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CHAPITRE 3 : L'arrivée de mon cousin

CHAPITRE 3 : L'arrivée de mon cousin

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Il était huit heures et j'étais encore dans mon lit. Sans sortir de ma chambre, j'avais la certitude que mon père serait déjà parti au boulot. Je me souviens de ne vous l'avoir pas bien présenté parce que ça ne valait pas la peine. Mais si vous souhaitez connaître ce qu'il fait comme profession, je pourrais vous dire tout simplement qu'il travaille à la mairie. Il fait partie de ces gens qui signent ou mettent des cachets et timbres sur les actes de naissance et toutes sortes de documents qui doivent être jugés de l'État. Déjà à sept heures trente minutes, il quitte déjà la maison en voiture et à midi, il fait une escale à la maison lorsqu'il n'a pas des courses à faire dans la ville.

En effet, j'étais seule dans mon lit, toute nue. Ma porte était encore fermée. Ennuyée, je me rappelais de mes actes horribles de la veille. J'avais une folle envie d'être défoncée. Eh oui, envie que quelqu'un me lèche, me prenne par les tétons et me mouille. Ah oui, j'avais envie de sentir mon clitoris entre la langue de quelqu'un. Seule dans ma chambre, je regrettais de n'avoir pas le pouvoir de faire venir devant moi, ce quelqu'un qui ne serait autre que mon cousin, le nouveau bachelier. Je me rappelle un jour quand, ensemble, suivant un feuilleton sur Novelas, Joslius avait follement bandé juste à cause d'une simple embrassade de ces maudits blancs qui n'ont jamais honte de faire l'amour partout. Eh oui, les blancs sont sans souci ; ils font l'amour partout ! Même au supermarché quand l'envie les prend, ils se baisent sans prêter attention à quiconque. Ici, au Bénin, même un simple baiser sur les lèvres, on te prend en caméra pour te publier sur les réseaux sociaux ; de la pire merde ! C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, dès que j'obtiendrai mon baccalauréat, je demanderai calmement à mon père de m'envoyer au pays des Français. Ah oui, il me faut laisser le pays aux toqués qui ne savent pas que chacun est libre de vivre sa vie comme cela lui convient.

Et alors ! Ne pouvant plus supporter cette solitude et cette folle envie qui risque de me faire crier, je saisis mon téléphone, activa la connexion Wi-Fi et malheureusement pour moi, aucune connexion. Je me retirai du lit et nouai mon drap jusqu'à la taille. Je m'approchai de ma porte et la déverrouillai. Je me dirigeai au salon pour aller voir pourquoi la connexion était indisponible sur mon téléphone. C'est alors que je m'aperçus que le routeur, ce logiciel chargé de créer la carte des interconnexions métalliques entre les points d'entrée et de sortie des éléments de technothèque d'un circuit intégré électronique, était éteint. Sans chercher à savoir qui l'avait éteint, je l'activai calmement et me retournai dans ma chambre. Reconnaissant Google du site le plus satisfaisant, je m'y connectai et me dirigeai dans sa barre de recherche et tapai : femme en baise.

Mouais ! Une centaine de propositions m'eut été faite parmi lesquelles j'en choisis celle qui va réveiller tous les démons dormants de mon corps. J'oubliai de refermer ma porte. J'abandonnai le téléphone sur le lit et allai la verrouiller de peur que Stéphan vienne me surprendre dans mon jeu.

Je revins et repris mon téléphone ; j'introduisis mes écouteurs et visualisant le film pornographique sur mon smartphone, je percevais le son dans mes oreilles.

Eh oui, la fellation ! La petite blanche aux gros seins était couchée sur un lit pendant que le gars lui suçait les lèvres. N'étant pas immobile, la jeune fille lui suçait les lèvres en retour. Les deux amoureux se suçaient ainsi les lèvres. Le gars avait les deux seins de la jeune fille entre ses mains et les caressait. Après s'être longuement sucés les lèvres, le gars descendit calmement vers les seins et les attrapait un à un dans sa bouche. Cette fois, j'eus une folle envie que la même chose se passât avec moi. Eh oui, mes tétons s'étaient levés et étaient devenus très durs. L'envie de les sentir dans la bouche d'un homme me possédait. Je regrettai de n'avoir personne autour de moi. Pourtant, je me concentrai à suivre les gestes de la jeune fille et de son amant. Je m'imaginais à sa place ; je m'imaginais à la belle sensation laquelle elle vivait dans son corps, ce circuit électrique intense. Dans mes écouteurs, je l'entendais crier le « ouille ». Eh oui, elle disait la chose ; cette chose que disent les femmes quand on les baise. Ses cris augmentaient mes envies sexuelles et j'eus l'envie de partager avec elle, son mec. Mais comment y arriver ? Allais-je casser le téléphone pour sortir les deux ? Impossible !

Je pris mon mal en patience et continuai la lecture de ma vidéo. Le monsieur, étant accro aux seins de la jeune fille, les dévorait seulement sans s'en lasser. Pendant qu'il caressait un de sa main droite, il avait sa bouche mouillée de salive sur le deuxième accompagnée de sa main gauche. Il lui suçait seulement les seins comme un bébé à la recherche du lait. La jeune fille se laissait aller. Me mettant à la place de la jeune fille, je mouillais sur le lit. Ma chatte était devenue toute mouillée, on dirait qu'il y avait un tonneau d'eau qui m'était versée à l'intérieur.

Eh oui, vous comprenez déjà ce qui se passe dans tout mon corps. Jetant mon drap, j'enfonçai mon index dans ma Jessica et commençai à faire des sorties entrées. J'étais couchée sur le ventre et jugeant cette position inopportune, je changeai de position et me retournai sur le dos. Tenant le portable avec ma main gauche, j'avais l'index de celle droite dans ma chatte mouillée telle la farine de maïs. J'attrapais mon clitoris et le caressait ; ce qui augmentait mon fantasme.

Le monsieur, non, il est trop fort en matière de caresses. Il avait tellement caressé la fille au point où la fille avait fini par perdre la voix pour exprimer ce qu'elle ressentait au fond d'elle. La fille, ayant perdu le son, était devenue calme et avait confié sa vie à Jésus et attendait que le monsieur la défonce. Mais le monsieur, n'étant pas encore satisfait, continuait dans ses caresses. Mes yeux grands sur l'écran, j'aperçus le monsieur descendre la culotte de la jeune fille et pouf ! mon envie s'accrut de 20% davantage. Je pense que ce monsieur voulait me rendre dingue avec son jeu.

Sur le pubis de la jeune fille, il y avait des poils tous noirs. Le monsieur, passant sa main sur les poils, finit par localiser le clitoris de la jeune fille lequel il saisit d'un coup et bim, il approcha sa bouche diablement mouillée et l'arracha dans sa bouche. Il le suçait pendant que l'index de sa main droite faisait l'entrée-sortie dans la chatte complètement mouillée de la jeune fille. La mienne était aussi mouillée ici. Ce fut en ce moment que je commençai à percevoir la voix de la jeune fille qui disait : « oh mon Dieu ; vas-y ; oui, j'aime ça ; ssssss ; oui vas-y ; continue s'il te plaît ; j'aime ça ; tu es super ; n'aie pas peur de me sucer ; vas-y je t'en prie ».

J'avais du mal à supporter ce que disait la fille mais je n'avais pas le choix. C'était la saison de sa jouissance et je pense qu'elle avait raison d'en profiter.

Le monsieur, étant déterminé à sa besogne, ne s'arrêtait pas lui aussi. Il croquait le clitoris de la jeune fille telle une carotte. Je n'avais personne pour me croquer le mien et j'étais obligée de le faire moi-même. Ce fut la première fois où je regrettai le fait que Dieu ne nous dompta guère d'une force surnaturelle pouvant nous permettre d'allonger notre tête jusqu'à notre partie intime comme le font les singes. Les singes, eux, ont le pouvoir de se sucer et pourquoi pas nous ?

Le monsieur, après avoir passé tout son temps à tuer la jeune fille d'envie, se ôta son jean et laissa à découvert son gros bangala.

Oh Seigneur Jésus ! C'était un gros marteau comme ça, chers lecteurs, une sorte de marteau lequel en raffolent les femmes.

Lorsque la fille l'aperçut, elle sauta du lit et vint l'attraper dans sa bouche et mon cœur vibra. J'eus l'envie de le lui arracher et l'enfoncer dans ma chatte qui mourrait de ce désir intense.

Me sentant dans une incapacité, une larme me perla l'œil droit.

Eh oui, je ne pouvais plus supporter. J'abandonnai mon téléphone sur le lit et enfilai rapidement un caleçon. Je me dirigeai au salon, empruntai la direction qui menait à la chambre de mon frère.

Arrivée devant sa porte, je toquai deux fois mais personne ne répondit. Je la poussai et mince ! Le salop n'était pas là ! Il était déjà sorti, me laissant seul dans cette grande maison. Je m'adossai contre le mur et me glissai vers le bas, les dents serrées. Je baissai la tête et une larme feignit me descendre des yeux.

Une idée me hanta l'esprit et je me retournai dans ma chambre en courant. Je fouillai dans mon tiroir et retrouvai une bougie. Je la saisis et me retournai sur mon lit. J'enlevai mon slip et tout doucement, j'introduisis la bougie dans ma chatte en réclamation du bâton magique d'un homme. J'allumai une fois encore mon film et ayant mes yeux sur les scénarii, je me satisfaisais. Je n'avais pas encore joui lorsque tout à coup, la sonnerie du salon retentit ; avertissement d'un étranger sur le portail.

J'accélérai le rythme pour vite atteindre mon orgasme mais l'intrus persistait à appuyer sur le contact. Je fus obligée de rompre ma tâche et d'enfiler une robe et de me diriger vers le portail pour le déverrouiller.

Qui vis-je ? Joslius !

Je sautai et m'agrippai à son cou.

— Bonne arrivée, grand frère !

— Merci ma chérie !

— Que vous êtes vite arrivé, cette fois ! m'exclamai-je, étonnée.

— C'est vrai, c'est parce que je n'ai pas quitté directement à Parakou.

— Et d'où venez-vous ? lui demandai-je en lui saisissant sa mallette et en la traînant dans la cour.

— Je suis à Cotonou depuis trois jours, me répondit-il en me suivant.

Devant lui, je tournais mes grosses fesses dans ma souple robe. Je ne saurais dire si cela pouvait avoir un effet sur lui. Tout ce que je sais de Joslius, il m'avait toujours regardée d'yeux d'un frère. Pour lui, je suis sa sœur et puisque nous ne sommes pas au pays des Français où l'enfant est libre de prendre sa tante en mariage, tous nos liens se limitaient au seuil de la famille.

— Papa est déjà parti au boulot ?

— Oui, lui répondis-je.

— Et Stéphan ?

— Je ne sais pas où il est passé ? Et la traversée, a-t-elle été abordable ?

— Si, ma sœur chérie ! Tu as toujours été belle !

— Merci grand frère ! Et vous aussi, vous avez toujours été beau !

— Merci !

— Avant que vous ne regagniez votre chambre, laissez-moi vous servir un verre d'eau.

— Je ne m'en contrecarrerai guère.

Et je l'abandonnai pour aller lui chercher d'à boire.

— Tenez, grand frère !

Il m'arracha le verre et aspirant l'odeur du liquide, il fronça le sourcil et me fixa de ses beaux yeux.

— Mais, c'est de l'alcool ! me fit remarquer.

— C'est vrai ! C'est votre oncle qui nous l'a apporté hier soir. Il a dit que c'est trop efficace pour rompre les effets de la fatigue.

— Wouah ! Mon oncle aime toujours ce qui rajeunit le sang et guérit les troubles de l'organisme, dit-il en souriant.

Sous mes yeux, Joslius porta le verre à la bouche et trois gorgées, il vida le verre.

— Je pense qu'il serait bien de ma part de vous en servir un davantage.

— Son excès n'est pas dangereux peut-être ?

— Pas du tout ! Votre oncle en prend plus de quatre verres, lui mentis-je.

— Sérieux ?

— Je vous le jure !

Et doucement, je regagnai de plus beau le réfrigérateur et remplis le verre de la même liqueur alcoolisée.

Je convainquis Joslius à vider le deuxième verre. Ce qu'il fit sans contestation. Je l'abandonnai dans le salon et traînai sa mallette dans sa chambre. Avant mon retour, il saoulait déjà. Sur ses yeux, je pense être multipliée en six.

Je le traînai dans ma chambre, précisément dans mon lit et le fis allonger.

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