La première baise de Claudia avec le proviseur
Claudia, Cécilia et moi nous étions rendues chez la couturière l’après-midi d’un mardi. Ce matin, c’était jeudi et on avait encore cours comme d’habitude. Venue très tôt ce matin, j’étais à ma place en train de réviser mes cours lorsque Claudia pénétra dans la salle de classe. D’ailleurs, comme vous pouvez déjà le remarquer, elle est la championne de notre équipe. D’ailleurs, on ne nomme jamais supérieur quelqu’un qui n’a pas les moyens. Si vous voyez qu’on a nommé quelqu’un champion ou championne, c’est soit cette personne est riche ou elle est carrément issue d’une famille aisée. Les parents de Cécilia avaient aussi les moyens mais il faut reconnaître que sur deux hommes riches, il y a toujours la fortune de l’un qui est supérieure à celle de l’autre. Je ne suis pas là pour vous faire la morale mais plutôt pour vous raconter notre histoire de baise ; oui, vous parler des prostituées du Lycée que nous sommes est l’objet de mon récit. Mais le problème est que je dois vous dire comment les choses ont évolué. Ou peut avoir de nuit sans jour ?
Alors je vous parlais de Claudia qui venait de faire son entrée dans la salle de classe ce matin. J’avais ma tête baissée dans le cahier lorsque j’ai entendu quelqu’un toussoter. Je dis quelqu’un parce que cette expression est désormais désuète selon les académiciens.
J’ai levé la tête et ai vu ma copine. Je lui ai souri et lui ai dit bonjour.
– Tu apprends les leçons ? me demanda-t-elle, tout sourire.
– Oui ! Hier, il y avait eu du délestage au point où je n’avais pas révisé mes cours.
– Ah, c’est vrai ! Cette coupure d’électricité avait été générale. Alors, devine la surprise !
– La surprise ? rétorquai-je.
Au même moment, pénétrait dans la salle notre trio. Comme pour s’assurer de ma présence en classe, Cécilia leva son regard dans ma rangée et lorsqu’elle m’aperçut avec notre capitaine d’équipe, elle se dirigea directement à notre adresse.
– Bonjour les filles, nous lança-t-elle en se précipitant les pas avec un joli sourire apparent sur les lèvres. De quoi discutez-vous ? ajouta-t-elle.
Claudia, au lieu de lui répondre, ouvrit plutôt son sac et…
– Attention ! s’exclama-t-elle ; je ne voudrais pas que les sales filles de cette classe voient la surprise que je voudrais vous montrer. Alors, on sort ! Et d’ailleurs, quelle heure fait-il d’abord ?
Je tournai légèrement mon bras gauche et jetai un clin d’œil à ma montre-bracelet.
– Sept heures quarante-deux, lui répondis-je.
– Nous avons encore du temps. Suivez-moi dans les toilettes.
Et sans commentaire, nous nous jetâmes à sa suite et allâmes sous les toilettes. Elle ouvrit de nouveau le sac et en sortit trois tenues uniformes.
– Celle-ci, je pense qu’elle est à toi et tu peux déjà l’essayer, dit-elle à l’adresse de Cécilia. Et celle-ci, je pense que c’est la tienne, dit-elle en me tendant la mienne. Et celle-là, c’est pour votre championne ! s’exclama-t-elle en commençant à se déshabiller.
Enfermées sous la même salle de toilette, mes copines et moi essayâmes les tenues apportées par notre boss. La mienne était bien moulante et bien sexy. Elle avait bien tracé la rondeur de mes fesses. Cette nouvelle tenue avait mis au top mes deux seins qui étaient en position de tir. Quant à mes copines, leurs tenues étaient séantes.
– Que tu es belle dans ta nouvelle tenue, releva Cécilia à mon adresse.
– C’est vrai ; mon intuition me l’a déjà soufflé en esprit ! Mais toi, tu es encore plus belle qu’autrefois, lui répondis-je.
– Et regarde Claudia, regarde comment sont sortis ses seins et ses fesses, taquina Cécilia, les yeux grandement ouverts.
– Ne savais-tu pas que c’est une fille qui a toujours de gros seins ? m’enquis-je tout sourire.
Claudia redressait encore ses seins dans son soutien-gorge lorsque la sirène retentit.
– Oh, il est l’heure, dépêchons-nous, m’écriai-je.
– Moi, je reste dans cette uniforme pour faire les cours de ce matin, nous murmura la capitaine.
– Moi, je préfère reporter l’ancienne en attendant, dis-je. Et toi Cécilia, tu fais comment ?
– Je vais aussi reporter l’ancienne en attendant, répondit-elle.
Pendant ce temps, j’enlevais déjà avec rapidité la nouvelle tenue que m’avait apportée ma copine. En moins de quelques secondes, Cécilia et moi réussîmes à enlever nos nouvelles tenues. Ensemble, nous nous dirigeâmes en classe. Le professeur venait d’entrer et après les salutations, il était allé poser son sac sur son bureau avant de revenir vers le tableau. Il écrivit la date du jour et commença son cours. De ma place, je le voyais observer Claudia comme une intruse. Pour bien nourrir ses yeux, il posa une question facile et lorsque nous nous mîmes à crier « ici monsieur, ici monsieur », ce professeur, au lieu de choisir autre élève, il appela d’une voix calme le prénom Claudia.
– Le participe passé du verbe secourir est “secouru”, venait de répondre la désignée.
– Très belle réponse ! s’exclama le professeur. Va nous l’écrire au tableau.
Et Claudia, avec sa tenue moulante, se dirigea vers le tableau pour aller gratter le tableau de son morceau de craie.
– Bien trouvé, dit une fois encore le professeur. Reste là et ne bouge pas ! Tu vas m’aider à mettre de temps en temps la réponse de tes copines, avait ajouté le professeur.
C’est alors que je compris combien la nouvelle tenue de Claudia avait commencé à avoir d’influence sur le cerveau de notre professeur de français. Les cours avaient continué dans une belle ambiance et avaient pris fin deux heures après. Claudia était restée au tableau pendant toutes ces heures et lorsque le cours finit, le professeur l’invita à son bureau et s’entretint avec elle pendant quelques minutes. À ma place, je ne pouvais deviner de quoi était l’objet de leur entretien.
Le professeur avait fini par nous libérer et n’ayant pas encore fini de recopier ses leçons, j’étais encore à ma place lorsqu’arriva Claudia.
– Quel constat as-tu fait ? me demanda-t-elle.
– Euh…j’ai constaté que ton nouvel accoutrement a attiré l’attention du professeur.
– Bien dit ! À présent, il me faut aller voir le proviseur dans son bureau.
– Tu veux commencer en même temps ?
– Ma chérie, on ne bavarde plus quand on a avidement faim et que le repas est servi. Il faut que je fasse le premier pas. Si ça marche, je vous mets dans la cadence.
– D’accord ! Vas-y et bonne chance.
– Merci ! N’hésite pas de dire à Cécilia que je vais revenir vous faire le bilan de ma visite chez le proviseur.
– D’accord, pas de souci, je lui transmettrai la commission.
Et ma copine se dirigea vers la porte. Claudia déhanchait on dirait une sirène des eaux. Mes yeux étaient encore braqués sur elle lorsque tout à coup elle se fila dans la cour. En moins de quelques minutes, arriva Cécilia.
– Où va-t-elle ? me demanda-t-elle.
– Elle veut aller voir le proviseur.
– L’a-t-elle invitée ?
– Je ne pense pas. Mais elle a promis de nous revenir avec de bonnes surprises.
– Que cette fille est courageuse ! J’aime son courage. Et dis, n’as-tu pas faim ?
– Si ! Veux-tu aller à la cantine ? Si oui, allons ensemble !
– Oui, lève-toi nous allons partir.
Cécilia et moi prîmes la direction de la cantine. Nous passâmes plus de quinze minutes avec les bonnes dames et jusque-là, Claudia n’était pas revenue. Au bout de quelques minutes, la sirène retentit une deuxième fois pour annoncer la fin des récréations. Ma copine et moi nous précipitâmes à notre salle de classe dans l’espoir que Claudia y serait. Mais à notre grande stupéfaction, elle n’y était pas. Le deuxième cours de la journée commença. Trente minutes ; une heure ; une heure trente minutes et jusque-là, notre trio n’était pas encore de retour. Je ne m’inquiétais pas pour elle parce que je la savais très intelligente et trop maligne. Donc inutile de me prêter des intentions louches.
Ce fut à moins quinze minutes de la fin des cours que le proviseur et notre capitaine d’équipe arrivèrent. Ils pénétrèrent dans la salle de classe sans taper les mains. Le professeur en exercice se précipita à leur adresse avec toutes les considérations du monde.
– Bonjour jeune professeur, comment allez-vous ? commença le proviseur.
– Je vais très bien, monsieur, merci ; et vous ?
– Ça va très bien ! Alors, c’est vous le professeur de mademoiselle Claudia ?
– Si, c’est moi, monsieur.
– Ah je vois ! Elle m’aidait à remplir quelques fiches. Les fiches étaient tellement énormes qu’elles ont pris du temps à finir.
– Oh, je vois !
– Donc, c’est pour que vous ne la punissiez pas que j’ai dit que je dois venir vous dire le motif de son absence à votre cours.
– Il n’y a pas de souci, monsieur le proviseur ! Si c’est vous, pas de panique !
– Merci pour la considération ! Alors toi, va te mettre en rang ; dit-il à l’adresse de sa compagne.
Sans dire merci ni à l’un ni à l’autre, Claudia se précipita à sa place.
Les cours, en moins de quelques minutes, prirent fin. Claudia, de ma place, je ne la voyais parler à personne. Elle n’écrivait non plus. Elle avait juste sa tête basse contre la table. De ses manières, je l’avais devinée goûter au fruit défendu d’Adam et d’Ève.
Lorsque le professeur nous donna l’ordre de commencer à sortir et que mes camarades rentraient chez elles, j’avais aussi fini de recopier les cours et m’étais dirigée vers Claudia. Cécilia ne tarda pas non plus à nous rejoindre.
– Alors, tu nous dis comment avait été ta visite chez le proviseur ? lui murmurai-je tout bas.
– Si, nous avons fait l’amour ; il m’a défoncée avec sa grosse bite. Ce n’était pas mal, je vous le jure. Il m’a bien léchée, ce que j’ai aimé et admiré le plus. Bien, rentrons ! Je vous donnerai les détails le soir dès qu’on sera là.
Cécilia et moi échangeâmes un regard discret sans plus ajouter mot.
Ensemble, nous prîmes la direction de la cour. J’avais une folle envie de lui demander le détail des faits mais puisqu’elle avait promis le soir, il faut que je garde mon calme. Donc toi lecteur, garde aussi ton calme ; lorsqu’elle me donnera les détails, je viendrai t’en parler. Mais pour le moment, tu peux déjà aller acheter ton savon parfumé pour ta masturbation parce que je suis sûre que tu vas te masturber au prochain chapitre.