Chapitre 3
ROSE MARIE LOMBO
Nous étions avec Patrick, il vivait un peu dans le quartier où se trouvait le bureau de mon père. en vrai il est très drôle, je me suis pas ennuyé. arrivé un peu loin, il me tient les épaules
Moi, surpris : qu'est ce qu'il y a ?
Patrick : je voulais te parler de ça il y a longtemps mais j'ai jamais eu d'occasion.
Moi : tu peux me laisser ? tu me met mal à l'aise là
Patrick,se dégageant de moi : désolé, tu sais que...tu es une fille vraiment exceptionnelle. tu es belle et intelligente,tu me plais beaucoup.
Moi : hein dis-je en serrant mon sac
Patrick : oui Rose, je t'aime vraiment beaucoup. j'aimerais qu'on sort ensemble
Moi : en vrai, tu n'habite pas ici ? tu l'as fait exprès hein ? Pour venir me dire des bêtises ?
Patrick : bien-sûr que non, notre maison est juste là. j'en ai juste profiter de l'occasion pour te parler
Moi : tu sais quoi, va te faire foudre.
j'ai commencé à courir, quel idiot. il n'est même pas propre mais c'est lui qui veut sortir avec moi. j'ai voulu traverser la route lorsque j'ai vu Ariel de l'autre côté accompagné d'une femme, je me suis dit qu'elle devait être sa mère alors j'ai couru pour aller le salué.
Moi : Ariel ? bonjour madame Muya dis-je en souriant timidement
la dame me regarde de la tête au pied,je me retourne pour regarder Ariel me régarder en colère, les muscles prêt à exploser.
Moi : euh je pense que je me suis trompé, désolé !
- et reviens ici, tu compte faire quoi là ?
Ariel : laisse la partir !
la dame me tiens par le sac et me ramène en arrière.
- d'où tu connais Ariel toi ? qui es-tu ?
Moi : je suis Rose, sa camarade de classe.
Ariel,me regardant :
il sent vraiment très bon et j'aime beaucoup son habillement. la dame régarde Ariel qui lui? met ses mains dans ses poches
- donc c'est avec elle que tu me trompes ?
Moi : ?
Ariel : et toi dit-il en me regardant, vas-y dégage d'ici.
- elle va aller nul part, tu vas me dire qui elle est ok? pourquoi tu me fais ça bébé ?
Ariel : tu m'as énervé et humilié devant cette petite, rentre chez toi. je t'appellerai demain et toi, dit-il en regardant
il me prend la main
- chéri dit-elle derrière nous, je m'excuse s'il te plait reviens.
Moi : c'est ce que tu fais ?
Ariel : tu viens de gâcher ma soirée
Moi : elle a l'âge de ta mère
Ariel : c'est ne pas ma mère donc j'ai des comptes à rendre à personne. tu fais quoi ici toi d'abord ? n'est ce pas ta maison est de l'autre côté ?
on se retourne lorsque quelqu'un l'appel derrière, Patrick.
Patrick : euh mon pote, tu fais quoi ici ?
Ariel : c'est pas tes oignons, toi avance.
Patrick,me regardant : Rose, tu lui as dis qu'on était ensemble ?
Ariel me lâche la main
Patrick : de l'école jusqu'ici, c'était vraiment sympa.
Moi : j'aime pas ce que tu fais Patrick, reste loin de moi si tu veux pas avoir des problème.
Ariel,le regardant mal : tu lui as fait quoi ?
Patrick,peur : rien Mec, pourquoi tu me regarde comme ça ? vous sortez ensemble ?
Ariel : fait comme elle as dis, reste loin d'elle si tu veux rester tranquille dans cette école et finir tes études.
Patrick : je...
Ariel : tais-toi et excuse toi immédiatement.
Patrick : Mec dit-il choqué !
Ariel : fait vite,je suis pressée imbécile.
Patrick : je m'excuse de m'être mal comporter avec toi.
Moi, avec mon plus beau sourire : je te pardonne Patrick.
Ariel : maintenant dégage d'ici.
j'étais aux anges vous savez pas à quel point, il m'a défendu devant son ami. c'est vraiment extraordinaire mais ce que je viens de voir tout a l'heure me brise le coeur
Moi : Rachelle avait raison !
Ariel : raison sur quoi ? moi? ouais, il faut que je goûte à cette mochete là, elle commence déjà à m'énerver.
Moi : après ça serait mon tour ?
Ariel,me regardant : naaah, t'es le genre qu'on met la bague au doigt.
Moi : c'est-à-dire ?
Ariel : tais-toi et avance.
j'ai soupiré, un soupir de soulagement et de bonheur. peut-être que je m'emballe un peu trop vite ?
Moi : Laurette es vraiment enceinte de toi ?
Ariel : qui est Laurette ?
Moi : ta copine de A.
Ariel : personne me plaît en A, qui t'a dis que j'en ai mis une enceinte ?
Moi : oublie... voilà, c'est le bureau de mon père.
Ariel : je m'en vais alors.
Moi : retrouver ta mamounette sûrement dis-je doucement
Ariel, souriant : ne soit pas une mauvaise perdant ma petite féministe, je suis tout à toi si tu veux de moi bien-sûr
Moi : tshiiiiiir .
il éclate de rire et s'en va. j'arrive toujours pas a croire qu'il sort avec les femmes plus âgées. il as quel âge même ?
c'est avec la tête pleine de questions que j'ai ouvert la porte de mon père. j'ai demandé à sa secrétaire qui m'a informé qu'il n'est pas venu travailler aujourd'hui.
énervé je suis partie, j'étais fatiguée de marché alors j'ai pris un transport en commun pour rentrer. je suis venu trouver ma mère en pleure, ma sœur qui la regardais et mon petit frère qui était assise sur ses genoux
Moi, jettant mon sac : maman, pourquoi tu pleures ? tu vas bien ? qu'est ce qui se passe ?
- mon amour, je suis foutu, ton père m'a tué.
Moi : de quoi tu parle, qu'est ce qu'il a fait papa pour te mettre dans cet état ?
- ton père,ton père est mort mon amour, ton père nous as quitter
Moi, rire : non tu plaisantes n'est ce pas ? mon père va bien, mon papa va bien. tu ment, tu ment maman,mon papa va très bien. j'arrive pas à croire que tu puisses inventé un truc pareil contre l'homme que tu prétends aimé.
- je ne pourrai jamais plaisanté sur un truc pareil sniff sniff, j'aimais mon mari de tout mon cœur
Moi : nooooooooooon fais-je en me laissant tomber par terre, non papa, tu ne peux pas nous faire ça.
Laëtitia : papa sniff sniff
Dan, pleure : je veux voir mon papa sniff sniff
on était assise là, entrain de pleurer. qu'est ce qui se passé ? comment papa peu mourir comme ça alors qu'il était bien portant ?
- va ouvrir la porte mon cœur, vas ouvrir la porte
je me lèvé pour aller voir, c'était Rachelle et sa famille.
Rachelle, pleure : mon bébé, je suis désolé.
elle me prend dans ses bras
Moi : Rach, mon papa, mon père m'a trahi. il m'a vraiment TRAHI sniff sniff.
Rachelle : pleure, pleure ma sœur, ça va te soulager.
elle as commencé à pleurer de même que sa mère aussi. son père essayait d'avoir les informations sur mon père. mon cœur saignait énormément, j'arrivais pas à l'imaginer étalé sur un lit d'hôpital, c'est une erreur mon père est vivant
Rachelle, me suivant : Rose !
j'ai même pas toucher la porte que celle ci s'est ouvert toute seul. laissant voir ma belle mère et un groupe de gens
- c'est elle, c'est elle qui a tué mon mari. attraper là.
Le père de Rachelle : eh ne la touché pas, vous n'avez pas honte ? cette dame vient de perdre son mari.
- mari ? quel mari ? George était mon mari voilà la preuve dit-elle en montrant sa bague de mariage et elle ? elle es où sa bague de mariage ?
ma mère continuait de pleurer, je me demandais comment elle pouvait être ma mère avec un tel comportement
Moi, touchant le couteau : essayé seulement de s'approcher d'elle. je vais vous tué tous.
- voilà comment elle a éduquer ses enfants, je reviendrai Belinda. je reviendrai.
La mère de Rachelle : arrête de pleurer ma copine, cette femme est folle. voilà pourquoi je te disais de dire a George de t'épouser.
Le père de Rachelle : c'est pas le moment de reproche, nous devons chercher un moyen de la protéger contre cette femme.