Chapitre 2
ROSE MARIE LOMBO.
Je me suis réveillée toujours énervé, contre mon père et contre ma mère. c'était même pas le tour de cette femme, je me demande comment il a pu m'oublier. je me lève du lit, j'ai vraiment envie de pleurer tellement je suis en colère.
j'ai pris ma douche, j'ai porté mon uniforme et je suis sortie de la chambre. j'ai retrouvé ma mère au salon entrain de faire le cent pas.
Moi : donne moi l'argent de transport, je dois partir à l'école.
- tu me dis même pas bonjour ma chérie, je me suis excusée pour hier.
Moi : je suis déjà en retard, tu as l'argent ou pas ?
elle baisse la tête, ce qui veut dire qu'elle n'a rien.
- je suis désolé chérie, ton père m'avait promis qu'il allait retirer l'argent à la banque. j'ai rien sur moi
Moi : et avec quoi je pars a l'école maintenant ? tu sais très bien comment il devient lorsqu'il pars là-bas.
- je suis désolé, promis demain je trouverai quelque chose pour ton transport.
j'ai ouvert la bouche mais rien n'est sorti, mes larme était sur le point de sortir mais j'ai tout fait pour pas le faire couler.
- désolé mon amour, maman te demande pardon.
j'ai claqué la porte tellement fort que j'avais l'impression qu'il allait tomber. comment on peu vivre comme ça ? ! nous laisser comme ça sans rien pendant qu'il as des millions en banque ? où peut-être c'est ma mère qui veut rien me donner ? non elle ne peut jamais me faire une chose pareille, elle est beaucoup trop gentille pour agir de cette façon.
- salut !
je sursaute en essuieant mes larme
Ariel : en plein 7h du mat, tu as peur d'un simple bonjour ?
Moi : désolé, je t'avais pas vu. tu fais quoi ici ?
Ariel : je suis venu te chercher
Moi : me chercher ?
Ariel : ouais, un problème ?
Moi : non non mais ça me surprend juste.
Ariel : j'ai retenu ce que tu m'avais dit hier, c'est pour ça que je suis venu te chercher. j'ai pas de voiture mais je peux te porté sur mon dos
Moi : je ne suis pas aussi méchante pour permettre une chose pareille, partons alors, nous sommes déjà en retard.
Ariel : toi, tu es en retard.
Moi : ouais, j'avais oublié qui tu étais. tu n'es pas obligé de montrer aux autres ce visage méprisable tu sais, je vois bien que tu es quelqu'un de bien.
Ariel : je ne suis pas quelqu'un de bien petite féministe, tu me connais pas encore.
Moi :
Ariel, me regardant : normal que tu arrive en retard, régarde un peu comment tu marche.
Moi : euh pardon tika nga, olingi n'a kuba ?
Ariel : sikoyo ? eko sala nini ?
j'ai souris face à son accent, il parle très bien et son sourire est tellement mignon.
Ariel : comment elle va ta mère ? j'espère que tu n'as pas fait ta féministe sur elle
je me retourne, tout ce que je sais, ce qu'elle est faible.
Ariel : les filles de cette génération, j'ai peur de nous les hommes.
Moi : vous les hommes ? c'est-à-dire ?
Ariel : régarde un peu le comportement de ta mère, et régarde toi un peu. c'est comme ça que nos grands mères était mais vous ?
il me bouge la tête
Ariel :vous allez tout détruire avec votre féminisme.
Moi : donc tu aimais la façon dont les hommes traitait les femmes ? enfin, tu accepterais de voir ta mère souffrir juste parce-qu'elle dois se soumettre à ton père ?
Ariel : non !
Moi : voilà, c'est pas question de féminisme mais question de sécurité, respect, de confiance et d'amour. si une femme a tout ça, venant de son mari...plus jamais tu verras les femmes se plaindre.
Ariel : tu es intelligente ma petite féministe, tu ressemble à ma mère.
Moi : merci, elle fait quoi ta mère ?
Ariel : Sage femme, elle a quitté mon père parceque celui-ci ne voulais pas la voir porté des pantalons.
Moi : wow, je suis désolé. je ne savais pas.
Ariel : t'inquiètes pas, mon géniteur c'était un idiot, aujourd'hui je suis très heureux avec ma mère.
Moi : tu es fils unique ?
Ariel : oui mais j'ai un frère que mon père a eu avec une autre femme.
Moi : vous vivez ensemble ?
Ariel : non, je l'ai jamais vu. c'est ma mère qui m'a parlé de lui
Moi : des fois du souhaite le rencontrer ?
Ariel : non, ma mère dis que je l'avais blesser et c'était aussi l'une de raison que mon père nous as viré de chez lui.
Moi : oh !
Ariel : ouais dit-il, tu vois, tu ne pas la seule à avoir un père idiot. nous avons tous des histoires à raconter.
Moi : tu as raison.
Ariel : voilà l'école !
je regarde l'heure, nous avons encore quelques minutes devant nous. j'avoue que j'ai pas vu l'heure passé tellement on a discuter
Ariel : tiens !
Moi : ce Quoi ?
Ariel : c'est rien, prend le !
je l'ai prise, en ouvrant c'était deux billets de dix mille francs
Moi : autant d'argent ? tu l'as volé ?
Ariel,me regardant : c'est ça que tu pense de moi ?
Moi : c'est vraiment beaucoup, reprend ça.
Ariel : je ne serai pas libre pour t'accompagner aujourd'hui, donc tu peux prendre un taxi.
Moi, gêné :
Ariel : alors tu n'as pas compris tout ce que nous avons parlé, t'es encore qu'une enfants toi.
Moi : j'ai 16 ans dis-je en croisant les bras
Ariel : 16 ans mon oeil, vas-y avance. ah j'oubliais, j'ai apporté ça aussi
Moi : les chocolats
Ariel : merde, petite fille va !
Moi : j'ai 16 ans, arrête de m'appeler petite fille.
Rachelle : Rose, viens par ici !
Moi, roulant les yeux : qu'es ce qu'il y a ? on dis bonjour aux gens Rach, on a pas dormi ensemble.
Rachelle : qu'est ce que tu fais avec lui?
Moi : mais...
Ariel, souriant : au-revoir petite féministe !
Moi, boudant : Ariel .
il s'en va, je reste là comme une petite fille a le regarder.mon cœur battait tellement vite
Rachelle : viens par ici toi, explique moi tout.
Moi : t'expliquer quoi ? nous allons être en retard.
Rachelle : ah ? avec moi tu vas être en retard mais quand c'est l'autre tu souris et fait la fille.
Moi : arrête ok ? arrête, Ariel n'est pas comme vous pensez qu'il es. c'est un gars gentil, je regrette même tout le mot que je disais contre lui
Rachelle, ouvrant ses yeux : ma copine, tu es sérieuse ? de quel Ariel parlons nous ? l'impolie ?
Moi : toi alors, viens partons.
Rachelle : fait attention à ce gars s'il te plait, tu ne sais pas ce que je sais sur lui.
Moi, ouvrant mon chocolat : qu'est ce qu'il a fait ?
Rachelle : Rob m'a dis qu'il sortait avec Esther, et a mis enceinte Laurette de 5e A.
Moi, ouvrant mes yeux : vraiment ?
Rachelle : oui oui donc fait attention, peut-être qu'il se rapproche de toi pour te mettre aussi enceinte.
Moi : toi aussi, est-ce qu'on tombe enceinte comme ça ? sans rien faire ?
Rachelle : je suis plus âgé que toi Rose, en plus j'ai un copain et je sais comment ses choses marche.
j'ai arrêté de parler, si ce qu'elle dis est vrai alors il faut que j'arrête de lui parler. je ne veux pas me retrouver comme ma mère et écouter ce que les autres dit. pour la première fois de ma vie, je suis arrivé à l'heure à l'école. on se retrouver entre filles dehors a discuter, dès que j'ai vu Esther mon cœur se mise à battre et je me demandais pourquoi
Esther : coucou les filles
les autres répond et je reste silencieuse, Rachelle me sourit en bougeant ses sourcils
Esther, riant : aujourd'hui tu es en avance hein Rose hihihi
tout le monde rigole ce qui m'énerve
Moi : je vais en classe
Florence : mais on a pas encore sonné
Moi : je dois recopier quelques choses.
Rachelle : fait attention, si le directeur te remarque tu vas être punis.
je suis entré dans notre salle, les garçons discutait et rigolait fortement. dès qu'il m'ont vu il se son tu. j'ai pris place en baissant ma tête sur le banc, mon père commence vraiment à m'inquiéter, comment il peut s'en aller sans rien nous laissé ? il sait très bien comment sa femme se comporte avec nous. ce décidé après le cours j'irai le voir dans son bureau,il va m'entendre aujourd'hui.
quelque minutes après on a sonné les débuts de cours, toutes les élèves sont revenus après c'était au tour du professeur
Professeur : bonjour la classe !
Nous : bonjour Monsieur le professeur.
Professeur,me regardant : mademoiselle Lombo, rappelle moi là où nous nous sommes arrêtés la dernière fois.
Moi : chapitre 4
professeur : chapitre 4 ? qui n'a pas te titre ?
Ariel : c'est pas ce que tu as demandé
Professeur : on soulève les doigts avant de parler monsieur Muya.
Ariel : imbécile, tu m'as vu te parler ?
Moi :!
Les autres : !
Professeur : vous me traiter d'imbécile pendant mon cours ? sortez tout de suite sinon...
Ariel : ta gueule, tu vas rien faire. tu ne sais même pas ce que tu enseigne
il prend son sac
Moi : Ariel dis-je
Ariel : les études qui vont rien vous servir, vous deviendrez comme lui a raconté des bêtises.
Professeur : SORTEZ IMMÉDIATEMENT
Ariel : le chapitre 4 que tu as écrit, c'est pas comme ça aussi. ça s'appelle les stratégies commerciales et non commercialisé vos stratégies
il l'écrit au tableau et sort de la salle, nous nous retournons tous vers le professeur
Professeur : vous n'allez pas quand-même croire cet enfant mal élevé ?
Moi : et s'il avait raison ?
Rachelle : Rose dit-elle en regardant méchamment
Moi : et si Ariel avait raison ? vous nous enseigner ce que nous voyons pas, ni livre, ni référence... comment voulez qu'on vous crois ?
Florence : je partage son avis monsieur !
Patrick : Ariel est peut-être bizarre mais c'est le gars le plus intelligent que je connais
professeur : alors, aller l'appeler comme ça il va nous expliquer ce qu'il sait.
Patrick est sortie, quelque minutes après il est revenu seul disant qu'Ariel n'était plus là. je me suis rappelé ce qu'il m'avait dit, il as fait exprès pour partir de l'école
Moi : mais où ?