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Il me bouscula dans le lit et avant que je ne puisse me relevée il vient se positionner au dessus de moi.

- Moi : ..Non Rayan s'il top plaît, Ne me fais pas ça. Dis-je paniquée.

Il ne me regarde même pas et ses mains se dirige vers ma robe. J'essaie de capter son regard tout en essayant d'arrêter ses mains.

- Moi : Non Rayan, Je t'en prie fais pas ça. Le supplié-je et mes mains viennent automatiquement se placer sur ses joues pour essayer de capter son regard en vain.

Il me regarde pas et me calcule même pas. Il fixe ma robe et je sais que tout ce qui l'intéresse c'est de la retirée et il se met direct au travail. Il soulève ma robe et quand arrive au moment de l'enlever.

- Moi : Allah je t'en prie sauve moi ! Dis-je chialant tous les larmes de mon corps.

D'un coup, Je le sens s'arrêter mais je me dis que c'était qu'une pose et je continua dans mes pleures puis soudain il lâche ma robe, Récule et s'éloigne complètement.

- Rayan : DEPÊCHE TOI ET DÉGAGE DE MA CHAMBRE !

J'arrête direct de pleurer et j'attends pas qu'on me le répète avant de filer dans ma chambre. Ensuite je me laisse tomber contre la porte de ma chambre en larmes après avoir refermée celle-ci. J'étais au bout de ma vie et j'ai eu tellement peur. Non tout sauf ça ! Je ne veux pas de ça non pas comme ça ??

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Je me réveille avec le visage gonflée par tous les larmes que j'ai dû versé hier nuit avant de m'endormir et après m'avoir douché et prier, Je descends faire à manger et quand je finis je prends mon petit déjeuner seul vu que je n'avais pas vu Rayan sortir et tant mieux d'ailleurs mais je laisse quand-même sa part là et je monte me changer pour ensuite filer à mon salon. Ma mère m'avait dit de consacrer une semaine à mon mari après mon mariage avant de recommencer à aller travailler mais là je peux pas, Je veux rester loin de lui et avec mon travail c'est la meilleure occasion.

Bref je finis de me préparer en optant pour un jogging simple et un tee-shirt blanc avec des manches longues pour cacher mes bleues. J'oublie pas le foulard et des baskets noirs puis je pars et c'est le chauffeur qui m'y conduit.

...

J'arrive dans mon salon de beauté et quand j'entra c'est Dina "Ma meilleure amie" à qui j'avais laisser ma place qui m'approcha.

- Dina : Déjà là ? Je pensais t'avais dit t'allais rester toute la semaine avec ton mari.

- Moi : Je le pensais aussi mais c'était une folie.

- Dina : Une folie ? Pourquoi ? Et pourquoi ta joue elle est toute rouge ?

Quoi ça se voit même après tout le fond de teint que j'ai mis dedans ??? Bref ça m'étonne pas c'était tellement fort ces coups.

- Moi : Allez vient je t'explique plutard on dirait qu'on a beaucoup de clients qui veulent se faire belle aujourd'hui.

- Dina : Oui et on a rendez-vous avec 3 mariées qui veulent tous venir ici pour se faire belle.

- Moi : 3 mariées ? Et vous avez accepté tout ça ?!

- Dina : Ne t'inquiète pas elles viennent pas toutes au même moment epuis t'es là et avec toute l'équipe suis sur qu'on va s'en sortir.

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Je me réveille et me prépare pour aller au bureau, Oui j'ai décidé de recommencer à travailler contrairement à la une semaine que papa m'avait donné, Je ne peux pas rester comme ça tranquille sans rien faire c'est trop ennuyant, J'ai envie de me bouger. Pour ce qui s'agit de mon boulot, Je travaille dans l'entreprise familiale au côté de mon frère Ali et de mon père qui est le patron. Ali est directeur général et j'ai été tout récemment nommé président de l'entreprise.

Bref je descends dans mon costume tout noir et plus beaux que jamais et je ne vois Inaya nulle part, J'en conclu donc qu'elle est dans sa chambre mais enfin bref je quitta la maison vers mon bureau et dans ma voiture. Je déjeune rarement avant d'aller au travail.

...

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J'arrive au bureau et j'alla direct répondre à l'appel de mon père qui envoya son assistant aussitôt qu'il su pour ma présence.

- Muhammed (Le cheikh) : JE LE SAVAIS ! JE SAVAIS QUE TOI T'ÉTAIS DIFFÉRENT ! S'exclame t'il alors que je pénétre dans son bureaux.

- Moi : As-salam alaykoum baba(Papa).

- Muhammed (Le cheikh) : Wa alaykoumou-ssalam mon fils. Allez vient là vient que je te prenne dans mes bras mon fils.

Je m'avance vers lui et on se fait un câlin de quelques secondes avant qu'il me propose de m'assoir sur la chaise en face de lui et j'éxecute.

- Muhammed (Le cheikh) : Je le savais ! Je savais que t'étais différent de ton faible de frère pour accepter de rester une semaine tout entier sans rien faire juste à s'amuser avec une femme. Dit-il fière de moi. Et honnêtement je t'ai donné ses une semaines pour te tester et j'avais raison c'est carrément toi mon fils, Celui qui a tout pris de moi et crois moi mon enfant tu iras loin.

- Moi : Merci papa.

- Muhammed (Le cheikh) : Allez vas y je t'écoute, Vas y raconte moi c'est comment avec cette fille ? M'as-tu vraiment écouté ?

- Moi : À la lettre papa.

- Muhammed (Le cheikh) : Et c'est comment ? A-t-elle accepté de se soumettre ?

- Moi : Je suis le fils du cheikh Muhammed Badaoui pourquoi ne le ferait-elle pas ?

- Muhammed (Le cheikh) : C'est bien mon fils, N'oublie pas t'es un homme et entre l'homme et la femme c'est toujours l'homme qui domine donc ne te jamais dominer par ta femme tu m'entends ?!

- Moi : Je te l'ai déjà promis papa donc ne t'inquiète pas.

- Muhammed (Le cheikh) : Voilà, J'adore de savoir que tu prends tout de moi mon garçon ! Continue comme ça ne change surtout pas et crois moi un avenir meilleur t'attends car moi ton père je serais toujours là pour t'elever plus haut car t'es un vrai homme filston contrairement à ton frère qui aussitôt s'est marié est devenue complètement méconnaissable maintenant tout ce qu'il fait il doit ramèner sa femme dedans et c'est d'ailleurs lui la lêche botte à cette dernière, Tout ce qu'elle dit il obéit à doigt et à l'œil comme ci c'est à elle de décider mais toi je sais que tu ne seras pas comme ça car j'ai totalement confiance en toi. Je sais que jamais tu ne te laissera dominer par une femme. Depuis toujours l'homme a été au dessus de la femme et souviens toi dans notre famille c'est seulement les hommes qui ont leurs mots à dire.

- Moi : Oui papa je m'en souviendrai.

- Muhammed (Le cheikh) : Bonne garçon. Dit-il en se penchant pour tapoter ma joue tout en souriant.

Depuis tout petit mon père n'a cessé de me répéter une chose : DANS NOTRE FAMILLE C'EST L'HOMME QUI DOMINE.

J'ai grandis en gardant ça dans le cerveaux et avec papa à côté et qui me le répétait tous le temps je ne pouvais évidemment pas oublier.

Pour mon père y'a que des hommes faibles qui se font dominer par les femmes et de surcroît sa propre femme et pour lui tant que t'as cette mentalité t'es quelqu'un de grand et tout s'ouvre à toi. Mon père il a cette mentalité et tout de lui porte à croire que c'est vrai car oui c'est un homme parmis les hommes. Il est riche, Respecté, Aimé et très admiré donc oui mon père à raison et c'est ses traces je suis depuis tendre enfance. Tout ce qu'il m'a appris et tout ce qu'il m'apprend c'est ce que je vais faire, C'est mon maître et j'ai totalement confiance en lui.

- Muhammed (Le cheikh) : Et ta femme ? Est-elle vierge comme il nous l'a dit son père ?

Je regarde mon père sans savoir quoi dire. Je savais bien qu'il allait me demander cela et c'est pourquoi j'ai voulue avoir ces rapports avec elle hier nuit mais après je sais pas, Quand j'ai l'ai entendu hurler si fort et surtout prononcé le nom d'Allah pour lui venir en aide j'ai pas pu aller jusqu'au bout.

- Muhammed (Le cheikh) : T'es là Rayan ?

- Moi : Oui papa. Sortis-je brusquement de mes pensées. Tu disais ? Je..je sais pas je pensais à autre chose excuse moi. Pris-je comme excuse.

- Muhammed (Le cheikh) : C'est rien maintenant vas y réponds moi. Est-ce-que cette fille est vierge ? Reprit-il sa question.

Je ne savais pas quoi lui répondre dans tous les côtés si je venais à lui dire j'ai l'ai pas touché il allait être déçu et me traiter de faible, Je n'avais donc pas d'autre choix que de mentir.

- Moi : Oui papa, Elle l'était, Le vieux avait raison.

Il soupire en entendant ma réponse.

- Muhammed (Le cheikh) : Al hamdoulillah et ce vieux il avait vraiment intérêt et maintenant je vais lui donner tout ce que je lui ai promis si tu trouvais sa fille chaste.

- Moi : Et tu lui as promis quoi ?

- Muhammed (Le cheikh) : Qu'il ne travaillera plus pour moi comme chauffeur et de lui trouver un travail décent en plus d'une énorme sommes que je verserai dans son compte en banque.

- Moi : Tout ça juste parce qu'elle est vierge ?

- Muhammed (Le cheikh) : Oui filston. De nos jours c'est rare de trouver une fille vierge c'est pourquoi aussitôt que ce chauffeur m'a parler de sa fille et qu'il a dit qu'il peut juré sur le coran qu'elle est encore pur j'ai immédiatement voulu d'elle pour toi malgré son rang sociale. En tant que vierge non seulement tu seras son premier homme et qu'elle aura tes enfants purement mais tu as aussi plus de moins de garder le contrôle sur elle et t'assurer d'être le seule dans sa vie aussi longtemps que tu seras sur terre et qu'elle sera ta femme.

- Moi : Je comprends maintenant papa.

- Muhammed (Le cheikh) : Évidemment tu comprends vite toi c'est pourquoi t'es mon préféré de tous. Dit-il le sourire au lèvre.

Après cette conversation avec mon père je quitta son bureau pour vers le mien ou je trouva mon frère qui m'attendait.

- Ali : Mais qui voilà, Le nouveau marié. Dit-il toute souriant et en venant dans mes bras. Encore une fois félicitation frérot.

- Moi : Merci. Dis-je acceptant son câlin.

On se sépare ensuite.

- Ali : Tu verras, C'est cool la vie de marié surtout si vous vous aimez et je sais que vous n'avez pas eu le temps de vous connaître avant de vous engager mais c'est pas grave, C'était aussi pareille avec ma femme mais aujourd'hui nous voilà avec personne qui peut vivre sans l'autre.

Je souris juste.

- Ali : Soit cool avec elle et surtout doux, Les filles n'aiment pas la brutalitée et toi et moi savons bien comment tes ex se plaignaient de toi pour ça n'est-ce pas ?

- Moi : Ne recommence pas. Dis-je avec une grimace.

- Ali : Je ne recommence pas je te préviens juste, Elle c'est ta femme excuse pour le mot mais c'est n'est pas une pu*te comme d'habitude donc tu la respecte et elle en fera de même après avec les femmes c'est comme ça. Si tu les traite comme une reine, Tu recevra la récompense de devenir un roi.

- Moi : Bah ça alors ! Tu semble beaucoup te connaître en femme toi, Je commence à croire que ce que papa dit est vrai, T'es devenu complètement soumis à ta femme toi.

- Ali : Oublie papa, Lui c'est n'est pas le meilleur exemple à suivre. Il veut juste qu'on ait la même relation qu'il a avec maman mais qu'il compte pas sur moi là dessus. Je ne veux pas d'une relation ou c'est seulement moi le gagnant, C'est trop injuste moi je ne peux pas voir une fille souffrir.

- Moi : Il a pas dit de la faire souffrir.

- Ali : Ah parceque tu crois qu'obliger une personne à se soumettre contre son gré c'est n'est pas de la souffrance ça ? Écoute frérot je sais qu'il a une très grande influence sur toi mais franchement papa n'est pas un bon exemple à suivre. Quand tu veux appliquer ses conseils rapelle toi de toutes les fois ou t'as vue maman pleurer accause de lui et ne fais pas souffrir une autre comme ça.

- Moi : Il ne fait absolument pas souffrir maman c'est elle qui l'obeït parcequ'elle l'aime et l'islam dit bien d'obéir à son mari.

- Ali : Oui mais pas de cette façon ! Là c'est n'est plus de la soumission dont Allah parle dans le coran mais plutôt de la dictature d'aimer faire souffrir et de surcroît sa propre femme celle qui va porter tes enfants.

- Moi : Qu'est-ce que tu raconte toi, Bien sur que c'est de la soumission. Dis-je me laissant pour me diriger sur ma fauteuil.

- Ali : Écoute j'attends pas à ce que tu comprennes, C'est n'est bien évidemment pas la première fois qu'on aborde ce genre de sujet mais à chaque fois c'est toujours pareille tu refuse de comprendre et c'est ton choix. SI TU TROUVE VRAIMENT QUE PAPA EST LE MEILLEUR EXEMPLE À SUIVRE SUR SA VIE CONJUGALE ALORS SUIS-LE j'ai plus rien à te dire moi, Seulement en tant que aîné je voulais te faire voir les choses mais de toute façon tu n'es plus une enfant, Tu as 24ans et si tu n'arrive pas à faire la différence entre le bien et le mal à cet âge bah j'y peux rien.

Qu'est-ce qu'il raconte lui-même !!!

- Ali : Papa t'as parlé du dîner que maman veut organiser pour toute la famille ?

Enfin il change de sujet.

- Moi : Non ! Répondis-je simplement.

- Ali : Elle m'a téléphoner et m'a dit de te le dire en cas si papa oublie.

- Moi : Super ! Et pourquoi ce dîner au juste ?

- Ali : Juste un simple dîner avec toute la famille réunis.

- Moi : Je vois et ta femme elle est revenue de ces parents ?

- Ali : Non et elle a même pas pu assister à ton mariage car sa mère est tombée grave malade et elle ne pouvait pas venir.

- Moi : Bonne guérison à elle.

- Ali : Je le lui passerai quand je la parlerai allez je te laisse travailler maintenant. Dit-il avant de quitter mon bureau.

À 18?.

De retour chez moi.

Je ne vois Inaya nulle part même pas quand suis monté la chercher dans sa chambre pour me faire à manger et je continua mes recherches pendant une dizaines de plus même dehors je l'avais cherché quand je décida de revenir et l'appeler mais ça sonne sans aucune réponse.

- Moi : MAIS ELLE SE TROUVE OÙ ELLE ?!! Dis-je jettant mon portable dans le lit en rage.

5? ????????.

Je jouais au play tranquille au salon quand j'entends du bruit venant de la porte, Quelqu'un était entrain de l'ouvrir avec une clée et quand je fûs sur qu'elle est rentré et qu'elle se dirige vers ici, Je pose la manette puis me lève.

- Moi : Bienvenue !

Elle saute légèrement surprise me voyant et me fixe juste.

- Moi : C'EST BON T'AS FINIS DE FAIRE TA PUTE DEHORS ET TU AS ENFIN DÉCIDÉ DE RENTRÉ ?!

- Inaya : QUOI ?!!! QU'EST-CE QUE TU RACONTE ? ÉCOUTE RAYAN J'EN AIS VRAIMENT MAIS VRAIMENT MARRE DE LA MANIÈRE QUE TU ME TRAÎTE ET CROIS PAS QUE JE VAIS ACCEPTER QUE TU ME TRAÎTE DE PU*TE ALORS QUE JE NE LE SUIS PAS.

- Moi : AUCUNE SALOP NE D'IRAIT LE CONTRAIRE ! J'arrive juste pas à croire qu'après toute la scène que t'as fais hier dans ce lit il se trouve qu'enfaite t'es QU'UNE PU*TE EN RÉALITÉE mais crois moi aujourd'hui je n'aurais pas pitié de toi. Tu sors toute la journée et tu reviens à 23h juste pour te faire baiser dehors n'est-ce pas ? JE VAIS T'AIDER. Dis-je avant m'avancer et la traîner avec moi par ses cheveux.

Elle criait en se débattant mais en vain.

Une fois dans ma chambre je la bouscule dans le lit et monte sur elle. Elle me regarde agitée et en se débattant mais je retire mon haut et la neutralise bien contre le lit.

- Inaya : Non fais pas ça je t'en prie...D'une voix agitée.

- Moi : ÉCOUTE MOI TRÈS BIEN, APPELLE QUI TE VEUX ET REGARDE MOI AVEC CETTE INNOCENCE AUTANT QUE TU VOUDRAS MAIS JE PRENDRAI MES DROITS SUR TOI CETTE NUIT et rien ni personne ne pourra m'arrêter ! A-t-il dit me pointant du doigt.