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Chapitre 3

3

***Alesia Williams

Et si seulement je pouvais avoir une chambre un peu propre comme celle-ci. Je serais tellement heureuse comme a chaque fois que je trouvais mon lit a coté de mes parents. Je me souviens encore comme si c’était hier. Notre appartement était comme un trou a rat mais ont était heureux du moment ou on'étaient ensemble.

Je suis trop conne de pensé que quelqu’un comme moi pouvait avoir une vie amoureuse plein de romance. Au contraire , je vie une vie horrible remplie d’horreur. Même il a arrive des fois ou je me demande si par hasard le dieu que j’adorais tant aussi m’avais abandonné ?. Je me souviens de chaque dimanche quand je m’habille de ma seule tenue qui m’allait bien pour parti a l’église. Je n’avait que deux jeans déchiré que j'avais transformer en destroy. Et deux t-shirt. C’était a la fille du patron de mon père donc je me contentais de sa dans ma vie jusqu’à ce que mon père a eu une augmentation et m’avait offert un ensemble de marque qui m’allait très bien.

Je n’enviais pas les autres fille de mon lycée car je sais que mes parents faisait tout pour me voir heureuse mais je l'était. Je l’était quand je voyait Nathan dans la salle de gym, je l’était quand mes parents étaient encore envie. On avaient rien fais a personne. On était des voisins très cool.

J’était vraiment heureuse même si les gosses de riches du lycée se moquait de mon habillement, de mes baskets toutes déchiré que mon père me réparait avec beaucoup d’amour. Je ne cherchait pas a être ami avec qui que ce soit vue que tout le monde me haïssait sauf les voisins qui faisait des effort et nous aidait au côté financière. Il arrivait même des jours ou on ne trouvaient rien a mettre sur le dent. J’attendaient a chaque fois madame Collins, la voisine pour qu’elle me donne le reste de ses repas, mais comme cette vielle dame est remplir de bonté, elle nous nourrissaient comme ses enfants.

J'insistais toujours pour travailler dans un fast food , mais comme mon père tien tant a moi, il s’imposait catégoriquement. Je me forçait a faire quelques chose pour lui venir en aide mais, jamais il n’avait voulu de mes miettes de 3 dollar. Je me souvenait encore de ses paroles qui me réchauffait le cœur « Tu n'as pas le droit de me donner ni me prêté a ton âge, car c’est mon devoir de te nourrir, te vêtir comme la princesses que tu es ». J’aimais entendre ses parole de sa bouche. Il le faisait réellement. Il avait payer toute mes frais du lycée alors qu’il avait besoin de ses sous.

C’était un vendredi tout comme les autres et j’avais quitter le lycée avec une folle envie de natter Nathan depuis le toit. Je savais que ma mère était malade et c’était quasi Impossible qu’on trouve 120 millions de dollars pour son opération alors on essayait de passer plus de temps possible ensemble. Elle ne pouvait même plus se déplacer de son lit. Alors je vivait avec cette douleur en me disant qu’un jour, tout rentrera dans l’ordre.

Des fois même, j'imaginais voir une sac remplir d’argent sur le sol mais jamais ce miracle ne s’était produit. Quand j’était rentré ce jour a la maison, j’avais balancer mon sac dans notre petite canapé qu’on adorait tant. J’avais couru dans les escaliers et monté sur le toit de l’immeuble. J’avais ma jumelle avec moi alors directement je m’était coucher sur le toit et commence mon visionnage. Il était la ce jour la, c’était différent, il m’avait vue, il m’avait sourit comme jamais auparavant. C’était le plus beau jour de ma vie.

Mais mon sourire c’était effacé quand j’avais entendu les cries de mon père. Je m’étais immédiatement redescendu de toit et entrée dans notre appartement. Le plus beau jour de ma vie c’était transformer en cauchemar sans fin….. Mon père était couché au sol dans un marre de sang et ma mère avait déjà succombé a son maladie.

Et quand j’avais vue les yeux de mon père grandement ouvert, je savais que c’était la fin pour moi c’était a ce moment la, que les hommes cagoulé s’était juter sur moi comme un lionne, je m’était débattu pour moi, pour ma famille mais c’était vite faire. Je me suis réveillé dans mon cage salle comme jamais. Personne ne répondait a mes question, je posait des questions sans réponse. Le premier jour, il était venu me violé , je me débattais tellement mais rien ne l’avais arrêté, il m’avait détruire

A la fin , il était parti avec mes vêtement, j’avais pleure comme jamais, les larmes coulaient au long de mes joues comme de l’eau. Personne n’avaient rien a siré de ce qui pourrait m’arriver. Et c’était parti pour une partie de souffrance vraiment horrible. Je ne dormais pas de peur qu’il revient la nuit et c’était pas faux, il venait me violé la nuit.

J’avais essayer de m’enfuir, j’avais mentir sur le faite que je devrait aller au toilette , Diego m’avait ouvrit la cage et juste après j’avais couru comme une dingue vers la sorti mais, il m’avait rattraper dans le couloir. Fouetter violé encore et encore. Je regrettait d’avoir essayer de m’enfuir.

Mais peut-être que dieu me donnera la chance un jour de parti loin d’un homme au visage masqué.

Je touchait les mur de la pièce en souriant, sa me donnait des souvenirs vraiment heureux. Je fini par m’assois sur le lit en fermant les yeux lorsque la porte s’ouvre d'un cou sur mon cauchemar, contrairement au autres fois il ne cache pas ses cheveux , il a les cheveux noir corbeau, son gabarie me faire toujours peur, il est tellement grand de taille. A part ses cheveux, je ne voir plus rien de lui, il porte toujours un gant, des chaussures qui ne montre même pas le bout le sa peau. Il ne parle jamais quand il me viole, même pas de gémissements. Sa me faire même peur des fois je me demande si c’est un humain.

Il ferme la porte derrière lui et se dirige vers moi alors que j’essaye de ne pas faire une crise de panique, je tremble comme une malade.

Il reste debout devant le lit et me fixe quelques seconde pendant laquelle je baisse les yeux.

- Je…je suis….je…ne….me…sens pas bien…. Dis-je en priant fortement pour qu’il me demander de dormir comme un bébé mais non, il s’agenouille devant moi et m'oblige a me coucher , c’est ce que je faire en essayant de ne pas faire un crise cardiaque. Lentement, il approche sa main de mes courbes et les caresses avec ses deux mains ganté. Il tien le bout du string et de descends avec une tendresse qui m’étonne, le soutien gorge le suit. Une fois toute nue devant lui, il écarte mes jambes et insère un doigt en moi.

- AHH cris-je mais je la ferme vite en recevant une gifle

Il ajoute un second et commence a faire des vas et viens brutale qui me faire vraiment souffrir mais j’ai pas le droit de l’ouvrir. Je me retient de toute mes force et sans pitié , il ajouter une troisième. Après des minutes interminable de souffrance, il retire ses doigts de mon entrée et appui fortement sur ma mâchoire et met les trois doigts dans ma bouche. Comme a chaque fois, je le suce en évitant a tout prix de verser des larmes. Une fois satisfait, il retire ses doigts de ma bouche. Et sans que je n’ais le temps de me remettre de mes émotions, il me pénètre d’un coup sec qui me faire crier dans toute la pièce. Je me ravi vite en recevant encore une gifle magistrale qui me chauffe la joue. Comme il aime me voir supplier et pleurer, il commence a me donner des coups de rein puissant, vraiment puissant qui pourrait me tuer mais Dieu me maintient toujours en vie.

C’est impossible que je puisse accueillir ses coups de reins qui faire déplacer le lit dans toutes les sens de la pièce mais je suis toujours la. Je reçoit chacun de ses coups comme un couteau. Mes pleures remplir la pièce et mes supplications ne l’arrête quand même pas. Même si sa fait maintenant deux ans, je ne peut pas m’y habituer, personne ne peut s’habituer a cette douleur.

Il serre tellement fort mon cou que mes supplications ne son que des murmures. Toujours pas satisfait de moi, il me tourne sur le ventre en me pénètre assit brutal que la précédente, mes seins me font tellement mal, il les presse fortement je sens son souffle sur ma nuque et j’essaye de résister encore, encore et encore, des dizaines de minutes après, il Laisse son liquide couler a l’intérieur de moi et se lève en même temps que je recommence a pleurer.

Je dois vraiment sentir horrible et nauséabonde, il évite a tout prix d’approcher son visage ou ses lèvres du miens, il me trouve surement comme une merde. Je tourne sur le dos et le regarde réajuster son pantalon qui doit vraiment coûter cher vue son élégance. Il était sur le point d’ouvrir la porte lorsque je me souviens de mes besoins.

- S’il….vous….plait dis-je toute tremblante.

Il s’arrête sans tourner vers moi et je sais qu’il m’entend alors je me lance.

- Je…j'ai besoin….de…des…vêtements et….d’une chambre.

Il tourne vers moi et je baisse immédiatement la tête pour éviter de reçoit la troisième gifle de la journée. J’ai le corps en mille morceaux et les joues en feu alors, il vaux mieux pour moi de ne pas l’énerver en le regardant dans les yeux. Il s’approche du lit et me regarde alors que je fais tout pour ne pas le regarder dans les yeux. Je sens son souffre sur mon cou. D’un coup, je me retrouve sur le lit brutalement. Il monte sur moi et serre mon cou en enfonçant fermement ma tête dans le seul oreiller sur le lit.

- Tu retourne dans ta cage comme la pute que tu es et cette fois-ci enchainer, tu n'auras même plus une feuille pour te couvrir.

Quoi ? Je….je….je voulais être sympa , j’avais parler avec une petite voix seulement pour qu’il ai pitié de mon état mais au contraire, je l’ai encore énerve plus.

C’est la premier fois depuis ma venue dans cette horrible endroit que je l'entend parler. Il évitait a tout prix de parler a côté de moi pour une raison que j’ignore. Peut-être que je ne mérite pas de d’entendre sa voix.

- Je…..non…non je….vous demande pardon dis-je pleurant a chaud larmes.

Il se lève et se dirige vers la porte. Il sort comme si rien n’était

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