Chapitre 4
4
~~~Lorenzo~~~
Je sort de la pièce et dirige vers le couloir qui mène a l’étage. Je passe a côté de quelques uns de mes hommes qui ne perd pas le temps de me montrer leur signes de respect a mon égard.
- La fille retourne dans sa cage et enchainer dis-je en continuant ma route dans la tunnel.
Je monte les escaliers et sort du sous-sol, directement, j’entre dans ma chambre et enlève mon masque. Ensuite, je me déshabille et entre dans la salle de bain. Cette fille est tellement…pute quelle choisi dans sa misérable vie de m’impose des décisions. Elle ne sait pas toutes les souffrances que je pense déjà sur elle. Aucune fille n’avaient jamais tenté de s'échapper d’ici car elle sait que ou qu’elle parte, je la retrouverai, et les punitions ne serons pas cadeaux.
Elle avait même le culot de demander des vêtements alors que j’aime bien la voir nue comme une verre de terre. Elle me dégouté tellement mais j’aime la baisé, j’aime la voir souffrir. Quand je pose mes yeux sur elle, j’ai toujours envie de la faire mal encore et encore. Même si elle essaye de m'impressionner, jamais, elle ne sortira comme les autres.
L’eau coulent au long de mon corps et je pense encore a cette petite Chose minuscule. Elle est trop naïve.
Je prend mon gel de douche et verse la totalité dans mes cheveux , vue comment elle est salle, c’est possible d’être contaminé par la saleté.
Après plusieurs minutes sous la douche, je prend une serviette et m’essuie avec avant de l’entour autour de mes reins. Je sort de la douche et me dirige vers le miroir de la salle de bain. Et prend ma peigne en or. J'essuie bien mes cheveux et les met bien en valeur. Ensuite, je sort de la salle de bain et me dirige vers le dressing.
J’entre a l’intérieur et regarde tout ses costard dresser devant moi. Mais quelques minutes d’inspection, je finir par m’habiller comme d’habitude, une chemise manche longue noir et un pantalon absolument noir. Je choisi un manteau et ressort. Mes parfum aligné dans le dressing me faire penser a ma grand mère. Elle les fabriquait avec énormément de passion. De toute façon, il faut que j'aille la voir.
Je sort de ma chambre et me dirige vers l’ascenseur. Je tapote sur le bouton et il s’ouvre devant moi et je m'en presse d’entré a l’intérieur avant d’appuyer sur le bouton 17.
Je sort mon téléphone qui viens de signaler un message de Paolo. Il doit déjà être dans la voiture en m'attendant.
Après avoir lu le message, je range le téléphone et attend sagement la décente de l’ascenseur qui ne tarde pas a s’ouvrir sur Trois de mes hommes, les meilleurs. Il surveille les sortir.
- Salut capo dit chacun d'entre eux en baissant la tête. Mais comme d’habitude, je ne prête par d’attention a leur salutation et sort de la villa familiale. A l’extérieur, je regarde toute les nouvelles caisses que je me suis fait livrer ce matin de bon heure.
Je ne prête par toujours l’attention a ses nombreux hommes qui s’occupe de la sécurité. Je me dirige directement vers ma voiture noir et entre a l’intérieur. La porte principale s’ouvre grandement lorsque je démarre la voiture et sort.
Dans le rétroviseur, je voir la voiture de Pablo derrière la mienne. Pour faire livrer des cargaisons, j’ai Pas besoin d’une armée d’homme. Je le fais depuis mon plus jeune âge avec mon père donc c’est facile comme écraser un ennemi.
Après quelques minutes de trajet, j’arrête ma voiture dans l’un de mes parking. Les autres voitures m'attend déjà alors sa a été toujours un plaisir inouï pour moi de voir mes associer.
J’arrête la voiture et ouvre la portière de la voiture puis descend. Je vois Sébastien, l’un des hommes de Ryan Garcia (dans mon beau frère mon mari). Il a beaucoup vieilli depuis la dernière fois que je l'avais vue. J’avais quel âge déjà ?.......17 oui je baissais encore les putes d'Italie. C’était pas mal mais trop dégueulasse.
Je m’approche de lui avec un sourit presque bizarre.
- Sébastien dis-je en serrant sa main.
- Lorenzo, mais comment tu vas mon petit
- Appel moi petit encore la prochaine fois et tu ne rentrera pas en Espagne avec ton chignon.
- Calmos princessa dit-il en rigolant.
- Alors tu as quoi pour moi aujourd’hui
- Tu parle comme si on était des meilleures amis du monde , quand Ryan avait reçu ton message, sa nous a beaucoup étonné, tu as un hectare remplir de plantation de cocaïne alors qu’est ce que tu vas faire avec 300 sachet de cocaïne dit-il d’un aire soucieux.
- Comme tu peux le voir, c’est un cadeau alors ?
- Vient dit-il en ouvrant le camion conduit par l’un de ses hommes.
J’entre a l’intérieur du camionnette avec lui et me dirige en même temps vers tout ses paquet que je prend un et l’ouvre Avec le couteau que Sébastien me tendait. Je prend un peu sur mon doigt et le met sur les dents.
La plupart des cargaison que je livre a mes associer dans les quatre coin du monde, son fort a 90℅ donc , avec 85 ℅ , l’affaire est close. Paolo entre a son tour dans le camion avec les deux mallettes d’argent qu’il donne a Sébastien.
- Ravi de faire affaire avec toi dis-je en serrant une nouvelle fois sa main
- On se revoir vite dit-il en me donnant les clés du camion.
Tout les deux , ont sort du camionnette et je remet la clé a Diego avant de retourner dans ma voiture que je démarre pour la direction entrepôt.
***Luna LOMBARDI
Je retient tout mes cheveux blonde en queue de cheval a l’aide de ma peigne en or et entre dans le baignoire en fermant les yeux. J’ai vraiment besoin de me détendre a ce moment, je suis très soucieuse ses dernier temps alors que sa me rend toute maigrichon.
J’aime beaucoup trop Lorenzo mais il me faire trop souffrir, je ne supporte pas son comportement , je Sais que c’est impossible de compter sur lui pour m’aimer mais j’ai besoin qu’il soit la pour subvenir a mes besoin sexuel.
Je ne peut pas être marié a un homme aussi battis que lui, aussi beau que lui , et membré comme un dieu. Pour me réchauffer toute la journée avec un faux pénis vibreur. Je suis en manque de sexe depuis un mois déjà et lui alors ? Je suis sur qu’il me trompe et je compte bien traquer la maitresse.
Après quelques minutes de détention, je sort du baignoire et essuie tendrement mon corps avant de passer la pommade. Ensuite, je j’entre dans mon dressing et met la jupe la plus courte qui existe et un croc top noir. Comme il aime les putes alors je vais en devenir. Je me maquille et met mes talon avant de sortir de la chambre.
Les hommes de mon mari me regarde avec envi et je sais que Lorenzo est capable de me laisser coucher avec eux mais Ils ne seront pas a la hauteur de mes attente.
J’entre dans la salle a manger et m’asseoir sur ma place habituel a coté de Leonardo. Et comme toute les fois, Lorenzo n’est pas présent, mais son père, son frère et la petite Gabriella est toujours la mais, c’est pas avec eux je veux être mais avec mon mari , mon putain de mari.
- Dit Luna
Je pose mon regard sur Gabriella qui vient de briser le silence glacial qui règne dans la pièce depuis mon apparition, je sais que son frère et son père me voir comme une profiteuse mais je le suis pas, j'aime le luxe sinon jamais, Lorenzo ne me touchera. Il a horreur des microbes donc je fais tout pour qu’il me désire.
- Quoi ? Dis-je en me servant du Polenta
- Tu te maquille tout le temps ?
- Quoi ? Dis-je en fronçant le sourcil. Le maquillage c’est la vie.
- J’ai le droit de me maquiller ?
- Arrête de parler la bouche, pleine, et non, tu ne te maquille pas dit Leonardo en la regardant.
- Mais grand-mère avait dit que je pouvais passer d'eye-liner et du crayon a lèvre.
- Avait c’était du passé alors tu ne fais rien.
- C’est pas juste dit-elle en se levant.
Je la regarde courir vers la sortir de la pièce et son frère le suit après m’avoir lancé un regard qui dit long.
Après son départ, je pose mon regard sur Oliver mon beau père. Ce homme est tellement…..bizarre peut-être a cause de ses nombreuses conquêtes viré a l’échec qui n’est rien d’autres que la mort.
- Luna, ma petite Luna dit-il en rigolant tu vas finir pas nous impressionner avec raison gentillesse a deux balles.
- Je suis gentille si vous aviez oublié.
- Oui c’est sa dit-il en quittant la table a son tour.
Je me retrouve encore seul autour de cette grande table. J’ai l’habitude si seulement je pouvais allez chez mes parents , mais j’avais déjà tout gâché. Toutes les filles du l’Italie rêve de se marier avec Lorenzo, d’autre donnerais tout juste pour le voir de loin. Il est….trop….sexy…et canon. Alors quand j’avais entendu la conversation de mon père avec le sien, j’avais convaincu mon père de faire tout pour que je l'épouse, il n'était pas du même avis , il disait : je cite « il est toxique pour toi »alors j’avais insister.
Même ma mère ne veule plus me voir ni mon père. Je sais que Lorenzo fait des choses vraiment horrible mais, je l’avais choisi et je ne compte par le laisser.
Après quelques minutes a penser a quoi faire de ma journée, j’appelle mes copine pour une journée de shopping dans les magasin de luxe, je quitte la table et entre dans ma chambre.
Je prend mon sac a main et vérifie ma carte de crédit avant de ressortir de la chambre.