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Après avoir terminer mon service à 21 h , je me dépêche de me changer afin de vite rentrer chez moi . Il ne fallait pas trainer dans les rues à une heure pareille parceque les rues étaient remplies de loup prêt à vous sauter dessus à n' importe quel moment . J' avais toujours une peur bleue que des hommes surgissent de nul part me faire du mal . Raison pour laquelle je me dépêchais de rentrer à la maison .
Je marchais précipitement . Je ne regardais pas autour de moi .Tous ce que je voulais c' étais rentrer chez moi avant que quelque chose de mal ne m' arrive . Lorsque j' atteint une rue sombre proche de chez moi , j' accélère les pas mais j' attends des pas derrière moi . Je suis morte de peur et marche encore plus vite mais alors je m' apprête à tourner dans une allé . Deux hommes surgissent de nul part et me barre la route . Deux autres se montrent également derrière moi . Je suis morte de peur . Je me retrouve encerclé par ses monstres s' en aucune porte de sortie . Le premier qui semble être le chef de la bande s' approche de moi et pose directement sa main sur ma poitrine . Je retire sa main de force mais il me gratifie d' une gifle magistrale qui me projette au sol . Je crie de douleur mais il ne dit rien . Il s' abaisse à mon niveau et commence par déchirer mes vêtements tandis que les trois autres observent en spectateur . Il tire sur mon patalon mais je me débat de toutes mes forces et hurle .
— Tu peux hurler tant que tu veux . Personne ne viendra à ton secour . Personne , dit - il d' une voix grave en abandonnant mon patalon .
Il s' attaque à mes seins qui sont à présent nu*e devant ses yeux gourmand . Il les palpes et pince le bout de mes tétons . Mes larmes coulent sur mes joues alors que je le supplie d' arrêter . Il ricane et poursuit sa besogne . Il les prend ensuite en bouche et commence à les sucer comme un bébé . Je suis dégoûter . Une folle envie de vomir me prend soudainement et sans prévenir je rejette le contenu de ma bouche sur le visage de mon agresseur qui se relève aussitôt . Il est furieux et me donne deux bonne gifles qui me clouent au sol . Il me roue de coup avant de défaire sa ceinture et de se pencher sur moi .
— Tu l' aura bien voulu sale garce , je voulais y aller doucement mais plus maintenant tu vas le regretter .
Il se couche reposant son poids sur moi et tire sur mon slip . Je perds totalement espoir et m' abandonne à lui persuader que c' est ma fin . Il s' apprête à forcer l' entrée de mon sexe lorsque des coups de feux retentissent le faisant sursauter . Il se relève mais avant qu' ll ne puisse se retourner pour vérifier ce qui se passe , un violent coup de poing en pleine figure l' envoie valser de l' autre côté . Je tremble de mon côtés et me recroqueville sur moi même . Je remarque les trois autres hommes qui accompagnaient ce monstre sont tous à terre baignant dans leur propre sang .
De l' autre côté mon sauveur continue de rouer de coup mon agresseur. Après l' avoir bien tabasser . Il sort son arme qui avait servit à tuer les trois autres quelques minutes plutôt et tire sur ce monstre.
Il s' approche ensuite de moi alors que je recule apeuré . Qu' allait il me faire ? Terminer le sale boulot que les autres avaient commencé ?
— Ne ...ne t' approche pas de moi , je réussis à dire en sanglots .
— N' aie pas peur , me dit - il . Je suis là pour t' aider . Ne t' en fais pas je ne te ferai pas de mal .
Je me laisse convaincre par ses paroles même si je ne lui faisais pas confiance , je n' avais pas le choix actuellement .
Il me soulève du sol et me prend dans ses bras . Il marche jusqu' à une voiture qui doit être la sienne garé de l' autre côté .Il me dépose à l' intérieur et referme la portière puis contourne et s' installe au volant avant de démarrer en direction de je ne sais où .
Je finis pas m' endormi encore secouer par l' incident .
Eric KONE
Je roule en direction de ma villa en jettant quelques coup d' œil à la jeune femme couché derrière . Elle s' est finalement endormie mais elle tremble encore . Je comprends . Je n' arrive pas à croire qu' il existe encore de tels porcs qui n' ont aucun respect pour la femme . Le simple fait d' y penser me mets les nerfs en vrile .
Heureusement que je suis passé par là à temps sinon cette pauvre jeune femme aurait été briser à jamais . Qui sait si elle aurait même survécu . Ces gens n' ont vraiment aucun scrupule . Ce genre de personne doivent crever ou croupir dans une cellule . Je sais que je devrais probablement donner des explications à mon supérieur demain mais je n' en avais rien à foutre pour l' instant . Tous ce qui important c' était la vie de cette jeune femme .
Une fois arrivé à ma Villa , le gardien vient m' ouvrir le portail et je pénètre à l' intérieur . Je gare dans le garage et je sors avec cette femme dans les bras . J' entre dans mon immense salon et la porte jusqu' à une chambre à l' étage . Je la dépouille des restes qui lui servait de vêtements et lui porte une des robes de nuit de Nella avant de la couvrir avec le drap . Je l' observe un instant avant de sortir de la chambre . Je passais pas là par hasard et je suis tombé sur cette scène effroyable . En tant que bon flic je me devais d' intervenir car j' ai d' abord pensé à une bagarre ou un vol . C' est en me rapprochant que j' ai remarqué la pauvre victime au sol . Je referme la porte sans faire de bruit et je descends au salon où je me sert un verre de whisky dans mon mini bar . Je m' installe dans le canapé et le sirote peu à peu avant de prendre mon téléphone posé sur la table basse . La colère est toujours présente et ne semble pas vouloir redescendre . Ce spectacle m' éccœur au plus haut point . Je n' imagine pas ce que je ferai à cet homme qui osera s' en prendre à ma sœur . Je le découperai en morceau avant de le jetter en pature au requin . Cette simple pensée me rend encore plus à cran mais je ne calme et compose un numéro sur mon téléphone .
Lorsque la personne au bout du fil décroche , je ne le laisse placer un seul mot .
— Je t' ai envoyé une adresse . Débarasse moi de ces corps . Pas de vague , personne ne doit rien savoir , dis - je avant de racrocher immédiatement .
Je continue de siroter mon whisky , une aura meutrière m' enveloppant . Mon téléphone se met soudainement à sonner en m' arrachant de mes pensés . Je le prend et regarde le nom de l' appelant . Il s' agit de Nella . J' ai n' ai pas aucune envie de lui répondre alors je laisse sonner jusqu' à s' arrêter . Elle rappelle deux fois de suite mais fini par abandonner n' ayant aucune réponse .
Je monte finalement les escaliers et regagne ma chambre où le sommeil tarde à me gagner .
Je me réveil le lendemain matin à 4h comme à mon habitude et je file à ma salle de sport privé où je fais quelques exercices de remise en forme . Sans me vanter j' ai un corps d' athlète parfaitement sculpté . Et je me dois de l' entretenir non seulement à cause de ma profession mais aussi par raison de santé et autre raison dont je fais fi . Après avoir terminé ma séance , je retourne à ma chambre où j' entre dans la salle de bain . Je prends tout mon temps pour me raffraichir le corps . Une fois fini je me sèche et me met en tenue de travail . Je fais un tour dans la chambre dans laquelle j' avais laissé la jeune femme de la nuit dernière . Je la trouve assise sur le lit , le regard livide dépourvu d' expression . Elle doit être encore traumatisé par ce qui s' est passé . Je me glisse à l' intérieur de la chambre et le positionne devant elle . Elle recule par instant , ce qui m' arrache un sourire . Elle a encore peur de moi .
— Bonjour , j' espère que tu as bien dormi , je lui demande .
— Où suis - je ? Et qui êtes vous ? , me demande t - elle à mon tour .
— Je suis Eric KONE , policier de profression . Je suis celui qui t' a sauvé la vie hier .