Chapitre 5

5

~~~Alesia williams~~~

La douleur d’être rejeter et méprisé. La douleur d’être un dégoût pour quelqu'un. Je l’avais même sucé pour qu’il soit moins violent avec moi. Je voulais avoir a manger et boire, mais au contraire, j’ai encore empiré la situation.

Après son départ, j’essaye de me lever du lit mais impossible, tout mon corps et mes jambes me font atrocement souffrir.

Doucement et difficilement, je me rampe pour quitter le lit quand la porte s'ouvre dans un bruit sourde en me faisant sursauter. Ce sont eux, ses hommes, l’un d'entre eux sort une aiguille et s’approche de moi.

Non…..non….non…. Ils veulent encore me droguer…non….la dernière fois qu' il l’avaient faire, j'était paralysé, mes muscles ne fonctionnaire plus.

- NON….je vous en supplie dis-je lorsqu’il se courbe a mon niveau malgré mes cries, je sens la piqure dans mon cou et c’était finir. Encore une fois, je vais vécu une souffrance plus atroce que la précédente.

*

- Elle va mourir ?

- peut-être sa fait des jours qu’elle est dans cette position

- tu exagère, elle est la depuis deux jour

- peut-être ? Tu as vue tout ce sang ? Elle est surement morte

J’entends des voix mais impossible pour moi de les reconnaitre, je veux bouger mais mes membres refuse de m'obéir. Je revoir encore la scène. J’était au sol et……piqure.

J’ouvre immédiatement les yeux et essaye de m’adapter a la lumière qui m'aveugle. Peu a peu, mes yeux s’ouvre grandement et je commence a paniquer. Je suis enchaîner……non….pas sa , impossible pour moi de faire quelconque mouvement. Mes deux pieds son lié , et mes deux mes son lié avec le reste de mon corps.

- Non….A L'AIDE cris-je en bougeant dans tout les sens.

Mais personne ne se préoccupe de mon état, mon regard se pose sur deux filles debout devant ma cage, elle me regarde tout les deux d’un regard presque apeuré.

- Aidez moi dis-je dans un murmure qui me fait éclater en sanglotant. Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter une telle souffrance. Il en a pas marre de me voir souffrir comme une malpropre.

- Tu vas bien ? Demanda l’une des filles. Tu pisse le sang.

- Aidez moi

- Allez dégager crit un homme en s’approchant de la cage avec un verre d’eau..

Les deux filles quitte devant ma cage retourne a leur préoccupations. L'homme entre a l’intérieur du cage et vide la totalité du verre sur mon visage. Sans un mot, ni un regard, il ressort du cage et la verrouille.

*

Je me retrouve encore une fois dans cette pièce, il n'y avait personne, mais le sang de mon père était toujours sur le sol, mais ma mère m’était pas sur son lit de mort mais au contraire, elle regarde a travers la fenêtre dans sa longue robe bleu.

Elle n’était pas malade, elle allait bien.

- Hé dit une voix a côté de moi alors j’ouvre les yeux et mes iris rencontre ceux de Cynthia, elle est souvent très gentille avec moi, même si elle est souvent avec ceux qui ont la liberté

- Salut dis-je en la regardant, au moins, elle est propre, et même si sa robe est courte, elle est très belle.

- Tu vas bien ? Oh que je suis idiote, tu es dans une salle état, je vais discuter avec Diego pour que tu prend un bain.

Quoi ? Non…non…je ne veux pas être violé par tout les hommes de cette baraques, si jamais, elle parle a Diego, celui-ci va directement parler a son patron et il va penser que je me suis encore plaindre de ma situation et la punition va être atroce plus que ce que je vis en ce moment et mes membres non pas besoin de plus de souffrance sinon il vont finit par me lâchée.

- Non , s’il te plait ne fait rien

- Pourquoi ? Tu en' a besoin

- Je vais bien, c’est juste quelques bleu

- Tu es sûr ?

- Tu veux te faire te tué ? Tu veux qu’il nous tue ?

- Quoi ? Je veux juste t’aider

- J’ai pas besoin d’aide va t’en dis-je en essayant de retenir mes larmes qui menace de sortir.

Elle me lance un regard perdu avant de quitter devant ma cage. Je ne sais pas depuis combien de jours je suis ici mais sa doit faire une éternité que je suis enchaîner dans cette cage, hier ou je ne sais quand, un homme était passé avec de la nourriture et une bouteille d’eau. Si il accepte qu’on me donne a manger, c’est qu’il est moins fâché contre moi.

Je préfère me taire pour ne pas subit des sort aussi violent que possible. Je sais qu'aucune souffrance n’est plus horrible que la violence mais, il est capable de me détruire en un claquement de doigts alors je vais me faire toute petite avant de trouver un moyen de sortir d’ici. Si jamais, je réussi a m'envoler, je retournerai a notre petit appartement, papa m’attend sûrement.

~~~voix de l’auteur

Dans une hôpital psychiatrique, nous pouvons voir des hommes en blouses balader dans les couloirs de cette hôpital qui dégoûtait la plus part des hommes et des femmes, certains considère ces genres d’endroit comme une malédiction, mais d’autres le considère comme un endroit de rétablissement……..

Guérir psychologiquement et moralement était le but de la plus part des populations. La porte d’une pièce s’ouvre sur une jeune fille qui doit avoir entre les vingtaine d’année. Les cernes sous les yeux, les cheveux en bataille, elle vérifie caque recoin du couloir avant de mettre sa chaussure, sur la pointe des pieds, elle marche au long du couloir lorsqu'un homme en blouson sort d’une chambre, elle cour vite se cacher, ne s’est pas rendu compte de toutes ses caméras de surveillance, elle reprend son chemin vers la sortir mais comme d’habitude, c’est une échec total lorsque les agents de la sécurité la saute dessus et la neutralise fermement. Pour la deuxième de la journée, Elsa n’était pas fatiguée de ses nombreux évasion. Elle était déterminer a sortie de ce asile de fou. Elle n’en pouvais plus de ses médocs qui l’épuise et qui la rend encore plus dingue.

Elle voulait retrouver sa vie d’avant avec sa petite famille mais c’était impossible. Depuis qu’elle s’est perdu dans une forêt durant une semaine toute entière lors d’une camping dans son lycée, elle a des hallucination, elle faisait des choses étrange comme entrer dans les maisons voisines sans raison, elle disait des choses impossible a le croire, personne ne comprenait ce qui l’arrivait vraiment alors , ses parents était obligé de l’envoyer dans cette hôpital quand elle avait agresser ses camarades.

Elle est dans ce trou a rat comme elle aimait si bien l’appeler depuis son enfance, elle n’a aucune chance d’être libéré pour le moment surtout quand elle menace les infirmière avec leur propres ciseaux. Alors elle se dit si elle n’a pas le droit de sortir de cette endroit avec plaisir alors, elle sortira avec déplaisir.

Elle a été ramener a sa chambre et cette fois-ci fermer a double tour. Elle n’avait que des fantasmes en tête comme voyager, manger encore et encore. Elle avait même passer toute une semaine a rédiger une liste toutes entière pour les choses qu’elle rêve de faire une fois qu’elle aura réussi a sortir de cette endroit. Elle pense de temps en temps a sa sœur et son père même sa mère la manquait. Elle se souvenais encore que sa sœur n’était qu’une petite gamine de 10ans. Même si personne n’était venu la voir depuis des années, elle savait que sa famille l'aimait , jusqu’à ce qu’elle apprenne que sa mère était morte d’un cancer.

Elsa Williams, 25ans , enfermer dans une asile depuis ses 16ans dû a ses hallucination vraiment débordante. Elle était la fille aînée de Angel Williams et de Tania williams, sœur de Alesia williams. Caché depuis des années par ses parents dans l’ombre, elle était vendu par ses parents en n’étant toujours dans le ventre de sa mère. Lorsque Tania était enceinte de Elsa, son père faisait tout pour subvenir a leur besoin mais le jour d’accouchement était comme une abomination pour eux. Tania perdait beaucoup de sang, c’était impossible qu’elle survivre , les chance était minuscule, alors le pacte avec le diable avait été établir. Eduardo Lombardi avait proposé sont aide a une seule condition, sauvé la femme et le bébé par les meilleurs spécialiste du monde avec sa fortune mais, une fois grandi, elle épousera son fils. C’était un pacte.

Mais Tania et Roméo ne pouvait pas abandonné leur fille même si quelques année plupart, sa femme avait mit leur deuxième fille au monde. Quand la pression d'Edouardo devenait de plus en plus pressant, la famille avait vite trouver une solution, mentir. Envoyer leur fille dans une centre psychiatrique était la seule option qui pouvais la sauver.

Au contraire, Elsa n’avait jamais été perdu dans les boit, Ses parents l’avait juste envoyer chez un amis de très loin. C’était planifier, il disaient que si le parrain savait que sa belle fille était devenu une folle , alors, il l’abandonnera