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CHAPITRE 4 : Ma première tentative avec mon cousin

Je fus surprise de remarquer Joslius écarquiller les yeux une fois que je le fis allonger dans mon lit.

Se redressant dans le lit, il se mit à regarder tout autour de lui.

— Ce n'est pas ma chambre ici ! remarqua-t-il, sourcils froncés.

— Tu n'as pas tort, lui répondis-je ; couche-toi sur mon lit, en attendant que j'aille apprêter ta chambre qui est remplie de toiles d'araignée.

— Impossible ! Il n'a jamais eu de toiles d'arai…

— Si, il en a eu cette fois ! l'interrompis-je.

— Ça m'est égal ! Qu'il en ait ou pas, je préfère rejoindre ma chambre.

C'était étonnant. Sous mes yeux, Joslius se leva et se dirigea vers la sortie les pas somnambulesques.

Merde ! m'écriai-je après son départ.

Et puisque je venais de rater une première occasion, je m'assis sur mon lit, visage rempli de remords.

— Il finira par tomber dans mon piège, j'en suis sûre et certaine, me promis-je.

Je me levai et me dirigeai vers le salon. Je jetai un coup d'œil à la pendule et y lus onze heures.

— Onze heures ? me questionnai-je, surprise.

Je me dépêchai vers la cuisine et rapidement, activai le gaz à l'intention de chauffer le reste du macaroni. Minceur ! Le reste du macaroni de la veille était inmangeable car, ça gluait et dégageait en retour une odeur âpre.

Je pris calmement la casserole et allai la vider dans la poubelle et revins la laver. Pour accueillir la venue de mon cousin, je me donnai l'obligation de préparer du couscous aromatisé du spaghetti. C'était d'ailleurs son repas. Sans plus perdre du temps, je me dirigeai vers le réfrigérateur et en pris quelques morceaux de viandes que je revins découper et commençai la cuisine. À midi, tout fut prêt. Je remplis le seau d'eau et allai le pointer sous la douche. Je me hâtai vers la chambre de mon cousin et là, je l'aperçus en train de ronfler tel un lion dormant depuis six jours. Je me mis à lui tapoter l'épaule mais sans succès.

Me rappelant de mon film pornographique du matin, l'envie sexuelle commença à m'absorber. Minceur ! Que faut-il faire ?

Au lieu de continuer à lui tapoter l'épaule pour le réveiller, j'approchai ma tendre main droite sur son pantalon. Je la posai sur sa fermeture et avec un cœur qui battait à la chamade dans ma poitrine. J'attrapai la fermeture laquelle je poussai légèrement vers le bas. Minceur ! Joslius avait porté un caleçon tout serré. Je jetai un coup d'œil vers la porte de sa chambre et la vis ouverte. Je me levai sur la pointe de mes chevilles et allai la rabattre. Avant de la quitter, je la verrouillai à la serrure. Je revins sur mon cousin et déboutonnai son jean.

Tirant le pantalon vers le bas, j'avais mes deux yeux sur son visage. J'avais trop peur qu'il se réveillât. Lorsque je réussis à lui ôter le pantalon, je fondis mes dix doigts à l'exception de mes pouces aux rebords de son caleçon lequel je tirai vers le bas et oups ! Mon cœur sauta de surprise.

Eh oui ! Joslius avait aussi une très belle verge. La sienne était encore plus belle que celle que j'ai regardée dans mon film pornographique. À sa hauteur, de très beaux poils. Voyant ses poils, on imagine qu'il les a taillés très récemment.

Je longeai ma main dans ses poils et commençai à les parcourir. Je commençai à sentir des vibrations électriques dans tout mon corps.

Eh oui, je vibrais toute seule. Je commençai à sentir combien mon clitoris bougeait sous ma robe. Oui, mon cerveau venait de communiquer un message à mon clitoris qui avait soif de se sentir en action. Tout d'un coup, je commençai à mouiller. J'enlevai ma robe d'un seul coup et montai sur le lit. Je pris position entre les jambes de mon cousin et m'emparai de son pénis qui dormait tel une souris morte. Je commençai à le mater avec ma main droite pendant que ma main gauche parcourait ma chatte. Oui, j'accélérais mes envies sexuelles. Mon clitoris était devenu tout tendre et très dur et crevait de faim sexuel. Pendant ce temps, la bite de Joslius prenait une forme bâton et j'étais très contente. Plus je la matais, plus elle grossissait de volume. Lorsque je la constatai toute rouge, je l'enfourchai dans ma bouche et commençai à la sucer telle une sucette.

Mes mamelons, involontairement, devinrent très durs. Ma chatte, quant à elle, s'humidifiait chaleureusement. Sur les jambes de mon cousin, coulait de la graisse qui s'évaporait de mes entrailles.

J'étais devenue toute rouge d'envie. Cette grosse bite, je la désirait au fond de moi. Oui, je voulais bien la recevoir au fond de moi. Mes tétons étaient devenus très durs. Mon cousin, sous l'effet de l'alcool, ronflait tel un porc.

Je montai sur lui et, introduisant sa bite avec délicatesse dans ma chatte, je commençai à faire le va-et-vient ! Oui, cette vidéo que j'avais suivie le matin était la seule source qui m'avait donné toutes ces notions. Ce n'était pas là première fois où je suivais ce genre de vidéo. Depuis que Jocelyne, ma camarade de classe m'en a donné le goût, je ne m'en passais plus.

Je gémissais. C'était vraiment étonnant que pendant tout ce temps, mon cousin ne se soit pas réveillé. Il dormait profondément pendant que moi je profitais de son bâton magique pour satisfaire mon désir sexuel. C'est l'homme qui a l'habitude de baiser la femme mais là, c'est moi femme qui baisais mon cousin. Eh oui, je le baisais et je n'ai aucune honte de le dire.

Je faisais mes allers retours avec brio. Je priais que j'atteigne mon orgasme avant qu'il ne se réveille.

J'avais mes deux mains sur sa poitrine plantureuse. Eh oui, la baise, rien au monde n'est plus agréable qu'elle ! Elle était douce, sa bite. Je la craquais comme on craque une banane. Je gémissais abondamment. J'imitais cette salope de la vidéo qui m'avait donné tant d'envie. Eh oui, je m'entendais dire : ah ! oh ! ah ! ou ! iii ! or ! ou ! oh ! oh ! oui ! oh ! que c'est doux ! la baise ! oh ! j'aime la baise ! oh !

Eh oui ! Je racontais des histoires ; ces histoires qui augmentent du charme au désir.

Soudain, j'entendis la voix de mon frère Stéphan me héler derrière la porte de Joslius.

Mince ! J'ai été surprise en flagrant délit, main dans sac.

Je stoppai automatiquement mes mouvements. Je ne sus plus que faire. Confuse, je descendis de mon cousin et le couvris du drap de son lit. J'enfilai rapidement ma robe.

— Ida, ouvre cette porte ; je sais que tu es dedans ; disait mon frère derrière la porte d'une voix sincère.

Que puis-je faire devant cette situation ?

Je regardai le ciel comme pour demander à Dieu si c'était une punition.

— Dieu, je pensais qu'avant qu'un voleur ne soit surpris dans son péché, tu lui donnes beaucoup de temps pour jouir de son péché ! Alors pourquoi moi, tu me laisses surprendre à ma première tentative ? murmurai-je vers le ciel.

— Ida, mais ouvre ! Je veux te parler ! disait mon frère, toujours derrière la porte.

Mince ! Ce gars m'en veut pour quoi ?

Devant ce bourbier, j'eus envie de couler les larmes. Mais à quoi bon ?

Je redressai ma robe, jetai un coup d'œil à l'adresse de mon cousin qui avait toujours ses yeux fermés. Je m'approchai de son zizi et le touchai. Eh oui, lui aussi dormait déjà.

— Mais Ida, tu as quel problème au juste ? répéta mon frère.

— C'est qui ? lançai-je.

— C'est moi ! Ne m'entendais-tu pas depuis ?

— Oh désolée, j'arrive !

Je me dirigeai vers la porte et l'entrouvris.

— Que fais-tu dans la chambre des étrangers ?

— Oh non ! Je me repose à côté de Jos !

Mon frère poussa la porte et observa plus nettement le vacancier qui dormait dans son lit. Il le quitta du regard et me fixa en retour.

— Quoi ? lui demandai-je.

— Que faisiez-vous ? me demanda-t-il d'un visage rempli de stupéfaction.

— Que veux-tu dire ?

— Pourquoi c'est dans cette tenue que tu trouves à…

— Ma tenue a un souci ?

— Ida, je sais que tu me caches quelque chose ! Je t'ai vue entrer dans cette chambre depuis plus de quarante minutes.

— Attends, tu me surveilles maintenant ?

— Je n'ai pas ce temps, d'accord ? Mais je sais que vous les deux, vous mijotez quelque chose.

— De quoi parles-tu ?

— Est-ce que tu as porté caleçon ?

— Mon Dieu ! Est-ce vraiment toi qui me poses cette question ?

— Ida, tu es ma sœur et je pense que je suis libre de te demander ou de te poser la question qui me vient à l'esprit.

Tout à coup, la sonnerie retentit.

Je fixai mon frère du regard comme pour lui témoigner jusqu'à quel point il venait de me blesser profondément.

— Va voir qui est à la porte, me dit-il en prenant congé de moi.

Je tripotai mon pouce contre le majeur comme pour le menacer.

Je jetai une fois encore un dernier regard vers Joslius qui continuait de ronfler.

Doucement, je me retirai de la pièce et me dirigeai vers le salon. À l'horloge murale, treize heures. Sûrement que c'était papa qui klaxonnait.

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