrir les yeux mais fallait que je le regarde et lui dises quelques mots avant de fermer les yeux.
- Moi : Qu'est-ce que je t'ai fais bon sang ? Dis-je le fixant avant de fermer les yeux faiblement.
????? ???????.
Je la regarde s'endormir faiblement avec un sentiment vide à l'intérieur. Sa phrase " Qu'est-ce que je t'ai fais bon sang?" m'avait carrément transpercé et malgré mon épuisement, Elle repassait tellement en boucle dans ma tête que ça m'empêchait de fermer l'œil. Je me lève puis je pars me laver et sortir dehors fumer une clope et y rester 1h et quelques avant de remonter. Je la trouve là où j'ai l'ai laissé, Toujours endormie faiblement dans le lit et je m'avance couvrir la partie haut de son corps de la couette puis je remarque une larmes qui coule sur son visage malgré qu'elle soit endormie.
AH PUTAIN QU'EST-CE QUE T'AS FAIS RAYAN ?
Dis-je passant mes mains dans mes cheveux et faisant le tour de la chambre.
Non ! J'ai rien fais de mal ! C'est ma femme et j'ai tous les droits. Celle-ci c'était les mots que je me répétais jusqu'à ce que je décida d'aller me coucher.
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Je me réveille par des pleures venant de la salle de bain mais qui disparu après quelques secondes laissant place à la petite migraine que j'avais à la tête. Je me relève difficilement puis retire la couette sur moi mais alors que j'allais me lever quelque chose attira mon attention. Je retourne ma tête dans cette direction et c'est UNE TÂCHE DE SANG PLACÉ AU BEAU MILIEU DU LIT que j'aperçois et toute la scène d'hier nuit repassa en boucle dans ma tête.
- Moi : OH PUTAIN !! Elle était vierge.
À cet instant précis la porte de la salle de bain s'ouvre laissant place à Inaya qui ressort difficilement dans l'une de mes peignoirs et d'une main elle tenait une serviette mouillés. Elle referme la porte de la salle de bain et quand elle se retourne pour faire un pas dans ma direction, Elle tombe par terre.
- Inaya : Aïeeeeeee !! En touchant ses pieds.
- Moi : Attentionnnn !!! Cris-je sans le savoir.
Et c'est à ce moment qu'elle regarde dans ma direction et me remarque. Elle détourne vite ses yeux et essaye de se relever mais je voyais qu'elle a du mal à le faire dû à une douleur qu'elle ressentait à l'entrejambe et dont bien sur suis l'auteur.
J'hésite mais finit par me lèver et je vais vers elle pour lui tendre ma main pour qu'elle puisse s'y appuyer et se lever mais elle m'ignore.
Énervé j'attrape son bras puis la relève brusquement.
- Inaya : Aïeeeee ! Crit-elle de douleur en essayant de bien se tenir sur ses jambes.
- Moi : Tu vois pas que je te tends mon aide ?!! Lui Hurle-je au visage.
Elle rassemble quelques forces et me pousse, Je la lâche et récule d'un pas, Elle faillit aussi tomber.
- Inaya : Ça suffit !! Assez tout ça !! Tu ne vois pas que tu me fais encore plus mal que je ne le suis déjà ?!!! Hurla là t-elle à son tour. Qu'est-ce que tu veux bon sang ? TU VEUX ME TUER C'EST ÇA ?!! ALORS VAS Y TUE MOI QU'ON EN FINISSE MAIS LA SOUFFRANCE ÉPARGNE MOI ! J'AI T'AI RIEN FAIS MOI.
- Moi : BAISSE D'UN TON !!
- Inaya : NON !
- Moi : JE TE DIS DE BAISSÉ D'UN TON ! TU FAIS DÉJÀ ASSEZ PITIÉ COMME ÇA NE ME POUSSE PAS À BOUT.
- Inaya : Quoi tu vas me violée à nouveau ? Ou me frapper ? Vas y qu'est-ce que t'attends ? De toute façon t'as détruit ma vie !! Si tu ne m'aimais pas t'avais juste à le dire c'était pas obligé de m'épouser !
- Moi : QU'EST-CE QUE TU CROIS ? Grogne-je la ramenant de force à moi. QUE JE VOULAIS DE CE PUTAIN DE MARIAGE ?!! ÉCOUTE MOI TRÈS BIEN C'EST MON PÈRE QUI A VOULUT QUE JE ME MARI D'ACCORD ?!!! SI ÇA NE TENAIS QU'À MOI JE ME SERAIS PAS MARIÉ.
- Inaya : Et crois moi c'est ça que t'aurais mérité ! Finir seule ! Dit-elle se dégageant de mon emprise.
- Moi : Ne me pousse pas à bout Inaya tu peux pas savoir de ce dont je peux être capable.
- Inaya : J'en sais déjà assez et tu veux que je te dises ? T'es un monstre Rayan ! Dit-elle avant de se diriger vers le lit.
Elle s'assoit ensuite au bord et commence à essuyer la tâche de sang avec la serviette mouillé mais voyant que ça ne s'enlève pas elle retire le drap et sort avec. Sans oublier bien sur la démarche incroyable qu'elle a acquéri aujourd'hui entoucas je me demande elle et le caméléon qui marche plus rapide que l'autre en ce moment.
Enfin bref heureusement c'est le week-end et que j'ai pas à aller au bureau aujourd'hui sinon j'aurais été très en retard.
????? ??????.
J'arrive difficilement en bas et je jette le drap tâché de sang dans la machine à laver qui se trouve au fond de la cuisine puis je l'allume avant de sortir et me diriger vers les escaliers pour remonter m'appuyant sur ses derniers pour pas trop avoir mal.
Une fois dans ma chambre.
Je me pose au bord du lit en larmes.
J'avais tellement mal mon Dieu.
Je rassemble quelques forces et pars dans la salle de bain pour me laver une 2e fois et faire les grandes ablutions. Une fois tout ça fait, Je ressors et m'habille pour faire la prière du matin que j'ai manqué et après je me coucha. Je me sentais pas bien, J'avais grave besoin de repos. Ce connard il m'a déchiré l'entrejambe je vous jure. Toute mon bas-ventre est en feu jusqu'à présent et mes pieds c'est comme si je ne les sentais plus. J'arrive toujours pas à croire qu'il ait pu me faire ça et le pire je peux même pas me plaindre à quelqu'un, C'est mon mari et tout le monde me dira que c'est tout à fait son droit mais c'est horrible ça !! Comment est-ce qu'il peut me dire que c'est sont droit de me faire autant mal ? J'avoue qu'au début j'avais pensé à téléphoner à mes parents mais après je sais ce qu'ils me diront et j'ai pas envie de me sentir plus mal que je ne le suis déjà donc j'encaisse seule de toute façon je suis seule.
J'essuie une larme qui coulait et ramène la couette sur moi. J'étais prêt à fermer les yeux quand mon téléphone se mit à sonner.
Je me retourne il était poser sur la table de chevet, Je tire difficilement ma main pour le prendre ne voulant pas bouger et avoir plus mal et après quelques secondes je réussis.
Je regarde et c'est ma meilleure amie Dina.
J'inspire un grand coup puis je décroche.
- Dina : Enfin tu me décroche sa fait des heures que j'essaie de te joindre bref c'est le week-end et je me disais si on allait se voir pour passer du temps ensemble en plus t'avais dit avoir quelque chose à me dire non ? Mais vu qu'on était trop occupé hier avec les clients on a pas pu et on est même rentré tard bref sortons prendre une glace.
- Moi : Désolée je peux pas.
- Dina : Tu peux pas ? Mais pourquoi ? Ne me dit pas que même encore marié aujourd'hui tu peux pas sortir quand-même ? Je te rappelle que tu ne vis plus chez ton père c'est plus eux qui décide t'es indépendante ma belle.
Indépendante ? Mon œil oui.
- Moi : Désolée mais je peux vraiment pas et s'il te plaît me demande pas la raison, Comprends moi juste.
Jusque hier j'avais en tête de lui raconter sur le genre de mari que je suis tombée mais là je suis tellement dépassée et honteuse de ma situation que je ne pense plus pouvoir ouvrir la bouche pour raconter à qui que ce soit ce que je traverse.
- Dina : Bon d'accord vu que tu veux pas que j'insiste pas je ne vais pas le faire. Je comprends que t'as envie de passer du temps avec le Mr donc je te laisse allez bisous prends soin de toi et prennons une glace quand tu seras libre.
- Moi : Merci.
On se dit bye et aussitôt l'appel raccroché je voulue fondre en larmes mais je me ressaisie et essuya mes larmes puis ferma les yeux, Je voulais dormir et oublier un peu tout ça.
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????? ???????.
Je descends et je ne vois Inaya nulle part et je monte dans sa chambre.
J'ouvre brusquement la porte et elle se redresse en sursaut.
- Moi : Heureusement pour toi t'es là ! Je pensais t'as encore quitté la maison et surtout sans ma permission ! Bref descends me préparer à manger j'ai faim !
Elle me regarde choquée.
- Moi : QU'YA T-IL ? POURQUOI T'AS L'AIR ÉTONNÉE ?!
- Inaya : T'as donc pas de cœur toi ? Tu vois que j'ai mal et...
- Moi : J'ai dis j'ai faim alors depêche toi de me faire à manger ! La coupais-je sévèrement avant de partir.
- Inaya : Je ne le ferai pas !
Je m'arrête soudain et me retourne vers elle.
- Moi : T'as dis quoi ? RÉPÈTE UN PEU POUR VOIR ! Dis-je d'une voix sanglante. Vas-y si t'es une femme répète ce que t'as dis et regarde un peu si je vais pas t'éclater la bouche !
- Inaya : Rien.
- Moi : C'est bien ce que je pensais maintenant depêche toi de descendre ton cu*l et me faire à manger ! Rauque-je avant de sortir et éclater la porte derrière moi.
????? ??????.
Il sort et je sursaute face au bruit de la porte. Il y avait laissé toute sa rage et désolé mais j'ai pas pu dire non à sa demande si on peux appeler ça une demande. J'ai n'ai plus envie de revivre ce que j'ai vécu ses deux jours je n'ai donc pas le choix que d'obéir si ça peux m'éviter de me faire défoncé.
Je sors difficilement du lit et je descends en bas.
Je le trouve au salon entrain de jouer au play et je me pars vers la cuisine.
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Putain j'ai trop faim wesh ! Je pose la manette et je pars vers la cuisine pour me trouver quelque chose à grignoter en attendant que votre pote finit de cuisiner. Je la trouve entrain de rassembler les condiments et me verse du jus dans un verre puis m'assois au comptoir pour boire tout en défilant sur mon portable.
Soudain un bruit raisonne et c'est elle qui venait de faire tomber un bol. Je la regarde et nos yeux se croisent. Je détourne les miens et elle se baisse difficilement pour ramasser le bol tomber, une fois accroupie sur le sol et la main sur le bol elle arrivait plus à se relever. Je pose mon portable et mon verre de jus puis part lui tendre encore une fois ma main. Elle fait un tour de regard entre moi et ma main sans pour autant accepter mon aide.
- Inaya : Je peux me débrouiller seule. Dit-elle détournant son regard de moi.
Je l'attrape par les bras et la relève brutalement.
- Inaya : Aïeeeee ! Tu me fais mal. Dit-elle les yeux déjà humides.
- Moi : Écoute moi très bien ! TU CROIS AVOIR DE CŒUR C'EST ÇA ? Dis-je la secouant.
- Inaya : S'il te plaît Rayan lâche moi tu me fais mal. Fond t'elle en larmes. Je veux faire ce que tu dis mais ne me fais pas de mal. Éclate t-elle en sanglots.
Je reste fixé sur elle quelques minutes avant de la relâcher.
- Moi : Depêche toi de faire à manger.
- Inaya : ...Oui. Snifffffffffffff en hôchant innocemment la tête.
Je détourne mes yeux d'elle et me dirige vers la sortie avec mon portable et mon verre de jus que je pris au passage mais avant de sortir je me retourne une dernière fois dans sa direction. Elle était en larmes mais des larmes qu'elle essayait d'étouffer avec son foulard placé devant sa bouche.
- Moi : Tu vas rester là à pleurnicher ou me faire à manger ?!! Cris-je.
Elle sursaute au ton de ma voix et s'arrête aussitôt de pleurer. Elle essuie vite ses larmes avec son foulard et se baisse de nouveau pour récupérer le bol par terre puis s'avancer vers le plan de la cuisine. Tout ce temps mes yeux étaient porter sur ses jambes, Elle avait mal et pouvait moins le cacher.
- Moi : C'EST BON !! Dis-je l'arrêtant dans son élan de verser de la farine dans le bol. Je n'en veux plus. JE PRÉFÈRE COMMANDER QUE DE RESTER LÀ DES HEURES À ATTENDRE ! Dis-je calmement mais sèchement. Retourne dans ta chambre ! Lui dis-je avant de sortir.
...
On sonne à la porte et je sais tout de suite c'est le livreur. J'ai commandé depuis 20minutes et j'attendais dans ma chambre.
Je descends pour ouvrir et c'est Inaya je croise aux escaliers sur le point de monter.
- Inaya : Te voilà j'étais sur le point d'aller te chercher, J'ai finis de cuisiner et j'ai dressé la table reste plus que toi et si tu veux bien faire le reste seule j'aimerais monter me reposer un peu je me sens vraiment pas bien.
- Moi : Tu as cuisiné ? Dis-je un peu étonné.
- Inaya : ..Oui..Tu..tu m'avais dis de le faire et j'ai l'ai fais.
- Moi : Je t'avais aussi dit de ne plus le faire ! Pourquoi t'écoute jamais toi ??
Elle détourne les yeux sans rien dire et c'est la sonnerie de la porte qui se retentit de nouveau qui nous interrompre.
Je la laisse et pars voir. C'était le livreur, Il me donne les deux pizzas puis je signe la note et il s'en alla. Je referme la porte et reviens au salon. Je vois Inaya en haut marcher vers sa chambre et je pose les pizzas sur la table du salon en ramenant mes mains sur mes reins. Je frotte ensuite mon front et vais vers la salle de manger. Elle avait raison, Elle avait finit et déjà dressé la table.
J'ouvre le bol de repas et y'avait que pour une personne, Je me sers et je commence à manger puis soudain ma conscience me frappe.
- Moi : Et elle ? A t-elle manger ? Dis-je posant mon cuillère dans mon assiette.
Bah oui certainement, C'est quand-même elle qui a cuisiner.
Je reprends mon cuillère et je recommence à manger.
???? 20? ?? ????????...
Je pars dans la cuisine pour réchauffer dans le four les pizzas que j'avais commandé dans la journée et une fois finit je range un dans un plateau avec un verre d'eau à côté et je sorta une boîte de comprimé dans ma poche que je posa aussi à côté puis je prends le plateau et me dirige en haut.
J'arrive à la chambre d'Inaya et j'ouvre la porte puis pénètre à l'intérieur.
Encore une fois je la trouve entrain de prier et les mains levée vers le ciel ? Je pose le plateau au bord du lit et je quitta la chambre.
Je retourne en bas puis prends l'autre pizzas et me pose au salon.
????? ??????.
Je finis ma prière et me tourne vers le lit où j'avais sentis Rayan s'approcher quand il a pénétré dans ma chambre et là j'étais je fûs étonnée de voir le plateau où y'avait une pizza, Un verre d'eau, Un verre de jus et une boîte de comprimé. Je range mon tapis de prière et me rapproche de ce fameux plateau. À cet instant précis mon portable se mit à sonner, Je m'approche de la table de chevet et le prends sans même voir, Toute mon attention était porter sur le plateau.