chapitre 3
- Mais qu'est ce que s'est mon enfant continua Marie .
Elle voulait tellement lui expliquer que c'était Jérémy qui l'avait marqué le dos avec un couteau chaud , c'était un signe qui montrait qu'elle l'appartenait jusqu'à la mort.
À défaut de ne pas pourvoir s'exprimer elle commençait par pleuré à chaude larmes.
Marie l'a consolait du mieux qu'elle pouvait comme si elle était sa mère.
- Ne t'inquiètes pas mon enfant , maintenant tu n'est plus seule et tu est en sécurité avec monsieur Vladimir.
Elle en était pas si sur car il lui faisait plus que peur que Jérémy et elle était certaine que Jérémy allait le traqué jusqu'à l'a retrouvé.
Après avoir pris son bain Juliette se sentait plus bien dans sa peau ,ça faisait tellement longtemps qu'elle ne s'était pas lavée ainsi.
Marie l'habillait d'un peignoir en soie et était entrain de lui peigneé les cheveux avec admiration quand son nouveau geôlier aux yeux bleus fit son entré dans la chambre le regard toujours froid.
- Laisse nous seul Marie ordonne t'il sans une once de pitié dans sa voix.
- Excusé moi répondit Marie en s'éclipsait.
Juliette était tétanisée , l'homme devant elle avait troquer son costume de ce matin pour un tee shirt qui moulait parfaitement sa poitrine et un jean.
Elle se recroquevilla sous elle même comme pour se protéger de lui.
Vladimir ne pouvait décrocher son regard de la jeune femme qui était une âme blessée, jamais il n'avait vu une créature aussi magnifique et ses cheveux étaient tellement longs qu'elle ressemblait à une sauvageonne.
- Comment vous vous sentez à présent mademoiselle Johnson?
Elle plongeait son beau regard dans le sien et une fois encore il était hypnotisé par sa beauté et son innocence.
Il aimerait tellement entendre sa voix mais il avait l'impression que ce ne sera pas de si tôt et il était prêt à patienter.
- Je voudrais que vous sachiez que je ne suis pas votre geôlier ,vous aviez le droit de visiter la villa ,la liberté de faire tout ce que vous vouliez sauf sortir de cette propriété lui dit t'il avec force.
Après cette phrase elle le regardait encore plus avec peur.
-N'ayez pas peur de moi,vous êtes en sécurité avec moi ,je ne suis pas Jérémy et je vous promets de tout faire pour le retrouver et pour lui faire payer tout le mal qu'il vous a fait.
Après cette phrase il quittait la pièce précipitamment.Après son départ Juliette respirait de nouveau normalement.
Cet homme avait le don de le mettre dans tout ses états ,tout ce qu'il avait dit était bien beau mais elle n'y croyais pas un seul mot ,elle n'arrivait plus à avoir confiance en qui que ce soit .
Jeremy lui avait chanté pendant des années qu'elle n'était bonne qu'à maltraité et qu'aucun être humain ne connaîtra jamais sa valeur.
Elle s'allongeait sur le lit et pleurait ses malheurs ,elle était tellement malheureuse,elle qui était avant très souriante et pleine de vie ,elle voulait être une grande décoratrice c'était ça son rêve.
Mais du jour au lendemain son rêve a été brisé et sa vie avait complètement basculer de la pire des manières à cause de son ignoble oncle sans cœur.
Elle n'avait jamais su le pourquoi il l'a détestait autant.
À force de pleurer elle finir par s'endormir dans manger
- Monsieur elle dors déjà,donc demain matin je vais lui préparer un autre repas.
Vladimir relevait sa tête de son document et jettait un regard à Marie.
Cette femme était comme sa mère,il avait pris en charge ses enfants qui étudiaient actuellement à l'extérieur,elle travaillait pour lui en tant que gouvernante depuis ses 20 ans et elle était la seule qui pouvait lui reprocher des choses en plus de Marx et Alexis.
- Marie comment l'a tu trouvé ?prend place et dis moi tout.
Elle prit place devant lui et le regardait avec amour et c'était d'ailleurs son seul amour s'il acceptait.
- Mon fils cette jeune femme est complètement détruite, anéantir ,elle a tellement de cicatrice sur le corps et le plus choquant et douloureux pour moi était une blessure récente qui a pris une partie entière de son dos.
- Comment était la blessure ?lui demande t'il..
- C'était une blessure faite avec un objet très tranchant ,je ne sais pas exactement quel objet dit la dame toute triste.
Toutes ses révélations ne faisaient qu' accroître sa haine pour Jérémy, dès qu'il mettra la main sur lui il allait le tué de sang froid mais il prendra tout son temps pour le torturé comme il n'aurait jamais imaginé.
- Demain je vais fait appel au docteur pour qu'il vienne l'examiner.
- Oui mon fils stp aide l'a,sauve là je t'en supplie.
Il se leva le visage tourmenté par tant de choses.
- Marie je suis mal placé pour l'a sauvé et tu le sais.
Comment une personne qui a besoin d'être sauvée peux sauvé une âme blessée ?
La dame se mit derrière lui et lui touchait les épaules en disant :
- Mon fils elle est ta lumière,alors sauve l'a et à son tour elle te sauvera .
Cette phrase lui transperçait le coeur ,Marie était une femme très sage et ses paroles s'avéraient toujours vrai.
Non ce n'était pas possible,elle ne pouvait pas être sa lumière et il n'était pas digne de l'a sauvé.
- Marie il se fait tard lui dit t'il en bouclant ainsi la conversation.
La vieille lui souriait comme d'habitude.
- Vladimir fuir autant que tu voudras tu verras le résultat .Bonne nuit mon garçon.
Elle lui fit un bisou et sortit de son bureau.
Le lendemain matin, Juliette se réveillait tout trempée de sueur et la respiration saccadé ,elle avait encore fait des cauchemars comme toujours.
C'était toujours le même cauchemar dans lequel Jérémy le rouait de coup de sang froid.
Elle était entrain de cogiter quand Marie fit son entrée dans sa chambre.
- Oh ma fille tu est déjà réveillée ?
Elle lui souriait et hochait de la tête pour lui dire oui.
- Viens tu iras prendre ton bain pendant que je serai entrain de te chercher de quoi t'habiller.
Elle exécuta et quelques minutes après elle sortie de la douche et Marie l'aidait à s'habiller d'une robe fleurie toute simple..
La vieille dame lui tressait ses cheveux de côtes
- Tes cheveux sont magnifiques ma puce et tu est toute belle.
Avec cette femme elle se sentait tellement en sécurité et protéger qu'elle lui tombait dans les bras en l'a serrant fort à son tour.
- Ne pleure pas mon amour je suis là lui dit t'elle en lui caressant le dos.
Elle lui relevait la tête et l'a regardait avec tendresse avant de dire:.
- Je suis certaine que tu meurt de faim,le patron a insisté à ce que tu déjeunes avec lui.