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Le plan d’Alec

? PARTIE 08 ?

Sophia : Tout ça, c’est à cause de notre tante,sinon ma sœur et moi, ne serons pas ici. Je me demande bien ce qu’ils seront en train de lui faire dans cette chambre. Je sais qu’elle fait tout ça à cause de moi. Je ne sais vraiment pas ce que je ferai pour l’aider. J’ai cherché du travail, mais à cause de mes papiers qui ne sont pas à jour, j’ai du mal à trouver ne serait-ce qu’un petit job. Je ne trouvais que du travail de serveuse, mais ma sœur ne veut pas que je fasse un tel boulot. Alors que c’est ça qu’elle fait pour subvenir à mes besoins.

Clarita : Sophia, je ne veux pas qu'Alexander revienne nous voir ici, je ne sais vraiment pas ce qu’il a derrière la tête te concernant. C’est même pour cette raison que j’ai jugé bon que tu rentres à la maison avec moi. Juliette viendra chez-moi lorsqu’elle va finir ce qu’elle fait.

Sophia : D’accord.

Sophia et Clarita commencèrent à marcher et une fois au bord de la voie, elles sont montées dans le premier taxi qu’elles ont trouvé.

John avait suivi toute leur discussion et après avoir gambergé un bon moment, parce qu’il a été touché par les propos de cette fille qui se sentait tellement mal pour sa grande sœur, il démarre sa voiture.

AU BAR…

Juliette était allongée dans le lit et Daniel la baisait. Elle ne disait rien et ne faisait que suivre le rythme de ce dernier avec les larmes qui coulaient de ses yeux. Daniel finit par jouir et descendit d'elle. Il se mit debout et dit à Juliette qu’elle pouvait partir. Juliette s’était levée et s'habillait sans même faire de toilette. Elle était brisée et blessée par l’homme qu’elle aimait de tout son cœur. Jusque-là, elle avait toujours du mal à croire qu'Alexander a trouvé le plaisir de lui faire une telle chose. Après être habillée, elle voulait sortir quand Daniel, qui était revenu des toilettes, lui tendit un chèque. Elle regarda ce dernier et sans même lui adresser la parole, elle voulait sortir quand Daniel l’arrêta.

Daniel : Je sais que tu n’as pas aimé ce qui vient de se passer, mais tu dois commencer à t’habituer à ça. Parce que je viendrai toujours ici à cause de toi. J’aime ta forme, ton odeur, tes seins sont tellement bons à sucer, sans oublier ta chatte qui est tellement dodue. Je vois maintenant la raison pour laquelle Alexander te gardait pour lui seul. Je te donne de l’argent et tu refuses, il ne t’a pas dit que tu seras payé pour tes services ?

Juliette ne voulait rien dire, mais cette dernière phrase de Daniel l'a poussé à lui parler et elle a pris la parole.

Juliette : Je ne suis pas une femme de plaisir, ou bien une prostituée comme vous tous le dites. C’est vrai que pour le moment je dépends de Alexander et il peut faire de moi ce qu’il veut. Mais ce ne sera plus pour longtemps. Je n’ai pas discuté d’argent avec toi. Alors tu peux aller donner ton chèque à la personne à qui tu as eu cette discussion. Maintenant, est-ce que je peux partir ?

Daniel : Je n’ai plus besoin de toi. Alors tu peux t'en aller.

Juliette est sortie de la chambre, une fois dans le couloir, elle s’était précipitée pour aller voir sa sœur. Mais en arrivant dans le bar, elle ne vit pas cette dernière et Clarita. Sans poser de questions à qui que ce soit, parce que tout le monde le dévisageait de regard, elle était sortie, vint à l’extérieur et lança le numéro de Clarita. Elle appelait Clarita, mais cette dernière ne décrochait pas. Elle commençait à avoir peur et voulait lancer à nouveau le numéro quand Clarita l’a rappelé.

Juliette : Allô !!! Clarita, vous êtes où ?

Clarita : Nous venons à peine de descendre du taxi, Sophia est avec moi. Tu peux venir passer la nuit chez moi cette nuit si tu veux bien. Parce que je ne veux pas que tu prennes le risque de faire sortir Sophia encore cette nuit alors qu'Alexander est dans les environs. J’espère que tu me comprends ?

Juliette : oui, je te comprends très bien mon amie. Merci beaucoup pour l’aide que tu me portes.

Clarita : Ne recommence pas avec tes remerciements. Fais vite pour venir, toi-même, tu sais que s’il fait trop nuit les chauffeurs n’aiment plus venir dans ma zone à cause de l’insécurité qui prend d’ampleur dans ce quartier.

Juliette : D’accord, je vais prendre la route tout de suite.

Clarita : Ok, Sophia et moi serions en train de chauffer la bouffe que j’ai préparé avant d’aller au boulot.

Juliette : Ok, tout à l’heure.

Clarita : Non, attends, Sophia veut te parler.

Juliette : D’accord, passe-la-moi.

Sophia : Grande sœur, comment vas-tu ?

Juliette : Je vais bien ma chérie et toi ?

Sophia : Je suis là, j’espère qu’ils ne t’ont pas fait du mal ?

Juliette : Non, ne t’inquiète pas.

Sophia : D’accord, sois prudente, grande sœur.

Juliette : Merci ma chérie.

Juliette raccrocha l’appel et les larmes commencèrent à couler de ses yeux. Elle était tout simplement dépassée par tout ce qui se passait. Elle arriva à trouver un taxi dans lequel elle est montée pour se rendre chez Clarita.

À LA RÉSIDENCE DE MARIA…

Alec est arrivé à dissuader Maria, cette dernière a déposé son arme et attendait le message de versement de ses dix millions de dollars sur son téléphone. Après avoir passé un le coup de fil avec son frère, Alec avait réussi à convaincre son Alexander de lui envoyer l’argent que Maria demandait. Alexander après avoir écouté tout ce que son frère lui a dit, au téléphone, avait demandé à ce qu’on lui envoie le numéro du compte bancaire de Maria. Parce qu’il avait bien compris les messages codés de ce dernier. Ce qu’ils avaient et ne faisaient qu’attendre le message de virement.

Maria était assise et réfléchissait à ce qu’il fera après avec son téléphone dans la main quand le message est venu. Elle avait lu et s'était levée pour aller faire une vérification sur son ordinateur portable. Ce qu’elle avait fini de faire et demanda à Alec de sortir de sa maison. Alec ne voulait pas sortir et commençait à essayer de l’amadouer lorsqu’elle prit à nouveau l’arme qu’elle avait déposée.

Maria : Sors de ma maison et ne reviens plus jamais ici. Je n’ai plus rien à avoir avec toi. Alors reste très loin de moi.

Alec : Maria, tu penses vraiment que tu peux te débarrasser de moi si facilement ? Tu as oublié que nous nous sommes embarqués dans cette affaire ensemble et que nous sommes mis d’accord de passer toute notre vie ensemble ?

Maria : Sors de ma maison.

Alec : Je viendrai te voir pour prendre ma part de l’argent que tu te feras après la vente de cette maison. Tu penses que c’est fini entre nous alors que c’est maintenant que tout a commencé.

Maria : Tu veux que je te bute, c’est ça ? Quitte ma maison, Imbécile.

Alec : Tu sais quoi, je n’aime pas précipiter les choses et je ne veux pas aussi créer des ennuis pour ma famille. Sinon tu ne serais plus là en train de me parler. Tu peux jeter un coup d’œil par la fenêtre de ta chambre pour avoir une idée de ce qui se passera si jamais je donne le feu vert.

Maria toucha le rideau pour voir à travers les fenêtres et n’arrivait pas à croire que le frère d'Alec et ses hommes étaient devant sa maison avec des armes dans les mains. Ce qu’elle ne savait pas, était qu’Alexander s’était servi du coup de fil qu’il avait passé avec Alec pour les localiser.

Maria : Et tout ça veut dire quoi ?

Alec : Ça veut tout simplement dire que si tu appuies sur la gâchette, tu seras une femme morte quelques secondes après.

Ce que toi, tu as dans la main, n’est pas une arme, mais un jouet. Passe une bonne nuit et sache que je vais espérer ma part du gâteau. Tu veux jouer à l’intelligente avec moi. Mais tu vas comprendre que personne ne joue avec Alec.

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