chapitre 1
- Monsieur il n'y a aucune trace de Jérémy Lawson.
Vladimir Van Zyl regardait son bras droit avec un regard dur,il avait quitté la Russie très tôt aujourd'hui pour pouvoir régler son compte à Jérémy.Il avait osé lui volé plusieurs millions de dollars.
- Ordonne à mes hommes de le chercher dans tout les coins et recoins de l'Amérique.Il n'a pas pu allé loin dit t'il à Marx son bras droit.
Il allait regretté de lui avoir remis ses faux papiers et de lui avoir vendu l'entreprise qui n'était pas à lui,ses millions de dollars qu'il lui avait pris il ira dans la tombe avec .
Du haut de ses 33 ans Vladimir était un mafieux russe le plus craint et homme d'affaire le plus redoutable.Il était un bel homme , charismatique,fort,et corpulent.
D'une taille très élancé il était le célibataire le plus convoité de la Russie .
De nature impitoyable il était un homme froid qui traquait ses ennemis ,les tortures avant de les tués. Il était sans coeur, et sans une once de sentiments.
Pourquoi devrait t'il même avoir pitié? tandis que c'était depuis l'enfance que son père Enzo Van Zyl lui chantait que dans cette vie la pitié,les sentiments,l'amour et la joie constituaient la faiblesse de l'homme.
Tout au long de sa vie cette phrase l'avait façonné et avait transformer son coeur en pierre .
Vladimir était un homme à part entière car il avait tué pour la première fois à l'âge de ,8 ans.Il se souvenait comme si c'était hier de la peur qu'il avait ressentir quand il avait tenu l'arme.
Son père était le mafieux le plus réputé de la Russie et il avait assez d'organisation mafieuse.
Son passé à été terrifiant et son enfance très tragique car il avait vécu dans le sang,la haine et ,la cruauté ce qui l'avait rendu encore plus monstrueux.
Oui il était un monstre sans coeur car il avait regardé son père tué sa mère et sa sœur de sang froid.Ce jour il n'avait pas pu faire quelque chose pour les sauvés car il n'avait que 10 ans .
Depuis des années jusqu'à aujourd'hui Vladimir s'était culpabilisé de ne pas pouvoir pu sauver sa mère et sa sœur.
Pour lui il devait pu les sauver malgré son âge mais au lieu de ça, ce jour il était resté tétanisé et paralysé par la peur .
Sa mère et sa sœur de 3 ans étaient les êtres les plus chers qu'il chérissait ,elles étaient celles qui représentaient un peu de lumière dans l'obscurité dans laquelle il vivait.
Sa mère voulait une vie différente pour lui ,une vie loin du sang,elle lui voulait une vie normale et le jour de sa mort c'était parce qu'elle avait pris sa défense qu'elle avait été tuée par son père .
Alors pour lui tout était de sa faute sa soeur et sa mère n'avaient pas mérité de mourir,surtout sa soeur ,elle n'avait que 3 ans ,elle était une âme pure et innocente.
Alors pour se venger il mit deux balles dans la tête de son père le jour de son anniversaire à ses 15ans car il le haïssait de toutes ses forces.. Il avait tellement ressentir de plaisir en le tuant mais ce n'était pas pour autant que la culpabilité avait arrêté de le ronger.
Il ne méritait pas d'être heureux,d'avoir une famille,ni de connaître l'amour ,la tendresse et la joie se disait t'il tout les jours.
Avec le temps il avait appris à se battre,à manier n'importe quelle arme quelque soit le calibre et il s'était forgé psychologiquement et physiquement et Aujourd'hui il possédait plusieurs entreprises .
En plus de ses organisations mafieuses il avait le plein pouvoir que ça soit en Russie ou en Amérique .
Il était au parfum de toutes les magouilles des autorités de la Russie et de l'Amérique d'une telle manière que personne ne pouvait l'arrêté .
Pour tout conclure il était le maniaque du contrôle mais il n'avait pas la paix du coeur et il croyait dur comme fer qu'aucune femme ne pourrais lui apporter la paix qu'il désirait avoir.
- Patron je propose qu'on rentre à l'hôtel le temps que nos hommes le retrouve car actuellement il n'y a aucune trace de lui.
Nous avions déjà arrêté tout ses hommes qui se trouvaient dans le club à par son esclave de distraction lui dit Marx en le sortant de ses pensées.
Son esclave de distraction ? comment ça?se demandait t'il.
- Sois explicite Marx lui dit t'il.
Son bras droit pris une grade inspiration avant de lui déclarer :
- Pour ce que je sais elle s'appelle Juliette Johns ,elle a 24ans et elle est devenue l'esclave de Jérémie quand son oncle lui avait vendu la fille à l'âge de 17 ans.
Cest une très belle femme qui est convoité par plusieurs hommes ,et c'est elle qui lui attire des clients potentiels raison pour laquelle son club a considérablement prospérer durant ses septs ans.
Vladimir n'arrivait pas à y croire ,certes il était un monstre, impitoyable et tout mais ce qu'il détestait le plus était qu'on fasse du mal à une femme ça il ne le supportait pas.
- Quoi encore Marx je veux tout savoir.
- Il a fait de la jeune femme une esclave de distraction,il l'a maltraite ,la torture,l'a brutalise quand cette dernière refuse de lui obéir,la jeune femme n'a pas droit à l'erreur,elle doit satisfaire tout les besoins de ses clients sans rechigné .
Quand Vladimir entendit le mot satisfaire il vit rouge ,l'idée de contraindre la femme a fait quelque chose qu'elle ne veux pas l'exaspérait.
- Satisfaire comment ?demande t'il sur un ton dur.
- Les clients peux lui demander de leur faire une fellation,de danser pour eux ,de se laisser tripoter mais Jérémie ne leur a pas permis de coucher avec elle,donc disons que la jeune femme est encore vierge.
Tout ça paraissait très louche pour Vladimir comment ses hommes pouvaient tout faire à la jeune femme sauf couché avec elle ?il avait anguille sous roche.
- Je suis perdu Marx ,je trouve vraiment louche qu'il leur interdise de ne pas avoir des relations sexuelles avec elle déclare t'il en se frottant la barbe.
- Patron il considère la jeune femme comme sa propriété,il est obsédé par elle pour tout dire.
Il l'a loue de temps en temps à ses clients potentiels pour des semaines ou des mois.
Quel horreur ?il pouvait s'imaginer comment se sentait l'a concernée.
Etait t'elle affectée par tout ça? comment était t'elle physiquement se demandait t'il intérieurement.
- Tu viens de me dire qu'elle était là ?
Son bras droit hochait a tête pour lui dire oui.
- Emmène moi l'a voir déclare t'il.
- Vous en êtes sur patron ?car je suis sur qu'il reviendra pour elle.
Bien sûr qu'il reviendra et c'est là qu'il allait l'achever comme un animal.
- Allons y.
Son bras droit le conduisit vers une porte bloqué ,le mafieux défonçait la porte sans aménagement.
Il fit son entré dans la chambre suivit de près par son bras droit,dès que ses yeux se posa sur la cage dans laquelle était enfermée la femme son coeur se brisa.
Malgré qu'il avait un coeur de pierre il était touché par la condition dans laquelle se trouvait la jeune femme.
Elle était tête baissée et il s'approcha d'elle,une fois accroupi devant la cage il lui dit:
- Bonjour.....
Sans rien lui répondre la jeune femme braquait son regard dans le sien et c'était le choc.
Elle était à couper le souffle,malgré son état et cette robe déchiré qu'elle portait,elle était éblouissante.
Avec un visage,arrondis,un nez pointu et ses lèvres pulpeuses ainsi que ses grands yeux verts elle était comme un ange tomber du ciel.
Il voyait clairement dans ses yeux un vide sans pareille ,une peur palpable et un visage dépourvue d'émotions.
Ses longs cheveux entremêlés lui cachait une partie de son visage.
- Marx elle ne parles pas lui demande t'il tout irrité.
- Euh depuis que je l'ai vu je n'ai jamais entendu sa voix.
Était t'elle muette?ou bien elle avait subir un traumatisme qui l'avait conduit à se murée dans un silence ?
Vladimir en voulait à Jérémy,il le détestait encore plus et il le retrouvera,le traquera et le tuera d'une manière tellement lente qu'il allait agonisé avant de rendre l'âme.
Il lui fera payer sa cruauté envers la jeune femme.
Plus il fixait la jeune femme,plus son instinct de protecteur s'éveillait.
Il ressentir le besoin irrémédiable de l'a sortie des griffes de Jérémy,de l'a sauvé et de l'a protéger car la jeune femme était complètement détruite et n'attendait plus rien de la vie.
Il se mit alors à ouvrir la cage afin de l'a fait sortir ce qui étonna Marx .
- Monsieur vous aussi vous l'a voulez?
- Oui dit t'il d'un trait.
- Pour combien de semaines ou mois?lui demande t'il 'une voix tremblante.
Il le regardait un rictus aux lèvres avant de déclarer d'une voix profonde.
- Je l'a veux mienne à jamais.