Chapitre 14 : Pourquoi pas un dîner

Cela fait plus d'une semaine que Macaréna cherche celui à qui appartenait la voiture avec le numéro mais sans succès. Jour et nuit elle ne fait que ces recherches. Alors elle décide de se donner du temps pour un autre piste.

Travailler à l'entreprise de Souza la fait du bien, à part l'harcèlement d'Elliot, tout va bien.

Bientôt deux mois qu'elle est rentrée et aucune preuve ni piste, alors commence à s'impatienter. Elle était occupée dans son bureau sans s'en rendre compte qu'il était dix huit heures et presque tout le monde était rentré, quand Elliot apperçoit la lumière, il toque à sa porte puis prend place devant elle. Elle n'a même pas daigner à le regarder. Elle était concentrée uniquement sur son travail malgré qu'elle savait qu'il était rentré. Elliot décide de briser cette glace.

-Macaréna, il est tard. Pourquoi ne pas rentrer ? Demain tu pourras terminer tout ça.

-Je vais rentrer bientôt, merci et fermez la porte dèrrière vous.

-J'en ai assez Macaréna que tu m'ignores. Que dois je faire bon sang.

-Oh, ma parole, Elliot tu me veux quoi à la fin ? Ecoute je ne suis pas comme les autres filles qui te courent après juste pour la richesse la gloire, et la beauté ou je ne sais encore quoi, donc, stp, laisse-moi en paix, je ne veux pas être avec toi, comprends-le une bonne fois pour toute.

-Ok, je vois. Et je te promets de te laisser respirer à une seule condition.

-Humm...

-Pourquoi pas un dîner. Ne dis pas non .

-Ecoute moi, Elliot, à force de tirer sur la corde, elle finit par se rompre. Donc ma patience a des limites. Sors, stp.

-Ok, je m'en vais.

Il s'en du bureau mais pas pour autant quitter l'entreprise. Il décide de l'attendre dehors dans la voiture.

Plus d'une heure passée et elle ne descend toujours pas, alors il revient et remarque que l'ascenceur du dernier étage ne marche pas. C'est là où se trouvent leur bureau, le sien et celui de Macaréna.

Pendant ce temps, après le départ d'Elliot, elle relie tous ces documents puis range ses affaires. A peine qu'elle monte l'ascenceur qu'elle s'arrêtte. Elle se demande ce qui ne va pas. Macaréna n'aime pas être enfermée depuis toute petite. C'est pour ça que ses parents n'aimaient pas la punir. Elle est claustophobe. Macaréna a tout fait pour tenir bon mais la peur l'a évanouie.

Elliot prend l'escalier et entre dans leur batiment à bout de souffle.Il la cherche partout mais en vain.Alors il l'appèl sur son téléphone mais elle ne répond pas.Donc il pense qu'elle doit être bloquée dans l'ascenceur.

Il appelle l'aide et quelque temps, après ils viennent réparer l'ascenceur. Il la trouve allongée par terre. Il prit de peur et le conduit directement chez lui, fait appel à son docteur.

Macaréna s'est réveillée que trois heures plus tard. Dans un endroit inconnu, elle ballaie la chambre, regarde et trouve que la chambre est un peu masculin. La peinture est dans un ton unique, le gris et la moquette au sol tout noir. Elle se lève brusquement verifie si elle a toujours ces habits et c'est le cas. Elle respire profondement puis essaie de se souvenir des derniers évènements qui peuvent la conduire à un endroit étanger. Et oui bingo elle était enfermée dans l'ascenceur et s'est évanouie alors qui la secourue.

Elle cherche son sac à main mais rien, donc elle sort de la chambre. Mais à peine qu'elle ouvre la porte qu'elle tombe sur son cher et unique patron.

-Alors, la belle au bois dormante, tu es réveillée. Je pensais que tu attendais un baiser de ton prince charmant.

-Tu penses que tu es ce prince charmant ? Oh, comme tu es cynique.

-Je le prends pour un compliment. Alors comment te sens-tu ?

-Je vais bien merci. J'imagine que c'est chez toi, alors qu'es-ce je fais içi ?

-Bon, je t'attendais dehors mais comme tu ne décsendais pas, alors je suis revenu et on t'a trouvé inconsciente dans l'ascenceur.

-Je te remercies mais il fallait m'emmener à l'hôpital, pas chez toi. Que cherches-tu à faire ?

-Rien, je t'ais juste aidé, pas plus en plus. Ta famille a appelé. Une certaine Cassandra elle était inquiète alors je l'ai fait part du problème et elle m'a demandé de prendre soins de toi.

-Oui, Cassi c'est ma sœur. Bon, je dois rentrer. Merci.

-Je t'en pris mais il est tard. Regarde l'horloge et aujourdhui vendredi, tu n'iras pas au travail demain, donc reste et demain tu rentreras.

-Et je vais dormir où ?

-J'ai plusieurs chambres mais je peux te céder la mienne, j'ai des choses à faire dans mon bureau.

-Merci.

-Humm je sais que tu n'as pas dîné, moi non plus et si on allait en cuisine préparer un petit truc pour mettre sous le dent ?

-C'est vrai que j'ai faim. Tu sais cuisiner ?

-Un peu, je m'en sors pas mal. En plus tu es là et tu vas m'aider.

-Heuu non, je ne pourrais pas.

-Comment pourquoi ?

-Je ne sais pas faire la cuisine.

-Haha, la grande Macaréna ne sait pas faire la cuisine et s'évanouie dans l'ascenceur, wahoo qui l'aurait cru. Le scoup du siècle.

-Aller, moque-toi, je m'en fiche. Je suis claustophobe. Tu sais ce que ça veut dire au moins. Je ne peux rester dans un endroit fermé. Je n'arrive pas à respirer. Tu comprends ça au moins ? Et ce qui est de la cuisine je m'en fiche. Bon commandons un truc.

-Mais il est bientôt dix heures du soir. On peut pas.

-Tu n'as pas de domestique?

-Elles rentrent chez eux les vendredis. Mais allons, je vais nous faire un joli spaghetti à la tomate.