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05

**** Judith Sena Sonon ****

Ça fait deux mois que je suis ici, chez mon oncle et beaucoup de choses se sont passées. Mon oncle est un chauffeur de taxi qui n'a pas de caractère. Sa femme lui marche dessus, tante Odette est une commerçante au marché total. Elle vend tout ce qu'elle trouve. Quand on était arrivée, c'était la première fois que je venais chez eux, une parcelle avec 6 portes. Tellement des gens et la parcelle n'est pas clôturer. Tout ce qui se passe chez vous tout le monde est au courant et pour aller se laver, il faut attendre ton tour. En parlant de la maison de mon oncle, tellement sale, sa femme ne fou rien. En regardant seulement les rideaux, tu as envie de vomir foun et ma tante qui me considère comme un ennemi je ne comprends rien. Ils ont 3 garçons de 10 à 5 ans et depuis que je suis là, la maison est devenue très propre. Comme l'école n'a pas encore commencé, je fais tout dans la maison. Tu peux même venir demander de l'eau à boire sans t'inquiéter parce que les gobelets sont maintenant propre et ça brille. Depuis là, je ne parle plus beaucoup, j'observe tout ce que cette femme est entrain de me faire. Elle me prive de la nourriture parfois et pourtant c'est moi qui fait tout ici. Mais bon ce qui est le plus important, est que j'aille à l'école mais jusqu'àlors mon oncle ne parle même pas encore de ça. Donc je vais lui poser la question dès ce soir. Nous sommes lundi le marché total ne vend pas donc la reine Odette est là.

Odette (criant): Sena ?

Moi: Oui ma tante ?

Odette : Où est ma marmite en cocotte qui n'as pas de couvercles là ?

Moi: Sûrement là où il y'a toutes les marmites.

Odette : Idiote djimankplon si je te le demande c'est que je n'ai pas vu ça. Tu te prends pour qui même ? Depuis que tu es chez moi, je ne retrouve plus mes affaires. Tu te crois où ? Chez ta mère ? Ah oui elle est morte et nous a laissé son bâtard.

Tu peux m'insulter, me frapper mais pas parler mal de ma mère, depuis que je suis là elle ne m'a pas encore porter main, mais elle me torture moralement, je commence à pleurer

Odette : Vas me chercher ma marmite, au lieu de venir me sortir les larmes de crocodile ici.

Avant que même j'arrive, je vois déjà la marmite qui dépasse les autres, elle est visible de loin. Est ce que je vais tenir ? Je ne sais pas, j'espère avec l'école ça ira. Mon cousin de 10 ans est un petit voleur. La première fois que ma tante m'avait privé de nourriture, j'avais enlevée 500 francs pour m'acheter à manger et j'avais seulement dépenser 300 francs et les 200 francs restant, j'avais mis dans mon petit sac que Crédo m'avait donné mais à ma grande surprise, l'argent avait disparu. Au début je pensais que c'est moi qui les avais égarés mais depuis que sa maman m'insulte ici parce qu'elle perd son argent, je me suis rendu compte que ce petit est un futur délinquant, un adjaka voleur donc, j'avais trouillé là où passe la ceinture de mon pantalon et j'avais mis mon argent dedans et je sais que même sa mère est venu fouiller mes affaires qui ne sont pas beaucoup en passant mais ils n'ont rien trouvé parce que j'avais anticipé ça.

Odette : Qu'est ce que tu fais débout là à me regarder comme une sorcière ? Ozo nouwé min viélor. Maintenant je donne raison à ta famille de t'avoir rejetée. Dès que tu auras 18 ans, je veux que tu dégages de chez moi.

Je sors, je m'assois sur le véranda. J'attends si aujourd'hui au moins elle va me donner la nourriture, et là madame la pluie est au rendez-vous. Je me lève pour rentrer dans la maison je constate que la porte est fermée. Je toc mais personne ne vient m'ouvrir. Je suis toute mouillée et je commence à trembler de froid. Je reste là au moins 3 heures de temps et elle ouvre la porte après la pluie. Je rentre toute tremblante, je me rends compte qu'elle avait fermée la porte pour donner à manger à ses enfants. Je rentre dans la chambre que je partage avec les garçons, je me change et je reste là à attendre mon oncle pour parler d'école. Je ne peux pas dormir par ce que dormir à terre sur une natte et qu'il fait froid, je vais surement tomber malade. J'entends la voix de mon oncle, je sors et je le trouve à table avec sa femme et ses enfants au tour de lui.

Moi: Bonsoir mon oncle.

Oncle : Bonsoir Judith, tu as quelque chose à me dire ?

Moi: Oui mon oncle.

Sa femme me regarde avec un air menaçant.

Oncle : Je t'écoute. Qu'est ce qui se passe ?

Moi: Mon oncle dans une semaine sera la rentrée mais on ne m'a pas encore inscrits au lycée.

Oncle : Ah oui tu as raison j'avais oublié de te dire que cette année tu restes à la maison parce que toi même tu vois que pour le moment je ne peux pas le faire parce que je n'ai pas d'argent.

Moi (les larmes aux yeux ): Mais........

Odette (me coupant la parole ): Mais quoi ? Même pour ses propres enfants il n'a encore rien fait c'est seulement pour toi enfant d'autrui qu'il va faire ? En tout cas pas avec mon argent.

Moi: Mon oncle, maman avait prévu tout ça avant sa mort, elle m'avait donné 35000 francs pour mon inscription et mes fournitures.

Odette (criant): Héééé mon argent tu vois hein Faustin, quand je dis que quelqu'un me vol ici tu dis que j'invente les choses maintenant comme par magie, elle a l'argent pour son école ? Elle va me donner cet argent c'est le mien.

Moi: Je ne suis pas une voleuse, ce n'est pas parce que je ne parle que je suis bête ou j'en sais quoi! Toi et moi on sait que c'est Cédric qui prend l'argent ici.

Elle me donne deux paires de gifles.

Je touche ma joue et je la regarde avec haine.

Odette (furieuse): Tu vas me donner cet argent tout de suite sinon tu quittes chez moi.

Moi (en pleure): Je ne se suis pas une voleuse et je ne vais pas te donner mon argent pour mon école, tant mieux que je quitte ici. J'en ai marre.

Odette : Je ne veux plus te voir chez moi. Sort d'ici rapidement.

Oncle (en colère): Assez Odette, depuis qu'elle est là toujours des problèmes, et pourtant tes nièces sont venu vivre ici je n'ai rien dis maintenant c'est le tour de ma nièce tu fais des problèmes comme si c'est toi qui paye ma maison ? Elle ne va pas bouger d'ici. Sena demain, je t'emmène voir un ami c'est lui qui connaît les trucs de l'école là, n'oublie pas le dossier et l'argent.

Moi: Oui tonton.

Odette : Faustin tu me parles comme ça devant cette gamine ? Ok comme c'est moi qui fait le marché dans cette maison, je ne lui donnerai pas ma nourriture, sinon c'est moi qui quitte ta maison.

Oncle : Mais tu as quel problème avec la petite ? Qu'est ce qu'elle t'a fait de si mal Odette ? Même quand ma sœur était vivante, tu ne l'aimais pas comme si vous aviez partagé un homme. Tu sais que je n'ai pas de famille et ma sœur était la seule famille que j'avais. Je me suis éloigné d'elle à cause de toi et maintenant tu veux aussi me séparer de ma nièce ? Ah ça je dis non par ce que je suis fatigué. Sena tu peux partir, demain tu dois te réveiller tôt je vais te déposer chez mon ami avant de partir.

Je suis rentré dans la chambre, j'ai arrangé mon acte de naissance et la liste des admis. Le lendemain j'ai pris mon argent et j'ai porté le pantalon où il y'a mon argent le peu de temps que je suis là je commence à connaître cette arriviste. Je sors et je trouve seulement les enfants et mon oncle.

Oncle : Je suis désolée pour tout ce qui se passe, j'espère que avec cet argent tu pourras aussi acheter tes cahiers.

Je monte dans la voiture direction chez son ami, mon oncle me donne 2000 francs, donc je passe ma journée avec son ami et sa femme. On a tout fait, inscription et les fournitures scolaires, je me suis inscrite en série C au CEG le Lac de Cotonou. Je rentre le soir toute fatiguée mais au moins je suis sûr que j'irai à l'école et personne ne me detournera de mes objectifs même pas cette arriviste d'Odette.

**** Emy Sonon ****

Qu'est-ce que je vais faire ? Je ne peux pas lui dire qui est le père. Mais comment je me suis retrouvée enceinte ? Je ne comprends rien, et pourtant on le fait avec préservatif, sauf la dernière fois et je sais que j'étais en bonne période. Pour le moment, comment je vais faire pour m'en sortir ? Maman qui ne dit rien mais qui me regarde avec rage, je sais que je l'ai vraiment déçu, mais je n'y peux rien. Ce qui doit arriver est arrivée.

Maman: Nous somme à l'hôpital mademoiselle dès que nous arrivons à la maison je veux que tu me dises qui est l'auteur de cette grossesse sinon, tu vas voir que je ne suis pas ton ami. Koun koun koun gbléwanon.

Je commence à pleurer, je sais que maman n'aime pas me voir pleurer. Je vais jouer sur ça.

Docteur : Vous pouvez sortir, voilà l'ordonnance, elle doit commencer ce traitement aujourd'hui.

Je me lève, tête baissée je suit ma mère jusqu'à la maison et dès qu'on arrive...

Maman : Depuis quand tu reçois des bites dans ton vagin Princesse Sonon ?

Moi: ...

Maman (criant): Mais c'est à toi que je parle non ?

Je ne réponds pas tête baissée.

BAM BAM BAM

Maman (rage): Parle. C'est à toi que je m'adresse. Depuis quand hein ?

Je suis choquée. Depuis ma naissance c'est maintenant que ma mère me porte main.

Moi (en pleure): Pardon maman, c'était seulement la première fois, pardon ne me tape plus. J'ai trop mal maman.

Maman : Et c'est qui le père ?

Ah ça ma chère mère, même si tu me torture, je ne le dirai jamais. Nandor kpon gbédéa.

Moi (en pleure): C'est un garçon du village voisin, mais il vit à Calavi, je n'ai plus les nouvelles de lui, c'était seulement une fois maman.

Maman (en colère): Tu me fais honte. Tu vas prendre tes affaires et je t'accompagne chez ton copain que tu ne connais pas. Traînée, tu étais ma fierté mais aujourd'hui tu m'as tellement déçu. Qu'est ce que je dirai aux gens et à ton père ?

Moi (petite voix) : Je suis désolée maman, je ne veux pas le garder.

Maman : Oh Dieu est ce c'est la malédiction qui commence ? Oh Dieu qui a pris ma fille celle là n'est pas la mienne, on a changé mon enfant ho. Donc tu es partie écarter les jambes et maintenant tu ne veux pas garder l'enfant ?

Moi: Ne dit rien à papa s'il te plaît maman. Et moi aussi ne dirai pas que tu as embrassée le frère du chef du village.

Maman : Quoi ? Tu me fais maintenant du chantage ? Tu penses que je suis ton amie ?

Moi: Je sais que c'est lui qui a mis le feu chez la sorcière.

Elle me regarde et ne dit plus rien.

Moi: Je suis désolée maman, mais je ne veux pas garder ce bébé.

Maman : On va à Cotonou le samedi et c'est la dernière fois que tu me ménaces, la dernière fois que j' entends que tu as couchée avec un homme sinon chantage ou pas, je vais bien te corriger sale chienne.

Tout ce qu'elle dit ne m'intéresse plus, ce qui est important je vais me faire avorter à la capitale.

**** Pierre Sonon *****

Plus les jours passent et je ne sais pas comment le dire à Thérèse, comment elle va réagir ? Elle va rentrer demain de la capitale comment lui dire que malgré mort de Solange, nos enfants ne peuvent rien hériter ? Comment lui dire? J'ai besoin de conseils donc je me précipite chez maman, je sais qu'elle va sûrement me trouver une solution, j'arrive et je trouve mes parents. Avec papa (père adoptif), le courant ne passe plus depuis que j'avais prie Thérèse pour deuxième épouse. Notre relation s'était dégradée et avec sa femme aussi mais dans notre maison c'est maman qui porte la culotte donc si maman dit oui, ce que papa pense on s'en fou. Mais moi, ça me dérange que mon père ne soit pas là pour moi. Je le considère comme mon père car c'est lui qui m'a élevé, mon père était mort quand j'avais 14 ans et il nous avait tout laissé.

Moi: Bonjour papa.

Papa: ...

Maman : C'est quoi ton problème Grégoire avec mon enfant ? C'est quel genre de père qui ne veut pas le bonheur de son enfant ? Jusqu'à quand tu vas rester fâcher avec ton seul fils ?

Eh oui papa Grégoire est stérile, mais il nous considère moi et mes sœurs comme ses enfants. Donc je suis son seul fils.

Papa: Si tu as fini de faire du bruit je peux m'en aller ?

Maman : Ton fils va se marier, normalement le père est celui qui se met au premier rang pour soutenir son enfant. Dans des réunions, tu ne viens pas.

Papa: Vous vous mariez entre vous. Qu'est ce que vous voulez que moi je dise ou que je fasse ? Et ils sont déjà ensemble depuis des années en quoi l'utilité de toutes ces réunions ? De toutes les façons, c'est ton fils et ta nièce, gère comme tu sais bien le faire mais ne me mettez pas dans votre sorcellerie là.

Il est parti, en me laissant sur le cul.

Moi: Je pensais qu'avec des années, il allait changer d'opinion et surtout en voyant comment Thérèse me rend heureux et surtout les petits enfants qu'elle lui a donné.

Maman : Ah laisse ça, tu m'as dis que tu voulais me parler, qu'est ce qui se passe ?

Moi (étonné): Mais comment tu le sais ? Je suis venu sans t'avoir appelée.

Maman : Si, tu m'avais appelée avant hier.

Moi: Ok maman, j'ai un problème qui me tracasse.

Maman : Je t'écoute qu'est ce qui se passe ?

Moi: Quand je me suis marié avec Solange, on avait signé pour que, quoi qu'il nous arrive tout ce que nous travaillerons seront pour les enfants.

Maman : Et maintenant où est le problème ? Solange n'est plus là donc ce que vous avez signé est caduc.

Moi: Non maman. Si un parent meurt, l'autre va veiller sur l'héritage des enfants et si je meurs Sena hérite tout en tant que enfant légitime.

Maman : Je ne vois pas de problème, Sena n'est pas ta fille donc tu pourras annuler ça.

Moi (heureux): Maman tu es la meilleure. Dans ce cas, c'est ce que je vais faire. Attend j'appelle mon avocat.

Je l'appelle, ça sonne.

Moi: Allô maître excuse moi de te déranger, je voulais savoir et si la fille n'est pas de moi ?

Avocat: Faut le prouver, si c'est le cas ça sera facile.

Moi: Le prouver comment ?

Avocat: En faisant un test ADN bien sûr.

Moi: Mais ça va me coûter chère ce test ?

Avocat : Oui mais tu pourras récupérer ton héritage et le donner à tes enfants biologiques.

Moi: Ok Je te ferai signe.

Avocat : Mais il faut le faire vite avant le mariage.

Je raccroche.

Maman : Alors ?

Moi: Je dois faire de test pour prouver qu'elle n'est pas de moi et ça coûte chère.

Maman : Laisse ça. Sena ne sait rien. De toutes les façons, elle ne reviendra plus ici, donc tu n'as rien à craindre. Maintenant ce que tu vas travailler c'est pour tes enfants, ne dis rien à Thérèse.

Moi: Ok tu as raison, toute vérité n'est pas bonne à dire.

Maman : Oui c'est ça, ce qui est important tu vas te marier avec la femme que tu aimes.

Je sors de là. C'est décidé, je ne veux plus revenir en arrière.

**** Thérèse Tchédji ****

Je ne voulais qu'aucune ombre vienne assombrir mon mariage mais cette idiote de Emy, m'a déjà énervée. Le temps que j'allais faire mes courses, j'étais là à trouver un docteur pour la faire avorter maintenant c'est fait on a fait des courses dimanche et la majorité des magasins sont fermés donc, je n'ai pas trouvé la robe de mes rêves.

Emy: Maman, à ton âge tu ne peux plus porter la robe blanche.

Maman : Je n'ai plus envie d'écouter ta sale bouche là, tu l'as ferme.

Franchement, elle m'énerve. Dès qu'elle ouvre la bouche j'ai envie de la gifler, je suis tellement déçu. Moi qui voulais montrer à tout le village que j'avais une princesse et qu'elle était mieux que l'autre connasse mais non j'ai une fille qui ouvre les cuisses à n'importe qui. Son histoire que c'était la première fois et que c'est quelqu'un que je ne connais pas, j'y ai pas cru, cette petite est maligne, si elle est arrivée à me faire du chantage, c'est qu'elle connaît beaucoup de choses. Pour le moment, je vais l'observer, je fini d'abord mon mariage après je m'occuperai de son cas bref. Je viens de trouver ma robe même si ce n'est pas trop ça, mais je n'ai plus le choix . On arrive au village la nuit et je vois Pierre devant l'arrêt de bus Tôkpa-Tôkpa entrain de nous attendre. Je suis fatiguée psychologiquement et physiquement parce que en deux jours on a vraiment fait le marathon heureusement ma sœur a été là avec moi.

Moi: Coucou amour ça va?

Pierre : Coucou, un peu fatigué mais ça va et vous ça été le week-end ? Tu as eu ta robe ?

Moi: Oui amour.

Vous vous demandez si je trompe mon mari la réponse est oui mais occasionnellement, et je le fais souvent en ville, au village seulement une fois, parce que le petit frère du chef du village allait me rendre un grand service et je l'avais payé en nature comme il ne voulait pas l'argent.

Pierre : J'espère que tu n'as pas invité tout le village.

Moi: C'est notre mariage chéri celui qu'on attend depuis des années.

Nous rentrons à la maison tellement fatiguée. Je monte au lit pour dodo. Quelques heures après, c'est mon téléphone qui me réveille, je regarde l'heure, il est 6 heures qui peut m'appeler à cette heure ?

Pierre (en sommeil): C'est qui ?

Je regarde c'est le Congo.

Moi: Allô ?

Inconnu : Allô, bonjour, vous êtes les parents de Gabin ?

Moi: Vous êtes qui ?

Inconnu : Je suis un ami de Gabin, vous avez de ses nouvelles ?

Moi (palpitations): Écoutez qu'est ce qui se passe avec mon fils ?

Pierre (inquiet): Il y'a quoi ?

Je le regarde mais je ne réponds pas.

Inconnu: Gabin est parti depuis 5 jours, pour la France mais depuis là on a pas de ses nouvelles.

Moi (criant): Quoi ? Quelle France ?

Inconnu: Il est parti par la Libye après il allait prendre le bateau à partir de là-bas mais on a plus de ses nouvelles.

Moi (criant) : Non oooh c'est quoi mon fils ooh....

Pierre : Mais qu'est ce qui se passe ? Gabin à un problème ?

Moi: Sena tu viens de me tuer oh mon fils où es tu ?

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