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La bande des filles Clitoridiennes

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Résumé

Oui, c'est nous ; nous sommes les filles Clitoridiennes. Lisez notre histoire et surtout, ne bandez pas.

intimitéSexeadultèrematureles contraires s'attirentrelation douteuse

Qui sommes-nous ?

Nous voulons vous raconter notre histoire. Que cela ne vous étonne pas. Je vais me présenter et présenter aussi mes camarades. Faut-il présenter nos parents ? Non, ça ne vaut pas la peine parce que c’est nous, notre histoire et non la leur.

Moi, on m’appelle Cathy. Le vrai prénom que m’ont donné mon père et ma mère, c’est Catherine. C’est un bon prénom selon eux mais moi, j’aime plutôt qu’on m’appelle Cathy. À l’école, sur mes feuilles de compositions, c’est Cathy. J’ai tellement aimé ce prénom qu’un jour, j’ai brûlé mon propre acte de naissance et me le suis renouvelé. Ça vous a étonnés n’est-ce pas ? C’est comme ça je suis ; je suis femme récalcitrante. Je ne suis pas une femme à problèmes mais il y a de l’intelligence qui circule dans mes veines et à chaque fois que je désire quelque chose, je l’obtiens.

En fait, je suis orpheline de père. Mon père était un grand homme militaire. Mais un jour, il a été terrassé par une terrible maladie et la mort s’en est suivie. Voilà comment je suis devenue orpheline de père. J’ai une mère. Après la mort de mon père, elle a plié bagages quelques mois plus tard pour aller se remarier. Ma mère, on dirait qu’elle adore bien le truc des hommes sinon, comment ne pas patienter pendant un an au moins avant d’aller se remarier ? En tout cas, là n’est pas mon problème. Lorsqu’elle partait, elle m’avait confiée à sa sœur. Sa sœur est donc ma tante. C’est auprès de ma tante que j’ai grandi. J’ai poussé les seins dans la maison de ma tante à l’âge de seize ans. Petit à petit, mes seins avaient pris du volume. Lorsque je penche la tête et me regarde la poitrine, j’en suis très fière. Oui, quand une jeune fille commence à pousser les seins, façon elle est contente ! C’est cette joie qui m’absorbait moi aussi.

Ne savez-vous pas que quand nous commençons par pousser les seins, c’est l’heure de notre gloire qui commence à sonner comme ça ? Si vous ne le savez pas, sachez-le dorénavant.

Alors, je vous parlais de mon acte de naissance que j’ai brûlé pour m’en faire un nouveau. Alors, puisqu’il n’y a personne pour me faire la morale, je fais des choses comme elles me passent à la tête. Ma tante est qui pour me gronder ? Si elle le fait, je vais la dévorer. Son mari est également qui pour me faire des reproches ? Façon je vais le fumer.

Donc je suis libre dans la maison. Mais ce n’est pas parce que tout m’est permis que je peux faire tout ce qui me plaît ; ah mais non ! Avant que je ne pose un acte, j’évalue d’abord les résultats que cela pourrait avoir.

En effet, j’avais brûlé l’acte de naissance pour avoir un super prénom. Le mari de ma tante, c’est un monsieur d’une quarantaine. C’est un jeune très riche. Occupé par ses affaires, il n’a jamais le temps pour rester à la maison. C’était d’ailleurs la raison pour laquelle lorsque je leur mentais au jour du renouvellement de mon acte de naissance, ni lui ni ma tante, personne ne savait que je changeais mon identité.

Donc vous connaissez déjà l’origine de mon prénom Cathy. Alors nous pouvons continuer l’histoire. Donc on m’appelle Cathy. Je fais la classe de troisième dans un collège privé ; non, un lycée. On m’a emmenée dans ce lycée à défaut de mon insuccès l’an écoulé. Mais lorsque je suis arrivée dans ce lycée, la rigueur du proviseur a changé aussitôt ma nature de paresse. Pouvez-vous imaginer ce qui se passe quand on obtient une note en dessous de douze ? Mon vieux ! Toujours est-il qu’on regrette d’avoir accepté de mettre les pieds dans cette putain de cour. Oui, on vous rosse comme on rosse un voleur. Vous vous alignez en rang et passez chacune dans le bureau du proviseur. Debout avec sa grosse lanière et un bâton en main, il vous donne des fessées et pour finir, il vous donne deux coups de sa lanière dans le dos. Au premier trimestre, j’avais fait partie des bandes des paresseuses. Mais au second trimestre, vite je m’étais mise au travail. Ah oui, je n’aime pas la chicote. Ce maudit homme qui se prenait pour superviseur du lycée où m’avait inscrite le mari de ma tante était un homme sans cœur. Il frappe ses élèves comme si elles étaient des chèvres. Avant que n’arrive le tour de celles qui ne sont pas encore passées à sa table de correction, elles pleurent. Oui, on s’imagine la douleur des coups dans le corps et dans tout l’os. Dans les deux premiers mois de l’année, je m’étais ressaisie des coups et m’étais donné aux cours. J’étais devenue la plus studieuse de la classe. Et comme vous le savez, l’effort paie toujours. J’ai été admise dans une classe supérieure grâce aux coups de fouets du superviseur du lycée.

Me voici en troisième cette année. Dans la classe, nous sommes cinquante élèves. Nous nous asseyons deux à deux. Pas de groupe. Les tables étaient alignées les unes derrières les autres comme dans des églises. Dans ma classe, j’étais la plus belle et j’étais toujours calme. Je n’avais pas d’amies parce que les mois de l’an dernier m’ont enseignée à être studieuse et très sage. Et comme vous le savez, le silence attire. Quand vous restez calme et que vous ne vous agitez pas, le monde cherche à vous approcher car, être calme, c’est un comportement qui n’est pas donné à tout le monde. Peu de personnes sont silencieuses. Les amies m’approchaient mais je faisais de mon mieux pour être réticente avec elles. Mais réticence sur réticence, deux jeunes filles de ma promotion ont réussi à gagner mon amitié ; c’étaient Claudia et Cécilia. Claudia, elle est légèrement plus âgée que moi. Elle est également plus âgée que Cécilia. C’est une fille très belle. D’ailleurs, dans ma classe, il y a trop de belles filles. Les plus jolies, comme d’habitude, s’étaient assises sur les premiers bancs de la classe. Cécilia et Claudia et moi aussi, on faisait partie de la bande de ces belles filles. Elles n’étaient pas de la même rangée que moi. Elles étaient à l’opposé.

Tous les matins, mes deux nouvelles amies venaient en voiture pendant que moi je viens à moto. Oui, Claudia et Cécilia étaient de familles modestes. De mon côté, je pouvais aussi venir à l’école en voiture mais je n’étais pas dans la maison de mon père pour demander cela. Petit à petit, l’amitié entre mes deux copines avaient commencé à grandir comme une plante mise en terre. On formait un groupe de trois pour aller manger à la cantine. Dans la vaste cour, il n’y avait aucun garçon qui pouvait admirer et apprécier notre beauté sauf quelques professeurs qui n’avaient que le droit de nous regarder sans oser dire à qui que ce soit combien ils nous admirent.

Nous nous rendons à la cantine pour manger le repas de notre choix. À la fin, nous nous retournons en classe pour réviser nos leçons avant l’arrivée du professeur. C’était dans cette ambiance que grandissait nos intimités jusqu’au jour où Claudia finit par nous faire une proposition ; une proposition qui allait non seulement nous épargner des coups de chicote mais aussi, allait nous faire gagner beaucoup d’argent.

C’est pourquoi je vous disais que quand une fille commence à grandir, retenez systématiquement que c’est le capital de son commerce qui commence à voir le jour car, avec son sexe poilu et de ses seins, elle peut se faire des centaines de mille par jour.

Pouvez-vous imaginer combien nous génèrent nos corps par jour ? Lisez notre histoire pour en connaître.