Chapitre 6
ARIEL MUYA
Je regarde ma mère qui m'oblige à m'excuser devant cet homme que j'ai rien fait. je lui ai jamais manqué du respect pour être honnête alors pourquoi je m'excuserai ? pourquoi je demanderai pardon pour une chose dont je suis innocent?
- Muya, je suis déjà impatiente et si tu continues à me faire perdre mon temps ? tu vas m'entendre.
elle se lève et croise ses bras sur sa poitrine, quel arrogance ? j'espère qu'elle sait quel a un mettre de taille et que je suis plus grand qu'elle. c'est pas que je me battrais avec elle mais qu'elle veuille se comparer à moi qui me fait rire.
- MUYA ?
je sursaute et la regarde, j'ai voulu sortir lorsqu'elle me tiens par la chemise et me tire les oreilles.
Moi: Annie, je vais me fâcher hein, j'aime pas ce que tu fais. tu me fais honte devant cet homme
Directeur, nous regardait :
- Muya,met toi agenoux ici, tout de suite.
Moi : Annie, je te jure que cette fois-ci j'ai rien fait. j'ai..
- tu avoue maintenant que les autres fois c'était vrai ? tu sèmait le trouble ici ?
ma mère m'étonnerais toujours, elle sent tellement bon que j'ai pas envie de trop la bousculer.
Directeur : excusé moi de vous dire ça mais c'est peut-être de votre faute si votre fils se comporte comme ça, vous l'avez trop gâter et je pense que vous n'avez pas été une excellente mère
Moi : qu'est ce que tu viens de dire là ? la mère de qui tu traites comme ça ?
- Hein
fait ma mère les mains sur les hanches, elle regarde le directeur silencieusement pendant quelques minutes avant de lui donner une gifle puisante.
Moi : biens fait !
- Toi dit-elle en me regardant, tu la ferme, et vous ? comment vous pouvez me dire une chose pareille ? vous savez comment j'ai souffert pour élever mon fils ? je lui ai donné ce que une mère pouvais donner a son enfant, je lui ai donné de l'amour et tout mon temps. je me suis...
Moi : eh dis-je en m'approchant prêt d'elle, pleure pas s'il te plait Annie. tu sais que je t'aime et je suis fière de toi n'est ce pas ?
- sniff sniff
Moi : je t'ai toujours dit de pas pleurer sinon je tuerait quelqu'un, moi je t'aime et tu devrais juste être contente de ça.
- il n'a pas le droit de me dire ça, j'ai été une excellente mère pour toi Muya chéri.
Moi : je sais et je te le dis tout le temps, on s'en fout de ce que pense les autres surtout un imbécile comme lui. seul moi qui ai le droit de t'insulter Annie
ma mère éclate de rire et me serre dans ses bras, j'enfuis ma tête sur son épaule et enroule mes bras autour de sa petite taille.
- tu as peut-être raison, cette école ne te mérite pas.
Moi : euh dis-je en me grattant la tête
- vous avez raison monsieur, je vais partir avec mon fils. voir quelqu'un comme vous manquez de respect à une femme célibataire et surtout une mère c'est vraiment scandaleux.... viens partons Muya.
Moi : chérie, écoute moi...je vais finalement m'excuser d'accord ? s'il te plait, fait moi confiance
Directeur : !
- c'est plus la peine chéri, on trouvera une autre école mais je ne te laisserai plus rester ici une minute de plus.
Moi : ahiiii Annie toi aussi,faut m'écouter,s'il vous plait monsieur le directeur j'aimerais vous présenter mes sincères excuses, je vous promets de me tenir tranquille et éloigné de tout problème de l'école a partir d'aujourd'hui.
ma mère me tiens la main
Directeur : c'est vraiment surprenant comme votre mère peu vous remettre sur le droit chemin
Moi : normal, c'est ma petite courtelina...je t'aime Annie.
- moi aussi je t'aime Muya, maintenant il faut que je parte. je suis déjà en retard
elle me fait un bisou sur la joue, elle voulait ouvrir la porte lorsque le directeur s'est levé.
Directeur : je vous demande pardon pour me propos, sincèrement désolé madame.
- ok, au-revoir !
elle s'en va en nous souriant, dès que j'ai entendu la porte claquée... seigneur vous savez pas à quel point j'ai regarder le directeur dans les yeux.
Directeur : tu es vraiment très mal éduquer, alors que devant ta mère tu faisais l'enfant gentil
Moi : je n'ai jamais été hypocrite comme toi, il me reste juste deux ans dans cet école mais avant ça, je vous donnerai une bonne leçon pour avoir fait pleurer ma mère. vous pouvez en être sûr monsieur.
j'ai claqué la porte, je suis retournée dans notre salle retrouver tout le monde entrain de m'attendre.
Florence : il te voulais quoi encore ?
Moi : rien d'important,on peut continuer.
Rachelle : comme je disais, Rose et ses frères vis chez nous pour le moment...donc pour pas qu'elle arrête ses études, je me disais qu'on pourrait l'aider à cotiser pour elle, demander aussi l'aide du directeur s'il peut nous aider.
Florence : c'est une bonne idée, je suis d'accord. je demanderai aussi à mon père s'il peut l'aider à récupérer sa maison...
Esther : moi aussi je suis d'accord, c'est grâce à Rose si je suis en cinquième. je donnerai tout ce qu'il faut pour l'aider.
Patrick : je suis d'accord aussi
Rachelle : vous connaissez déjà ma réponse, mais oui je ferai tout pour ma meilleure amie.
j'étais super heureux de savoir que nous avons des vrais personne dans cette classe. malgré qu'ils soient des imbéciles, ils ont des bons cœur. je suis touchée, sincèrement touché.
Florence : on peut aller la voir après les cours ? lui tenir compagnie au moins pour quelques minutes
Moi,me levant : si on partait maintenant ?
Esther : le directeur ne sera jamais d'accord
Patrick : pas besoin de l'informer, nous irons après la récréation.
Sofia : qui va nous ouvrir la porte si le directeur ne donne pas l'ordre au portier ?
Rob : ah oui hein, elle a raison.
Rachelle : faisons un truc, je vais faire semblant de m'évanouir... vous allez me porter jusqu'à à la porte.
Florence : c'est un bon plan
Moi : non, il va jamais permettre qu'on sorte tous. les gars, on va sortir sans que le portier ou le directeur s'en rendent compte... Patrick et Rob, vous allez rester ici... après je vous ferai signe une fois dehors, comme ça Rachelle peu faire semblant de s'évanouir.
Eux : d'accord.
Moi : Florence et Sofia vous venez avec nous... Esther et Nadine sortez distraire le portier.
...
Nadine, trébuchant : ahiiii
Esther, pleure : oh mon dieu, ma copine tu es blesser ?
Nadine : je n'arrive pas à soulever mon pied
- qu'est ce qui se passe les enfants ?
Esther : elle est tombé
- j'ai bien vu, ce quoi le problème maintenant ?
Nadine : je n'arrive plus à soulevé mon pied, il faut qu'on parte à l'infirmerie monsieur.
- d'accord, pas de problème. laissé moi fermé la porte d'entrée
Nadine, criant : AHHHHH, j'ai troooop maaaal
ce qui était bien pour nous le directeur est sortie en courant, ils se sont tous précipiter vers l'infirmerie. j'avoue que cette fille est vraiment une vraie actrice, Esther m'a écrit pour me dire de faire comme on avait dit.
bip message : faite vite, l'infirmière n'est pas là aujourd'hui.
j'ai montrer le message aux autres et le premier groupe est sortie. pour tout arranger, je suis restée pour m'assurer que tout le monde allait partir.
Rachelle : maintenant on fait quoi ?
Moi : il faut attendre que les autres reviennent
Nadine et Esther approchait accompagné du directeur, Rachelle est sortie en courant pour prendre Nadine dans ses bras, les autres filles aussi sont sorties
dès Rachelle m'as vu, elle s'est écroulé par terre. je me suis précipitée pour la porté
Directeur : qu'es ce qui arrive seigneur
les autres criait, nous avons fait semblant d'aller à l'hôpital.
Florence : monsieur le directeur, vous pouvez rentrer nous,on va attendre.
Moi : je m'en vais, vous m'avez coupé l'appétit de suivre les cours aujourd'hui.
directeur : rien de nouveau pouvais sortir de ta bouche, oui mademoiselle Florence, je vous fais confiance.
il me regarde méchamment et s'en va finalement. dès qu'il est partie on a éclaté tous de rire, Rachelle s'est réveillé et nous sommes partis.
Florence : je suis trop fière de nous les gars.
Gaël : ouais, moi aussi. nous étions très unis aujourd'hui.