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CHAPITRE 6 : Ma deuxième baise avec mon cousin

Après le départ de mon cousin, je riais de plaisir. Eh oui, j'étais trop contente ; ma joie débordait ; je comprenais enfin pourquoi ma copine Jocelyne disait que quand c'est bien fait le matin, on est contente toute la journée. Et moi, puisque c'est la nuit qu'on l'a fait, j'ai compris son intérêt car, je semblais être très contente et je pense que ce serait pour toute la nuitée.

Eh oui, dans mon lit, je me rappelais encore de ses coups en vitesse que me donnait mon cousin.

Soudain, mon téléphone commença à sonner. J'y jetai un clin d'œil et aperçus un appel audio WhatsApp entrant ; c'était mon cousin.

— Oui allô, mon chéri !

— Oui ma belle, tu ne dors pas encore ?

— Pas encore ! Je me souviens encore de cette belle séance de baise.

— Ce n'est rien, Ida ! J'ai juste peur.

— Peur ? lui demandai-je, surprise.

— Oui ! Je ne sais pas si tu as calculé en amont ta période de fécondité.

— Oh mon cher, tu n'as même pas besoin de t'affoler pour ça ! Nous pouvons baiser tous les jours du mois et crois-moi, je ne tomberai jamais enceinte sauf si je le veux.

— Tu es sérieuse ?

— Très sincère !

— Sinon j'ai des paquets de préservatifs dans mon sac et…

— Arrête, s'il te plaît ! Je n'aime pas le condom, ça me met mal à l'aise dans la baise. J'aime que le pénis de l'homme me titille la chatte.

— D'accord, puisque tu as les techniques pour ne jamais tomber enceinte, j'en suis ravis.

— Ne t'inquiète pas, Jos ! Nous sommes libres de baiser quand on veut et partout où on veut. Façon que j'ai envie de passer ma nuit sous ta chaleur, seul Dieu sait.

— S'il te plaît, arrête de m'exciter.

— Tu es sérieux ?

— Je te jure que tes paroles romantiques m'excitent déjà et mon pénis est déjà dur.

— Arrête de me faire la marrée !

— Je suis sincère ! Mon pénis rougit déjà !

— Alors tu viens ou je viens ?

— Non, il est déjà zéro heure.

— Ce qui veut dire ?

— Il est déjà jour. Tout à l'heure à sept heures au plus, mon oncle partirait au travail.

— C'est vrai ! Et la maison nous appartiendra.

— En es-tu sérieuse ? N'oublie pas que nous sommes quatre dans la maison ! Même si mon oncle partait au boulot, Stéphan serait quand même là !

— Ce gars est un grand vadrouilleur et je suis sûre qu'il va encore quitter la maison.

— Je n'en doute pas ! Et sais-tu de quoi je me rappelle actuellement ?

— Non, dis-le-moi !

— Le bout de tes mamelons !

— Ils sont comment ?

— Ils sont trop jolis et trop excitants !

— Arrête !

— Je suis sérieux ! C'est la première fois où je vois de très beaux seins.

— Tu es vraiment sérieux là ?

— Plus que sincère, ma chérie ! Les mamelons de tes seins peuvent créer d'accident en circulation.

— Arrête tes hyperboles !

— Ce n'est pas l'hyperbole !

— Si ! Sinon, comment mes mamelons peuvent-ils créer d'accident ?

— Je te donne la preuve : supposons que tu es sortie de la maison pour te rendre au marché et que tu t'es permise à ne pas porter du soutien-gorge ; tu es d'accord avec moi que peu importe la robe que tu porteras, elle laissera à découvert tes mamelons ?

— J'en suis d'accord !

— Merci ! Tu sais tout au moins que ce sont les seins de la femme dont les mamelons en l'occurrence qui excitent et attirent les hommes ?

— J'en suis aussi d'accord !

— Ok, imagine que tu as porté une robe sans protéger au préalable tes deux gros seins et que par mégarde, un conducteur de taxi t'aperçoit, es-tu convaincue qu'il va continuer à bien rouler sa voiture ?

— Si ! Puisque nous ne nous connaissons de nulle part !

— C'est selon ton imagination ! Je suis homme et je sais ce que ça provoque ! Tu ne peux pas comprendre. En tout, j'aime tout de toi. Ta matrice, je ne savais même pas qu'elle allait pouvoir avaler ma verge.

— Ta verge, c'est parce qu'elle peut être avalée par la matrice de la femme que Dieu t'en a donné.

— Merci ma chérie ! Sinon, je te prenais pour une petite fille !

— Une petite fille ? lui demandai-je en pouffant de rire.

— Sérieux !

— Oh désolée ! Je vais te dire une chose : dans mon école, il y a une petite fille d'à peine onze ans ; elle fait la sixième ; elle en a redoublé plus de trois fois déjà ! Peux-tu imaginer ce que fait cette petite fille ?

— Parle-m'en, ma chérie.

— Avec ses onze ans, elle baise déjà !

— Quoi ?

— Ça t'a surpris maintenant n'est-ce pas ? Et peux-tu imaginer les types de personnes qui la cognent ?

— Sûrement les élèves de sa promotion !

— Je savais que c'est ce que tu allais dire. Laisse-moi te dire que ce sont les grands gaillards des classes de la terminale.

— Mon Dieu ! C'est de l'hyperbole !

— Je suis sincère, crois-moi.

— Et arrive-t-elle à supporter leur gros machin.

— Si c'en était le contraire, elle n'allait pas se donner à l'aventure !

— C'est vrai !

— Et c'est comme ça que j'ai aussi suivi un film pornographique dans lequel j'ai aussi vu des vieux, en train de baiser une petite fille qui poussait fraîchement les seins. Si je me mets à te raconter tout ceci, c'est pour que tu saches que le trou de la femme est capable d'avaler tout genre de queue ; le reste, c'est de l'hypocrisie.

— Tu me surprends toujours de tes philosophies.

— Vraiment ? demandai-je en pouffant de rire.

— Oui, j'aime tes raisonnements.

— Merci de tes compliments ! Et sincèrement, tu me plais beaucoup et encore.

— Ne t'inquiète pas, il fera bientôt jour. Moi aussi, j'ai envie de te prendre à la levrette.

—Tu es sérieux ?

— Très sincère !

— C'est la position que j'adore la plus mais depuis que j'ai commencé la baise, personne ne me l'a fait prendre !

— Ne t'inquiète pas ; je t'apprendrai toutes les meilleures positions.

— Tu me séduis, sincèrement !

— C'est parce que tu en mérites. Bien, je pense qu'il est temps d'aller au lit.

— D'accord, on se dit à demain !

— Non, à tout à l'heure car, depuis qu'il est zéro heure, la date a déjà changé de numérotation.

— Tu es comique, toi !

— Merci !

Et mon cousin raccrocha l'appel sans même me souhaiter une bonne suite de soirée. Je le rappelai immédiatement pour le lui reprocher mais certes ! il avait déjà éteint sa connexion. Je tentai de le contacter via un appel téléphonique mais oups, je ne disposais pas d'unités.

M'attrapant les mamelons, je commençai à grincer les dents. Et, pour ne pas réveiller les démons de mon temple, je me couvris le drap et me couchai calmement même si les images de nos ébats sexuels continuaient à se dérouler sur mes yeux.

***

Il est onze heures lorsque j'ai fini mes travaux domestiques. Puisque nous étions jeudi, papa était déjà parti au boulot. Mon père, il aime tellement son travail que même aux jours fériés, il ne s'en rend pas compte. Même quand il est malade, il s'en va. Pour lui, c'est le travail qui détermine le statut d'un homme et il s'en remettait corps et âme.

Lorsque j'ai fini mes travaux domestiques, je me hâtai sous la douche et pris une douche fraîche. Je me maquillai et enfilai une culotte et un petit habit sans manche. Et puisque j'étais à la maison et étais libre de faire ce qui me convenait, je ne portai pas de soutien-gorge. D'ailleurs, ça me mettait mal à l'aise. Je me rendis agréablement toute belle. Stéphan, couché dans le divan, avait sa tête plongée dans un magazine de football. Lui, c'est ce qui allait le tuer un jour. Il aime trop le sport.

— Tu peux me servir maintenant ? me lança-t-il.

— Le repas est déjà pourtant sur la table.

— Je le sais ! Mais il n'y a aucun plat là !

— Oh désolée, ça m'a échappée ! lui dis-je en me retournant à la cuisine, chercher les assiettes de la table.

Je revins quelques minutes plus tard pour poser les assiettes sur la table. Je remontai les escaliers et allai voir Joslius dans sa chambre. Je l'aperçus en train de dormir encore.

— On est là ? lui lançai-je.

Il ne m'entendis guère. Je m'approchai de lui de plus près. Je lui tapotai l'épaule une première et puis une deuxième fois et il se réveilla en sursaut.

— C'est moi, lui susurrai-je.

Mon cousin cligna les yeux et…

— Ida, c'est toi ?

— Oui, il est déjà jour !

— Je ne savais pas ! Je suis très fatigué.

— Sont-ce les courbatures du voyage ?

— Je ne crois pas mais plutôt, celles contractées au cours de notre amour.

— Là je vois ! On ne pourra donc plus le faire aujourd'hui ?

— Qui t'a dit ça ?

— Personne ! Je m'en suis juste imaginé !

— Non, on le fera !

— Alors, lève-toi et va prendre ta douche ; le repas est déjà prêt.

— Merci ! Tout le monde est déjà parti de la maison ?

— Ton oncle, oui ! C'est seulement Stéphan qui est en train de lire un vilain magazine là !

— Ah je vois ! C'est seulement ton frère qui va nous couper l'appétit.

— Non, la façon dont je le vois, je pense qu'il sortira tout à l'heure de la maison.

— C'est mon souhait !

— Oui ! Puisque lorsque je montais les escaliers, je l'entendais dire à quelqu'un au bout du fil, qu'il allait rejoindre à treize heures.

— Jusqu'à treize heures ?

— Oui !

— Papa serait déjà de retour !

— Oui c'est vrai mais nous n'avons pas le choix !

— C'est vrai ! Je te suis d'accord ! Alors, on fera ça dans l'après-midi alors !

— Oui, c'est mieux comme ça.

Et sans plus attendre, je me retirai de la chambre de Joslius.

***

Quatorze heures pile quand la porte de ma chambre claqua et fit apparaître mon cousin.

— Jos, enfin, tu es là ?

— Oui, je pense que la maison est toute entière à nous.

— Mon père est déjà parti ?

— Oui, je viens de lui ouvrir le portail et il est déjà parti.

— Super ! As-tu verrouillé le portail à la serrure ?

— Tu demandes encore si le mouton a de poils. J'ai déjà verrouillé le portail.

— Super, ça marche ! On commence par où ?

— Par les caresses bien sûr !

Mon cousin m'approcha de plus près et comme obsédé par mes seins, il les saisit d'un coup et commença à me les caresser. Me léchant les lèvres, il me caressait les seins avec ses deux mains coquines fraîches. Je gémissais et sentais en moins de trois minutes, quelque chose se passer dans mon slip.

Eh oui, je mouillais ; mon cousin détenait la manie de mouiller une femme. Je tremblais contre son corps et lui, il prenait du plaisir à me lécher les lèvres. Il descendit sa main vers mes fesses et les attrapa. Je sentis mon clitoris bouger au fond de moi et je soupirai « Aï ».

Doucement et doucettement, mon cousin me ôta mon habit et ma culotte et me fit coucher dans le lit. M'écartant grandement les jambes, il me parcourut les poils de ses lèvres. Les démons de mon âmes commencèrent à dire spirituellement, Amen.

Joslius remonta vers mes seins et se mit à les sucer d'une façon excitante. Abandonnant mes seins au bout de trois minutes, il me parcourait la fente de mes seins de sa langue jusqu'à mon nombril. Je sentais une sorte de frisson dans mon corps. Voyant combien je raidais, il continuait à me répéter l'action. Sa langue fraîche et mouillée de salive me faisait perdre la tête.

Eh oui, je me revoyais une fois encore au paradis ; ce même paradis où je voyais Dieu assis sur son trône avec les anges à côté.

Je ne sais même pas où mon cousin avait suivi sa formation de baise. Il est trop bon dans le domaine.

Je finis par sentir sa langue rôder autour de mon clitoris. Oui, mon clitoris était entre sa langue et sa bouche et il le suçait comme on ne me l'a jamais sucé. Le plaisir était énorme au point où j'attrapais le drap. Je criais : « oh maman ; oh ; sssss ; ffff ; ssss ; siiiii ; vas-y ; aaaaa ; ouuuu ; ssssss ; aaaaa ; iiiii ».

Joslius s'en fichait de ce liquide qui coulait de ma chatte et tombait dans sa bouche. Il l'avalait aussi tôt que ça lui coulait dans la bouche. Il me lécha pendant une vingtaine de minutes. Je n'étais plus en moi. Sa queue était toute dure et rouge à la tête. Il me saisit par les bras et me mit debout. Me faisant courber, il me mit à la levrette, cette position que je n'avais jamais prise de toute ma vie.

Recherchant ma chatte par derrière, il y introduisit sa verge qui clamait de désir. Je sentis mon cœur bouger car, elle était chaude, sa verge.

De peur que j'aie mal, il l'introduisit doucement et petitement, il commença le va-et-vient. Mes seins gesticulaient et mouvaient dans tous les sens devant moi. Il me les attrapa et accélérant le rythme de tape, je me voyais devant Dieu à qui je disais une fois encore merci d'avoir créé le pénis aux hommes pour défoncer les femmes. Je voyais Dieu me sourire comme pour me dire qu'il savait ce qui serait convenable pour les hommes.

Mon cousin me baisait comme un chien baise une chienne. Devant lui, je gémissais. Je lui demandais de continuer. Oui, je ne voulais pas qu'il s'arrête. Et comme déterminé à sa mission, il me niquait de toutes ses forces et moi, j'étais prête à recevoir ses coups de rein qui me faisaient gémir. Je regretterais si mon cousin ne venait pas passer ses vacances avec nous.

Il me retourna et me fit changer de position. Montant sur moi, il lubrifia la grosse tête de sa queue et me l'enfonça au plus profond. Ma chatte la reçut avec joie et sans commentaire. Me regardant droit dans les yeux, Joslius me demanda : « tu adores ? »

— J'aime ta façon de me baiser, continue comme ça s'il te plaît ; lui répondis-je, entre le plaisir et la jouissance.

Joslius, fier de ma parole, m'attrapa les seins et commença à me les presser. Mes mamelons devinrent encore plus durs et plus résistants. C'était la première fois que je voyais tous ces miracles. Il est vrai que j'avais l'habitude de jouer avec mes mamelons mais jamais ils ne prenaient cette forme. Dans cette position, Joslius me mangeait le cul. Oui, il me le dévorait comme l'on dévore un plantain. Je criais ouille mais il s'en contre-saint-ciboirisait. Son souci, c'était de me voir jouir de sensations.

Il s'arrêta brusquement et se coucha sur le dos.

— Viens et monte sur moi, me dit-il en laissant à découvert sa grosse bite en érection.

Je montai sur lui et introduisis sa longue queue dans ma chatte toujours humide. Je commençai à chevaucher sur sa longue queue qui touchait le sommet de la frontière de ma Jessica. Sa queue me touchait un point au plus profond et je criais de fantasme, non, d'allégorie. Des sensations dingues par-ci par-là ! Je jouissais du plaisir et ma chatte mouillait ses cuisses telle une pluie matinale.

Me sentant fatiguée, il me retint en l'air par mes seins et se mit à me cogner de son bassin. Eh oui, c'était trop cool ! Ce mec avait la licence de la baise. Il me cognait de sa verge lorsque tout à coup, un courant électrique me parcourut le corps et je me surpris en train d'atteindre mon orgasme. Il continua encore et encore puis soudain, était arrivé son tour de jouir et il me renversa sur le dos comme la nuit dernière et vida son liquide blanc sur mes seins tout en me chuchotant dans les oreilles : « je t'aime ».

— Je t'aime aussi ! lui répondis-je.

Il s'allongea sur moi et j'entendais le battement de son cœur. Eh oui, il avait beaucoup travaillé et méritait bien du repos.

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