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Chapitre 2

La sensation du sperme sur mon corps me dérange beaucoup. Le pire est que papa en lâche toujours une bonne quantité sur moi. Après m’être faite sautée, il n’y a qu’une chose qui peut me décompresser ; un bon bain mousseux. J’adore m’allonger dans la baignoire jusqu’à ce que l’eau se refroidisse. Je ne sais pas pourquoi, mais ça m’apaise. Qui plus est, j’en ai une nouvelle. Pourquoi ne pas en profiter ? J’ai tous les jours besoin d’apaisement car coucher avec papa est un stresse énorme. Que dirait maman si elle rentrait plus tôt que prévu un beau jour et qu’elle nous surprenait en plein ébat ? Je peux vous assurer qu’elle me tuerait. Elle vénère papa au point où elle considère qu’il est parfait. Si elle nous surprenait un jour, elle se dirait aussitôt que c’est moi qui l’ai allumé et que je ne suis qu’une pute. De toute façon, elle le pense déjà pour me l’avoir déjà lancé en plein visage lors d’une dispute.

Comme vous avez certainement pu le remarquer, j’ai une drôle de vie et je ne le souhaite à personne. Depuis que papa couche avec moi – et comme il sait que j’ai horreur de me rhabiller quand j’ai du sperme sur moi – il m’a aménagé une salle de bain dans ma chambre. Du coup, j’y vais toute nue après son départ. Après avoir ouvert le robinet pour que la baignoire ait le temps de se remplir, je vais fermer la porte à clé pour éviter que papa ne m’y rejoigne car il en est bien capable. Il ne peut se retenir de me baiser quand je suis habillée, comment croyez-vous qu’il pourra se retenir alors que je suis toute nue… Je m’allonge dans la baignoire, laissant mon corps se relaxer. L’eau est tellement bonne que je peux y rester éternellement.

Je prends du plaisir à me savonner et, au fil du temps, je me dis qu’en fin de compte, ma vie n’est pas si catastrophique. Il ne me faut pas longtemps pour regretter cette pensée. Soudainement, mes yeux se posent sur le calendrier. Pour la toute première fois de ma vie, je bâcle ma douche et j’en sors avant même d’attendre que l’eau n’ait refroidie. Je n’ai pas trop le choix car il y a urgence. Enfilant un peignoir sans même prendre la peine de me sécher, je me dirige dans la chambre de mes parents. Vu que la porte est ouverte, j’entre sans frapper et je le trouve à se branler. J’aurais dû frapper finalement…

- Hmmm ! Tu es sexy, ma chérie. Tu es toute nue en dessous ?

- Papa, il faut que je te parle. C’est vraiment important.

- Ça ne peut pas attendre ? Viens, qu’on se refasse une partie…

- Non, papa !

- Tu sais que tu es sexy dans ton peignoir ? Ça me donne envie de te baiser une fois de plus.

- Arrête ! Maman ne va pas tarder à rentrer ! Je ne veux pas qu’elle t’entende me dire ce genre de choses.

- Que pourra-t-il bien se passer si elle m’entend ?

- Elle pourrait me jeter à la rue.

- Crois-tu que je vais permettre à ta mère de mettre ma fille hors de ma maison ?

- Ta fille ou ma chatte ? Je crois plutôt que c’est surtout à mon vagin que tu tiens le plus. De toute façon, tu ne t’intéresses à moi que pour baiser.

- Bon, dis-moi ce qui ne va pas, reprend-il avant de ramasser sa queue en érection son boxer.

- Je n’ai toujours pas mes règles.

- Ce n’est pas aussi alarmant que ça, voyons. Tu les auras peut-être ce soir ou demain ! Il n’y a pas de raison de s’alarmer !

- Ce serait géniale si cela arrivait, mais je suis réglée comme une horloge et j’aurais déjà dû avoir mes règles depuis deux semaines !

- Là c’est un problème. Prépare-toi. Nous allons t’acheter un test de grossesse.

Papa a enfin compris la gravité de la situation. Je vais m’habiller pour que nous nous rendions à la pharmacie. Il faut que je fasse un test et je le fais toujours hors de la maison pour éviter que maman ne tombe dessus. Vous vous imaginez la catastrophe si cela arrivait ? Je ne préfère pas y penser. Bien sûr, elle ne pensera jamais que je suis enceinte de papa, mais cela ne lui fera pas plaisir car, comme je le rappel souvent, je n’ai que seize ans ! Ce n’est pas la première fois que je suis enceinte de papa et ce n’est pas pour autant qu’il utilise un préservatif ! Monsieur a plus de plaisir sans. Je suis déjà prête cinq minutes plus tard – enfilant un de mes crop tops préférés, une minijupe plissée et un string – et nous nous mettons en route. Nous allons à la pharmacie la plus proche et, comme je n’ai pas l’âge d’acheter un test de grossesse, c’est papa qui le prend à ma place. Il en prend toujours deux car il préfère qu’il y ait une contre-vérification pour en être certain. Puis, il m’emmène dans un restaurant et, en attendant que la commande arrive – une assiette de frites uniquement pour que je puisse utiliser les toilettes – je m’y rends pour avoir la réponse que je redoute tant. Dix minutes plus tard, j’ai les résultats et ils sont tous les deux positifs. Je suis enceinte pour la quatrième fois cette année et je vais devoir avorter une fois de plus. Je suis une fois de plus enceinte de mon propre père ! Il se rend compte qu’il met ma vie en danger en m’obligeant à avorter ou il s’en fou ? Je suis complètement dégoûtée alors que je retourne à notre table avec mes résultats cachés dans ma sacoche.

- Qu’est-ce que ça donne ? me demande-t-il alors qu’il déguste les frites, nullement inquiet.

- Je suis enceinte…

- Encore ? me demande-t-il avec un air ahuri, comme si ce qui m’arrive en ce moment est de ma faute.

- Que voulais-tu ? Tu n’utilises jamais de préservatif ! En plus, tu éjacules dans ma chatte ! J’espère simplement que je n’aurai pas de soucis de santé à force d’avorter.

J’ai tellement envie de gueuler sur lui pour lui dire le fond de mes pensées mais, comme nous sommes dans une salle où il y a du monde, je fais de mon mieux pour maintenir le ton de ma voix à un niveau assez bas.

- Personnellement, ça me conviendrait qu’on t’enlève ton utérus… Ainsi, nous pourrions faire l’amour sans avoir à nous soucier de ce genre de choses.

Je n’arrive pas à croire que papa puisse me dire ça sans aucune gêne. Je me demande ce que j’ai bien pu faire au bon Dieu pour mériter un père pareil.

- Tu es fou ? Comment peux-tu me dire une telle chose ? Laisse-moi te rappeler que je n’ai que seize ans !

- Et alors ?

Il renchérit là-dessus en plus. Il y a des gens qui ne manquent vraiment pas de culot.

- Je compte bien fonder une famille et avoir des enfants plus tard.

- Il faudra d’abord que je te donne mon accord pour que tu puisses te marier, tu le sais ?

A ces propos, je ne peux m’empêcher d’éclater de rire tellement cette situation est ridicule.

- Tu vas m’empêcher d’avoir une vie normale ? Tu es prêt à me priver du bonheur pour que tu puisses continuer à me baiser ?

- Tu es à moi, chérie, et je ne compte pas te laisser partir. Et puis, pourquoi un autre pourrait te rendre heureuse et pas moi ?

- « Tu rêves si tu penses que je resterai avec toi… Je fuirai cette maison aussitôt que j’aurai dix-huit ans et tu n’entendras plus parler de moi. »

C’est ce que je me dis souvent mais, juste après, mes pensées se redirigent sur ma petite sœur. Je ne peux pas la laisser entre les griffes de ce monstre. Alors que je réfléchis, je remarque qu’il a les yeux plongés dans mon décolleté. Il le fait sans aucune honte en plus ! C’est une sensation que je ne supporte guère. Il aurait pu me montrer un peu plus de respect en public, non ?

- Tu sais de quoi j’ai envie, chérie ? me demande-t-il tout bas après être venu s’asseoir à côté de moi.

Vu le ton de la voix qu’il prend, je sais déjà ce qu’il veut.

- Tu veux encore coucher avec moi ? Je croyais t’avoir entendu dire que c’était fini pour aujourd’hui !

- Je sais que je te l’ai dit, mais ce n’est pas pour autant que ça doit être le cas ! Si je veux coucher avec toi, je le fais…

Vous n’avez pas idée à quel point je suis mal-à-l’aise. Comme dans un mouvement de défense, je croise les jambes et les bras. Malheureusement, je suis consciente que personne ne me protègera et que je me retrouverai une fois de plus à la merci de ce malade. Manifestement, il se fou de ce que je peux ressentir et c’est triste. Moi qui en général adore les frites, je n’arrive pas à en manger. Papa a une fois de plus réussi à me saouler. Comment peut-il vouloir que j’enlève mon utérus ? Je sais que je vous parlais d’autre chose, mais ça m’énerve toujours autant. Il y a tellement de choses dans cette conversation qui me dérange en ce moment. Déjà, comment peut-il encore vouloir coucher avec moi alors que je suis enceinte ? Je commence sérieusement à me demander s’il n’est pas fou. Sans que personne ne s’en rende compte de quoi que ce soit, il me caresse tendrement la jambe sous la table. En temps normal, je n’y porte aucune attention car j’y suis habituée, mais pas cette fois. Déjà, nous sommes dans un lieu public et ça ne se fait pas. Pour ne rien arranger, la femme assise à la table d’à côté nous regarde bizarrement, me donnant l’impression qu’elle comprend ce qui se passe. Qui plus est, étant à environ deux mètres de nous, elle m’a certainement entendue l’appeler papa au moins une fois.

- Arrête, papa !

- Pourquoi ? Ça ne te déplait pas normalement !

Il ne manque pas de culot ! Il s’agace alors qu’il me met mal-à-l’aise. J’aimerais tellement qu’un miracle se produise et l’éloigne de ma vie…

- Je n’ai jamais accepté quand tu le fais dans un endroit public ! Tu pourrais avoir un minimum de respect pour moi quand même !

Il m’est impossible de ne pas lui montrer mon énervement, même si je fais de mon mieux pour garder le ton de ma voix bas.

- Pourquoi ça te dérange ? Nous pouvons sans problème passer pour un couple !

Je préfère ne pas lui dire qu’une femme nous regarde ; il serait capable de faire un scandale. Je ne pense pas avoir besoin de ça en ce moment.

- Ça ne m’intéresse pas, papa ! Je suis ta fille et je veux que cela reste ainsi. Tu pourrais comprendre ça, non ?

Comme pour m’agacer d’avantage, cette ordure qui me sert de père me caresse le vagin après avoir écarté mon string d’un doigt. Dans un sursaut, je me lève de table et je m’apprête à sortir quand il m’attrape le bras de manière autoritaire pour me faire comprendre que c’est lui qui décidera quand nous partirons. Il m’a déçue en plusieurs occasions et je pense qu’il a haussé la barre à un niveau supérieur aujourd’hui. Déjà, il y a le fait qu’il ait transformé ma chambre sans me demander mon avis, qu’il veuille qu’on m’enlève mon utérus pour qu’il puisse me baiser sans soucis et, à présent, il me caresse la chatte dans un lieu public. Le pire est que quand il fait ça, mes mamelons durcissent et, comme je n’ai pas mis de soutien-gorge, il les voit, ce qui l’excite encore plus. Sans que je ne me doute de quoi que ce soit, papa fait quelque chose qui me fait sortir de mes gonds ; il insère son majeur dans mon vagin. Mais, putain, on est en public ! Qu’est-ce qu’il ne comprend pas dedans ? Il a réussi à me rendre folle de rage. Si ça ne tenait qu’à moi, je lui aurais donné une grosse gifle. Il a beaucoup de chance d’être mon père… Et je ne peux rien faire d’autre que de subir.

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