CHAPITRE 5
À force d'avoir des pensées suicidaires. Et d'être mal dans ma peau à longueur de journée.
Je me suis, un jour, trompé dans les médicaments que je prends.
Étant dans un état dans un état second. À moitié dans le coma, sans aucune réaction et allongé sur ce sol froid ou j'avais dû m'écrouler.
J'avoue que ce jour l'a, j'ai réussi à faire peur à Vincent.
Alors qu'il m'appelait pour savoir où j'étais. À s'impatienter vue qu'il était sans réponse de ma part.
Celui-ci est rentré dans la chambre, et m'a retrouvé allongé par terre sans aucune réaction.
Il a bien tenté de réveiller, mais je restais immobile à fixer un point invisible. Je n'avais aucune réaction. Un véritable légume.
Au bout de quelques minutes qui ont dû lui paraître des heures.
Il a couru à travers la maison, pris sont téléphone en quatrième vitesse est à téléphoner au pompier.
Il leur a dit qu'en rentrant du travail, il m'avait retrouvé au sol.
_ Aider moi, s'il vous plaît. Ma femme est allongée par terre sans réaction. Je ne sais pas de puis combien de temps elle est dans cet état. Faite vite, je vous en supplie.
_ Mr calmer vous.
Donner nous votre adresse. Que je puisse vous envoyer une équipe.
Après plusieurs minutes à discuter avec la standardiste des secours Vincent à enfin entendu les sirènes des pompiers.
Il est allé en courant leur ouvrir pour qu'ils interviennent au plus vite.
Moi, j'étais comme qui dirait entre deux mondes, j'étais consciente de tout ce qui se passait autour de moi sans pour autant réagir ou même parler. Je ressemblais à ces pauvres gens qui sont tétraplégiques avec une incapacité de parler. J'avais l'impression d'être en dehors de mon corps.
Une fois les pompiers sur place, ils m'ont examiné. Pris une tension essayer de me stimuler, mais je n'avais toujours aucune réaction. Ils m'ont alors posé une perfusion, mis sur un brancard et direction l'hôpital le plus proche.
Chose surprenante Vincent a tenu à vouloir me tenir la main dans l'ambulance. Mes choses que j'ignorais, c'était qu'il fessait sa juste pour que je reste dans le silence.
Il voulait se faire passé pour le compagnon idéal. Doux, attentionné, sensible et surtout proche de sa femme.
Il avait peur que je révèle à l'équipe médicale que je me sens seule et dépourvu de toute sociabilité extérieure. Il avait pour lui est non pour moi.
Une fois arrivé à l'hôpital, les médecins m'ont séparé de Vincent pour me faire quelques examens. Après avoir mes résultats, ils en ont conclu que je faisais une overdose. Du coup, pour que je reprenne conscience, ils m'ont fait un lavage d'estomac et mon mis une perfusion sous-cutanée pour hydrater.
Ils m'ont ensuite installé dans une chambre, et je devais voir un psychiatre pour savoir si j'avais voulu me suicider ou si j'avais seulement fait un surdosage de médicaments. Vincent n'était pas autorisé à me voir ce qui la vraiment énervé.
Il a essayé par tous les moyens de rentrer dans cette chambre d'hôpital.
Il a ensuite trouvé une solution pour m'atteindre. Il a payé une infirmière du service de l'hôpital pour qu'il puisse me voir à mon réveil. Et comme toujours ça a marché, car Vincent a un don pour manipulateur, les gens autour de lui est cette pauvre infirmière n'a pas su dire non à l'appât du gain.
Au moment que je commençais à émerger de mon état comateux, j'ai aperçu cette ombre noire au-dessus de ma tête. Vincent. Celui-ci n'y est pas allé par quatre-chemins. Il m'a clairement fait comprendre qu'il était inquiet pour moi. Biensur cela était de la comédie. Il a essayé de m'expliquer que si je parler de ce qu'il se passait à la maison, on risquerait tous les deux d'avoir des problèmes. Et sur le coup, je n'ai pas compris. Il m'a ensuite embrassé sur le fond et il est sorti ma chambre discrètement sans que le médecin ne puisse l'apercevoir.
Quelques minutes plus tard un Mr d'une cinquantaine d'années et arriver.
_ Bonjour mademoiselle Violette, je suis le Dr Azarade Bernard comment vous sentez vous.
_ Je vais bien merci, mais ou suis-je.
_ Vous êtes à l'hôpital St Bonne Aventure. Vous avez fait un malaise assez important et votre mari a contacté les secours d'où votre présence ici.
_ J'avoue que c'est un peu flou dans ma tête.
_ Pas de problème mademoiselle. C'est tout a fais normal. Je suis ici pour évaluer pour état de conscience.
_ Comment ça ?
_ En tant que psychiatre de cet hôpital, je dois vous faire passé une évaluation pour déterminer si votre arrivée chez nous était volontaire ou accidentelle. Car il faut bien le dire mademoiselle vos examens sanguins prouve que vous avez pris une grande quantité d'alcool mélangé à des antidépresseurs.
Sur le coup, je n'ai pas su quoi répondre. Et j'ai repensé à Vincent et ce qu'il m'avait dit si tu parles de ce qui se passe à la maison, on aura des problèmes tous les deux.
Je ne savais plus quoi dire à ce psychiatre, et il l'a bien vue, car j'avais baissé ma tête et je me triturais les doigts. J'étais angoissée et stressé. Impossible de lui expliquer que depuis le début de ma relation avec Vincent, je me faisais humilié, rabaissée, que dernièrement, je n'avais plus de liberté, car il n'avait pas confiance en moi, mais que malgré tout ça, je reviens toujours vers lui de peur de le perdre. Car oui, j'aimais Vincent malgré son foutu caractère. Comment expliquer ça a un inconnu qui plus est un psychiatre ?