CHAPITRE 7 : Le premier miracle de la pipe dans ma vie
Je crois avoir été possédée par le diable ; non, par un démon car, elle était devenue mon pain quotidien. Ah ouais ! La baise était devenue pour moi, un délice très indispensable. En cuisine, je me rappelle d'elle ; sous la douche, je m'en rappelle ; au WC, pareil ! Même en dormant, l'envie de m'enculer était la seule chose et la seule idée qui me hantait l'esprit. Je ne pensais plus à rien qu'à la baise. Toute ma vie se reposait sur l'amour. Partout où je passais, je ne pensais qu'à Joslius, sa façon de me chauffer la chatte. Il est vrai que j'avais doublé ma classe de cinquième et au lieu de me stresser de cela, penser à ces jeunes gamins et gamines qui avaient réussi à passer de la cinquième en quatrième, rien de cela n'était mon souci. Tout mon souci se reposait sur la baise ; oui, comment être défoncée par mon cousin, celui-ci qui m'apprenait les différentes positions de la baise.
Il était vingt-deux heures quatorze minutes lorsque papa prit congé de nous dans le salon, nous laissant à table, Joslius, Stéphan et moi. Joslius, me fusillant de quelques regards, je comprenais le message et en devinais son but. Pour tromper la vigilance de mon frère, je lui répondais par de simples sourires. Stéphan, étonné par nos simagrées, me fixa spontanément d'un regard et darda ensuite Jos d'un autre regard comme pour nous demander ce qu'on mijotait, mon cousin et moi.
Je lui souris comme pour lui dire qu'il n'y avait rien.
— Je peux comprendre ce qui se passe entre vous les deux ? demanda-t-il, la fourchette en suspens.
— Comme quoi ? lui retournai-je en retenant mon sourire.
— Non, rien, dit-il en se retirant des lieux.
Je fixai mon regard dans son dos et toussotai. Pour lui prouver qu'il n'y avait rien entre Jos et moi, je me levai aussi aussitôt bien que mon plat était encore à moitié rempli. Je gravis les escaliers et arrivée au sommet, je fis un signe de main à Jos qui m'observait sans cesse. Il comprenait aussi déjà le code et en sourit.
Arrivée dans ma chambre, j'activai ma connexion wifi et allai voir sur WhatsApp si Jos était en ligne. Eh oui, il y était et était au clavier en train de m'écrire un message.
« On fait quoi ce soir », me texta-t-il.
« Passe directement dans ma chambre s'il te plaît » lui textai-je à mon tour.
« Ton frère soupçonne quelque chose », me fit-il en retour.
« Ne lui prête aucune attention ».
« Je pense qu'il sera mieux d'ajourner le rendez-vous de ce soir ».
« Jamais ! Ne me laisse pas me masturber cette nuit s'il te plaît ».
« Nous n'avons pas le choix. On est obligé de rompre le programme de ce soir ».
« S'il te plaît Jos, aie pitié de moi. Ne me laisse pas tomber malade je t'en prie. »
« Ne serait-ce que cette nuit seulement ».
« Je le sais ! Mais n'oublie pas que ton manque à mes côtés de cette nuit seulement pourrait être l'objet de mes maux ».
« Arrête, Ida ».
« Jos, veux-tu me voir malade ? »
Trois minutes déjà que j'ai envoyé mon dernier message à mon cousin et je ne recevais pas de ses nouvelles ; pourtant, il était en ligne. Tout à coup, j'aperçus son appel audio WhatsApp lequel je décrochai avec vitesse.
— Oui allô bébé ?
— Oui mon amour ! Mon intuition me dit que ton frère va nous surprendre cette nuit.
— Stéphan n'a pas ce temps, crois-moi, lui répondis-je.
— Mon cœur bat, sans te mentir.
— Tu n'as pas à t'en faire. Tout d'abord, c'est un gars qui aime trop le sommeil. Actuellement où je te parle, il serait déjà en train de ronfler dans son lit. Ou si tu veux, va devant sa porte et cogne-la pour voir ; je te jure qu'il ne te répondra pas.
— Es-tu sérieuse ?
— Très sincère !
— D'accord ! Je serai là dans un instant !
— Oui, viens vite, ma chatte pleure déjà ton absence.
— Dis-lui que j'arrive déjà.
— Je ne manquerai pas.
Et Joslius raccrocha l'appel comme d'habitude sans plus ajouter mot.
Vingt secondes, il était déjà là, en culotte. Il pénétra dans ma pièce et verrouilla systématiquement la porte.
Jos était un grand trouillard et je lui trouvais raison. Vivre en paix, c'est éviter les problèmes. Et pour éviter les problèmes, le seul comportement qu'il faut adopter dans la vie, c'est la peur. Qui applique cette règle vivra autant d'années qu'il lui faudra sans avoir aucun problème dans sa vie.
— Que tes seins sont canons ! s'exclama-t-il, doucement.
— Merci !
Je me levai du lit et me mis debout devant lui. Je le fixai du regard comme pour lui demander de commencer le premier geste. Et comme étant toujours sidéré par mes seins, il longea sa main et m'attrapa les mamelons et je me perds spontanément. Je sentis une fois encore quelque chose bouger en moi. Il m'attrapa par la tête et rechercha mes lèvres. Je le laissai me les attraper entre les siennes. Nous commençâmes à échanger les salives. La sienne était succulente et je pense que la mienne aussi en serait pareille dans sa bouche. D'une main, il me caressait les cheveux, l'oreille et le cou. Avec la deuxième main, celle droite, il me parcourait l'échine ; la fente de mon dos et venait fléchir sur mes grosses fesses. Il me suça les lèvres pendant quelques bonnes minutes et descendit vers mon cou. Eh oui, me suçant le cou, je me perdais ; je manquais de force pour rester debout et je fus obligée de m'étendre dans le lit. Mon cousin, comme s'il s'attendait à cette occasion, m'écarta tranquillement les jambes et de son majeur, remuait l'intérieur de ma chatte. Je poussais de petits cris. Eh oui, je vibrais d'envie. Quelquefois, il me faisait de petites tapes sur ma matrice et au lieu de sentir des douleurs, ce furent des vibrations sensuelles que je ressentaient. À la périphérie de ma chatte, il y avait quelques gazons ! Il parcourait ce gazon de ses doigts coquins. Je me voyais dans un Boeing en direction du Japon. Eh oui, j'étais en l'air. Jos était mon pilote et il avait bien la maîtrise de cet envol. Nous étions seuls dans notre jet privé. On mangeait l'amour, lui et moi. J'étais corps présent mais mon esprit était ailleurs. Je ne savais même pas quand est-ce que Jos m'avait mise à genoux, me fonçant la grosse tête de sa bite dans ma bouche.
Je pense que c'est ce qu'on appelait la pipe.
Par la bouche, mon cousin me baisait. J'avais envie de pousser des cris de gémissements mais son plantain occupait la plus grande partie de de ma bouche. Il n'y avait même pas de l'espace pour dire quoi que ce soit. Son plantain occupait toute la superficie de ma bouche. Il accélérait dans ses va-et-vient et moi, comme condamnée à les recevoir, je les recevais volontiers. Tenant ma tête coincée entre ses deux mains, je me voyais foutue. Eh oui, c'est moi qui ai cherché et me voilà prise dans mon propre piège ; que puis-je ? Je pense que c'était le moment d'y supporter. Je supportais tout ce que me faisait subir mon cousin. D'ailleurs, ce n'était pas une tyrannie. C'était plutôt une jouissance, un plaisir extrême.
Entre les mains de mon cousin, se reposaient mes deux seins lesquels il maniait telles des oranges.
Il me baisa pendant près de trente minutes par la bouche et me releva un peu vers le haut. Introduisant sa queue entre mes deux seins, mon cousin commença un autre chapitre de notre histoire. Ce chapitre était encore intéressant ; plus intéressant que le premier. Je faisais l'aller-retour avec son bangala agrippé entre la fente de mes seins.
Cette fois, j'avais la liberté de pousser des cris de gémissements et de jouissance. À travers ma bouche, Jos entendait : « Tu es formidable ; vas-y ; continue à me baiser par les seins ; j'adore ça ; va plus vite ; tape-moi comme une folle ; vas-y plus fort ; tue-moi, bébé ».
De ma bouche, sortait de n'importe quoi.
Mon cousin, lui, ne disait rien ; il avait juste les yeux fermés et me tapait à sa queue.
Je suais et lui aussi. On suait tous. Cette sueur facilitait le va-et-vient de son plantain qui était en installation entre mes seins.
Après quinze minutes de travail sans relâche, mon cousin me ramena à la première position et me remit son marteau dans la bouche et reprit de plus beau, ses va-et-vient répétés. Il me baisait par la bouche on dirait qu'il avait oublié ma chatte qui s'humidifiait sans cesse. Mon clitoris pleurait en bas. De ma Jessica, coulait du lubrifiant. Je le sentais tomber mais puisque mon chef n'en réclamait pas, je gardai mon silence. Tout à coup, mon cousin se mit à pousser de petits cris et bim, il éjacula dans ma bouche. Son sperme était salé et avait un goût bizarre. Je me demandai intérieurement s'il me fallait l'avaler ? Et puisque je savais que les filles en porno en avalaient ceux que leur vomissaient les plantains de leur mec, j'en avalai aussi celui de Jos. Ce qui est sûr, si ce liquide extrait de la queue des hommes tuait, je pense que ces femmes en vidéo porno n'oseraient jamais les absorber.
— Tu es fantastique, mon amour ! complimenta Jos, tout content.
— Merci ! Et pourquoi ne m'as-tu pas baisé par le cul ? lui demandai-je, inquiète.
— J'ai voulu qu'on change de goût. Demain, je vais te baiser par le cul, ne t'en fais pas. Ou n'as-tu pas atteint ton orgasme ?
— Non, mais ça peut aller ! Je ne veux pas te fatiguer.
— Merci mon amour ! Demain, tu verras comment les choses vont se passer.
— J'espère bien !
— Merci ! Je vais partir.
— D'accord, bonne nuit mon trésor.
— Merci ma poupée.
Et Jos se retira de moi après m'avoir posé un baiser sur les lèvres.
Arrivé au seuil de ma porte, il déverrouilla celle-ci et mince ! Derrière cette porte, s'impatientait mon frère Stéphan qui était à la gaieté d'une proie. ?