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CHAPITRE 5 : Ma première baise avec mon cousin

Trois heures plus tard, j'étais calme dans mon lit, repensant aux interrogations de mon frère. Une sorte de colère m'animait à chaque fois que je me rappelais de ses phrases interrogatives. Je me demandais la raison pour laquelle il avait osé me demander si j'avais porté de caleçon ou non. Je pense que je suis libre de porter ou de ne pas porter du caleçon. Une voix intérieure me proposa de le signaler à papa. Mais une autre me la réiterait. Je choisis de garder mon silence et mon calme. Je repris mon téléphone et, me connectant une fois de plus sur Google, je me dirigeai sur la barre de recherche et tapai : comment séduire un homme ?

Et puisque mon téléphone était d'une RAM 4, les propositions de ma recherche ne durèrent guère. Je défilai les propositions et en choisis une. Je lis le contenu et pour finir, je remontai en haut pour aller choisir la catégorie “ image ”. Plusieurs images me furent proposées parmi lesquelles j'en téléchargeai quelques-unes. J'inspirai une bouffée d'air et claquai mes doigts. Je fixai le plafond, imaginant comment arriver à bout de ma mission. Je me relevai de ma position et m'assis, les deux pieds joints lorsque tout à coup, la porte de ma chambre claqua et laissa entrer sans mon autorisation, la silhouette de Joslius.

Je jetai un regard interrogateur à son adresse comme pour lui demander si tout allait bien avec lui.

— S'il te plaît, m'appela-t-il en se dirigeant vers moi, as-tu une idée sur celui qui est entré dans ma chambre lorsque je dormais ?

Je fronçai les sourcils comme pour lui demander de répéter ce qu'il venait de dire.

— Oui, reprit-il, on dirait que quelqu'un est entré dans ma chambre.

— Et qu'est-ce qui te le fait imaginer ?

— À mon réveil, je me suis retrouvé nu.

— Quoi ? Tu es sérieux ?

— Je suis sincère !

— Je ne pense pas ! As-tu oublié que tu t'étais couché sous l'effet de l'ivresse ?

— Je m'en souviens ! Mais après t'avoir quittée, je pense me coucher sans rien enlever de mon corps ?

— Je ne te crois pas ! Ben, tu peux aussi aller le demander à Stéphan ! Mais j'en doute qu'il ait une idée de ta venue. Bon, as-tu manqué ton kiki ?

— Comment manquer mon kiki ? Tu rigoles ou quoi ?

— C'est parce que ça m'étonne ! Sinon, si tu ne l'as pas manqué, alors pourquoi t'affoles-tu ?

— C'est parce que ça m'a surpris ! Imagine si tu étais à ma place !

— Si j'étais à ta place, pourquoi m'en faire si je me retrouve nue et que personne n'a touché à ma matrice !

— Toi, tu rigoles, cogne-moi la paix, dit-il en souriant.

— Alors, comment a été le sommeil ? As-tu une fois encore constaté les courbatures quand tu t'es réveillé ?

— Pas du tout ! Elles sont passées d'un coup ! s'exclama-t-il.

— C'est mon souhait !

— Je t'en suis reconnaissant !

— Non, tu dois tes reconnaissances à ton oncle car, c'est lui qui a mis ce liquide là !

— Sincèrement, il est à remercier. N'est-il pas encore de retour ?

— Si ! Il est reparti il y a quelques minutes.

— Et ne lui as-tu pas dit que je suis déjà arrivé ?

— Si, je le lui ai dit et il m'a même demandé de venir t'appeler mais je lui ai dit que tu dormais et il m'a dit de te laisser.

— Mon oncle est trop gentil ! Et Stéphan ?

— Ce gars ne reste jamais surplace ! Peut-être il serait dans sa chambre ou carrément, déjà sorti de la maison comme il en a l'habitude.

— D'accord ! Façon que j'ai une faim de loup !

— Le repas est déjà prêt depuis midi.

— Wouah ! C'est génial ! Quel est le mets s'il te plaît ?

— Ton repas préféré ! Du couscous !

— Wouah, toi tu es gentille ! Si tu n'étais pas ma sœur, je te prendrai pour épouse !

Je ricanai et lui demandai la raison pour laquelle il optait à cette décision.

— Parce que tu sais ce que j'aime, me répondit-il, taquin.

— Tu es sérieux ?

— Très sincère, oui !

— D'accord, ça me réjouit. Alors, je t'ai déjà mis de l'eau sous la douche et…

— Sincèrement, tu me surprends toi ! Tu seras une bonne femme au foyer ! Tu sais ce qui rend un homme heureux. Si je pouvais t'embrasser en guise de reconnaissance, je le ferais !

— C'est bien possible que tu m'embrasses ! N'oublie pas que tu es mon cousin et que peu importe ce qui adviendra, tu le demeureras pour toujours ! Nous sommes appelés à être frères et sœurs et pas plus !

— Toi, tu as de la philosophie, sincèrement ! remarqua-t-il.

— Qu'appelles-tu philosophie, mon cher ?

— Je ne sais comment te l'expliquer mais dans de courtes phrases, c'est pour te dire que tu raisonnes bien ! Tes raisonnements ont toujours tenu route.

— Merci pour les compliments !

— Ce ne sont pas des compliments mais des mérites !

— Des mérites immérités bien sûr ! m'exclamai-je tout en pouffant de rire.

Joslius m'observa un moment et ajouta :

— Tu es agréable, ma sœur. À présent, je dois aller prendre ma douche et m'attabler.

— D'accord ! Et ne veux-tu plus me remercier ? lui demandai-je, inquiète.

— Et comment ?

— Tu avais dit que tu allais m'embrasser n'est-ce pas ?

— Oh, c'est vrai ! Alors tu viens ?

Je me levai de mon lit et m'approcher de lui. Il me serra contre lui comme dans les Novelas. Je le retins contre moi pendant quelques secondes avant de le relâcher.

Il m'observa tout sourire et me murmura tout doucement :

— J'ai aimé la chaleur de ton corps et de tes seins.

Je lui souris et lui demandai s'il en était sûr de ses propos.

— Je suis sérieux ! Tes seins, sincèrement, ils m'ont fait vibrer le corps.

— Voudrais-tu les regarder ? lui demandai-je.

— Oh non ! Sinon je risque de faire du n'importe quoi ; ce qui n'est pas légal !

— Ne dis pas ça, Jos ! Et que dira-t-on des pères qui baisent leurs propres enfants !

— Tu n'as pas tort mais …

— Arrête ! Il n'y a aucune différence ! C'est ici en Afrique, précisément au Bénin que nous inventons des trucs qui n'ont aucun sens. Dieu, après avoir créé le monde, il n'a pas dit que la femme n'a pas le droit de se faire baiser par tel ou tel homme. Le reste, c'est l'homme qui s'est créé lui-même, ses propres interdits. C'est pourquoi je n'ai jamais jugé les pères qui niquent leurs propres filles car, la matrice de la femme est destinée à tous les hommes sans exception ! Voilà pourquoi je voudrais que tu écartes cette idée de ta tête. Moi, je t'ai toujours admiré dans cette maison…

Mon cousin entrouvrit la bouche comme pour marquer sa stupéfaction.

— Tu es sérieuse ?

— Très sincère comme tu en as l'habitude de le dire.

— Vraiment ?

— Si ! On ne dira pas tout maintenant. J'ai ton contact WhatsApp ! La connexion wifi, elle est gratuite. On continuera le reste en audio ou en vidéo si tu le veux.

— Sincèrement, tu finis par m'intéresser beaucoup.

Ah oui ! Comme dit-on : la femme est un diable ! Il suffit seulement de reconnaître les points faibles d'un homme et de le manipuler et il est atteint. Je voyais déjà Joslius atteint par mon piège. Je lui posai un baiser sur la joue et lui ajoutai :

— Va te doucher, mon cher ; on continue plus tard.

Joslius, observant mes seins à travers ma robe moulante, n'avait pas envie de me quitter.

— Ne t'inquiète pas. Tu es mon frère et je peux me mettre nue devant toi sans qu'il n'y ait aucune répercussion. Va prendre ta douche ! On continue plus tard.

Joslius m'offrit son beau sourire avant de se hâter vers la porte.

Je me jetai dans mon lit toute heureuse car, une partie de ma mission venait d'être accomplie.

***

Il est vingt-et-une heures et on était tous à table : papa, Joslius, Stéphan et moi-même. On avait tous gardé le silence car, papa n'aime pas que lorsque nous mangeons, nous racontons de sottises. J'étais en face de Joslius, à l'opposé de sa place. On se regardait discrètement droit dans les yeux. Papa n'avait fait aucune remarque. Stéphan non plus. On mangeait encore lorsque se rinça la main et s'essuya les lèvres avec le torchon d'à table.

— Jos, j'espère que ta tante se porte très bien ? demanda-t-il à l'adresse du vacancier.

— Oui, oncle ! Elle se porte très bien.

— Gloire à Dieu. Maintenant, je vais vous fausser compagnie car, je suis très fatigué.

— C'est normal, oncle ! À demain.

Et mon père se leva et se dirigea vers les escaliers en nous murmurant tous : bonne nuit les enfants.

Nous lui répondîmes « merci papa » en chœur.

Je me levai de la table après le départ de papa. Je rangeai ses assiettes et les miennes et regagnai les marches des escaliers.

Je m'allongeai dans mon lit lorsque je le franchis. J'activai ma connexion et laissai un message à Jos. Je l'espérai pendant dix minutes avant qu'il ne me répondît. Il m'envoya un audio à travers lequel il me demandait si tout allait bien avec moi. Je lui répondis oui mais que je voudrais le voir en vidéo. Il promit m'appeler et sans avoir encore répondu à son message, j'aperçus son appel vidéo qui entrait. Je me déshabillai rapidement et me couchai sur le dos, mon téléphone en l'air, laissant à découvert mes gros seins blonds.

— Oh mon Dieu, dit-il en premier, tu m'excites là !

— Tu es sérieux ?

— Je suis sincère ! Que tes mamelons sont gros et excitants !

— Merci !

— Comme j'ai envie de te prendre par derrière et te baiser jusqu'à atteindre ton orgasme !

— Oh, s'il te plaît, tu m'excites !

— Sincèrement, j'ai envie de te baiser.

— Sérieux ?

— Je suis sincère ! Tes seins canons me donnent l'envie de faire l'amour.

— Alors, on fait comment ?

— Je te jure que tu me donnes l'envie de me masturber cette nuit.

— Mais tu n'as pas encore répondu à ma question !

— Je ne sais pas ce qu'il faut faire. J'ai juste envie de faire l'amour.

— Alors tu viens dans ma chambre ou moi je viens dans la sienne ?

— Je ne sais pas laquelle sera la plus adaptée.

— Viens dans la mienne, lui proposai-je.

— D'accord, dans un instant !

Et nous raccrochâmes l'appel.

Pas plus que deux minutes, je reçus Jos dans ma chambre.

— As-tu verrouillé la porte de ta chambre ? lui demandai-je.

— Non !

— Alors va la verrouiller !

— Mais pourquoi ? Tout le monde est déjà au lit !

— Il y a Stéphan qui se promène tout le temps dans les chambres et je ne sais ce qu'il recherche partout. Il ne faudrait pas qu'il s'aperçoive que tu n'es pas dans ta chambre et vienne nous couper l'appétit.

— Alors là, tu as raison ! Un instant.

Et Jos retourna sur la pointe de ses chevilles, instant d'aller fermer sa porte, de peur que mon enquêteur découvre son absence dans sa chambre.

Pendant ce temps, je plongeais déjà mon majeur dans ma chatte qui rougissait déjà peu à peu.

Eh oui, mon clitoris se réveillait un peu un peu de son sommeil.

Qui allait se négliger ! L'amour, comme je l'adore.

Jos revint dans ma chambre quelques minutes plus tard. Je me levai et allai verrouiller ma porte. Je revins à lui et commençai à passer ma main sur son corps. Lui aussi, sans attendre, attrapa ma tête entre ses mains et commença à me sucer les lèvres. On se suça les lèvres pendant un bon moment. Il attrapa mes seins à l'assaut et commença à les presser. Je commençai à gémir. Oui, une sorte de courant électrique commença à m'envelopper. Je criais le ouille mais Jos n'arrêtait pas sa tâche de mouille. Plus il me suçait les tétons, plus je crevais d'envie. Il poussa légèrement sur mon lit, m'écarta les jambes et commença à me faire le cunnilingus.

Oh, je ne savais même pas que mon cousin était si doué en la matière. Il me faisait voir le paradis sur terre. Oui, je voyais les anges de précipiter autour de moi. Il avait une de ses mains sur mes seins et l'autre, sur mon clitoris. Sa langue me pourcourait la chatte déjà rouge de désir sexuel. Oui, je mourait de désir. J'avais, quant à moi, ma main allongée dans sa culotte, lui matant la verge.

Il me léchait et je gémissais sans cesse. Il me lécha pendant quinze minutes. Oh non, je n'étais plus sur terre. Mon cousin m'avait envoyé au paradis. Je voyais de loin, Dieu dans son trône. Je voyais Dieu qui me demandait si j'étais d'accord de ce que me faisait mon cousin et je lui répondais que j'étais fier de lui. Je remerciais également Dieu d'avoir créé le bangala et la matrice. Je voyais Dieu me sourire.

Oui, je ne savais même pas quand mon cousin m'avait enfoncé sa verge dans ma bouche.

En réalité, je n'étais plus présente ; j'étais très loin de ce qui se passait avec moi.

Mon cousin me baisait par la bouche et j'en étais fière. C'était la première fois que je faisais cette expérience. Je ne savais pas qu'attraper un pénis dans la bouche était plus doux qu'un bonbon.

Eh oui, c'était doux ; doux que la banane et doux que de la patate douce. Mon cousin me niqua correctement par la bouche par sa queue et me renversa ensuite sur le dos et me fonça son gros pénis dans ma chatte déjà humide et très rouge.

Oui, je commençai à recevoir ses coups de reins contre mon clitoris.

Non, il est trop fort, mon cousin. Si on l'envoyait en compétition de la baise, il en remporterait le prix. C'est un gars qui sait bien baiser et lequel on en dirait une seconde.

Jos, pendant une heure de temps, me baisa correctement. Il me baisa par devant, par l'anus et revint encore vers ma bouche pour me réchauffer encore la bouche.

Il m'attrapa ensuite les seins, me les suça et finit par introduit sa longue queue entre mes deux seins et reprit ses tapes de baise. Je gémissais de tous les côtés.

— Non, baise-moi ; ne t'arrête pas ; baise-moi comme une salope ; vas-y ; cogne-moi ; ne t'arrête pas je t'en prie ; j'aime quand tu me baises ; baise-moi très fort ; je veux sentir au final ton sperme circuler dans mes veines ; continue de me baiser.

Et mon cousin, à son tour, me cognait avec force.

Non, le gars est trop bon ; il est le genre d'homme qu'il faut aux femmes qui aiment vraiment la baise.

Jos descendit du lit et me demanda de prendre la position cheval. Je l'obtempérai et il m'enfonça son gros pénis dans la matrice. Attrapant ma longue coiffure, il se mit à me taper par derrière. J'aimais bien ses va-et-vient, ils étaient trop agréables. Il me tapa bien correctement et lorsqu'il voulut jouir, il me renversa sur le lit et éjacula sur mes deux gros seins.

— Tu es fantastique, me dit-il, tout fatigué.

— C'est toi qui es fantastique ! Je ne savais pas que tu étais si romantique.

— Ah, et comment trouves-tu cet amusement ?

— Trop intéressant !

— On va encore l'essayer demain si cela te tient vraiment !

— Ça me tient beaucoup ! J'aime ta queue.

— Et moi, j'aime tes seins et ta chatte.

— Tout de moi t'appartient.

— Merci ! Il faut que je retourne dans ma chambre.

— Merci infiniment ! Merci de m'avoir donné tant de plaisir.

— C'est un plaisir partagé. J'aime ta façon de faire l'amour.

— C'est plutôt moi qui ai aimé ta façon de me tourner ! Je n'ai jamais pu atteindre mon orgasme depuis que j'ai commencé cette aventure de baise. Tu es formidable, Jos.

— Tu l'es aussi ! À demain, ma poupée.

— À demain, mon lapin ! Viens me faire un bisou.

Et Jos me bisouta avant de me quitter.

Je touchai ma chatte et je la sentis encore chaude. Eh oui, Jos venait de me chauffer la matrice.

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