Chapitre 5
ROSE MARIE LOMBO
J'ai passé toute la journée a attendre ma mère, je faisais des tour de là où nous étions et notre maison pour voir si elle était revenu mais non, ma mère nous avait abandonné. je me demande comment une mère pouvais faire une chose pareille, comment on peut abandonné ses enfants juste comme ça ? je me suis retournée un moment pour regarder mes frères, je suis une enfant moi aussi. comment elle peu Partir et me laisser cette lourde charge ? je ne sais même pas par où commencer, et si je partais moi aussi ? bien-sûr, je ne suis pas obligée de faire ça. j'ai récupéré mon sac et j'ai commencé à partir. Dan dormait sur une petite natte que la vendeuse m'avait donné.
Laëtitia : tu part chercher maman ?
je me suis arrêtée sans me retourner, j'avais les larmes aux yeux et les mains qui tremblait
Moi : Oui !
Laëtitia : d'accord, je vais m'occuper de Dan grand soeur.
Moi, reniflant : oui, je te fais confiance.
je partais sans regarder derrière, les jambes lourd et le coeur brisé. suis-je différent d'elle maintenant ? mais c'est pas mon devoir, rien ne m'obliger à m'occuper d'eux.
Moi : je suis désolé Dan, je suis désolé.
...
BELINDA MARIE
J'ai tellement fait du mal à mes enfants, j'ai été une mère indigne et très faible. j'ai pas su le protéger et prendre soin d'eux. je ne suis pas capable de prendre soin de moi-même, comment je pourrais le faire avec trois enfants ? George m'a vraiment pris pour une imbécile, ce que je suis bien-sûr. c'est peut-être parce que j'ai aucune famille ? ou peut-être parce que j'ai pas fait de grande études ? je croyais qu'il m'aimait, je croyais qu'il aimait nos enfants.
- fait attention où vous marché madame, voilà maintenant j'ai tout perdu.
Moi : je suis désolé monsieur, excusé moi. je suis désolé, sincèrement désolé hein s'il vous plait.
- ça va,ça va. c'est pas si grave. faite juste attention prochainement dit-il en souriant
Moi: vous êtes bien gentille, merci beaucoup.
il met ses bras autour de sa taille en regardant les oeufs par terre. quel douleurs pour moi de voir ça, il y a mes enfants qui cherche à manger et moi, je viens de détruire les choses qui peuvent les nourrir.
- vous avez l'air fatiguée, tout va bien ?
Moi, la tête qui tourne : je je...je vais..
j'avais pas fini de parler que je me suis évanouie. je ne sais pas ce qui se passé mais je me suis réveillée dans une grande maison, une chambre décoré en blanc et ça sentait vraiment très bon. j'ai touché ma tête parceque j'avais un peu mal.
- bonjour, excusé moi...je suis la gouvernante de cette maison, monsieur m'a dit de prendre soin de vous.
Moi : moi, dis-je apeurée. personne n'avait jamais pris soin de moi auparavant.
- vous devriez être chanceuse alors, d'habitude monsieur ne laisse jamais quelqu'un d'autre venir ici, même ses amis les plus proches.
Moi,me levant : je ne veux pas vous déranger, il faut que je parte.
- ah non, il va me tué s'il revient vous trouvez hors de cette maison. attendez qu'il revienne
j'ai ouvert la bouche mais rien n'es sortie, j'avoue que je me sentais très a l'aise et en sécurité. elle est partie et revenu avec un plateau rempli de nourriture. j'ai accepté avec plaisir, ça faisait longtemps que j'avais pas goûté à une telle délice.
- vous devriez vraiment avoir faim, faite doucement.
Moi, gêné : désolé !
....
ROSE MARIE LOMBO
Moi : non rose, tu ne peu pas suivre les pas de ta mère, elle vous as abandonné et ne fait pas les mêmes erreurs.
Moi, faisant le surplace : Dan est trop fragile, il va pas survivre sans maman et sans moi.
Moi : mais j'ai rien à leur offrir, nous allons vivre où ? Rachelle dis-je en courant
il faisait déjà nuit alors j'ai couru de toute mes forces, l'endroit était dans le noir, j'ai eu peur alors j'ai commencé à crié leurs noms.
personne ne répondait, j'ai culpabiliser tellement que j'ai pleuré en vive voix.
Laëtitia, pleure : yaya sniff sniff, yaya sniff sniff
Moi, rampant : Laeti, Laëtitia, tu es là...tu me vois ? où est Dan, Laëtitia ?
Laëtitia : je suis là yaya, juste à côté du banc où tu étais assise.
Moi,me levant : le banc, le banc où j'étais assise ? c'était.... c'était derrière la route..
et j'ai cogné sa jambe, on s'est pris dans les bras en pleurant chaudement.
Laëtitia, pleure : elle est où maman ? pourquoi tu es revenu sans elle hein dis-moi.
Moi : où est Dan, Dan est où ?
Laëtitia : je crois qu'il est malade, il n'a pas arrêté de trembler et de te chercher.
j'ai cherché avec mes mains avant de le toucher, son corps était brûlante alors je l'ai prise dans mes bras.
Moi : laisse le sac de maman ici, prend votre sac et viens avec moi.
Laëtitia : d'accord yaya.
elle m'a serré la robe et nous sommes partis. je me suis senti honteuse d'avoir agit comme une vraie sorcière. il y avait pas d'électricité dans le quartier, on faisait le mieux qu'on pouvait pour arriver à la grande route.
Dan, faible : yaya !
Moi : oui Dan, ça va ? tu as mal quelque part ?
Dan : oui, j'ai mal à tête et je me sent tout bizarre.
Moi : t'inquiète pas, tout va bien se passer. il faut juste que tu prennes une douche et que tu mange tu te sentiras beaucoup mieux.
Dan : hum !
Laëtitia : on va où Yaya ?
Moi : chez ta marraine, peut-être qu'elle va nous permettre de rester chez elle.
Laëtitia : d'accord !
- arrêtez vous immédiatement, vous êtes qui ? des voleurs ?
Moi : bien-sûr que non monsieur, nous sommes les enfants et nous voulons rentrer chez nous.
- ah ouais, tu es qui?
il me torche au visage, Laëtitia se cache derrière moi et Dan me serre le cou très fortement.
- tu es belle hein ma petite, régarde un peu ton derrière ahiiii.
Moi : on peut y aller ? mon petit frère doit prendre ses médicaments monsieur.
- et il est où mon problème ? dépose les d'abord. un grand garçon comme ça et tu acceptes qu'on te porte hein toi ? tu n'as pas honte ?
Dan, pleure :
Moi : laisser nous tranquille, c'est pas votre problème si je décide de le porter.
- ahiiii dit-il, en plus tu es mal poli.
j'étais déjà énervé contre ce qui nous arrivait, contre papa, contre maman et contre cette femme qui nous a pris notre maison.
- me touchant, j'aime pas les petites filles comme toi. pour m'avoir...
je lui ai donné un coup de pied entre ses jambes
Moi : coureeeeezzz
Laëtitia as même oublié le sac qu'elle portait. j'ai pris les deux et je suivis mes frères, j'étais heureuse parceque Dan a pu courir et me faciliter la tâche.
Dan, respirant très rapidement :
Laëtitia : je crois qu'on a réussi yaya.
Moi : oui, je suis très fière de vous. maintenant venez on va prendre un taxi ok?
...
ARIEL MUYA
Rachelle : oui les amis, Rose a perdu son père et même sa mère est porté disparu. elle as été chassé de sa maison avec ses frères par la première épouse de leur père.
je comprends maintenant pourquoi elle ne vient plus au cours, que c'est triste pour elle. perdre quelqu'un à cet âge peu être traumatisant, j'ai pas connu mon père et je connais comment ça fait de vivre avec cette douleur au fond de soi-même.
Rachelle : rose a toujours été une grande amie pour chacun de nous, elle nous aidait pendant les examens donc maintenant c'est a notre tour de l'aidé.
- monsieur Muya, vous êtes voulut a la direction.
Patrick : qu'es ce que tu as encore fait ?
Moi : mêle toi de ce qui te regarde
j'ai vu ma mère assise dans le bureau du directeur, je me demande comment elle fait pour revenir encore ici deux jours d'affilée. c'est déjà difficile pour moi de supporter ses reproches tout le temps sans compter qu'elle m'oblige à partir loin de cette ville que j'aime tant.
Ma mère : le directeur viens de m'informer que tu t'es toujours pas excusé auprès de lui.
Directeur : exactement madame, votre fils c'est un semeur de trouble. c'est par admiration pour vous que votre fils se retrouve encore parmi nous.