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CHAPITRE 4 : Les positions W et X de Ashley

*

Cette nuit, je faisais tout pour m'effacer de la tête cette image de torse nu de la femme de mon père mais je n'y arrivais pas. C'était la première fois où les seins d'une femme voulaient me rendre fou. Oui, si je pouvais crier “ maman, je veux téter ”, je le ferais sans doute.

Il est vrai que sur la femme, rien ne m'attire de plus que ses seins. Oui, si une femme poilue se déshabille devant moi, je ne regarderai qu'une seule partie sur tout son corps ; seulement sa poitrine.

Je pensais et repensais encore aux jolis seins qu'offrait Ashley à mon père et je me demandais si mon père arrivait à reconnaître leur valeur. Mais je n'étais pas sûr. C'est comme on dit que la femme qui fait pleurer un homme, un autre homme est quelque part et est en train de la faire pleurer parce qu'il ne reconnaît pas sa valeur.

– Cette femme de Ashley, c'est pour nous les jeunes et non pour les vieux comme mon père, me dis-je tout bas.

Sinon, vous aussi, lecteurs que vous êtes ; est-ce d'une normalité formelle qu'un vieux épouse une jeune fille appelée à être sa fille si ce n'est pas de l'exagération ?

Pour être honnête, je n'ai jamais apprécié le comportement de mon père pour le fait qu'il prenne en mariage une jeune fille qui doit normalement l'appeler sous le titre : papa.

Ashley, c'est une fille de vingt-cinq ans si je ne dois pas me tromper. Raphaël, mon grand frère et en même temps le fils aîné de mon père a vingt-sept ans. Voyez-vous un peu la logique ? Ashley ne devrait pas être la femme de mon père. Je me suis même demandé si les parents de Ashley avaient perdu la tête en prenant les dots à mon père ? Ou bien mon père leur avait bandé les yeux ?

Bien, ce que j'ai toujours retenu de la relation liant la jeune fille de la vingtaine à mon père ne serait que sa fortune. Oui, les parents sont capables de donner leur fille de dix ans à un vieux d'une centaine d'âge à cause de l'argent ; c'était exactement le cas de Ashley.

***

Il était huit heures et j'avais déjà abandonné mon lit il y avait quelques minutes pour aller prendre une douche bien fraîche. Ah oui, une douche fraîche et non chaude parce que ça allait barder dans quelques minutes quand ma mère va faire son départ et va laisser la chambre libre à la femme de son mari et moi.

Ma mère, après avoir apprêté son petit sac à main, alla chercher sa moto au garage et s'en fut.

Elle a sa clé avec laquelle quand elle sort de la maison, elle verrouille le portail avec. Inutile donc d'interpeller quelqu'un à venir lui ouvrir ou fermer le portail.

Dans la maison, chacun avait sa clé pour l'ouverture et la fermeture du portail. Ce matin-là, puisque je pressentais un grand chaud, je m'étais levé et étais allé verrouiller le portail à la serrure.

Ah oui ! Il ne faudrait pas que Raphaël, aussi gourmand qu'il soit, vienne par surprise pour vouloir fouiller dans les casseroles et découvre notre jeu d'action.

Je me retournai vers les escaliers et commençai à les gravir de toutes mes forces. Je n'arrivai qu'à la quinzième ou seizième marche lorsque tout à coup j'aperçus Ashley debout au sommet de l'escalier qui communiquait directement avec la porte de notre salon.

– Arrête-toi là et dis-moi où étais-tu allé ! me lança-t-elle.

Je m'arrêtai effectivement et lui offris mon sourire avant de lui répondre que j'étais allé fermer le portail à la serrure.

Pendant que je répondais à mon interlocutrice, elle s'avançait à mon adresse. Lorsqu'elle m'approcha de plus près, elle me colla contre le mur et me chuchota à l'oreille combien elle s'était rendue dans mon salon me manquer.

– C'est vrai, lui murmurai-je doucement.

– Nico, je t'aime !

– Et moi aussi, je t'aime comme tu ne peux jamais l'imaginer.

– Aujourd'hui, tu vas me le prouver.

Ceci dit, elle laissa tomber sa serviette et se retrouva en tenue d'Adam et d'Ève avec un string qui divisait en deux parties égales ses deux fesses.

– Embrasse-moi Nico ; montre-moi que tu es un vrai homme.

Mon Dieu ! Je me suis toujours dit que la femme qui osera me prendre pour un homme sans testicules aura à faire avec mon pénis. Ashley venait de me provoquer inconsciemment sans s'en rendre compte.

Me collant contre le mur, je ne pouvais pas mouvoir. J'étais tranquille comme une mouche calée dans un toit d'araignée. De la bouche de Ashley, je l'entendais inspiré et expiré à la fois. Elle faisait appel aux démons de son corps. Ah oui, il faut que les démons se réveillent pour que les bonnes choses puissent commencer à leur tour.

Doucettement, Ashley approcha ses lèvres auprès des miennes et commença à me pourlécher. Qui suis-je pour décliner ce plaisir ; pas moi.

Je la laissai me pourlécher les lèvres avec sa langue. J'étais tranquille et suintais les quelques salive qui coulaient de sa bouche dans la mienne. Pendant ce temps, ses mains parcouraient la courbe de mon corps. Les miennes, je les avais collées contre le mur. Et me rappelant de la phrase de Ashley, celle au cours de laquelle elle me demandait de lui montrer combien j'étais homme, je décollai mes mains du mur et attrapai ses fesses qui étaient fraîches telle une neige coulante. Ses fesses, elles étaient molles on dirait les fesses d'une blanche qui venait de descendre du Boeing.

Je les attrapai et les pressai comme on presse une orange. Dans mes oreilles, Ashley poussait le « ouille ». Ah oui, c'était le cri de gémissement qu'elle fait entendre à mon père lorsque ce dernier la cogne dans le lit. Puisqu'il n'est pas là pour assumer son rôle, moi je suis là pour le faire à sa place.

Ashley me colla davantage et m'offrit tout son corps. Les lèvres entrelacées, bouche dans la bouche, on se suçait les langues. De sa bouche, j'entendais un merveilleux cri de gémissement. Elle n'arrêtait pas de me parcourir tout le corps de ses jolies et molles mains.

Ma bite, toute fâchée cherchait à percer mon pantalon. Ma bite était furieuse contre moi ; son bluetooth avait réussi à capter le périphérique du vagin de Ashley et elle s'était déterminée prête à lui transmettre les données.

Ashley souleva volontiers l'une de ses jambes et m'offrit les gazons de sa partie intime. Je descendis légèrement ma main droite vers son vagin et ne voulant pas localiser tout de suite son clitoris, je fonçai mon majeur dedans pour sentir le lubrifiant naturel qui coule des parties intimes des femmes lorsqu'elles ont vraiment envie de faire l'amour. C'est là que je découvris que Ashley, je l'avais mouillée de mes simples attouchements.

De sa position X, je la doigtai correctement ; je lui dégarnis son masque de belle-mère pour le remplacer par celui d'une jeune fille des rues que j'aurais rencontrée.

Nous restâmes dans cette belle position pendant une dizaine de minutes avec des caresses très chaudes et très sensuelles.

Elle finit par se glisser lentement vers le bas pour opter à la position W ; celle au cours de laquelle elle s'était assise sur son vagin les pieds en position W. Là, elle ouvrit la fermeture de mon pantalon sans mon consentement. Qui suis-je en ce moment où j'étais déjà au paradis pour dire non ? Elle sortit ma bite et lui fit un bisou. Elle me lança ensuite un regard comme pour me demander si j'aimais ce qu'elle me faisait.

– Vas-y ma chère, fais-moi la pipe ; je l'adore.

Tout sourire, elle me suça la grosse tête de ma bite une fois, deux fois et puis trois fois avant de plonger toute la tige dans sa bouche humide. Je ne savais même pas que tout le corps de mon pénis pouvait entrer dans la bouche d'une femme.

Ne me sentant pas bien à l'aise dans le plaisir, j'enlevai tout mon pantalon pour lui offrir tout mon dessous.

Très contente, elle commença à parcourir ses mains entre mes poils que je n'ai jamais l'habitude de raser. Ah oui, je ne rase jamais mes poils.

La femme de mon père, déterminé à notre jeu d'action, me taillait la pipe comme personne ne me l'a jamais taillée.

Attrapant sa tête entre mes deux mains, je commençai à la baiser doucement par la bouche. Comme si un pénis l'avait autant manquée, elle me bouffait la queue et je vibrais debout tel un appareil Motorola. Avez-vous tenu une fois un appareil Motorola quand ça vibre ? C'est exactement cette vibration que les attouchements de Ashley faisaient dans mon corps.

Elle me pompa bien le pénis de ses merveilleuses manières. C'est là que je compris que mon père ne méritait vraiment pas cette jeune fille.

Oui, il est des hommes qui sont de cette nature. Prenons l'exemple d'un vieux qui va en boutique acheter un téléphone très coûteux d'une centaine de mille de franc CFA et un jeune qui s'y rend pour acheter la même marque de téléphone. Êtes-vous sûr que les deux utiliseront de la même manière ces téléphones ? Jamais ! Le jeune cherchera à découvrir les hauts et les bas de son téléphone tandis que le vieux, lui, il fera uniquement d'appel avec le sien. C'est exactement la même chose avec Ashley et mon père. Mon père utilisera seulement Ashley pour la baise et pas plus. Alors que moi, je suis éligible à lui faire découvrir les meilleures astuces de la baise.

Je laissai Ashley me tailler correctement la pipe. Pour lui faire plaisir, je lui demandai de se lever et de venir on ira dans ma chambre pour lui lécher aussi le vagin comme personne ne le lui aurait fait.

Très contente, elle se leva et me demanda de la porter dans mon dos. Je lui offris mon dos et elle s'y aggippa. Et comme un bébé dans le dos de sa mère, je me dirigeai vers la porte.

Ah oui, c'était notre jeu d'action qui était sur le tapis.

Vous allez nous vouloir mais vous ne nous ferez rien.

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