Chapitre 1
ROSE MARIE LOMBO
Je me réveille lorsque j'attends les bruits en bas de ma chambre, dehors ! j'ouvre la fenêtre et voix mon père qui discute avec l'autre femme. c'est toujours comme ça avec elle, ma mère ne sais plains jamais lorsque mon père se journe chez elle.
elle déteste ma mère et nous aussi a la même occasion, on part jamais chez elle, avec ses enfants s'est interdit de ses parler.
je cherche mes babouches et le porte, j'entre dans la salle de bain et prend ma douche. étant l'aîné de notre famille, je me dois de montrer l'exemple et faire le bon choix. j'ai une petite sœur de 10 ans et un frère qui vient d'avoir 8 ans. ma mère c'est une femme au foyer, elle n'a jamais fait d'étude... tout ce qui l'intéresse c'est la famille. moi, je ne serai jamais comme elle. je ne laisserai jamais une femme me marché dessus surtout laisser un homme dicté mes choix. je ne sais pas pourquoi mon père a voulu avoir deux femmes mais c'est sont choix, je veux juste qu'il respecte ma mère et la défend plus souvent devant sa sorcière de femme.
c'est ma mère qui m'accueil en souriant lorsque j'arrive au salon
Ma mère : bonjour mon amour, tu t'es réveiller tôt aujourd'hui dit-elle en souriant...ça va ?
Moi, prenant place sur la chaise : ça va, les bruits de Papa et sa femme... qu'est-ce qu'elle fait ici ?
ma mère roule les yeux, elle sait très bien comment cette histoire vas finir alors elle reste silencieuse.
elle me sert à manger
Ma mère : travail bien à l'école mon cœur !
je lui fais la bise et part rejoindre mon père qui semblait discuter toujours avec sa femme
Moi : j'ai fini, Papa !
- voilà comment elle élève les enfants, même pas un bonjour Mademoiselle veut donner des ordres
Papa : donne moi quelques secondes ma puce, j'arrive !
Moi : n'oublie pas hein papa, la dernière fois j'étais en retard par ta faute.
- hein? l'enfant te parle comme ça et toi tu restes là entrain de rire ? quel éducation vous donner a ses enfants ?
Moi : pour quelqu'un qui aime les problème comme toi ne devrait pas tenir ses genres des propos
- c'est a moi que tu parle comme ça ? tu pense que je suis ta voleuse de mère pour me parler sur ce ton ?
mon père me dit de m'en aller, j'ai bien toiser cette sorcière avant de m'allée. effectivement je suis arrivé en retard comme tout les autres jours aussi
comme tout le monde connaissant mon père j'avais en quelque sorte une privilège à l'école.
je suis en cinquième année commerciale et administrative, j'ai 16 ans. je prend place au fond de la classe vu que je suis arrivé en retard
- bonjour !
Moi : bonjour !
Ariel c'est l'élève le plus turbulent de la classe, il dérange et insultes souvent les professeurs.
il est très beau, j'aime tellement sa façon de se coiffer et comment il s'habille.
Ariel : c'est ce que nous avons écrit, tu peux recopier hein
Moi ouvrant les yeux : moi ?
Ariel : oui, il y a un problème ?
Professeur : monsieur Ariel, silence ok? si vous avez compris le cours passé devant et expliquer vos camarades
Ariel : on va pas partager ton salaire à ce que je sache dit-il en regardant le professeur
pour la première fois j'ai trouver le professeur injuste envers lui, il n'a rien dit et il s'est endormi
j'étais entrain de le regarder lorsque le professeur est venu le mettre dehors disant qu'il lui avait manqué de respect
Moi : mais monsieur, il n'a rien fait c'est moi qui voulais voir son cahier pour recopier
Professeur : Mademoiselle Lombo, n'essayez pas de couvrir ce petit garçon...nous savons tous quel genre de personne est-il
Moi : mais...
Ariel m'a sourit et il est sortie, j'ai pris son cahier et continue à écrire dessus. comme ça, ça allait nous aider tout le deux.
...
Moi : je suis désolé, à cause de moi t'as pas pu suivre les cours dis-je sincèrement
Ariel : je suis habitué, t'inquiètes pas !
Moi : mais comment tu peu accepter ces genres d'injustice ? tu n'as rien fait aujourd'hui là
il éclate de rire et s'en va, je suis touchée qu'il m'ai parler aujourd'hui.. peut-être qu'au fond il ne pas si mauvais que ça.
Rachelle : tu faisais quoi avec ce voyou ?
Rachelle s'est ma meilleure amie, on a grandi ensemble depuis qu'on est à la maternelle.
sa mère et ma mère sont des amies.
Moi : rien !
Rachelle : rien ? et tu veux que je te croit?
Moi roulant les yeux : ne dramatise pas je t'en prie, aujourd'hui là seulement il n'a rien fait.il voulais juste m'aider à prendre les notes
Rachelle : hum, en tout cas !
Moi : s'il te plait, on peut aller manger ? j'ai super faim là.
on est parti manger, de l'endroit où j'étais assise nos yeux se fixait. il me regardait bizarrement et cela me mettait mal à l'aise.
contrairement à moi, Rachelle as 17 ans. elle est grande de taille et toute blanche. elle est en couple avec un gars de notre groupe. ses parents ne sont pas aussi riche, mais ils arrivent à donner les meilleures pour leurs enfants. ses parents s'aiment vraiment beaucoup, des fois je suis jalouse de leur famille.
comme j'aurais souhaité avoir une famille merveilleuse, sans dispute, sans haine et sans insultes.
voir la façon dont ma mère est traité tout le jour me brise le coeur. elle se plaint jamais et accepte tout ce que mon père dit.
je veux juste finir mes études, trouver un travail et prendre soin d'elle et des frères.
le mariage ? c'est pas mon truc. un jour peut-être mais je ne suis pas pressé
...
les cours avait repris, cette fois je suis retournée à ma place. le prof de français est venu et c'était reparti.
professeur : Monsieur Ariel, si vous voulez pas suivre le cours c'est mieux de libérer la salle.
je me retourne comme tout les autres aussi, il as pris son sac et il est sortie. il passait même devant le professeur en souriant.
Rachelle : dis encore qu'il est quelqu'un de bien, c'est un voyou ce type.
c'est vers 17 h qu'on a fini avec les cours, tout le monde était rentré. sûrement mon père m'avait encore oublié.
Rachelle m'a tenu compagnie que pendant quelque minutes, elle est partie aussi me laissant seul.
je me suis assise dehors, j'ai commencé à lire mon livre d'histoire pour faire passer le temps
- tiens !
je me suis retournée, c'est Ariel qui me donnait des chocolats
Moi : merci dis-je en le prenant, c'est vraiment très gentil...
Ariel : qu'es ce que tu fais encore ici ? tout le monde est parti
Moi, soufflant : comme toujours mon père m'a peut-être oublié
Ariel : je ne pense pas qu'il t'ai oublié, il doit peut-être être occupé.
Moi, mangeant : hum !..
Ariel : pourquoi il t'achète pas un téléphone ? où te donner l'argent de taxi ?
Moi : ma mère lui avait dit la même chose mais il veux rien entendre, il veut toujours avoir le dernier mot et comme ma mère est faible elle fait toujours tout pour lui faire plaisir
Ariel : c'est peut-être parce-qu'elle est une bonne épouse
Moi : bonne épouse ? c'est une blague... elle est deuxième femme, en plus je ne vois pas l'importance d'être une bonne épouse si tu ne pas valoriser a ta juste valeur.
Ariel : en vrai, tu es une vraie féministe
Moi, souriant : pas vraiment mais j'aime pas la façon dont elle se comporte, si faible et sans détermination.
Ariel : tu n'es pas intelligente pour rien, c'est intéressant ce que tu dis.
Moi : vraiment ?
il prend place à côté de moi, nous avons discuter de tout et rien. mon père se présentait toujours pas donc il m'a proposé de venir m'accompagner, chose que j'ai accepté avec plaisir.
il avait pris ma main parce-qu'il faisait très tard. en vrai Ariel ne pas aussi impolie qu'on le pense. il est tellement gentil et je le trouve super mignon.
ce qu'il a fait pour moi aujourd'hui, je l'oublierai jamais.
je croyais voir mon père en rentrant mais il n'était pas là, je suis arrivé super énervé et juré de pas lui pardonner.
Ariel n'a pas voulu entré alors il m'avait laissé a l'entrée.
Ma mère : ma chérie, tu vas bien ? je me suis inquiétée !
Moi, énervé : inquiétez ? t'aurais pu venir me chercher, tu sais combien d'heure j'ai passer à vous attendre ? vous êtes quel genre de parents ?
Ma mère : je te demande pardon mon amour, tu sais très bien que je ne peux pas sortir...ton père va mal le prendre et...
Moi : et quoi maman ? tu vas laisser ton enfant mourir juste pour honoré ce que ton mari a dit ?
Ma mère : ne parle pas comme ça, c'est ton père m'a chérie !
Moi : tu as réussi à m'énerver sérieusement, bonne nuit !
non mais quel mère peut faire une chose pareille ? genre ton mari est plus important que tes propres enfants ?
Moi, donnant un coup de pied sur la porte : RIDICULE