Chapitre 1
Je suis complètement déboussolée en rentrant du lycée, cet après-midi. Je ne reconnais plus ma chambre. Ma petite chambre d’adolescente s’est subitement transformée en une chambre d’adulte, une chambre de femme. Les murs qui, quelques heures plus tôt, étaient recouverts de papiers peints, sont complètement peints en blanc. Mon lit a changé et je ne vous parle pas de la déco. Tous mes meubles sont à présent d’un noir foncé alors que la moquette est rouge. Le drap blanc et les thés d’oreillers rouges qui recouvrent mon lit sont des couleurs qui se mélangent bien à mon goût et il y a une rose solitaire qui se tient debout dans un long vase à fleur rempli d’eau. Il y a également pleins de pétales de roses rouges fanées un peu partout sur le sol ainsi que sur mon matelas. La nouvelle déco me plaît, mais ce changement, aussi beau qu’il puisse être, m’agace. J’ai horreur qu’on touche à mes affaires. Mon ancienne chambre était peut-être souvent en désordre mais, au moins, je m’y retrouvais toujours !
- Ta chambre te plaît, ma chérie ? me demande papa, me faisant sursauter – je ne l’ai pas vu arriver puisque je regardais toujours dans ma chambre debout devant ma porte – avant qu’il ne m’enlace par derrière et ne me donne des bisous dans le cou.
- Elle est très jolie papa, mais…
- Je me disais bien qu’il y aurait eu un mais… Tu ne peux jamais profiter de ce qu’on t’offre sans que tu ne trouves la petite bête.
- Ce n’était pas nécessaire de changer ma chambre de cette façon.
- Bien sûr que c’était nécessaire ! Tu es une femme à présent et il est important que ta chambre le reflète.
- J’ai seize ans, papa ! Je suis toujours une ado !
Je m’éloigne de papa et je m’approche de l’armoire pour voir comment c’est à l’intérieur, surtout qu’il est plus grand que mon précèdent. En l’ouvrant, c’est le choc. Il a également changé ma garde-robe ! Ce n’est pas croyable ça ! Heureusement, mes habits préférés sont toujours là. Cet homme-là n’est pas croyable.
- Je n’arrive pas à croire que tu ais jeté toutes mes affaires !
- Tu verras qu’ils ne te manqueront plus dans quelques jours.
- Je l’espère. Tu sais que j’ai horreur qu’on touche à mes affaires !
De par le ton que j’utilise, papa comprends que je suis vraiment agacée. Il s’approche une fois de plus de moi et m’enlace une fois de plus de derrière.
- Il fallait que je te donne les moyens de grandir. A ce propos, sais-tu de quoi j’ai envie en ce moment ? me demande-t-il quand je sens subitement une main caresser mon ventre avant de monter progressivement jusqu’à mes seins.
- Je n’en ai pas envie, papa. J’ai eu une dure journée au lycée et j’aimerais me reposer.
Il n’est que cinq heures de l’après-midi et, comme tous les jours, papa veut me sauter. Cela ne m’intéresse guère et j’essaie toujours de trouver une échappatoire pour qu’il me foute la paix, mais il finit toujours par me forcer et je ne pense pas qu’aujourd’hui sera une exception à la règle.
Ne portant aucune attention à ce que je viens de lui dire, papa me transporte dans ma chambre dans ses bras avant de me jeter violemment sur le lit. Puis, il se met sur moi et déchire ma chemise d’un geste si brutal que tous mes boutons volent en éclats. C’est une autre chemise de fichue… Ensuite, il désagrafe mon soutif, me l’enlève et me lèche l’aréole avant de me mordiller un téton, puis l’autre. Il le fait toujours avec fougue mais, moi, ça ne me procure aucun plaisir. Vous vous voyez faire une telle chose avec votre père, vous ? Alors que je ne lui porte aucune attention, il enlève brutalement ma jupe, baisse ma culotte et insère son doigt dans mon vagin. Papa me fait mal à chaque fois qu’il le fait ainsi car je ne suis pas lubrifiée, mais cela l’importe peu. Lui, il préfère que ma chatte soit sèche car ça lui procure plus de plaisir. Enfin, c’est ce qu’il rabâche.
Perso, je trouve dommage qu’il me fasse vivre ça. J’aurais tellement préféré être comme toutes les filles et avoir un père aimant, protecteur… Après s’être fait plaisir en me doigtant, papa se met debout devant moi. Je m’agenouille, je lui attrape la queue bien en érection et je la lui suce. La routine quoi… C’est quelque chose qui me répugne, mais je le fais toujours sans broncher. Je n’ai pas le choix de toute façon. Si je mettais en pratique tout ce qui me passe par la tête à ce moment-là, il m’aurait fait tellement mal que l’envie de le refaire ne m’aurait plus jamais effleuré l’esprit. Du coup, je me garde de lui faire toutes sortes de méchancetés.
- Ah oui ! gémit-il. Continue, chérie !
Si rien qu’en le suçant, papa pousse toutes sortes de cris, maintenant, imaginez-vous comment c’est quand il me baise. Jusqu’à présent, j’ai toujours eu de la chance que personne ne soit à la maison quand il le fait, mais que se passera-t-il le jour où maman rentrera et que nous ne l’entendrons pas ? Elle entre toujours de manière silencieuse dans la maison et, avec la mauvaise habitude qu’a papa de gémir de plaisir, on finira tôt ou tard par se faire prendre. Maintenant que j’y pense, peut-être que c’est la solution pour que je ne sois plus un objet sexuel après tout !
- On le fait dans quelle position, aujourd’hui ? me demande-t-il après avoir enlevé sa queue de ma bouche.
- C’est comme tu veux, papa.
Vous avez déjà regardé des films pornographiques ? Ben, il me fait prendre des positions qu’on n’y trouve pas. Vous n’avez pas idée à quel point c’est désagréable. De toute façon, même si je finissais par en choisir une, il finira toujours par faire ce qu’il veut. Au fond, j’aurais préféré lui demander de me laisser tranquille et de me permettre d’avoir une vie d’ado paisible comme toutes les filles de mon âge. En temps normal, une gamine de seize ans devrait être capable d’avoir une vie épanouie et faire pleins de choses ou, à la rigueur, d’avoir des rapports sexuels avec son mec et non avec son père ! Je ne pense pas avoir besoin de vous dire qu’il m’empêche de fréquenter de jeunes mecs… Le temps que papa me place sur le lit dans la position qu’il souhaite, j’en profite toujours pour penser à une façon de fuir cette vie, mais je n’en vois pas. J’aurais pu m’enfuir, mais pour aller où ?
Me retrouvant allongée sur le dos, papa prend place sur moi en califourchon avant de m’embrasser dans le cou tout en descendant progressivement. Puis, il m’écarte les jambes et me suce le vagin. Ce que je m’apprête à vous dire est sûrement dégueulasse, mais je crois bien que c’est la seule chose qui ne m’est pas totalement désagréable. Je me retrouve rapidement lubrifiée. En revanche, ça aurait été encore plus intense si c’était fait par quelqu’un d’autre. A force de me faire baiser tous les jours, il faut quand même que je puisse en tirer du plaisir de temps en temps, non ?
Bref… Pour en revenir à ce qui se passe actuellement, je suis complètement lubrifiée. Il faut l’avouer que papa suce bien… Toutefois, j’ai à peine le temps d’en profiter qu’il glisse sa queue dans mon vagin. Sans même prendre la peine de savoir si ça va, il fait des va-et-vient tellement brutaux que je ne peux m’empêcher de gémir pendant l’action. Je gémis, mais de douleurs. Maintenant que j’en parle, je commence à me demander s’il arrive à faire la différence entre le plaisir et la douleur. Je souhaitais que cela se termine au plus vite. J’essaie toujours de trouver quelque chose pour que l’acte sexuel soit le plus agréable possible, mais ce n’est jamais le cas.
Dix minutes plus tard, papa enlève sa queue de ma chatte et il la secoue vigoureusement avant que je sente un liquide chaud gicler sur mes lèvres et sur mes seins. Vous ne savez pas à quel point ça m’est désagréable. Comme si cela ne suffit pas, papa m’oblige à lui sucer la queue remplie de sperme alors qu’il éjacule toujours. Ugh ! Je fais toujours de mon mieux pour ne jamais avaler ma salive mais, à un moment donné, je suis obligée de cracher par terre. Ça lui déplait, mais il ne peut pas tout contrôler non plus. Heureusement d’ailleurs ! Je suis contente que notre moment "intime" dure rarement plus de dix minutes. Vous vous imaginez comment aurait été ma vie si je devais subir cela plus de trente minutes ?
- C’était super, me dit-il, tout essoufflé. Tu n’as pas à te préparer, aujourd’hui. Nous n’irons nulle part.
Papa m’embrasse une fois de plus sur les lèvres avant de s’en aller. Il me dit toujours que c’était super pour lui, mais il ne m’a jamais demandé mon avis. Quoi que je préfère que ce soit ainsi. Sinon j’aurais eu à lui mentir et il risquerait de croire que j’apprécie vraiment. D’habitude, avant qu’il ne me donne ce dernier baiser, j’essuie tout le sperme qu’il a déposé sur mon visage mais, un jour, je vais en laisser pour voir s’il osera le faire malgré tout. Un point positif pour aujourd’hui ; je ne verrai aucun client. Au moins, j’aurai un peu de répit. Cela dit, ça ne me déplairait pas d’avoir ce genre de chance plus souvent.