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04

**** Pierre Sonon ****

Je suis fatigué qu'elle me tienne tête, j'espère que cette fois ci, elle va les signer, et ses conditions à la con là ne m'intéresse pas. Tout ce que je veux, c'est que je sois libre, donc dès que je fini au champ je vais passer chez elle pour qu'elle accepte de divorcer. Je vois mon cœur venir vers moi fatiguée, cette femme je l'aime de tout mon cœur, pour Solange c'était un coup de foudre mais après ses problèmes d'enfanté chaque fois on se disputait j'ai toujours les sentiments pour elle mais pas comme j'aime Thérèse. Dès que Thérèse était rentré dans ma vie, mon amour pour elle avait baissé, maintenant franchement je ne sais pas si je l'aime toujours mais j'aime plus Thérèse, c'est avec elle que je veux mourir.

Thérèse : Tu penses à quoi bébé ?

Moi: Je vais passer à l'annexe avant de rentrer.

Thérèse (front attaché): Pourquoi faire? J'espère que tu ne vas pas là-bas pour écarter ses fesses hein ? Kabii !!!

Moi: Chérie tu sais que je ne la touche plus depuis très longtemps, je vais là-bas pour la convaincre de signer les papiers de divorce.

Thérèse : La convaincre comment ? Tu lui envoies le chef du village et les policiers. Après, elle signe sans piper mots.

Moi: Je ne veux pas que les gens connaissent ma vie, je veux le faire sans impliquer les gens.

Thérèse : J'espère pour toi. Après ça, tu ne l'as verras plus hein ? Parce que je suis fatiguée d'attendre longtemps.

Moi: Ne t'inquiètes pas chérie. Dès que c'est bon, tu ne l'as verras plus, ni sa fille.

J'arrive, je trouve la porte ouverte je rentre, je la trouve entrain de manger les légumes.

Moi (front fermé): C'est la dernière fois que je suis venu te voir Solange, je veux que tu signes ces papiers.

Solange : ...

Moi (furieux): Mais c'est à toi que je m'adresse non ? Si jusqu'à demain tu ne les signes pas, le chef du village ou pas, je vais te chasser chez moi.

Solange : Tu connais ma position mon cher, tant que tu ne mets pas ça noir sur blanc je ne signe rien. Tout ce que toi et moi avons travaillé est à ma fille, ce que nous avions écrit dès le départ que tout ce que nous aurons dans la vie ça sera pour nos enfants, comme nous avons eux un seulement tout appartient à mon enfant à moins que tu fasses les concessions, sinon ne compte pas sur moi. Si je meurs aujourd'hui, ma fille héritera tout et vice versa.

Moi (calme): Je ne t'aime plus, je veux me marier avec la femme de ma vie alors ne me pousse pas à bout, si tu fais tout ce cinéma en pensant que je vais te reprendre, n'y compte pas là dessus car tu perds ton temps.

Solange (éclate de rire): Là tu me fais rire. Tu penses que moi l'enfant de Djissou je peux encore revenir avec toi ? Ne t'inquiètes pas mon cher, mais je ne vais pas laisser tout ce que j'ai travaillée à des profiteurs et ne penses même pas que je n'ai pas vérifiée chez le notaire que tout est en place. Dès que tu donnes à ma fille ce qui lui revient de droit, je te libère mon cher. Encore une chose, l'enfant que tu as rejetée aujourd'hui, tu le regretteras un jour.

Moi (noir de colère): C'est toi qui veut que je te maltraite c'est la dernière fois que je t'averti, j'ai essayé la manière douce, comme tu ne veux pas me libérer on verra.

Je sors de là frustré, ça m'a fait un petit peu mal, quand elle a dit qu'elle ne pourra plus jamais revenir avec moi. Mais bon c'est ce que je veux depuis des années non? Pour Judith, je n'ai pas de problèmes avec elle mais ma femme et ma famille ne veulent pas d'elle donc je ne peux pas forcer les choses. De toutes les façons, Thérèse m'a donnée des beaux enfants et je ne me plains pas. Je passe une bonne soirée en famille comme je les aimes, je rentre dans ma chambre et je trouve ma femme entrain d'envoyer les messages sûrement à mes sœurs.

Moi: Chérie, j'ai envie de toi, s'il te plaît bébé, pourquoi tu me fais ça ?

Thérèse : Il y a un cadenas, tu as la clé mais tu ne connais pas laquelle. Dès que tu l'as trouves, tu l'ouvres.

Moi (énervé): Pourquoi tu ne me comprends pas hein ? Elle va les signer mais ça va prendre un peu de temps.

Thérèse : Alors tu attendras le temps qu'il faudra aussi pour encore voir mon vagin mielleux.

Je dors frustré. C'est devenu une chanson ici pfff, je me suis endormi quand soudain j'entends les gens crier.

Moi: Mais qu'est ce qui se passe encore dans ce village en pleine nuit ? Je porte un pantalon et un t-shirts.

Thérèse : Où vas tu comme ça ?

Moi: Tu n'entends pas ce qui se passe ?

Thérèse : Eh? En quoi ça t'intéresse hein chef quartier ? Nous sommes en pleine nuit et si ce sont les bandits ?

Je ne la répond pas je sors, je vois déjà les flammes, je cours et je trouve Judith qu'on est entrain de tirer pour qu'elle ne rentre pas dans la maison en flamme.

Moi: Mais qu'est ce qui se passe ici ?

Judith (criant): Assassin, je te maudis, toi et tous ceux qui sont coupables de près ou de loin, je te maudis assassinnnnnnnnnn.

Je suis choqué mais qui a fait ça ?

Judith (pleurant): À cause de toi, ma mère est morte , je te maudis toi et toute ta génération.

BAM , je vois que Thérèse commence à lui donner les coups pendant que les gens les séparent, je suis sonné je ne fais que les regarder.

Thérèse (criant): Maudite toi même, tu es qui pour venir le maudire et mes enfants, imbécile, fille bâtard.

Judith (pleurant): Que toutes les malédictions tombent sur toutes les personnes qui sont concernées par la mort de ma mère de près ou de loin, soyez maudiiiiiiiiiiiiiiiit.

Oh seigneur je voulais seulement le divorce pas sa mort .

**** Judith Sena Sonon ****

Je suis brisée ça fait une semaine que maman est morte, je ne dors pas, je n'ai que des cauchemars. On l'avait enterré le même jour. Tous ces hypocrites sont venu donner leurs condoléances. Depuis ce jour, je ne parle plus, ma bouche est fermée, je ne me suis même pas intéressée des résultats de mon examen, mais j'ai eu mon bepc, Crédo aussi, mais la princesse à maman non, mais ça n'a plus aucune importance. La personne que je devais rendre fière n'est plus là, j'attends mon oncle qui viendra me prendre aujourd'hui. Il était là les premiers jours et était reparti pour une urgence. Je vais vivre chez lui à Cotonou. J'avais récupérer les 100000 FCFA que maman avait cachée au champ, j'ai bien gardée ça. Crédo était parti à la mairie me récupérer un nouveau acte de naissance et la liste des admis pour mon inscription au lycée. Je n'ai même plus aucun souvenir de ma mère, même pas une photo rien tout est partie en fumé, les habits que je porte sont à Crédo. En parlant d'elle, son voyage est pour demain. Elle avait repoussée pour me soutenir. Sa sœur avait grondé, crié. Même ses parents, elle les a tenu tête donc....

Crédo: Coucou, il n'est pas encore là ?

Moi: ...

Crédo: Tu t'en vas aujourd'hui dis moi au moins quelque chose ma copine.

Moi: ...

Ava: Ce n'est pas grave, voilà le numéro de ma mégère de sœur, appelles moi dès que tu vas t'installer. J'attendrai ton appel la sœur. Il y'a beaucoup de cabines téléphoniques en ville donc tu vas t'en sortir facilement, je t'aime. Toi et moi nous sommes comme les oreilles jamais l'une sans l'autre ma chérie.

Moi: ...

Crédo : Je vais rester là avec toi à attendre ton oncle.

J'ai passée la semaine chez le chef du village car je ne voulais plus voir ces assassins. De toutes les façons, ces assassins n'ont pas voulu de moi, j'espère que Dieu va les faire payer tout ce qu'ils ont fait à ma maman.

*** Emy Sonon ***

Je suis en colère, presque tout le monde est parti en ville sauf moi parce que je n'ai pas eu mon examen. Même cette idiote est parti vivre en ville et pourtant, je suis toujours là. J'avais fais les préparatifs pour la fête. J'étais sûr que j'allais être admise mais rien. Je déteste la vie au village, malgré mes 15 ans, je suis ambitieuse, je sais bien manipulée mon monde sauf maintenant maman, elle à été ferme avec moi pas de bepc, pas de Cotonou. Je vois le mari de la meilleure amie de maman.

Moi: Qu'est ce que tu viens faire ici ?

Hugo : Tu m'as manqué hier, je t'ai attendu au coin de la rue.

Moi: Toi même tu sais que depuis que je n'ai pas eu mon examen ma mère est devenue très sévère.

Oui vous avez bien compris je couche avec lui, il est le bon baiseur que j'ai jamais connu, j'ai commencée à baiser à l'âge de 13 ans. Hugo est mon 4 ème copain, il à 38 ans, personne ne le sait même pas mes amies. De toutes les façons, deux sont partis nous sommes restées trois qui n'ont pas eu l'examen.

Hugo: Je t'attend à notre coin habituelle à 23 heure ma chérie.

Moi: Tchuuuuuut ékanwé.

Je vois ma mère venir vers nous.

Maman (souriante) : Bonjour Hugo comment vas tu ?

Hugo : Bonjour Thérèse je vais bien et toi ?

Maman : Je vais bien merci et ma chérie ? Les enfants ?

Hugo : Ils vont bien, j'encourage Emy à beaucoup bosser l'année prochaine pour son examen, je sais que cette année a été difficile, mais l'année prochaine du coup elle l'auras.

Maman : Il faut bien la conseiller hein, tu es comme un père pour elle, tes conseils vont beaucoup l'aider.

Elle a continuée avec toutes ses causeries.

Moi: J'ai faim maman.

Maman : Donc même te servir faut que ça soit moi qui va encore le faire ? Emy tu as 15 ans donc il faut que tu te prennes en charge.

Gabin n'est pas venu pour les vacances, il est resté au Congo et moi ça me fait plaisir parce que quand il est là, plus vraiment de liberté, or je ne veux pas que les gens surveillent mes affaires. Je me lave les mains et je me sers, j'allume la télé. Dans notre village, il y a de l'électricité mais c'est par secteur. Donc aujourd'hui c'est notre tour, je vois mon père rentrer et me faire une bise au front.

Moi: Bonsoir papa, ça été ta journée ?

Papa: Oui ma princesse.

Depuis que cette sorcière est morte, papa n'est plus serein je ne sais pas pourquoi mais je sens qu'il n'est plus comme avant.

Moi: Et du coup c'est pour quand le mariage comme l'autre est morte ?

Papa : Ta gueule. Tu l'as ferme rapidement.

Moi (amusée): Bon j'ai seulement demander parce que j'ai entendu maman dire que c'est dans 3 mois.

Papa (choqué): Quoi ?

Moi: Désolée je pensais que tu étais au courant papa.

Papa: Ce n'est pas grave.

Je vois maman rentrer, et tire son mari dans leur chambre. Je regarde l'heure il est encore 18 heure j'attendrai 23 heure pour aller retrouver Hugo. Yéguéé Aklounon je mouilles déjà. On passe la soirée ensemble comme on le fait comme d'habitude et à 21 heure, tout le monde au lit, c'est ça la vie au village les gens se couchent tôt. Avant de faire semblant de me coucher, je prends une douche. À 23 heure, je guette un peu, tout le monde est ko, j'ouvre la porte doucement, je me faufile derrière la maison et je trace en direction de notre lieu habituel. Je le trouve adossé sur un arbre.

Hugo : Enfin tu es là, aller viens on rentre un peu dans la forêt, j'ai entendu les gens parlés.

Moi: Ça m'excite quand les gens me voient me faire baiser.

Hugo: Tu es vraiment une cochonne toi, tout le monde pense que tu es une princesse or une vrai salope à ton âge. Tchrrrr vi gbigblé.

Moi: La salope qui te fait pleurer de plaisir chaque jour. Hahaha mêho agbaya.

Il me tire de force vers lui.

Hugo: Ne penses pas que parce que je te baise tu dois me manquer de respect tu n'as que 15 ans je te le rappelle la mineure ?

Moi: De toutes les façons, je fais ce que je veux. Si tu ne voulais pas une fille de 15 ans, fallait pas venir me poursuivre comme un chien en chaleur monsieur.

Il me mort les lèvres, j'ai très mal mais je ne pleure pas, je le fixe, il m'embrasse avec fougue, je le pousse il tombe sur l'herbe je fais descendre son survêtement. Ce que j'aime chez lui, c'est qu'il a un gros bangala (pénis) donc ça me fait rêver et il sait bien baisé. Je soulève ma robe , je n'ai pas de culotte, je monte sur lui, pas le temps pour des préliminaires, je le prends dans ma bouche et c'est partir pour une pipe de haute qualité le temps de lubrifier. Je soulève mon popotin et je commence à descendre. Il me tient par la taille jusqu'à ce que j'aille jusqu'au fond, j'ai un peu mal mais j'aime ça, je commence à le chevauchée comme une belle amazone. On se donne à cœur joie pendant au moins 30 minutes. On jouit, je prends une pochette on s'arrange, il m'accompagne à mi-chemin, je rentre dans la maison personne ne m'a vu , donc ni vu ni connu. Je dors comme un bébé avec le sourire au lèvre demain c'est un autre jour et la vie est belle.

**** Thérèse Tchédji ****

Ça fait deux mois que celle là est morte et cette maudite est partie de chez nous maintenant je suis en pleine préparation de mon mariage. Malgré mon bonheur, je ne cesse de me rappeler de ce que Judith avait dit. Les malédictions qu'elle a lancée à son père et sa génération, je sais que c'est un enfant mais quand elle avait dit ça, j'avais des frissons. Et depuis là, je suis mal à l'aise, j'espère que c'était que des mots. Pierre est parti voir son avocat. Je ne sais pas pourquoi, j'espère qu'il ne va pas me faire signer un contrat de mariage. Ça, jamais. Tout ce qui lui appartient, sera à mes enfants au moindre malheur, je n'ai pas fais tout ce que j'ai fais pour me retrouver avec zéro. Ah non toutes ses terres seront pour mes 4 enfants piannnnn. Même ma tante ne va rien dire. En parlant d'elle, depuis la mort de l'autre elle est devenue un peu distante. Donc obligé je lui achète un pagne. Maintenant je vais là-bas pour lui remettre, je la trouve au véranda.

Moi: Bonjour ma tante.

Belle mère: Je ne suis plus ta tante mais ta belle mère.

Moi: Ahan dévo dié min, il est où le problème d'habitude ça ne te dérange pas non ?

Belle mère: Maintenant ça me dérange.

Moi: Ok pas de problème, tiens, c'est pour toi.

Belle mère: En quel honneur ? À ce que je sache, ce n'est pas mon anniversaire, ni les fêtes de fin d'année ni même la fête des mères.

Moi: C'est pour que tu le portes au mariage maman.

Belle mère: Ok merci quand même.

Moi: Depuis là comme si tu es en colère contre moi.

Belle mère (en colère): Je t'avais dis de ne pas toucher à ma petite fille.

Moi (tremblante): Mais je n'ai rien fais moi, tu m'accuses de quoi ?

Belle mère: Je sais que c'est toi qui a mis le feu chez Solange, et si j'ai une bonne mémoire je t'avais dis de ne pas impliquer ma petite fille dedans.

Moi (choquée): Moi ? Mais je n'ai rien fais. Demande à ton fils je dormais avec lui pendant l'incendie. C'est même lui qui m'avait réveillé.

Belle mère: Tu me prends pour une idiote ? Toi et moi on se connaît mystiquement et physiquement donc je sais que tu es capable de tout, heureusement elle n'était pas là et soit heureuse par ce que si elle avait péri avec sa mère j'allais oublier que tu es ma nièce.

Moi: Maman je te jure que je ne suis pour rien. Tu as demandée à Sidonie et Eudoxie (belles sœurs) ?

Belle mère: Mes enfants ne peuvent rien faire sans demander mon avis par contre toi si, j'espère pour toi que tu ne vas pas l'ensorcellé. Tu l'as laisses maintenant tranquille. Tu as eu ce que tu voulais maintenant que nous sommes débarrassé de la maman, la fille n'est pas une ménace.

Mais cette femme est folle elle pense que je vais suivre ce qu'elle me dit ? Cette insolente a menacée mes enfants et mon foyer, je ne vais pas la laisser en paix jusqu'à ce que j'atteingne mon objectif.

Moi: J'ai compris maman, mais je n'ai rien avoir avec la mort de Solange, ça me fait plaisir mais je n'ai rien fais.

Belle mère: Hum.

Moi: Je vais faire un tour à Cotonou pour ma robe de mariée. Je vais partir avec les enfants pour le week-end, toi même tu sais que Pierre n'aime pas que j'aille à la capitale sans lui, donc j'emmène tes petits enfants.

Belle mère: C'est bien, nous avons une réunion le dimanche prochain, toi même tu sais ce que tu dois faire.

Moi: Bon je vais rentrer en passant chez Bety pour lui mètre au courant pour la réunion.

Belle mère: Elle est déjà au courant hier c'était la visite chez elle. On a pas voulu que tu viennes parce que tu es entrain de préparer ton mariage.

Moi: Je demande la route.

Oui vous avez bien compris nous sommes des azétor minonnan (sorcières), nous sommes que des femmes. C'est pour cela que ma tante et mes cousines m'aiment parce que nous faisons les mêmes pratiques. Et si belle maman pense que je vais laisser sa petite fille tranquille, elle se mets le doigt dans l'œil. Pour avoir la paix, cette fille doit rejoindre sa mère. J'arrive chez Bety, elle c'est ma meilleure amie on se dit tout sauf rien.

Bety (joyeuse): Bonjour madame Sonon.

Moi: Yorrrr copine pas encore, d'ici un mois.

Bety: Alors Pierre est content ?

Moi: Je m'en fou de lui hein. Qu'il le soit ou pas, tout ce que je veux c'est le mariage. Ses états d'âme là ne m'intéressent pas. Lui aussi voulait de ce mariage mais depuis la mort de la poufiasse là, il a changé un peu.

Bety: Alors tu as les nouvelles de la petite ?

Moi: Non, mais bientôt, je veux en finir un bonne fois pour toute, je veux bien le faire , sans qu'on suspecte que c'est mystique, ma tante ma encore mis en garde.

Bety: Dans ce cas, temporise toi un peu encore. Sa mère vient de mourir et si elle aussi meurt maintenant, on va vraiment trouver ça mystique.

Moi: Je vais d'abord me marier. Les autres problèmes je verrai ça après. Mais il faut que je le fasse. Cette fille a eu l'audace de lancer la malédiction à mes enfants.

Bety: Elle n'est pas initié ma chérie, elle ne va rien faire, et Emy ?

Moi (la peur au ventre): Emy quoi ?

Bety: Son initiation tu as pensée ?

Moi: Je ne veux pas que ma fille soit dedans.

Bety : Tu sais que tu n'as pas trop le choix.

Moi: Bon ma chérie je te laisse, je passe mon week-end à la capitale avec les enfants.

Bety: Et la réunion ?

Moi: Je le ferai depuis là-bas.

Je rentre chez moi et je trouve ma fille qui est entrain de vomir, toute fatiguée, je la touche elle est brûlante je commence à paniquer.

Moi (affolée): Qu'est ce qui se passe Emy ?

Emy (en pleure): Je ne sais pas maman, j'ai mal au ventre et à la tête. Sûrement que c'est le paludisme.

Je prends ma fille direction l'hôpital, je n'ai averti personne.

Moi: J'espère pour toi que ma fille n'a rien Judith, sinon je viendrai te tuer comme je l'ai fais avec ta mère ooh. Ma fille ooh.

Infirmière : Madame c'est vous qui avez emmenez mademoiselle Sonon ?

Moi: Oui comment va ma fille ?

Infirmière : Suivez moi s'il vous plaît. Le docteur veut vous voir dans son bureau.

Je rentre et je vois le docteur qui me regarde impassible.

Docteur : Prenez place madame.

Moi (affolée): Dîtes moi que ma princesse va bien docteur, elle n'a que 15 ans docteur.

Docteur (calme): Votre fille est enceinte.

Moi (criant): Quoi hokolohoooo do tror bi ? Non non vous faîtes sûrement une erreur docteur. Ma fille ne peut pas être. Elle n'a que 15 ans et elle toujours vierge. Mais docteur tu es malade ou quoi !

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