CHAPITRE 5 : La baise la plus folle de ma vie
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Lorsque nous arrivâmes dans ma chambre, je déposai calmement Ashley dans mon lit tel un œuf de peur qu'elle se brise.
Je l'abandonnai un moment pour aller mettre en marche mon ventilateur. Je revins ensuite auprès d'elle et la tirai un peu vers le rebord du lit. Je l'avais couchée sur le dos dans mon lit et ses pieds étaient en suspens vers le sol. Dans cette position, je voyais clairement les poils qui ornaient son sexe. Le string, vous connaissez bien sa forme ! Le string était là mais tout était à nu.
Je m'agenouillai entre ses jambes et de mes deux mains, je commençai à lui titiller les poils. Que c'était beau à toucher.
Couchée, la mademoiselle poussait des soupirs. Ah oui, je savais combien je lui donnais des sensations dans le corps.
Je rapprochai mes lèvres mouillées auprès de son sexe poilu et calmement, je commençai à lui faire la lèche. Cette fois, Ashley m'offrait les doux cris de gémissements qu'elle a peut-être l'habitude d'offrir à mon père.
Ah oui, elle disait : « Oh Nico ; ohhh ; arrête bébé ; oh j'aime ça ; ohhh ; ah que tu es romantique ; oh…mon Dieu ! que tu es fantastique mon bébé adoré ».
Ses cris de gémissements me faisaient perdre la tête, sérieux.
Je lui léchais son vagin tout mouillé et elle m'offrait en retour ses beaux cris ; ces merveilleux cris lesquels Rosina ne m'a jamais offerts. Rosina, quand nous faisons l'amour, elle ne donne jamais de cris pourtant nous ne sommes souvent que seuls dans la chambre et elle en est incapable. On dirait que sa mère ne lui avait pas dit que quand on fait l'amour à la femme, elle a le devoir de donner des cris peu importe ce que ça lui coûterait.
Je léchai correctement Ashley et après l'avoir sentie toute mouillée, au lieu de la pénétrer directement, je m'allongeai sur elle pour aller chercher ses belles lèvres claires et, les miennes combinées aux siennes, nous commençâmes à nous sucer de plus belle les lèvres. Nos salives, on les échangeait au fur et à mesure que nos plaisirs s'enchaînaient.
Pendant ce temps, j'avais mon majeur bien tendu dans le vagin de Ashley et lui faisais des va-et-vient incontournables.
Je la voyais déhancher telle une serpente. Ce liquide séminal qui témoigne l'envie extrême de la femme lui coulait à flot.
Doucement, j'abandonnai tout son corps pour venir me déshabiller complètement. J'enlevai mon débardeur et, doucement, j'enlevai mon pantalon pour sortir ma bite qui cherchait à s'évader tel un prisonnier.
Couchée sur le lit, la femme de mon père me regardait et lorsqu'elle aperçut mon pénis, elle me dit : « qu'elle est jolie, ta bite ».
– Merci ! Je vais te défoncer avec ; lui chuchotai-je tout sourire.
– Façon dont je la vois, c'est sûr que je vais l'adorer.
– Oui, tu vas trop l'adorer, lui répondais-je en fouillant dans mon armoire pour y sortir un préservatif.
– Et que fouilles-tu encore ? me lança-t-elle.
– Je cherche du préservatif.
– Oh non, arrête ! Je n'aime pas trop les préservatifs s'il te plaît.
– C'est pour éviter les grossesses imprévues.
– Je ne suis pas dans ma période de fécondité.
– Je sais mais c'est important ! Je ne fais jamais l'amour avec Rosina sans les porter.
– Rosina, c'est Rosina ! Moi, je ne suis pas Rosina et tu le sais !
Abattu, je lui demandai s'il faut donc laisser tomber les préservatifs.
– Si ! Et viens vite, le temps passe.
Et effectivement, le temps passait. Mon pénis revenait déjà peu à peu à sa forme élastique. Alors je me rapprochai de Ashley pour la saisir par les seins. De ma bouche, je commençai à la téter comme les bébés sur les jambes de leur mère.
Elle aimait tellement ma façon de la téter qu'elle me disait : « je t'adore mon bébé ; allez tète-moi encore et encore ».
Et moi, trouvant du plaisir dans ce jeu d'action, je la tétais encore et encore. Ma bite, en bas où je l'ai abandonnée en suspens, était en train de faire la tête on dirait un malade à qui on voulait faire boire l'urine d'un vieillard et qu'il en était contre.
Je cherchais à la calmer mais mes deux mains étaient toutes occupées. L'une parcourait les deux seins de ma nouvelle femme pendant que l'autre parcourait la courbe de son corps.
Fatigué du comportement de ma bite, je finis par descendre vers le bas pour repérer la chatte de ma compagne. Avec ma bite en main, je recherchai la voie menant au temple de Ashley mais c'était pratiquement impossible.
On dirait que le siège du sien était différent de celui de Rosina. Oui, avec Rosina, j'embarque rapidement ma verge. Mais avec Ashley, c'était complètement le contraire. Je perdais le chemin et vu que Ashley aussi était trop pressée pour la baise, elle m'attrapa la bite et la mesura de sa main et doucement, se l'enfourcha. C'est alors que doucement, je commençai à la pomper ; je la pompais comme un vulgarisateur pompe un pneu. Ashley enroula ses deux mains à mon cou et m'encourageait à ne pas perdre espoir. Oui, elle me disait : « ne t'inquiète pas bébé ; continue de me baiser ; rien ne va nous arriver ».
Et c'est vrai, rien ne pouvait nous arriver puisqu'on était en sécurité sauf si quelqu'un escaladait la clôture. Et qui oserait en escalader ? Personne en tout cas.
Je baisais ma petite mère. Dans le lit, je ne lui faisais même pas cette image-la. Au lieu de voir en elle la femme de mon père, je voyais plutôt une des sœurs de Rosina.
Oui, une des sœurs de Rosina à cause de son teint clair. Tout le corps de Ashley était comparable à une métisse. Ashley, même dans une obscurité absconse, on pouvait la voir à cause de son corps qui était tout clair et tout joli.
Ses seins, ils étaient mille fois plus jolis que ceux de Rosina. Ses poils, sincèrement, elle en prenait bien soin. Ses poils n'étaient pas en désordre comme ceux de Rosina. Rosina ne peigne jamais ses poils. Non seulement elle ne les peigne pas mais aussi elle ne les coiffe jamais. Ce n'est pas forcé de se raser mais au moins, il faut les tailler avec une paire de ciseaux.
Rosina entretenait bien ses poils et si vous les voyez, ça donne l'envie de baiser.
Mes deux mains posées sur son ventre, je lui mangeais la chatte avec plaisir. Elle en était très fière.
Soudain, mon téléphone commença à sonner. C'est parce que j'avais oublié de l'éteindre, c'est mon habitude d'ailleurs. Je n'aime pas que quand je baise, un farfelu me lance des balles dans les roues.
J'ignorai l'appel et continuai ma baise. Le temps de quitter ce plat délicieux pour le téléphone, tout le plaisir s'évaporera de nos corps ; ce qui n'est pas du tout formel.
Je tournai Ashley sur un côté et sa jambe droite en l'air, je continuai la baise. Cette position, on dirait qu'elle l'adorait plus que la première que je lui avais fait prendre.
De sa main droite, elle me tenait l'épaule et gémissait de toutes ses forces.
Ah oui, nous étions seuls à la maison ; elle pouvait même crier dans le micro, nous étions seuls à la maison et nous ne serions que les seuls à écouter la mélodie.
Eh oui ! Ashley et moi avons créé notre petit monde, un monde unique à nous deux. Dans ce monde, on mangeait l'amour.
Me sentant un peu fatigué, Ashley me proposa de venir me coucher dans le lit pour qu'elle me prenne la relève.
C'est alors que je compris que Ashley serait une accro de sexe.
Qui suis-je pour décliner une telle offre ?
Vite, je rejoignis le lit et me couchai sur le dos. Sur mes yeux, je voyais la jeune femme monter doucement sur moi. Redressant correctement ma bite, elle se l'enfourcha et petitement, commença à faire des va-et-vient. Au départ, j'avais mes deux bras posés sur le lit. Mais dès que Ashley commença par accélérer de toutes ses forces, je longeai mes deux mains pour attraper ses seins lesquels je retins en l'air. Elle criait : « oh ! ah ! oh ! oh ! oh ! oh Seigneur ! oh ! j'aime ça ! oh mon Dieu ! oh Jésus ! oh my God ! ah ! ah ! ouu ! ouu ! vas-y ! baise-moi plus fort ! ».
Et moi, que pouvais-je faire d'autre que de gaver cette pétasse de plaisirs !
Une fois encore, mon téléphone commença à sonner. C'est alors que je me souvins des jours auxquels Rosina vient chez moi pour se faire baiser. Nous étions vendredi et puisqu'elle est inapte au sport, elle venait passer ses trois heures de temps de sport dans mon lit. C'était elle qui serait en train d'appeler. J'étais sûr qu'elle serait déjà arrivée sur le portail et l'ayant découvert fermé, elle m'appelait pour que je vienne lui ouvrir. Et puisque j'avais un autre champ lequel je labourais avec parcimonie, je ne bougeai même pas pour aller décrocher. Le téléphone sonna fatiguer avant de se taire.
Ashley me pompait d'envie et moi, je me retrouvais aux anges. J'aimais presque tout ce qu'elle me faisait. Oui, j'aimais sa maîtrise en baise. Elle avait acquis pas mal de choses dans ce domaine. Elle n'était pas identique à Rosina qui, même de petites caresses, elle en était incapable. Tout ce qu'elle sait faire, c'est d'enlever sa tenue kaki, enlever ensuite le soutif et enfin, son caleçon. Le reste, elle te laisse faire. Elle ne cherche même pas à activer les courants électriques de ton corps. Quand elle se couche sur le dos, c'est uniquement dans cette position vous restez du début jusqu'à la fin. Même les cris de gémissements, elle n'en donne aucun. Il lui suffit seulement de fermer les yeux et c'est fini. Tout le reste me revient.
Enfin, me voilà sur le point de jouir. Je renversai Ashley sur le dos dans le lit et éjaculai dans ses poils. Elle ne se fâcha pas avec moi. Elle savait elle aussi que c'était pour éviter le pire que j'avais fait ça ! J'aime trop la femme quand elle est compréhensive.
– Je t'aime Nico, me dit-elle de sa belle et agréable voix.
– Et moi aussi, je t'aime.
– Promets-moi que tu me seras toujours là, me dit-elle entre tristesse et joie.
– Je te le promets ! Je te serai toujours là.
– Dis-moi que tu m'aimes !
– Je t'aime, si tu savais.
– On m'appelle Ashley ; alors dis-moi : Ashley, je t'aime !
Qui suis-je pour ne pas répéter cette belle phrase ?
– Ashley, moi, Nicolas, je t'aime.
– Et moi aussi, je t'aime mon trésor.
– Merci mon amour.
– J'ai aimé ta façon de me faire l'amour.
– Merci bébé.
– Merci de m'avoir garnie de plaisirs.
– C'est un plaisir de te voir jouir.
– J'aime quand tu me suces les seins et me parcours les poils de tes jolies et admirables mains.
– Merci de tes compliments.
– Dis-moi que tu ne m'abandonneras pas ?
– Je ne t'abandonnerai pas, mon amour sucré.
– Je t'aime que ton père !
– Merci bébé ; mais tu ne me l'avais jamais dit !
– C'est parce que j'avais peur et je ne savais non plus où mettre la langue pour te le dire.
– Je te comprends alors.
– Dis-moi une chose, Nico.
– Quoi encore bébé ?
– Dis-moi que tu me seras toujours là et que tu ne m'abandonneras jamais.
– C'est promis ; je ne t'abandonnerai jamais.
– Dis-moi que peu importe combien tu seras en train de penser à ta chérie qui m'a déjà avancée, tu ne m'oublieras jamais.
– Tout ce que tu me demandes est considéré comme promesse lesquelles je tiendrai ardemment.
– Ça me fera plaisir si tu les tenais.
– Je vais les tenir.
– Je t'aime, Nico ; me dit la pauvre femme en larmes.
– Et pourquoi tu pleures ?
– J'ai peur de te perdre, Nico.
– Et que feras-tu de mon père ?
– Je le considérerai toujours comme époux mais toi tu seras le légitime.
– D'accord, alors essuie tes larmes et ne pleure plus.
J'aidai ma compagne à nettoyer ses larmes.
Recroquevillée sous mes bras, je réconfortais ma petite épouse et quelques minutes plus tard, elle s'endormit sous mes bras. Sa tête était posée sur ma poitrine.
Que c'est cool d'être entre les bras d'une personne qu'on aime.
Dites ce que vous voulez, je m'en fous de vos commérages. Nous, c'est notre vie et on est libre de la manger comme elle nous convient.