chapitre 2
Assise dans ce jet privé Juliette regardait à travers le hublot le regard vide .Sa vie n'avait plus de sens depuis très longtemps,cet inconnu qu'elle suivait pensait sûrement qu'elle était muette ,ce qui n'était pas le cas,tout simplement elle avait peur de parler.
Pour une personne qui était constamment punir parce qu'elle parlait pour exprimer son refus,son ressentiment c'était mieux pour elle de se murée dans un silence de mort pour ne plus souffrir.
Septs longue années à être maltraité,mal nourrir torturée elle n'avait plus confiance en personne,et tout ce qu'elle voulait était de mourir.
Elle ne s'enlançait pas d'admirer le paysage car depuis 7 ans c'était pour la première fois qu'elle voyait l'extérieur sans qu'on ne lui couvre le visage car depuis qu'elle était la captive de Jérémy elle n'avait jamais mis les pieds au dehors sans qu'on ne lui caché le visage.
Elle était restée enfermée très longtemps et était restée loin du monde depuis des années.
Jeremy ,cet être répuyant ,cruelle et sans cœur était l'homme qu'elle détestait le plus au monde.Avec lui elle n'avait le droit à rien,ni de prendre une douche ni,de manger .
Elle n'avait le droit à rien et elle en souffrait chaque jour jusqu'à ce qu'elle soit insensible à présent à toute torture et maltraitance.
Une larme sollitaire roulait sur sa joue ce qu'elle éssuyait immédiatement.
Elle ressentir une présence à ces côtés ,à l'odeur du parfum elle savait déjà qu'il s'agissait de l'inconnu.
La peur l'a gagnait automatiquement car il lui faisait peur et l'a terrifiait,il n'était pas comparable à son geôlier .
De grand taille ,son charisme imposait le respect ,son visage froid et toujours crispé le rendait viril .De toute sa vie elle n'avait jamais vu un homme si beau et imposant .
Son aura dégageait quelque chose de puissant ,de dangereux et son regard le transperçait tellement qu'elle baissa les yeux.
- Juliette voulez vous mangez quelque chose?
Juliette le regardait avec crainte et se demandait comment serait sa vie auprès de son nouveau geôlier ? serait t'il plus compatissant envers elle que Jérémy ou allait t'il l'a détruire plus?
Elle était tellement dans ses pensées qu'elle ne l'avait pas vu s'installer à ses côtés.
- N'ayez pas peur,je ne vous ferez aucun mal, dorénavant vous resterez avec moi lui dit t'il avec force.
Malheureusement elle ne croyait rien de ce qu'il lui disait car c'était des paroles en l'air.
Il allait être comme Jérémy car au début quand son oncle l'avait vendu ,il avait été gentil avec elle avant de commencer par l'a maltraité.
Vladimir Van Zyl serrait ses poings très fort sur ses genoux,il n'était pas de nature patient mais avec la jeune femme il allait usé de beaucoup de patience pour qu'elle lui fasse confiance.
Il l'amenait dans sa villa en Russie car elle avait besoin de soin ,il voulait l'aidé psychologiquement et physiquement et il pensait que Maria sera la personne idéale pour l'aider dans sa guérison.
Il avait ordonné à ses hommes de lui trouver Jérémy coûte que coûte,lui aussi de son côté remuera ciel et terre pour le retrouver.
Il était sur que la jeune femme avait faim alors il fit signe à l'hôtesse de l'air pour qu'elle lui serve différents mets.
L'hôtesse obéir immédiatement sous le regard étonnée de la jeune femme.
- Mademoiselle Jonhs vous êtes libre de manger ce que vous vouliez lui dit t'il en s'éloignant d'elle.
Une fois dans son siège Marx se rapprochait de lui tout peureux.Il lui jettait un coup d'oeil pour l'inciter à lui dire le fond de sa pensée.
Après tout Marx était le deuxième ami et confident qu'il avait avant d'être son garde du corps.
- Vas y parles moi Marx dit t'il le rictus aux lèvres.
Marx prit un grand soupir et prit place à côté de lui.
- Vladimir est tu sur que c'est une bonne idée de l'amener ?
Lui même n'en savait rien,tout ce qu'il savait était qu'il lui était impossible de l'abandonner , dès qu'il avait posé son regard sur elle il avait ressentir quelques chose qu'il n'arrivait pas à s'expliquer.
- Marx je n'en sais rien,mais je suis sur que j'ai pris la bonne décision .
- Cette femme est complètement détruite,ça te sera difficile de l'aider surtout que tu n'est pas du genre à être patient.
- Je ferai l'effort Marx parce que quoi qu'il adviendra je rendrais cette femme heureuse,je l'a guérirait et je ferai tout pour que sa vie reprenne un sens.
- Mais pourquoi lui demandais Marx.
Pour le moment il n'avait pas de réponse à sa question et il n'avait pas envie d'y penser.
- Pour le moment je n'en sais rien et je voudrais que cette conversation prenne fin maintenant.
Marx hochait la tête pour lui dire qu'il avait compris.
Il Jetta un coup d'œil vers la jeune femme et à son plus grand bonheur elle était entrain fe se restaurer même si elle n'avait pas manger grande chose c'était un bon début.
Quelques heures après..
Juliette ouvrir les yeux et vit qu'elle se trouvait dans une grande chambre dans un lit très confortable.
Automatiquement elle se leva et commençait par regardé un peu partout dans la chambre.
Où était t'elle?et où était son geôlier ?elle s'apprêtait à sortir de la chambre quand la porte s'ouvrir sur une vieille dame qui l'a gratifiait d'un sourire éclatant.
- Oh mon enfant tu est réveillée ? bienvenue en Russie lui dit t'elle en s'approchant d'elle.
Elle recula de deux pas sous l'effet de la peur,elle était en Russie ?le pays le plus dangereux?
Qui était cet inconnu ?que lui voulait t'elle?Elle devrait impérativement s'enfuie d'ici car tôt ou tard Jérémy l'a retrouvera et là elle pourra dire adieu à sa misérable vie.
Certes elle souhaitait la mort mais ne voulait pas mourir entre les mains de ce monstre qui était Jérémy.
- Mon enfant je ne te ferai aucun mal lui dit la dame en lui caressant la joue.
La jeune femme ne pouvait s'empêcher de pleurer ,au fond d'elle elle savait que la dame état sincère et qu'elle ne lui voulait aucun mal.
D'ailleurs elle lui rappelait sa mère.Vu qu'elle ne lui répondit pas elle continuait :
- Je vais t'aider à prendre une douche et à te restaurer d'accord ?
Elle hochait la tête pour lui dire oui,elle voulait tellement lui parler mais elle n'y arrivait pas..
- Moi c'est Maria, monsieur m'a dit que tu t'appelais Juliette c'est un très joli prénom ma puce.
Pour la première fois elle souriait depuis qu'elle avait perdu ses parents,la vielle dame lui rendait son sourire et l'entraînait sous la douche.
Maria était entrain de l'a déshabillé quand subitement elle émit un petit crit d'horreur.
- Oh mon Dieu s'exclamait t'elle le visage horrifié.